Dépendance sexuelle

Version complète : Le Sevrage de Morbach
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salut morbach, le mal de tête est normal, ne t inquiète pas pour cela, tu sais moi, avec ce mal de tête j ai fais une putain de crise d angoisse de mort je croyai que je faisais un AVC, et j ai même réussi à simuler les symptomes pour te dire!!C'est je pense soit un élément qui te sert à prendre conscience de ton état ou alors une transformation qui se passe dans ton cerveau, il faut bien remplacer ce que tu lui enlève!!tu ne doit pas lutter contre toi, mais comprendre accepter et te faire confiance, c est pas parceque jusqu'à maintenant tu n avais plus le control sur toi même avec l addiction que ça sera comme ça toute ta vie!!le sevrage va te libérer, et tu pourras te laisser aller, et même si au début c est étrange après ça soulage plus besoin d'avoir peur d'une érection inadéquate, d'un fantasme sur une proche... tout ce qui pouvaient te faire culpabiliser car cela va partir et ta personnalité , la vraie va ressortir à condition que tu la laisse sortir!!Pour le sommeil, oui il faut que tu dorme car le sommeil est réparateur c est bien connu!!

allez mon gas courage!!

J'ai eu une pensée toute neuve aujourd'hui, une sorte de flash ; je me suis dit " de toute façon je m'en sortirai, quoiqu'il arrive, je m'en sortirai ". Bien sûr je n'y ai pas cru, mais je me suis dit que cela pouvait être plus qu'un pari, peut-être que c'est aussi ça le fond du problème : je ne crois pas que je m'en sortirai. Cela reste une pensée à retravailler, parce que pour le moment j'ai la tête occupée par autre chose.Autre chose, c'est ma soeur ( 14 ans ), ma soeur qui est en train de lâcher ses cours de violons depuis trois mois environ, et là elle commence à les sécher ( encore cette foutue impression, qui me dit qu'en parler cela fixer le problème, qu'il deviendra "réel" et qu'après tout commencera à merder, ne l'écoutons pas ). Bon je ne m'étendrai pas sur les raisons qui font qu'elle abandonne en partie la pratique de cet instrument, raisons qui me sont d'ailleurs en partie inconnues. Je me sens coupable, comme je me sentais coupable quand elle avait changé de club de gym, après une période de séchage massif des cours de son ancien club ( nous l'avions poussée moi et ma mère pour qu'elle reprenne ses cours, mais ailleurs, puisque c'était le club et non le sport qui ne lui plaisait plus ). Humeur dépressive sur fond de, " cette fois, c'est la fin, tu es vraiment seul, rien ne croît autour de toi". Remords, sans savoir vraiment ce que je me reproche, je sais que je n'y suis pour rien là-dedans. Encore que.Encore que, je n'arrête pas de me dire que je pourrais insister plus, me servir de mes compétences de musicien pour l'aider, la soutenir, et de mon expérience pour réussir à la convaincre que ça vaut vraiment le coup de continuer, parce que quand on maîtrise ne serait-ce qu'un instrument, c'est quelque chose que d'en jouer, c'est comme une danse cosmique avec soi et les muses si je puis dire... Je ne comprends pas bien pourquoi je me sens autant impliqué là-dedans, et cette fois je réfuterai pour de bon l'argument vaseux et inhumain qui dit que "tu as peu de relations sociales, donc le peu que tu as compte un max pour toi", c'est-à-dire un argument quantitatif bébête, qui surtout ne tient pas compte du fait que se sentir coupable de l'échec des autres dans leurs projets ne fait pas partie d'un mode fonctionnement en société "normal", ou du moins ne fait pas partie d'un mode que je suis prêt à accepter désormais. J'ai beau me dire "je m'en fous, c'est son problème, je me suffis à moi tout seul après tout, alors si les autres s'écrasent, ce n'est pas cela qui véritablement risque de me perdre".Je pense que ça pourrait aussi avoir un lien avec le fait qu'à chaque fois que je m'engueule avec ma soeur, ou ma mère, je me sens la pire des merdes, et je peine à vivre tant que le conflit demeure irrésolu ( ou alors il y a le mode " je vais tous les détruire ces salopards qui m'en veulent et qui me pourrissent la vie, de toute façon les gens c'est de la merde, etc..." mais ce mode là ne me plaît plus tellement ces jours-ci ; la vengeance et le ressentiment, il n'y a rien de plus efficace pour vous ronger le coeur ). Cela aussi c'est quelque chose que je devrais d'avantage développer, l'idée