Dépendance sexuelle

Version complète : Le Sevrage de Morbach
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Dans mes mots sans demi-mesure, je pensais "fusionnelle" en pensant à deux êtres qui s'aiment mutuellement dans les deux sens avec autant de passion, car on peut souvent être deux et rester en couple pour d'autres obligation. Je souhaite à Morbach de trouver la femme de sa vie, voilà tout Wink
Salut Morbach, salut tout le monde!Laches pas l'affaire mec, mettre la bête en cage est une chose mais la tuer en est une autre...Je crois que c'est pareil dans d'autres dépendances, tu sera toujours ex-drogué ce sera juste un peu moins dur a porter.Je dis ca parce que j'ai décroché du cannabis et du speed (amphèt) et je crois que ca m'aidera a décrocher du porno et de la clope par la suite, mais une chose a la fois Smile Puis là il faut bien se dire que c'est une drogue pré-programmée en chacun de nous elle a donc beaucoup plus de racines sans qu'on ait eut besoin de l'aider.J'aimerais bien discuter avec toi a l'occasion, je me reconnais assez bien en toi dans le genre excessif, un peu marginal et qui sait écrire des phrases complètes sans fautes d'orthographe! Si quelqu'un d'autre veut faire le rapprochement drogues illicites/licites je suis là Wink Edit @Morbach: et j'oubliais effectivement qqch, j'ai toujours eut ce que tu décris dans tes premiers posts avec les filles a savoir une tendance obsessionnelle et la paralysie de ne faire une erreur devant La fille... Mais on sait toi et moi que c'est des idées qu'on se fait et qu'on Est clairement a la hauteur!Puis la musique, ca touche les gens, ca devrait plaire aux filles non? 
Question de vocabulaire si on veut... mais n'empêche que "fusionnelle" c'est assez clair ; dans le processus de "fusion" les individualités disparaissent pour laisser place à une soupe homogène. Une relation fusionnelle, un amour fusionnel, c'est un amour qui rend les protagonistes dépendants l'un de l'autre, au point qu'ils en perdent tout repère vis-à-vis d'eux-mêmes, toute identité, ils ne sont plus que le complément de l'autre. Vision qui, pour ma part, me fait surtout penser, à l'instar de Nuage semble-t-il, aux conséquences désastreuses qui découleraient de leur séparation éventuelle. Alors pour parer à cette souffrance hypothétique, ils en viennent à s'enchaîner l'un à l'autre, à s'enfermer dans le couple ; a priori ce n'est pas très réjouissant, ils passent leur temps à compenser leur manque d'identité et d'amour propre avec l'autre, et quel que soit le comportement de l'un ou de l'autre, sont prêts à tout supporter de peur que l'aventure s'arrête ... je vais peut-être sortir une énormité, mais cela facilite les abus de l'un sur l'autre, car, il ne faut pas se leurrer, dans un couple "fusionnel" il y a toujours un dominant et un dominé. L'énormité, après, on peut en discuter bien sûr, serait que, dans un sens, c'est un amour fusionnel qui unit le mari violent et la femme battue, l'alcoolique et sa femme qui supporte, dans le sens où malgré tout le mal qu'il lui fait ( volontairement ou pas ), elle est dépendante du couple, et se sent donc contrainte de rester, malgré tout ... ( j'ai aussi l'exemple de mes parents sous le coude )Tu vois incognito, le prince charmant c'est comme la "femme de ta vie", ça n'existe pas. Aimer ne signifie à mon sens, ni être dépendant, ni idéaliser la relation, ni idolâtrer la personne. Et je serais d'accord avec Nuage pour dire que la compagne ( ou le compagnon ), est aussi ( avant tout ? ) ta meilleure amie, et n'a pas besoin d'être ce qu'il ne peut pas être, à savoir un être parfait, que tu étais "destiné" à rencontrer au nom de je ne sais quelle vision