Dépendance sexuelle

Version complète : Le Sevrage de Morbach
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Incognito : je ne suis pas certain que tu aies compris les enjeux du combat que nous tentons de mener, les gens qui postent ici ( et notamment les plus "jeunes" ) ne sont pas des coincés du cul en train de gâcher leurs plus belles années lorsqu'ils se refusent à suivre leurs pulsions. Et ça vaut aussi pour moi. Es-tu sûr de bien faire la différence entre sortir chercher un coup d'un soir ( ou de deux, attitude que je ne cautionne pas non plus m'enfin bon là n'est pas le sujet ), et partir à la recherche d'un enième substitut maternel en la première fille qui aura l'air aimante ? 
Citation : incognito a écrit: Tu peux aussi ne rien tenter et laisser faire, mais dans ton cas je ne suis pas sûr que ça va  t'aider à attendre et rêver de cette fille. Je n'ai pas eu le temps de lire tout tes échanges, juste les derniers, mais tu semble bien accrocher à une fille que tu as aimé ou aime encore. Mais cette fille ne t'aime pas, au lieu de faire une fixette sur celle pourquoi ne pas en trouver une autre, même si ca n'est que pour les relations charnelles, tu vas pas en mourir, non ?
D'accord donc ce que tu proposes à un tox du cul pour se soigner de ses visions parasitantes ( pas que nocturnes d'ailleurs ), c'est d'aller se chercher une fille " juste pour la baise " ? Ce ne serait pas par le plus grand des hasard soigner le mal avec ce qui l'entretient ? C'est exactement le propre du porno que de permettre de se dire qu'on va se rassurer avec une petite branlette, et qu'après ça sera fini ; alors que non, bien au contraire ; c'est de la mécanique de base ( de baise ? ), tu ne feras que renforcer le lien qui t'unit à ta dépendance en reproduisant inlassablement les mêmes schémas de consommation de l'Autre, et y'a pas d'issue si on prend cette voie là ( à part peut-être la pendaison ? ).
Citation : incognito a écrit:Il faut que tu mesures le pour et le contre, si attendre et tenter de te reconstruire risque de plus tard de te faire du tord, alors autant agir maintenant. Quand on est au fond du trou, quoi qu'il arrive tu peux pas aller plus loin que le trou dans lequel tu es. Je te dis çà, parce qu'a titre personnel, comme je te l'ai dit, si j'avais a refaire ma vie à l'age que tu as, je me serais pas posé des questions comme je me suis posé à vouloir faire les choses comme il faut (rechercher une relation basé sur l'amour et juste sur l'amour).

Oui, bien sûr, c'est tellement mieux de patauger dans la vase de la dépendance, c'est vrai, il y fait chaud, moite, et après tout qu'est ce qu'il peut arriver de pire quand on est pas loin d'y laisser sa peau n'est-ce pas ? Pourquoi m'engager dans une reconstruction qui me détruirait ? Ah mais attends, c'est totalement contradictoire ça ?! Nan c'est sûr mieux vaut attendre d'avoir 50 ballets sinon plus pour décoincer, on aura perdu que 30 ans de plus à se massacrer le haricot, l'esprit, et tout le reste finalement... 30 ans qu'est ce que ça représente ?

Tellement énorme qu'on dirait des facéties typiquement trollesques... Je voudrais bien rester calme, mais là ça risque d'être difficile, alors autant m'arrêter là pour le moment. Je crois que le message est clair de toute façon. 