d'une autre voie que celle de la vengeance, du ressentiment vis-à-vis de l'Autre ( en général ) lorsqu'il m'agresse. Hier soir par exemple, ma soeur m'emmerde en faisant du bruit alors que je bosse, et ( je n'ai pas compté ) ça doit bien être la vingtième fois depuis une semaine que j'essaye de lui faire comprendre que "maintenant, je travaille, et j'ai donc besoin d'un minimum de calme, les portes qui claquent, elle qui chante à tue-tête ou  qui joue avec le chien, ou qui met sa radio à fond, ce n'est pas/plus possible". Bon, eh bien dispute etc... j'ai le droit à mon quota d'insultes etc ( je rappelle qu'elle a 14 ans, rien d'étonnant donc ), et qu'est ce qui se passe ? je me sens coupable, comme d'hab : " tu sais, tu n'as pas peut-être pas besoin d'être si peinard que ça, et puis, c'est vrai que c'est gênant pour les autres de faire attention à ne pas te gêner, tes études c'est dur, mais en même temps tu n'as aucune chance de les réussir donc pourquoi emmerder le monde avec ( le ton se durcit au fur et à mesure )... ". Si je m'écoutais j'affirmerais sans ciller que je n'ai pas le droit d'exiger quoi que ce soit de qui que ce soit, quand il s'agit d'un service à me rendre...Morbach
Jour de pause. J'en avais bien besoin. Mais pas d'inactivité non plus, ça rendrait la reprise improbable. Je ris jaune ; je pense au fait que c'est en commençant par prôner la "liberté sexuelle" qu'on en est arrivés à de l'asservissement total en matière de sexualité, on peut ainsi bien parler de "révolution" sexuelle puisque la boucle est bouclée. Et ça fait encore plus marrer quand je pense que pas mal de porn-addicts s'imaginent avoir le "contrôle", le "choix", que c'est une expression de leur liberté d'agir, d'agir "comme ils le souhaitent". Je connaitrais la sympathie que je les plaindrais, sans doute. Y' a pas à dire, c'est mieux que les miradors, comme dirait l'autre. Et malgré cela il y a encore une part de mon petit univers qui s'accroche désespérément au "pornopornoporno" ; envies éparses, risques amenuisés mais bien réels ; parfois cela paraît une bonne idée de s'y remettre. Mais bon signe, en tentant le diable je me suis aperçu que j'avais oublié certains noms d'actrices ; et sachant à quel point je "tenais" ( brrrrrr.... ) à ces noms autrefois, c'est plutôt bon signe. Bizarrement ( ou pas ) réécouter "Smells like children" me rappelle bien ce qui se passerait si je revenais du côté obscur de la force, ça me calme. Le mode guerrier c'est pour bientôt. Aussi j'aimerais bien tenter des exercices de "concentration", je ne sais pas si cela "existe" ( en gros si d'autres personnes ont tenté le coup ), j'imagine que oui m'enfin ; il s'agirait de m'imaginer ( une fois allongé, musculairement détendu, les yeux fermés, le souffle lent et profond, etc... ) dans un autre lieu, de construire mentalement des structures, les visualiser ( bon pas forcément jusqu'à halluciner hein ! ) au mieux, et tenir ainsi, entre veille et sommeil, le plus longtemps possible, en incorporant des personnages, des systèmes etc... tout cela à partir de l'imaginaire. Etant donné qu'on créé à partir de pas grand chose, et comme on ne le sent pas, mais qu'on ne fait que l'imaginer, cela requiert beaucoup d'attention, de volonté, pour réussir à "voir" quelque chose. Je ne sais pas si c'est très clair, mais j'aimerais avoir des avis éventuels là-dessus ( là je me sens d'un ridicule ... ) ; pour le moment ça ne va pas plus loin qu'une boîte rectangulaire, et ça dure peu de temps, seulement avec de l'entraînement je pense ( suppose ) que l'on peut réexploiter cet entraînement pour mieux tenir mentalement lors des coups durs que provoque la reconstruction nécessaire co et post-sevrage, et j'aimerais ( comme j'ai maintenant quelques projets ) avoir ce genre d'outils à disposition pour réussir à me motiver. J'ai juste remarqué une chose ; ça calme bien les angoisses. Après je me fais peut-être ( sans doute ? ) des films ...Morbach 
Les techniques de relaxation et de méditation ne manquent pas. Concentration sur le souffle, pensée perceptive, visualisations... en trois clicks, tu vas trouver des tas de trucs. Mais sur quel critère vas-tu choisir ?chez les bouddhistes, qui sont en général des gars pratiques, on trouve des tas de propositions, y compris très laïques, le vipassana par exemple.http://www.dhammadana.org/