bancale de l'existence. Les Grecs Anciens certes croyaient dans l'idée d'une "âme soeur" ( chaque homme et chaque femme était à la base le complémentaire d'un autre homme ou d'une autre femme, dans le monde, en super-bref ), mais c'est avant tout une vision "poétique" de la chose, rien de bien réaliste là-dedans. Ce que je vois, c'est que nous sommes un énorme paquet d'individualités, qui évoluent plus ou moins dans la jungle sociale, et tentent de satisfaire certains de leurs besoins, tout en allant chercher du sens pour que la vie soit plus supportable, et peut-être aussi pour se déresponsabiliser. Rencontrer une personne qui te plait implique que tu fasses le choix de t'engager dans cette relation, mais ça ne veut pas dire que tu ne te trompes pas totalement sur la personne que tu choisis, et il est inutile de se leurrer en croyant qu'un beau jour peut-être tu tomberas sur ton complémentaire parfait, qui n'existe probablement pas ; ah si ! dans ton miroir... comme quoi c'est bien nombriliste tout ça .Ce qui est intéressant dans l'Autre ce sont justement ses "défauts" ( dans une certaine mesure évidemment ), c'est-à-dire ce qu'il y a d'incompatible en Lui avec ton fonctionnement, et ce que vous pouvez échanger en conséquence au quotidien. Le couple c'est une troisième personne, en plus des individualités de chacun, et non pas la résultante de la disparition de chacun au sein d'une entité qui les y emprisonne.      
Salut Koaniz ! Tu sais, je crois que ( comme l'avait dit un certain John Warsen ), que c'est toujours la même dépendance que l'on soigne ( je déforme un peu le propos ), même si le produit/comportement change. C'est toujours le même vide que l'on tente de combler, ce qu'il faudrait, c'est comprendre l'origine de ce vide intérieur. Troisième sevrage donc ! Eh bien bravo, faut avoir du cran pour ça, j'imagine que c'est jamais exactement la même chose en plus, non ? Le "marginal style" c'est vraiment de la poudre aux yeux hein... ça vaut pas grand chose et ça sert surtout à se donner un genre quand on s'assume pas ( je parle pour moi bien sûr ) ; ce n'est pas que de la "saine misanthropie" si je puis dire, surtout un rejet plus ou moins utile, mais qui pèse lourd quand même. Pour ce qui est de la différence drogue licite / illicite, franchement, en dehors des termes légaux, je vois pas beaucoup de différence ; la nature des effets physiologiques certes, mais du point de vue du phénomène de mise en route et d'entretien de l'addiction, c'est strictement la même chose. A la limite il y aurait la vitesse à laquelle la mayonnaise prend, mais ça dépend trop des personnes, du contexte etc... pour pouvoir en tirer des généralités ; je serais d'accord cependant pour dire que la porno-dépendance prend plus facilement racine, du fait que l'aiguille est tout le temps plantée ; nous produisons nous-mêmes la substance, et puis il y a le désir... Si tu veux discuter, pas de problème, je t'ai d'ailleurs envoyé un mp à ce sujet ( si tu ne sais pas où se trouve la messagerie, regarde dans la barre bleue en haut de la page, à droite en dessous du " ORROZ.NET", mais je pense que t'y arriveras tout seul non ? Wink )

 

