Dépendance sexuelle

Version complète : Le Sevrage de Morbach
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"Un outil" certes Lia, mais permet moi de développer un peu. D'une part je suis d'accord pour dire qu'un type addict à la porno, si il ne se soigne pas, passera probablement, en l'absence de porno, à autre chose ( drogue, alcool, jeu, etc... ). Et il est important pour le dépendant de comprendre que c'est d'abord avec lui-même qu'il a un problème, et que son addiction au porno n'en est qu'une expression, une conséquence parmi tant d'autres possibles, addiction qu'il faut soigner certes, mais pas sans se poser d'autres questions, plus profondes.Seulement, à mon sens, la pornographie n'est pas comme la plupart des drogues, elle a des caractères qui à mes yeux la rendent encore plus détestable. Tout d'abord il s'agit d'une industrie qui met en avant l'exploitation de ses "travailleurs" ; que penser de ce que l'on fait subir aux femmes et hommes qui jouent le jeu ? Bien souvent les actrices sont poussées, entre autres par le manque de moyens financiers, à s'orienter vers ce genre d'activités potentiellement lucratives. Toutes les violences qui font le nid du porno, son univers ( gang bang, sm, zoophilie, pédocriminialité et j'en passe ) sont indissociables des contenus plus "soft", dans la mesure où ce sont les mêmes producteurs qui se chargent du tout. En alimentant les circuits du soft, on alimente ceux du hardcore, et ainsi de suite, sans compter que bien souvent ( même quand on est pas forcément dépendant ), à en voir "un peu" on veut en voir "plus".Ensuite, la pornographie véhicule toujours de façon implicite, et parfois plus explicite, une idéologie bien particulière, sorte de mélange entre misogynie, racisme, sadisme, avec une forte objectisation de l'Autre, particulièrement bien mise en scène, que ce soit vis-à-vis des acteurs ou des actrices. Sans parler de la vision tout aussi singulière de la sexualité qu'elle propose : le cul pour le cul, le culte de la performance, le vide émotionnel et l'absence de tendresse qui va avec. Et surtout, le sexe vu comme le but ultime de toute chose, l'éjaculation vue comme symbole de la réussite ( sociale ? ). Même si beaucoup de drogues trimbalent un contexte social dans lequel elles paraissent adaptées, je n'en vois aucune qui mette à ce point en avant une idéologie qui lui permette d'accroître son emprise, d'aliéner toujours plus de consommateurs, et au final, toute une société, pour le plus grand plaisir des pornographes et pornocrates associés. Enfin, je doute quelque peu qu'il y ait tant que ça d'utilisateurs "modérés" de ce genre de contenus ; honnêtement, quelqu'un qui n'a pas de carences, de manque divers, de vide intérieur à combler,  n'irait pas chercher un plaisir si passager dans une consommation si dégradante pour l'image qu'il a de lui-même ( et ceux qui ont des carences, ben on sait ce qui leur arrive ... ). Franchement je ne sais pas exactement quel rapport tu as avec la pornographie, trouble j'imagine étant donné ce qu'en fait ton conjoint, mais des fois je me dis que j'aurais dû me filmer en train de compulser lors de mes rechutes il y a longtemps de cela ; cela m'aurait permis de mieux voir le ridicule de la situation dans laquelle on se retrouve, froc baissé, à s'astiquer devant des pixels. Quand j'y repense, je me dis que c'est vraiment pathétique d'en arriver là.  