En Inde, c'est le yoga.

moi je fais de la relaxation et des pranayamas sur des disques de Steve Roach.Tout ce qui casse le délire  et qui creuse notre déprogrammation pavlovienne (le fait de saliver en voyant l'écuelle) est bon à prendre.Il y a les conseils d'orroz aussi :http://www.orroz.net/dependance_cybersexe.htm#CONSEILS

  

Je te remercie John, cependant je n'ai pas la fibre religieuse, et même la version laïque ne me convient pas ; je ne suis pas non plus pour une "sagesse de l'anéantissement"( c'est ce que j'ai cru comprendre ), car je pense que la souffrance vaut d'être combattue en la vivant, en la dépassant, plutôt qu'en cherchant à la supprimer. Ravi en revanche de voir qu'il y a des causes, des alternatives en matière de religion ( j'ai lu quelque peu le site sur le dhamma, pardon pour l'étalage de mon ignorance ) bien plus respectables à mes yeux que le christianisme, qui me file la gerbe depuis presque 8 ans maintenant ; je me dois de constater que là-dessus aussi Friedrich avait raison ; le bouddhisme vaut quand même plus le coup que la torture psychologique chrétienne à tendance auto-lapidatoire ...

Je m'en tiendrais seulement à des expérimentations pour le moment. Expérimentations qui m'ont servi aujourd'hui encore à calmer des angoisses. Je ne sais pas pourquoi, en milieu de journée tout à basculé, autant ce matin je me sentais mieux que jamais, détendu à souhait, maître de moi-même, autant j'ai commencé à développer une sorte de "crise de lucidité", m'amenant à constater avec effroi à quel point je continuais à mater tous les gens qui passaient devant moi en cherchant dans leur regard une sympathie de plus en plus absente de mon univers. De là à me questionner sur ma condition, mes chances de survie, me redire une fois de plus qu'elles étaient infimes, et angoisser allègrement là-dessus, il n'y avait qu'un pas, et je l'ai franchi sans un regard en arrière.Bref tout ça s'est résolu dans le bus pendant des rêveries délirantes, dormant d'un oeil sans trop savoir où je me trouvais ; au "réveil" je me sentais très bien, et ça m'a toujours l'air d'être le cas. Côté bas-ventre ça va à peu près, je remarque encore que décidément j'ai oublié pas mal de noms d'actrices, j'ai beau m'imaginer la tête ( et pas le reste ) qu'elles avaient, rien ne vient. Je suppose que le subconscient a fait son boulot de censure sensée et raisonnable, et pour une fois je le remercie : c'est bien la première fois qu'il m'est utile en matière de compulsion. J'ai aussi remarqué que quand je voyais une fille/femme dans la rue, la première chose à laquelle je pensais était de la sauter. Bien sûr ça fait un bail que c'est comme ça, mais maintenant je le remarque, ça ne me paraît plus "naturel". Considérer le monde sous un angle uniquement sexuel, même si je fais dans le genre matérialiste, ça me paraît un peu réducteur. Bien sûr cela joue à beaucoup de niveaux ( pour ne pas dire à tous les niveaux ) pour ce qui est du relationnel, mais il n'y a pas que ça, loin de là, ça me semble encore "fleur bleue" de dégotter ce genre de réflexions, mais ça vient d'une lassitude profonde, une sorte d'ennui vis-à-vis du sexe ; les films pornos me font de plus en plus penser à des documentaires animaliers, sauf que le vertébré moyen ne sourie pas, ne fait pas semblant quand il le fait..., on peut au moins lui reconnaître ce "mérite".

