Dépendance sexuelle

Version complète : Le Sevrage de Morbach
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Venons en au fait. Le voyage se fera en pays musical, mais avant de partir, il faut ranger la maison que je vais quitter. Je vais donc devoir m'atteler à une tâche bien rébarbative, qui  consiste à rattraper le retard que j'avais pris sur mes cours de médecine, à les classer une bonne fois pour toutes et à y incorporer les derniers chapitres manquant. Ainsi j'aurai clos cette longue parenthèse d'un an et demi. Je ne compte pas les jeter, ces cours : comme je l'ai dit leur contenu ne m'est pas indifférent, mais seulement il va falloir qu'ils prennent moins de place, jusqu'à devenir une base de donnée au service de ma curiosité, lorsque j'en aurai tout oublié. Le peu que j'en ai retenu est déjà en train de laisser place à autre chose ... mais si je me suis promis de ne pas commettre une erreur, c'est bien celle de jeter tous ces post-it et notes provisoires au feu ! Alors, attelons-nous à la tâche, car le temps presse. Nous sommes encore au prologue.
<!-- @page { margin: 2cm } P { margin-bottom: 0.21cm } -->   L'enième dérapage

 

 

Quand je disais qu'il était temps de reprendre mon histoire en main, je n'avais pas tout à fait tort. Il n'est que 5h30 lorsque j'écris ces lignes ; en effet cela fait une heure ou plus que je n'arrive pas à me rendormir, obsédé par cette question. Je crois que mon inconscient essaie de me dire quelque chose. Cette question ? La question de mon dérapage d'hier soir.

Commençons par les faits : en un laps de temps très court, de l'ordre d'une trentaine ou d'une quarantaine de secondes approximativement, et en seulement trois clics, je me suis retrouvé nez-à-nez avec le produit, ou du moins quelque chose d'apparenté. J'hésite encore à considérer cela comme un « dérapage », tant on approche là la notion de rechute, mais poursuivons.

Je me trouve comme d'habitude à glandouiller dans un moment creux sur Youtube, aidé par ma difficulté à passer d'une tâche à l'autre, moi qui, justement, aurais tant à faire. Sur Youtube, nid à merde notoire qu'il me faut pourtant fréquenter un minimum ( de même que ses concurrents ) faute de pouvoir me payer le catalogue complet des disquaires Brestois, on trouve notamment des chaînes sur lesquelles des internautes pas moins aliénés que moi font ce que l'on appelle du « vlogging » _ traduire, « blog vidéo ». Comme le savent sûrement (?) les quelques dépendants qui éventuellement me liraient, une certaine tendance s'est installée, chez les vloggeuses notamment, à user d'images, poses, points de vue, farces et humour aguicheurs pour doper la fréquentation de leurs vidéos, quitte à se ramasser des kilotonnes de commentaires licencieux.

Donc, comme un con, et sentant pourtant le malaise qui déjà point, je me lance dans le visionnement des derniers épisodes publiés par une personne dont je ne citerais, évidemment, pas le nom. Et ce pour des motifs pas vachement clairs, en fait si, à savoir son décolleté. Minable, hein ? Attendez la suite. Ni une ni deux, je me retrouve confronté à une liste de vidéos « connexes », qui présente notamment un titre, pourtant louche, sur lequel je m'engage … atterrissant alors sur une comparaison imagée entre ladite fille et, parait-il, une actrice de soft porn dont j'ai, Dieu merci, déjà oublié le nom. Extraits vidéos à la clé. Et ce n'est donc qu'à ce moment, après quelques secondes d'hébétement durant lesquelles je sens le mécanisme trop bien connu reprendre de la vigueur et mes parties y répondre, que je me dis « merde », déclenche l'alerte, et quitte mon ordinateur en précipitation, « la queue entre les pattes » si je puis dire.

Par la suite, je me suis mis en tête de me venger sur quelques magazines qu'il me restait, en en arrachant toutes les pages et encarts suggestifs, qu'il s'agisse de pubs ou d'illustrations. C'est fou ce qu'il peut y avoir à jeter dans « Le Monde » où « Ça m'intéresse ».

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Mais le mal était déjà fait, et si sur le coup cela calma un peu mon angoisse naissante, cela n'empêcha pas la réflexion de se faire, et ainsi je me retrouve là, sur mon bureau, à une heure pas possible, à couvrir mes brouillons de notes que je recopierai « quand le moment sera venu ».

Ce n'est, hélas, pas la première fois, loin de là, qu'un tel « dérapage » se produit. En fin de compte, si mes souvenirs sont exacts, c'est une tendance présente en tant que telle depuis les débuts, mais que je ne considère vraiment comme problématique, et même dangereuse, que depuis six à huit mois environ. Si je lance une réflexion plus poussée à ce sujet aujourd'hui, c'est, je pense, parce que j'en suis arrivé à ne plus pouvoir tolérer ce genre d'écarts. Hier soir, juste après m'être rendu compte de la nature évidente de mon forfait, je ne me suis vraiment pas senti très bien. Cette fois, à l'angoisse de la rechute, la peur de l'abîme, s'ajoutait un sentiment de vertige, comme une nausée qui, légère au départ, allait en s'amplifiant. Et mon image dans le miroir s'est déformée pour faire apparaître quelqu'un d'autre, je me dégoûtais, me trouvait si pathétique dans mon habit de moine concupiscent.