Morbach,Je ne pense pas... Le porno me laisse de marbre.. C'est bizarre peut-être, mais pour moi cela n'a aucun intérêt ! C'est dire..Je sais moi -par rapport à ce que j'ai appris de mes parents, de mes relations- ce que j'attends du sexe, de l'amour je dirais plutot... Et les images que peuvent véhiculer la pornographie ne m'atteignent pas ! Je suis sure aussi qu'elles n'ont aucune résonance sur beaucoup d'autres personnes.. je te dirais même plus.. Mon con joint fait avec SON histoire et la pronographie.. tout ne l'intéressé pas (zoo.. sm..) mais seulement ce qui fait "écho" a son passé et sa propre histoire (lui a été abusé...) comme souvent.. Pour te donner un autre exemple, Yannis (sur ce site) regarde des hommes parce qu'abusé par un homme.. Tu vois.. cela reflète encore que c'est 1°) le passé et ce qu'on est à l'intérieur 2°) la dépendance et ce qu'on en fait..Pour le reste, si je pense que certaines personnes ont une relation modérées au porno.. qui distinguent la "vraie" vie ...de celle du virtuel ou autre. La vraie vie ou tu n'as pas besoin d'être monté comme un  ane, ou tu as une relation réelle et un échange avec une personne... Tout comme pour moi je peux savourer un bon verre de vin ou de champagne sans tomber dans le bar..Pour le reste, je suis d'accord.. les images que cela véhiculent.. les personnes qui travaillent là-dedans et encore que... beaucoup pourraient faire autre chose je pense et ont choisi ce "travail".. parce qu'égocentrique ou interdits. va-t-en savoir.. lié à leur propre passé et ego.. encore !
Tu vois Lia, je pense maintenant que si je me laissais fut un temps le bénéfice du doute pour ce qui était de la pornographie, à me dire que peut-être des gens pouvaient prendre du plaisirà en consommer sans que ce soit dans le cadre d'une relation malsaine à la sexualité, et à l'Autre en général, c'était avant tout par complaisance. Il était plus facile de se dire que, quelque part ce n'était pas si mauvais que ça, que c'était une erreur de parcours, parce que cela impliquait que dans une autre vie, j'aurais pu y retourner ; seulement l'idée qu'un addict l'est toute sa vie m'arrêtait bien avant d'entreprendre réellement d'y retourner un jour. Pour moi c'était foutu, mais ce n'était pas la peine de prévenir les autres, qui n'en étaient pas nécessairement au même point que moi là-dessus. Avec le recul je me dis que c'est justement ça le problème : le fait d'en faire quelque chose d'important. Tu dis que la pornographie ne te fait rien, que tu n'en vois pas l'intérêt ; et bien précisément c'est cela qui, à mon sens, est "normal". L'indifférence vis-à-vis du contenu, l'absence d'écho, parce que ça ne propose rien d'intéressant pour toi : tu fais la différence entre le sexe et l'amour, et évidemment ce n'est pas ce dernier que propose la pornographie, tout au plus fait-elle passer des sourire-caméras crispés pour du plaisir. De là l'idée que si on y trouve un intérêt, c'est qu'il y a "forcément" une recherche détournée, unélan vers l'abandon, et parfois de la perversion. Comment concevoir une relation "modérée" au porno ? En terme de quantité, de qualité ? De ce qui nous attire dans la pornographie ? Rapport au célibat ? Pourtant, franchement, la pornographie ne m'a jamais rien apporté de concret, seulement une vague compensation passagère de problèmes ancrés en moi depuis un bail, en les aggravant évidemment. Et aujourd'hui je vois à quel point elle ne me sert à rien ... du tout ! C'est un éventail de représentations qui ne me parle plus, qui a perdu son semblant de sens, voilà tout. Cela ne veut pas dire que je suis à l'abri d'une rechute, mais le fait est qu'elle a perdu beaucoup de sonattrait, par le simple fait d'arrêter d'en consommer, et de poursuivre des réflexions sur ce que je suis, et pourquoi j'en étais arrivé là.Si l'on conçoit que le consommateur est nécessairement mis an danger par le produit auquel il s'expose, et qu'il s'y expose justement parce qu'il se cherche ( puberté ? ), ou cherche à s'oublier, et si l'on tient compte les ravages sur les actrices et acteurs ( qu'il le veuillent ou non ), des ravages sur les représentations collectives de la sexualité, de la femme, des races ( parler de race n'est pas nécessairement du racisme, établit une hiérarchie parmi les races, oui ), etc... alors qu'est-ce-qui peut encore défendre la pornographie, à part l'argent que ça rapporte ? La liberté sexuelle ? Mais là on y est plus du tout, ça n'a rien à voir avec la liberté sexuelle, à peine avec le libertinage, et bien plus avec de la boucherie. 