Morbach   

'Soir...Question de se lapider, les chrétiens et les pornographes en connaissent effectivement un rayon (de vélo) (dans l'oeil) ce matin je me sentais de me faire un t-shirt débile du genre "nous sommes tous des curés pédophiles juifs allemands" et de l'arborer dans le bus, pour voir si comme tu dis la sympathie absente de l'oeil des gens se réveille.Au moins les bouddhistes se gardent bien de postuler que Dieu est amour, ils disent que l'univers phénoménal est océan de souffrance (samsara), comme ça c'est réglé. Mais tant qu'on va aux religions comme on irait aux putes, c'est à dire en recherchant à être consolé, sans même avoir clairement identifié ni de quoi ni par qui, ça va pas marcher tant que ça. Et dans ces temps obscurs où l'on ne pense qu'à forniquer parce que la société nous a lavé le cerveau à ce sujet, peut-on cesser d'être la victime consentante de ses pulsions ?L'addiction m'a permis d'éprouver la sensation pure de "l'attachement" au sens bouddhique : puisque la dépendance consiste à effacer la douleur par ce qui la provoque, elle resserre ainsi le noeud qu'elle prétend défaire "pour un moment".Prendre conscience "intellectuellement" que le cercle vicieux de l'obsession ne peut connaitre de fin permet de commencer à chercher une solution... par d'autres voies, complémentaires.
La dépendance et sa logique du noeud coulant, j'ai mis du temps à comprendre, mais une fois que ce fut fait, il n'y avait plus de retour en arrière possible. Maintenant, si je veux suivre la voie que la pornographie ambiante me propose, je risque de souffrir 10 fois plus qu'avant, parce que j'ai conscience du mal que cela me fait, et que je sais à quoi cela mène et ne peut que me mener...D'autres voies certes, mais lesquelles ? La seule voie que je supporte c'est Nietzsche, et ce n'est pas la plus aisée et évidente à mettre en oeuvre ( peut-être aussi pour ça que je la supporte ) ; ça fait quatre-cinq ans que je fréquente ses bouquins, et zarathoustra ainsi que pdlbm m'ont bien aidé à garder la tête froide quand c'était nécessaire, et à demeurer lucide dans les moments de défonce ( manifestement pas assez puisque je me retrouve ici... ). J'essaie de m'ouvrir mais ce n'est pas évident ; comme un trop plein de mépris à revendre, qui fait que beaucoup d'auteurs ont tôt fait de m'irriter lorsque je les parcours, quant aux mouvements religieux en général ce n'est pas la peine, bien moins encore les associations, groupes de discussions, etc... je sais que je ne pourrais jamais aller aux SA, même si l'occasion se présentait. Ce forum en revanche, ça va, je reconnais mes penchants obsessionnels dans certains témoignages, et, en général, quand on se soutient, c'est "sincère"...Aujourd'hui ça va. Tout simplement, ça va. Je vais peut-être faire des cookies tiens, ça va m'occuper.