"Marrant", Momo, encore une coïncidence... Moi aussi j'ai passé des années à voir dans l'accumulation de poussière le témoignage de l'histoire de ma vie, et avoir du mal à la faire disparaître parce que cela me donnait l'impression d'être presque révisionniste... Prétexte pour flemme? Sans doute autre chose. J'étais moi aussi allergique aux acariens, et l'allergo qui m'a désensibilisé m'avait dit que c'était peut-être ces années de vie parmi les moutons (de poussière...) qui m'avaient aidé à me sensibiliser...Autrement, euh... Tu cherches par qui tu aurais bien pu être abandonné d'une façon ou d'une autre... Je ne voudrais pas paraître enfoncer des portes ouvertes, mais... Tu as déjà réfléchi, du côté de ton père? Celui qui si je ne m'abuse tu es bien content qu'il soit si loin...?Je ne dis pas que tu mens en en étant content, c'est à toi que cela appartient de le savoir, mais techniquement, tu es bien sans père non?Cela ne me paraît pas totalement anodin et facile à régler... (J'en sais quelque chose et j'en vois encore tous les jours les conséquences!)Maintenant, pour ce qui est des interventions d'Incognito sur ton topic, les mots mêmes qu'il emploie sont assez révélateurs du magma dans lequel il patauge... "t'abandonner" auprès d'une fille... On est un peu loin de "recoller à la réalité, là. Et loin de sortir de la dépendance affective si on considère encore la relation affective, et l'Autre, comme un médicament... "L'élue de ton cœur", cela ne se cherche pas, cela se trouve, en cela que cela tombe tout seul, ça c'est naturel. D'où le détournement des sites de rencontre, voués à partir en vrille dans la grande majorité des cas... Le "coup de pouce au hasard" ou au destin, c'est bien beau, mais c'est encore et toujours sur fond de dep aff, de dep sex, de marketing...Ce n'est pas qu'une question de patience. Certes le temps jour un rôle dans la "reconstruction" de soi, mais aussi une fois que tu es "réparé", une fois que tu es suffisamment à même de vivre avec le reste du monde au lieu de leur chier dessus copieusement à tous et à toutes, ce n'est plus une question de temps et de patience et de travail mais ça se fait un peu tout seul avec l'entropie de l'univers...Dans les préceptes DASA, il est énoncé qu'il est bon de rester seul pour travailler sur ses travers et se rétablir, c'est sans doute à ce titre-là.L'amour ne fait pas des miracles, et il peut faire même d'énormes dégâts SURTOUT S'IL EST FUSIONNEL!! C'est une des choses importantes que ma psy m'a directement aidé à comprendre, et je l'avais engueulée de ne pas me l'avoir dit plus tôt!Incognito, tu devrais, avant d'"aider" tous azimuts n'importe qui n'importe comment, prendre le temps que tu n'as pas pris, pour lire les échanges. Ceux des topics où tu crois avoir quelque chose à ajouter, et d'autres encore...Je ne m'étendrai pas ici sur le pourquoi pas "juste pour des relations charnelles", on en a déjà parlé sur moult topics je pense. Une femme n'est pas un kleenex et ce n'est pas ce genre-là de relations que nous avons à chercher, surtout quand nous avons une certaine clairvoyance, celle d'avoir décelé notre propre dépendance sexuelle...Incognito, si c'est ce genre de "conseil d'homme sage et mûri" que tu donnes à des ados sur des sites de chat sexuels et autres, je te suggère carrément de résilier ton internet!! J'ironise, je ne t'attaque pas directement, mais pour moi en tous cas, tu es plus qu'à côté de la plaque et comme je te l'ai dit sur un commentaire de ton blog, tu risques carrément de faire bien plus de mal que de bien et de répandre ta maladie affective au lieu de faire ce que tu crois, à savoir faire de la prévention...En revanche, c'est bien que tu commences à exposer ton histoire, fais-le donc sur ton topic pour ne pas mélanger trop les fils de discussion?
Je ne voudrais pas prendre de la place sur le sujet de Morbach, je trouve dommage tout ces apprioris sur moi suite à mon premier message sur le blogue. J'ai pris la peine de dire tout haut ce que personne ne parle et on me cloisonne la dedans.Je n'ai jamais dit de trouver une fille pour se remplir, j'ai juste dit que dans une vie normale, il y a des relations d'amour et des relations charnelles. C'est un équilibre entre les deux. Faire trop de l'un ou trop de l'autre est tout aussi nuisible, la preuve ici.Je vous laisse entre vous. 