oui.. je comprends.. ce n'est pas faux ! Et tu as tout à fait raison.. un dépendant ne pourra jamais être un "modéré" de la pornographie.. tout comme un alcoolique ne pourra jamais plus boire un petit jaune en terrasse... VI-GI-LAN-CE !!Cela étant dit, Morbach.. à mon avis ce n'est pas le combat contre la pornographie que tu dois entrevoir.. (d'abord parce que c'est négatif comme point de vue..).. tu dois voir le combat de Morbach... d'être toi.. heureux, plus ouvert aux autres.. un morbach qui a "digéré" son passé.. qui sait qu'il vaut quelque chose.. un petit gars qui se construit et arrête de se détuire..et qui mérite mieux que cette saloperie de vie par procuration...Tu vois c'est comme la masturbation.. ce n'est pas mal.. ça ne l'est pas pour moi par exemple.. parce que je ne fixe pas la-dessus.. ca reste un plaisir.. sans aliénation.. pas pour les dépendants.. ou du moins pas au début !Tout est question de "mesure" et de connaitre ses propres limites ! Tu connais les tiennes.. Morbach.. et chaque jour, quand je te lis.. je te lis "différent".. tu es sur la bonne route.. ne baisses pas ta garde.. ca ira ![img=../../../uploads/smil3dbd4d6422f04.gif" border="0]" width="15" height="15[/img]
C'est comme l'alcool, le tabac, le cannabis, etc.On pourrait interdire le porno aujourd'hui, dans mon cas, ça ne servirait à rien, je trouverai un moyen (illégal) de m'en procurer. Je crois même que ça me donnerait envie, juste par jeu, d'en trouver.Étant plus jeune, c'est vrai que si le porno avait été interdit, ça m'aurait un peu aidé... mais pas tant que ça. Ce truc existe et a toujours existé, ce truc circule et a toujours circulé. Si je n'étais pas tombé dessus, mes problèmes auraient trouvé un autre moyen de s'exprimer.Arrêtons de trop regarder à l'extérieur, de trop se dire « c'est de la faute des autres » ! C'est à nous de faire des efforts sur nous mêmes, dans un monde qui ne sera jamais parfait.
@ Lia ; c'est tout un jeu de nuance en fin de compte. Je n'ai rien contre la masturbation, tant que la mesure y est pourquoi pas, et je sais bien que cela peut être bénéfique ( mais plus pour moi ). Certes il est mauvais de ne pas prendre suffisamment en compte mon rétablissement, mais cela ne résoud en rien les problèmes posés par le témoignage ; quand on est dans cette position, est-il valable ( pour moi ) de " se contenter " de se rétablir soi sans contribuer à apporter son grain de sel ? Sans des gens pour les soutenir, bien des causes honorables seraient oubliées. @ kkorkas ; je suis d'accord, mais il ne s'agit pas du dépendant déjà averré etc... ou de l'enfant souffrant qui cherchera de toute façon un moyen de fuir une douleur morale excessive. Ce que je veux dire, c'est qu'il y a un mouvement de plus en plus marqué de banalisation de l'image sexuelle, et que le développement florissant de l'industrie pornographique  y est pour beaucoup. L'alcool, la drogue etc... sont déjà marginalisés ; dans l'opinion commune il s'agit de quelque chose de mauvais, dégradant etc... L'évolution récente du statut du fumeur aussi est significative ; de type "cool" il passe à "victime du tabagisme", voire à "emmerdeur notoire qui se bousille la santé et celle des autres" à cause des effets du tabagisme passif. Si ces produits se marginalisent, ce n'est en revanche pas du tout le cas de la pornographie, bien au contraire. J'ai de plus en plus l'impression qu' "on"  ( je ne sais pas qui voir sous ce "on" ) cherche à élever les nouvelles générations dans une société où les émotions n'ont pas lieu d'être, mais où le sexe est mis en avant comme la valeur première de l'Homme. L'accès au porno est de plus en plus facilité, les médias de masse se "libéralisent" soit-disant là dessus et laissent pulluler les discours et représentations orientées selon ce biais, ce qui a, évidemment, une influence sur l'éducation des jeunes. Je pense qu'on en est qu'au début concernant ce genre de dérives ; quand je vois d'après les statistiques proposées par Jim ( page précédente ), que l'âge moyen aux USA de première consommation de porno est de 11 ans, je commence à flipper. Cela me fait, une fois encore, penser au genre d'éducation sexuelle décrite dans "Le Meilleur des Mondes" ( Huxley ) où l'on invite des enfants à se tripoter entre eux dès l'âge de 6 ans ( si mes souvenirs sont bons ), dans le cadre de "jeux sexuels" ; et que dire des "relations entre adultes consentants" décrites dans ce même ouvrage _ sinon qu'il s'agit de la pratique de l'échangisme sans complexe.  Il ne s'agit pas tant de lois que d'éthique, et de ce qui risque de découler de ce foisonnement de représentations pour les générations à venir ; pas tant de dépendance chez l'individu, que de l'aliénation des masses. Nous nous sommes rendu compte que nous avions un problème avec la pornographie, mais combien sont en mesure de l'admettre ? Est ce que ce genre de constat sera encore possible dans 20-30 ans ? Ou cela aura-t-il tellement imbibé le tissu social que la banalisation du mal l'aura emporté ? Au risque de passer pour un "hystérique" , voilà ce qui me fait peur, précisément. 