Morbach

il y a un fragment de Nietzsche que j'aime bien et qui est praticable, c'est le le fragment 368http://www.harrystaut.fr/20../../../mobilis-in-mobile/après, c'est vrai que le problème du dépendant, c'est qu'en général il refuse d'entrer dans un club qui l'accepte pour membre. C'est pour ça qu'il se retrouve comme un con devant son ordi à se mettre son illusion de toute-puissance derrière l'oreille en se disant qu'il la fumera plus tard, parce que quand il se la mettait ailleurs ça provoquait des gerçures.La voie des cookies est peut-être une nouvelle voie ! pas plus improbable que celle qui célèbre les fiançailles du bouddhisme et de l'anarchismehttp://bouddhanar.blogspot.com/ou la Pâque chrétiennehttp://indegivrables.blogspot.com/ 
Les éléphants aiment le lait, et le bouillasson aussi, on dirait ; illusion de toute-puissance ? si c'est le cas cela ne date pas d'hier, je ne dirais pas que je suis né comme ça, mais presque. Ce n'est pas le dépendant en moi qui refuse le groupe, c'est moi tout court ; après, est-ce que le fait de sortir d'une dépendance telle que celle-ci doit m'amener à changer tout ce que j'ai toujours été, c'est-à-dire un ours taciturne mangeant du bouquin, et jouant sa musique en regardant, désabusé, les abeilles voler devant lui, le miel social ne lui plaisant pas ? Je ne dis pas que c'est forcément la meilleure manière de fonctionner qui soit pour moi, mais j'aimerais m'en sortir sans tout remettre en question ; j'ai passé des années quand j'étais plus jeune à vouloir être chrétien, croire en Dieu ( j'étais dans un milieu d'intégristes ) , de la même façon que j'ai voulu appartenir à des groupes ( de copains, de musique ), et ça a toujours fini par foirer, d'une part parce que je n'arrivais pas à croire, d'autre part parce que les gens me gonflaient sérieusement avec leur fâcheuse tendance à abandonner leurs projets au bout de 5 minutes, à ne jamais montrer ce qu'ils étaient, à être orgueilleux au point de me préserver quand ils m'en voulaient etc...La voie des cookies, comme celle des compositions, c'est celle que je prends depuis 4 ans environ, j'essaie, par la création, de me combler et de me découvrir en même temps, et ça a son petit effet. Maintenant que j'essaie vraiment de m'en sortir, l'idée serait de pousser cela à aller plus loin. Cela fait un an et quelques que je suis sur un gros projet musical, et les 3/4 sont écrits voire plus ; le faire aboutir    ( d'ici juin si possible ) ajouterait une pierre de grande taille aux bases de mon édifice, mais comme d'habitude j'ai du mal à finir ce que j'ai commencé ... Là aussi il va falloir du cran.

Morbach 

Il est 7 heures passées, je viens de finir mon nouveau bracelet ( brésilien, à 14 fils ), que j'ai commencé à minuit et quart. C'était peut-être une connerie de faire cela, mais bizarrement, si le corps est fatigué ( et mérite bien quelques heures de repos ), l'esprit est encore clair, il faudrait que je renouvelle ce genre d'expériences dorénavant. Non pas me priver de la sorte de sommeil, sur le coup j'ai bien déconné, mais étant donné que c'est ainsi que je fonctionne le mieux...Bon, pas la force de développer plus pour le moment ;  en tout cas j'en suis très content, son prédécesseur s'est brisé après 2 ans et demi de bons et loyaux services, il y a une semaine à peine, et le petit nouveau est son évolution, deux fois plus large, et aussi plus abouti question style ...

Allez, dodo...

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