C'est fameusement bien dit, tu as vécu celà ou l'analyse découle de l'observation de tes parents? Pour le manque d'identité ou d'amour propre je ne suis pas tout a fait d'accord, il peut y avoir perte d'identité dans la relation a postériori si l'un forçait l'autre a changer dans des domaines qui le définissent. Pareil pour l'amour propre qui peut être dégradé par la relation et non manquant au départ.D'où pour moi le danger de ce type de relation.Et je tiens encore a te contre-dire: la femme de ta vie existe.Si tu es amené a la rencontrer et a apprendre a la connaitre tu pourrais te rendre compte qu'elle te correspond avec ses qualités et ses défauts et que c'est avec elle que tu voudrais passer le restant de tes jours, ce que selon moi définit le concept d'âme soeur en oubliant le côté onirique de la chose c'est la réciprocité de la correspondance. Et rien de surnaturel a celà au départ, mais quand quelque chose de formidable nous arrive on a toujours en tête que "le destin"l'a fait pour nous. EDIT: C'est toujours combler un vide c'est vrai, mais je n'ai pas mis le doigt sur l'origine du mal car il m'apparait multiple, j'aime faire la fête et parfois m'enivrer pour oublier, j'aime le sexe mais c'est parfois un manque d'amour, et c'est un sujet a creuser car j'ai une nature a provoquer des dépendances.Oui ce sera le troisième, je n'ai pas du beaucoup lutter jusqu'à présent car j'ai eut la chance d'avoir un déclic avec le canna et pour les amphètes j'ai bannis tous les endroits ou en prendre en soirée et ca marche. Je pense aux filtres enfants sur mon navigateur maintenant, car le temps de l'enlever tu peux t'arrêter sans rien avoir vu! Mais je crois bien que j'ai eut le même genre de déclic avec le porno, je me dégoute de faire ca  et je ne plus me faire ca sans baisser dans mon estime.   J'ai ris pour saine misanthropie, non c'est clair je ne m'accepte pas très bien non plus.Et je suis sur que tu sais que tu vaux ton pesant mais que tu ne l'acceptes pas parce que tu veux être parfait, maladie des excès perfectionnistes bonjour!Si tu ne connais pas les drogues et la dépendance engendrée, je peux te dire qu'en fait si.C'est effectivement le même genre de phases que le sexe sous certains aspects, je ne vais pas développer mais ca peut se rapprocher de masturbation compulsive et on y retrouve dans l'excitation autant que dans le plaisir. Et je me débrouilles mais merci Wink
En bonne partie par l'observation de mes parents, mais aussi d'autres couples particulièrement foireux ( la plupart en fait ) de ma famille ( au sens large ), après, y'a pas grand chose de fin, je rabâche des trucs qui me paraissent évidents, et je suis bien content de recevoir des critiques d'ailleurs. Je suis d'accord ; quand je disais a priori c'était par rapport à la réflexion ; ça prend du temps ce genre de choses, et pour la perte d'identité a posteriori, ce serait dans le cas des veuves et veufs éplorés qui s'écroulent de chagrin, et rejoignent peu de temps plus tard leur compagnon dans la tombe ? ( dans l'idée qu'ils sont incapables de se trouver une contenance sans l'autre, parce que c'est cet autre qui l'apportait auparavant ? )On se dit que le "destin" y est pour quelque chose certes, mais n'est ce pas là la simple expression d'un besoin de trouver du sens, là où il n'y a que des choix ? Une relation ça se développe, ça s'entretient, ça s'explore, on part à la rencontre de l'Autre, cela dépend donc essentiellement de l'engagement des deux personnes, pas seulement de leur "nature profonde" ( quoiqu'elle y soit aussi pour quelque chose ). Je ne pense pas qu'il y ait de complémentarité à la base ; c'est d'abord une rencontre, pas mal de hasard donc, une alchimie qui prend ou ne prend pas, selon les circonstances, et les efforts conjugués des tourtereaux pour faire vivre cette troisième personne qu'est le couple. A mon sens pas grand de chose de "spontané" ; le désir est spontané, l'amour se construit "naturellement" ( mais déjà ça se construit, ça n'est pas immédiat ), le couple est une création bien plus "artificielle" encore, qui demande à se confirmer au quotidien. En cela l'âme soeur n'existe pas, elle le devient, et seulement à condition d'y mettre du sien.