Je pense aussi que c'est Ie rapport que I'on en a , I'idée que I'on s'est forgée qui fait qu'on peut en voir vu sans etre tombé dedans, effectivement , perso çà ne me "chante" pas non pIus, çà ne me touche pas, ne me décIenche rien,Je reviens par contre sur Ies stats qui ont été faites, et, franchement, je n'ai jamais été piègée par un Iien ou des photos, reIatifs au porno, par contre ce que j'ai remarqué, c'est que moi, à droite de ma page maiI, j'ai des pubs "normaIes" vendant de I'informatique, ou des voyages ou etc,,,, mais Iui , ce sont des pages de pub, pour cIiquer sur des photos expIicites,,,,,, de nanas!Donc, Ies Iiens par ex sur Ies pages de boites maiIs, sont juste en rapport avec Ies recherches,,,,,,,faites par Ies internautes, et iIs sont bien assez maIins pour te fIanquer ce que tu as I'air de consommer, QUant à ce que tu en penses à ce jour, j'ai un peu réfIéchi, et c'est un peu Ie rapport que j'avais avec Ia cigarette quand j'avais arreté, à un moment je me demande comment j'ai pu faire pour fumer! perte de temps, çà pue, çà te rend dépendant , pret à faire des Km pour trouver un tabac ouvert quand t'es en panne, et c'est trouver aussi que Ies fumeurs sont vraiment en train de se tuer pour une dépendance teIiement pathétique,,,,, c'est ce que je pensais, je me mettais au dessus du panier et je Ies pIaignais,C'est un peu ce que tu as comme "idéoIogie" aujourd'hui concernant Ie porno,Bien sur que tu as raison, bien sur, mais je pense que Iorsque tu ne seras pIus du tout maIgré tout confronté à Iui, parceque très Ioin derrière, tu n'auras pIus d'idée, sauf dans peut-etre des conversations autour de çà, mais ce qu'en font "Ies autres" ou pas ne sera pas un probIème, comme Iorsque aussi je suis tombée dans I'excès du dégout de tout çà, parceque c'était en rapport avec mon dépendant, mais tout Ie monde et heureusement ne se Iaisse pas happer,On ne pourra rien faire à ce jour pour enrayer cette machine, tant qu'iI y aura ces "tricheurs exécutants" 'ceux que I'on appeIIe Ies acteurs du porno, un acteur çà joue, n'est-ce pas?pas eux,,,,)qui sont prets à tout pour se faire quand meme du fric, et ceux qui financent qui s'en font encore PIus, çà "tournera" sans compter Ies "photos sauvages" Ies bIogs privés, oui on voit bien que Y A PIus de fin, Ia seuIe chose que I'on peut espérer est que Ies aduItes responsabIes en parIent en connaissance de cause à Ieurs enfants, surtout Ies garçons,,,, concernant Ie porno, car iI y aura toujours I'age des découvertes, des prises de risques, et çà conerne un tas de choses, Ies éIéments decIencheurs d'addictions futures sont partout,Et je pense que ceux qui sont en sevrage, qui n'ont pas encore d'enfants,ou des petits seront peut-etre ceux qui seront Ies meiIieurs dans cette bonne communication,,,,,,,