Mondom : Ce n'est pas tellement enfoncer les portes ouvertes en fin de compte, j'ai tendance à croire que j'ai "réglé" ce problème depuis longtemps, et c'est peut-être bien une erreur. Seulement je pensais que l'origine de ce problème ci était plutôt à chercher du côté maternel, ne me chercherais-je pas des figures paternelles de remplacement s'il s'agissait d'un dérivé de ce côté-là ? Maintenant que je l'écris c'est sûr que ça paraît réducteur... D'autant plus que si j'avais vraiment fait le tour de ce côté là, je ne ferais pas autant de cauchemars à thème paternels ou dérivés ; systématiquement il m'apparait soit extrêmement menaçant ( c'est-à-dire légèrement plus que d'ordinaire ), soit comme le père idéal, il est protecteur, là pour me soutenir, m'écoute, partage des moments forts avec moi, etc... et le réveil est d'autant plus décevant. Décidément c'est une sacrée période d'agitations nocturnes ; je suis allé jouer au ballon avec Diane dans la cour de mon ancienne école primaire, on s'amusait bien. Semble-t-il on habitait dans la même barre d'immeubles ( là où je créchais jusqu'à mes dix ans ), on était dans la même classe, mais dans des corps d'adultes ( si je puis dire ), on était les deux "copains" les plus heureux du monde. C'est bien l'ennui quand je vais dormir suffisamment tôt ; je me souviens presque à chaque fois de ce dont je rêve, d'autant que je me réveille entre chaque cycle, ce qui aide la mémorisation. Là je ne vois pas trop qu'en penser. Interpréter un truc aussi "large" ( lourd ? ) de sens, j'ai du mal ; je ne jouais que très rarement au ballon, et ce n'était jamais en groupe, mais tout le temps en duo avec quelqu'un d'autre. Jamais de filles. Le "mieux" ( dans le sens l' " amélioration " ) là-dedans c'est que ça ne me pousse plus à bout, ce n'est qu'un rêve après tout. Bien sûr ça peut aider pour ce qui tient de l'investigation, mais je n'ai plus envie de me culpabiliser autant sur ce genre de délires ; ils vont, ils viennent, voilà tout. Il y a trois jours j'ai eu le malheur de me permettre de regarder une vidéo humoristique qui était ( je le savais au préalable ) franchement tendancieuse ( parodie de film porno, c'est dire... ) ; eh bien c'est clair ; les mécanismes de base sont loin d'êtres totalement rouillés, mais alors très loin. Chaque soir depuis je sens passer des envies assez pressantes, dans le genre " aller plus loin ", et surtout, " revoir cette vidéo là ", avec toujours cette excitation bestiale typique de l'instant qui précède le visionnage. Autant dire tout de suite que c'était une grosse connerie de le faire, et que je n'ai aucune envie de recommencer ; un peu de décence, crénom de dieu ! 
[ En réponse à incognito, au cas où il repasserait par là ( post 134 ) ; incognito, je serais d'accord pour dire que les valeurs, ça se discute, et que nous ne partageons pas tous les mêmes ( encore heureux sinon bonjour la diversité ). Cependant la vision que tu as des choses n'est pas compatible avec l'état d'esprit dans lequel il est nécessaire de se placer pour se sortir de la merde de la compulsion. Je crois que la surconsommation de pornographie & de ses dérivés nous pousse à croire beaucoup de choses concernant les femmes, la relation amoureuse, les relations tout court, et qu'un grand "nettoyage" s'impose quand on veut sortir de la dépendance. Je crois aussi que surconsommation ou pas, la pornographie a tout de même une certaine influence sur le consommateur, et qu'elle pousse à croire que la relation sexuelle peut être séparée sans souci des sentiments, ce qui, à mon sens, est une belle connerie. Si je dis "belle" c'est pour souligner le fait qu'elle est agréable à gober ; toujours plus facile de ne pas s'impliquer, et d'aller réclamer à un corps ( ou à l'image d'un corps, quelle différence ? les dommages collatéraux peut-être ) une dose de plaisir suffisamment importante pour qu'on ait l'impression d'être heureux, ne serait-ce