Morbach, cela fait un petit moment que j'ai envie de réagir sur quelque chose...Tu as à plusieurs reprises reçu des messages (de ma part entre autres) te disant que la relation à l'autre que tu sembles fuir en creusant un fossé entre "moi et les autres, ces inférieurs" (je caricature pour résumer) peut évoluer, et à chaque fois tu as répondu en mode "relation privilégiée où les parties ont à s'apporter quelque chose mutuellement ou unilatéralement"... Je ne sais pas trop quoi y voir, mais c'est un peu systématique qu'à un sujet de "relation banale et ordinaire de vie en société avec autrui" tu ne voies pas le "sans nécessairement qu'il y ait relation privilégiée, affective, magique ou exclusive, impliquant une complicité particulière"... J'avais à dessein proposé la relation avec la boulangère du coin à qui l'on dit bonjour-merci-au revoir, où il n'est pas question (remarque, je ne connais pas ta boulangère...) de séduction ou de s'apporter plus qu'une baguette contre quelques dizaines de centimes parce que c'est son boulot de te la vendre  et que tu as envie d'un bout de fromage...En fait, cette vie "parmi les autres" est en effet simplissime, tu n'as pas à "apprendre à jouer un rôle social", tu as tout au plus à apprendre à NE PLUS jouer un rôle autre que d'être qui tu es.Je me souviens, à 18 ans, un pote m'avait déclaré: "c'est étonnant, tu te donnes tant de mal pour avoir ce personnage glauque et rebelle,presque malsain, et pourtant tout le monde te fait des sourires et te regarde avec tendresse"... Il y a quelque chose de naturel, de simple, d'automatique, dans l'existence de la communauté du peuple, qu'il suffit peut-être de ne plus déformer à ses yeux pour voir telle qu'elle est et la vivre en y étant intégré... En en faisant partie, presque de la même façon qu'on a toujours fait, mais sans se la raconter et se faire partir en vrille... 
5 MOIS NOM DE DIOUSSE !!! ( j'oublie les copyright J.Warsen's Productions, désolé ) 5 Mois d'angoisse de mes deux, de peur de rechuter, aahh, enfin je les ai ! Bon allez on se ressaisit, encore un mois et je pourrai faire la fête comme prévu ( sans alcool évidemment sinon ça ne serait pas la fête Wink ). C'est un énorme "reset" en fin de compte que ce sevrage, lorsqu'on s'y met on se doute qu'il faudra changer "quelques trucs" ; en fin de compte ce sont "quelques trucs" qu'on garde... et encore, ça n'est que le début. Bon, je ne vais pas refaire de bilan à chaque fois non plus, surtout que là j'ai la flemme de relire les pages de conneries que j'ai postées ici, alors tant pis ( de vache, et hop ! ).  Cette fois l'impression ( paradoxale ) qui règne en moi que j'arrive à la fin de ce sevrage, comme si j'avais fait le tour du pâté de maisons, tandis que je sais pertinemment que j'ai même pas ouvert la porte de mes chiottes ( encore un plagiat ). Pour poursuivre il me faut des crocs, que je laisse les regrets au vestiaire, parce que pour le moment je les porte encore quotidiennement, et que je m'emmêle pas mal dedans. Regretter le passé, c'est une des dernières attaches que je garde, qui me maintienne encore dans des phases inactives, ça me rend capable de regretter à l'avance tout ce que je pourrais faire. Ainsi, pour en revenir toujours au même point, je me prive de toute nouveauté, de toute action chronophage, même si elle pourrait être, associées à d'autres, salvatrice ; en m'en privant je ne risque pas de regretter de l'avoir commise n'est-ce-pas ? 

A l'instant je me dis que je n'ai peut-être pas besoin d'oublier Diane, enfin, le fantôme de Diane ; parce que l'image que j'en ai n'a rien à voir avec la personne, ça au moins c'est clair. Je dois apprendre à faire avec, à l'assimiler à tout le reste, même si ce n'est pas gagné. Pour ça il faudra sans doute que je comprenne ce que cette image là représente, parce que vu les scénarios nocturnes dans lesquels elle apparait, il s'agit d'autre chose, bien autre chose que de la personne que je connaissais l'an dernier ; et si ça se trouve c'est là une des clefs possibles pour m'en sortir. Ne pas négliger cette piste donc. Allez, on a tenu bon jusque là, faut continuer. De toute façon c'est ça ou je crève.   