... merci free, donc si je dis ça c'est avant tout par manque de maturité ? Je vais donc patienter, attendre de me rendre compte ( à l'instar de tous ceux qui ont "pris du recul" ) que tout ceci n'est pas si grave, que je peux marcher sans regarder, sur les côtés, les autres se faire descendre en silence. C'est vrai, forcément, si je suis grognon, c'est que je me met "au-dessus du panier", et puis c'est vrai qu'à 19 ans je n'ai aucune expérience, donc ce que j'exprime ne vaut pas un clou comparé à ce que des gens plus avancés peuvent balancer. Hum. Des fois les arguments ad hominem ça me gonfle, queq'chose de bien. Cela fait un certain temps que je ne surf plus sur des sites orientés cul, et je nettoie régulièrement mon navigateur, alors faudrait m'expliquer pourquoi des pubs pour "rencontres en ligne", "scanner déshabillant" ( pour portable ), "créer virtuellement sa femme parfaite", "émoticones sexy" etc... s'ouvrent encore toutes seules, si il s'agit "seulement" de cibler la clientèle "intéressée". J'aimerais qu'on m'explique aussi pourquoi on se permet d'afficher sur les façades des kiosques les couvertures de magazines de cul ( et les gosses qui passent devant alors ?? ), pourquoi au moins la moitié des panneaux publicitaires que je vois sont connotées sexuellement ( lingerie, vêtements divers, parfums, films, Coca Cola!, etc... ), pourquoi on accepte d'afficher autant d'annonces pour téléphone rose & co dans des simples programmes TV ( enfin du moins l'an dernier ça se faisait encore, j'imagine que c'est toujours le cas ), etc...

Je me doute bien que le fait d'être un dépendant en sevrage peut rendre un peu plus sensible, mais là faut pas se foutre de ma gueule, y'a vraiment un problème avec le cul. Je ne sais pas depuis combien de temps ça dure, étant donné que ça fait peu de temps que je me pose des questions là-dessus, mais n'empêche que dès que je sors de chez moi ou allume n'importe quel écran, je me retrouve agressé par des représentations sexualisés et méprisantes de la femme, qui voudraient m'inciter à gober toute crue l'idée que toutes les femmes sont des salopes ("elles le disent pas mais en fait, si !"), et que sans le sexe, il n'est point de bonheur possible.

Je  n'ai jamais pensé à aucun moment que tu manques de maturité!ce n'est pas ceIa , c'est juste une question de recuI que tu auras encore pIus dans Ie temps, depuis ton sevrage, je comprends et je suis pareiIIe ,j'aimerai combattre tout ceIa aussi pour Ies autres, mais on sait tous Ia machine énorme et Ie tapage qu'iI y a autour de tout ce qui découIe du porno, ou tout ce qui précède, peu importe, tout ce qui touche Ie sexe,Je ne remet absoIument pas en cause te façon de voir Ies choses, ho que non, mais comment pourrait-on faire, à part de faire de Ia communication?Peut on tout dépIacarder?peut on supprimer compIètement Ies accès sensibIes via internet?On ne peut pas, et je pense que Ia base est de faire SANS, et d'expIiquer pourquoi,J'ai Ies memes refIexions que toi, bien sur çà me gavait quand j'ouvrais comme tu dis un simpIe magazinne tv, ou Ies affiches, qui sont à Ia vue de tous et bien sur des enfants, et oui, c'est hyper grave,Je suis désoIée si je me suis maI exprimée,Bonne soirée Morbach
Bonjour Morbach, Je me permets d'apporter mon grain de sel au "débat"C'est surtout la facilité apporté par le net qui a mis du fuel sur les étincelles ou les flammes déjà amorcées des addictions. L'accès à la pornographie via le net, il me semble peu possible de le supprimer.

La solution la meilleure me semble la prévention. Ou le traitement immédiat d'une mauvaise habitude en passe de se transformer en addiction.  

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