que pour quelques instants. La vie "normale" ça n'existe pas, ça ne se définit pas lorsqu'on veut garder une certaine "honnêteté intellectuelle". La vie "normale" n'est "normale" que pour celui qui la choisit, pas pour les autres, et en cela on ne peut plus parler de "norme" ; c'est d'ailleurs peu surprenant de parler de vie "normale" étant donné le contexte, il est plus aisé d'aller chercher des repères chez les autres plutôt que de se poser des questions éthiques : " les autres le font ? c'est donc "normal", par conséquent moi aussi je le fais ". Pour ma part je ne vois pas ( ou peu ) de différence, du point de vue du toxico, entre se vider les couilles sur un porno et se vider les couilles dans quelqu'un ; ce que tu appelles avoir des relations ( seulement ) "charnelles". Je pense également qu'il est mal aisé de préconiser ce genre de "traitement" sur un forum d'entraide pour dépendants sexuels, qui tentent justement d'échapper à la logique du "cul pour le cul", mais ça je l'ai déjà dit. Comme le dit John Warsen ( à peu près ), le jour où nous avons réalisé notre dépendance, nous avons perdu la liberté de mater du porno, de compulser, et de prendre les gens pour des objets de consommation ( ça va de pair ), pour gagner celle de s'en sortir, et d'arrêter de perdre notre temps et notre énergie à nous consumer. Après, c'est un choix que tu as à faire, mais pour ça je ne peux rien. Bonne chance donc. ]
Morbach : Je vais réflechir à cette phrase que j'ai dit sur les relations charnelles. C'est certain que ca n'est peut être pas la meilleure solution possible pour un dépendant de se confronter à cette solution, pour ne pas rester bloquer dedans et tenter à tout prix d'arriver à ce but et d'y passer la moitié de sa vie. Je m'excuse si j'ai blessé des membres qui seraient venu chercher de l'aide et lire cela ;-(Je sais que la vie "normale" n'a pas lieu d'être quand on est dépendant, mais j'aime à penser que j'ai ou j'aurais une vie normale. De penser positif que négativement en me disant : tu es dépendant, tu seras de même toute ta vie, etc..Je préfère imaginer que je pourrais moi aussi avoir des relations normales (donc comme la plupart du monde, qui n'est pas dépendant), même si c'est un leurre. J'ai peut être trop rêver à cela et imaginer que la solution que monsieur tout le monde prendrait était la meilleure pour toi.Toutefois, ca me fait quand même mal au coeur de voir que tu t'emprisonnes dans des rêves, mais je voudrais pas rentrer la dedans pour éviter de dire de nouvelles conneriesBonne chance pour la suite 
Incognito : ce n'est pas penser "négativement", c'est juste être réaliste. Le mal est fait, pour toi comme pour moi, comme pour tous les autres, et si il est possible de s'en sortir, il ne faudra néanmoins plus oublier la sensibilité que l'on a de ce côté là. Je t'encouragerais à ouvrir les yeux, pas à désespérer. C'est déjà bien de prendre conscience que s'imaginer pouvoir avoir des relations "normales" est un leurre. Peut-être que si tu t'en sors, tu auras la chance d'avoir des relations saines avec les gens que tu côtoies, et crois-moi, ça plus la confiance retrouvée en soi-même, ça vaut toutes les peines du monde. Reste à mettre en application ; plus facile à dire qu'à faire c'est sûr. Je t'encouragerais à poster sur ton topic, le plus régulièrement possible, et tenter d'y analyser tes ressentis. Surtout ne reste pas seul, c'est comme ça que tu te feras avoir le plus facilement. Les autres ne sont pas là pour te mâcher le travail évidemment, mais parfois peuvent te donner un bon coup de pied au cul salvateur. Surtout concentre-toi en tout premier lieu sur le sevrage, c'est la première grande difficulté ; un jour à la fois ( comme te le conseille à juste titre bruno59 d'ailleurs ). Dis-toi bien que la route est longue et difficile, mais que tu ne pourras qu'aller mieux si tu la suis.Bien amicalement, Morbach 