Te laisses pas aller a regretter le passé, ce qui est fait est fait, ce qu'on peut changer on le change. Ce qui est positivement chronophage et qui te donne de la dynamique a l'esprit et au moral est a suivre, bien sur non pas l'inverse.L'inactivité c'est pour mon l'ennemie numéro un, quand tu fous rien ton esprit divague après avoir finit de réfléchir. Et c'est l'instant où on a envie de re-fléchir, de se laisser aller a vivre n'importe comment. On sait depuis Hérode que l'oisiveté est la mère d'énormément de vices. Il faudrait pas que tu te laisses éroder par l'inaction. Et je te conseille franchement de faire des choses nouvelle, il n'y a pas que de savoir laisser les choses derrière soi, je crois qu'accepter la nouveauté et le changement est comme tu le dis probablement salvateur a certains niveaux. Pour le fantôme, s'il est encore là c'est que tout n'est pas réglé, non?

Je crois qu'en se posant les bonnes questions, en méditant les conclusions, il s'en ira de lui même. Mais veux-tu seulement qu'il s'en aille?

Il y a tant de bon sens dans ce que tu dis Koaniz, que ça donne envie de tout oublier pour re-fléchir sans problème Wink Peut-être que ce fantôme c'est tout simplement la représentation de la relation à l'Autre en général ; trop de facettes différentes pour correspondre à une personne en particulier je trouve. Si c'est bien cela, il est certes compréhensible qu'une part de moi ne veuille pas le laisser s'en aller, et je devrais peut-être l'écouter. Seulement ça ne cadre pas avec la pseudo-connaissance que j'ai de ma psychologie, en général je ne me représente que des gens que je connais déjà, pas des concepts à travers de gens. Peut-être aussi que c'est tellement simple que je ne peux pas accepter cette solution là, pour le moment. Je remarque aussi que l'inactivité conduit à bien des emmerdes, surtout lorsqu'elle n'est pas voulue, mais "rencontrée", par absence du désir de " faire quelque chose ". La "voie des cookies" ( en gros la cuisine, surtout orientée pâtisserie actuellement ) est bien pratique pour me maintenir en activité, d'autant plus que j'adore ça ; je trouve marrant de voir que j'ai commencé à cuisiner au-delà du nécessaire vers début 2007, quand les problèmes commençaient à bien s'ancrer en moi, que je commençais à faire une fixation sur la merde qui n'en finissait pas de s'accumuler. De ce fait ça devient un outil efficace, mais ce qui marche encore le mieux ( les jours où j'en suis capable ), c'est de composer ma petite musique. L'inconvénient c'est l'énergie que ça me demande, il me faut absolument être de bonne humeur, et l'esprit "aéré" pour m'y mettre sérieusement, d'où le fait que les périodes de réelle activité de ce côté sont assez mal réparties, et plutôt rares. La plupart du temps je me concentre donc sur la pratique instrumentale. A part ça il y a les cours de médecine, mais ce n'est pas encore suffisamment ma tasse de thé pour que cela serve cette cause là. Faudrait-il, comme je semble vouloir me le faire comprendre, que je renoue des liens avec la véritable Diane pour "régler" le problème de son fantôme ? En tout cas c'est pas demain la veille que ça se fera, je me suis bien dit une chose, et je sais que je ne me plante pas là-dessus : je suis bien trop instable pour le moment, si ça se passait mal, je ne saurais pas faire face, et alors là bonjour les dégâts. Il faut d'abord que je structure mon quotidien, que je cesse de flâner à tout va, à me noyer volontairement dans ma morosité habituelle, sous prétexte que je ne vaux rien. Bonne nouvelle ; ça commence à changer. 
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