Je suis allé voir ma psy aujourd'hui ; comme d'habitude je n'en retire pas grand chose, mais faut dire que je bloque pas mal ces temps-ci. Elle m'a suggéré que si je passais mon temps à rêver des gens auxquels je parle, que je m'emballais aussi vite au moindre début de relation, c'est peut-être que j'étais, contrairement à ce que je me tue à répéter ( drôle d'expression d'ailleurs ; un sens caché ? ), désespérément à la recherche d'un contact avec l'Autre ( au sens large ). C'est vrai que j'ai tendance à m'enfoncer dans une logique à deux balles, du type " c'est-tellement-mieux-de-se-priver-du-monde ", qu'à force ça finit par se justifier, tant je déborde facilement, par manque de reconnaissance. Seulement là aussi il y a sûrement des subtilités qui m'échappent : Pourquoi certains arrivent à s'en sortir sans trop de contact avec cet "Autre" ( toujours au sens large ), comment fait l'ermite ? le solitaire invétéré qui pourtant se suffit à lui-même ? Peut-il a-t-il aussi appris à se suffire à lui-même, ce qui est donc loin d'être mon cas. Mon idée "théorique" de la chose, c'est que l'on peut effectuer un travail sur soi de façon à ne plus être dans la quête maladive de l' "Autre aimant", ce qui fait que, même sans renier le côté plaisant, et aussi pratique des relations humaines, on peut très bien s'en passer. Ainsi le rejet total de l'Autre ( en apparence ), et sa recherche sans fin ( les racines du mal ? ), ne feraient qu'un, et une solution possible serait encore et toujours ce même " ré-apprentissage des relations humaines " qui me fait tant chier rien qu'à en parler, et surtout qui me fait peur. Il s'agirait alors d'apprendre ce qu'est le partage ; à la fois apprendre à donner ( sans forcément attendre de retour ), et apprendre à recevoir sans systématiquement en vouloir plus, ni aller resquiller sans autorisation des restes d'affects périmés à la moindre occasion.

La question que je me pose en parallèle, serait de savoir par quel biais les autres ( dans le sens " tous les gens qui n'ont pas ce genre d'emmerdes" ) font pour gérer leur relation au monde ? Peut-être que c'est "naturel", qu'ils ne la gèrent pas ? Peut-être que le système est relativement fonctionnel dès le départ, et que lorsqu'on a des emmerdes à répétition, y compris de ce côté là, il finit par partir en miettes ? En tout cas au vu de ma situation ( et pas que la mienne ), il y a du boulot pour relancer le bazar...

Peut être qu'en cherchant une fille à aimer, tu laissera de coté tes pulsions qui sait. L'amour fait des miracles des fois surtout si c'est fusionnelle.l'amour fusionnel est une lame a 2 tranchant.. l'amour fusionnel découle selon moi de la dependance affective.. c'est aussi un amour étouffant.. ce que j'ai vue perso de l'amour fusionnel, des amours étouffant, isolant, et quand ca finissait par eclater, ca faisait de serieux degats..t'en qu'a moi, j'ai besoin d'etre un pour faire 2, je n'ai aucun besoin de fusionner, mais plutot de faire équipe.. [img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4d6422f04.gif"[/img]quand j'aime, c'est en premier lieu mon meilleur ami, mon complice, mon amour et mon amant, on fait une equipe.. et plus le temps passe, plus la connaissance de l'autre grandit, plus les 2 travail a cette equipe, plus cette equipe est forte et complice... le prince charmant, ca n'existe pas, il n'y aura que celui que j'ai choisit d'aimer avec ses defauts et ses qualites.. rare sont les couple qui dure aujourdhui..si vous connaissez des couple heureux autour de vous, des vrai complices, observez les comme il faut, on a énormement a apprendre d'eux pcque ses exemple sont de plus en plus rare [img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4dbc14f3f.gif"[/img]malheureusement, la société nous donne une image du couple et de l,amour completement faussé [img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil43aa21ec60b7e.gif"[/img]
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