Je sais bien que mi-Janvier de tels dérapages eurent lieu, de même qu'à la veille de mon premier anniversaire de sevrage, ou qu'à d'autres moments de l'année ( fin octobre, quelques fois en septembre ? Il faudrait replonger dans les archives pour en être sûr … ), et avec bien plus d'inconscience avant mai-juin 2010, … Je sais bien que cette fois c'est allé particulièrement loin, et qu'ils s'agissait d'une alerte de niveau 3, pas le genre d'alerte qu'on a tous les quatre matins chez Morbach & Brothers. Mais qu'importe que ce ce soit déjà produit, même rarement, le devenir n'est pas fait pour n'être qu'une bête répétition des erreurs du passé ; là, la coupe est pleine, je veux avancer sur ce point, et pas qu'un peu.

La définition la plus souvent avancée concernant l'abstinence, est qu'il s'agirait d'une "absence de masturbation et de consommation de pornographie" ( et pas non plus de prostituées, de téléphones roses, webcams et chats sexuels, etc ... ), le reste n'étant qu'une sorte de bonus conseillé. En l'occurrence ici, quand je parle de dérapages, et à d'autres moments dans mon parcours, il ne s'agissait effectivement pas de pornographie, même pas d' « érotisme » : c'était un peu aller à la plage dans l'idée de mater les filles qui passent. Mais cette définition de l'abstinence ne me satisfait plus, car "même" dans le cas que j'expose aujourd'hui j'éprouve un malaise plus que palpable, je sens bien que je ne suis pas vraiment libre dans cette démarche, ce n'est pas de la curiosité d'adolescent pré-pubère, il n'y a aucune innocence là-dedans, ou si peu … c'est la même roue, qui tourne plus petit et moins vite, c'est tout. Je ne veux pas qu'il subsiste la moindre miette de cette saloperie dans mon cerveau, si tant est que j'ai le choix de m'en débarrasser. Fragile à vie, je veux bien l'être si il le faut, mais il est hors de question de faire des concessions à cet animal là : c'est bien connu, on lui tend la main, et il vous dévore jusqu'à l'épaule.

Je vais entamer en parallèle de ce post une réflexion générale sur la définition de ce qu'est une « rechute »., tenter de poser quelques concepts … Parce que c'est bien là la question qui se pose : selon le point de vue d'où je considère les évènements tels que celui-ci, mon sevrage est effectif, ou ne l'est pas. Il est impératif d'y voir plus clair, même, et surtout, si je me trouve d'une particulière sévérité en me taxant encore de complaisance : c'est l'ego qui veut me tromper, et le poison qui coule encore dans mes veines. Ils me font croire que je joue avec le produit, alors que c'est lui qui se joue de moi. Il y a anguille sous roche, et pas des moindres …

Citation : Morbach a écrit: <!-- @page { margin: 2cm } P { margin-bottom: 0.21cm } -->font ce que l'on appelle du « vlogging » _ traduire, « blog vidéo ». Comme le savent sûrement (?) les quelques dépendants qui éventuellement me liraient, une certaine tendance s'est installée, chez les vloggeuses notamment, à user d'images, poses, points de vue, farces et humour aguicheurs pour doper la fréquentation de leurs vidéos, quitte à se ramasser des kilotonnes de commentaires licencieux.
  Alors là je connais sa , j'ai déjà vus des chansons avec ce genre d'images et quand on regarde les commentaires " i click for the chick fuck you " etc...Sinon petit dérapage mais tu est partit à temps,c'est la chose à se dire , je pense franchement que tu ne vas pas rechuté mais peut être que tu devrais utilisé youtube quand ayant un but très précis ,c'est à dire une liste de chansons à chercher et puis voila. En même temps je vais te dire ce que je pense, tu n'est qu'humain , tu peut pas contrôlé toutes tes pulsions qui te viennent , attention je dis pas que tu dois rechuté , mais tu peut pas les empêcher de venir ,je t'apprend rien vus que sa fais + d'un ans que tu te contrôle , sa serais bête de tout foutre en l'air non ?  courage et à bientôt , te laisse pas avoir.
Citation : Sinon petit dérapage mais tu est partit à temps,c'est la chose à se dire , je pense franchement que tu ne vas pas rechuté mais peut être que tu devrais utilisé youtube quand ayant un but très précis ,c'est à dire une liste de chansons à chercher et puis voila. [...] courage et à bientôt , te laisse pas avoir.
 
Merci Jim, je sens que ça va pas être facile à négocier ce virage là. En fait, selon les critères que j'ai eus jusqu'à présent, c'est un dérapage, et pas une rechute. A priori, comme j'ai eu des réflexes suffisamment rodés jusqu'à maintenant pour ne pas aller plus loin que ce genre de trucs, j'ai quand même mes chances de m'en sortir sans payer plus cher la note. Mais toute la question est en fait de savoir si j'ai envie de m' "autoriser" ça à vie : tout contrôler évidemment est impossible. On ne contrôle pas la survenue de pulsions, mais on peut apprendre à contrôler toute action qui en découlerait. Il n'y a que les réflexes ( physique, de défense par exemple, ou psychologique comme la fuite, les vomissements ) qu'on ne peut vraiment pas empêcher. Et il faut dire qu'il y a encore peu, je passais beaucoup de temps sur les chaînes de certaines filles, et ce sans la moindre culpabilité, ou alors pas grand chose. De plus, en dehors de la frayeur et de la nausée, il y a toujours le risque d'aller plus loin, et je l'ai bien senti passer ; je n'ai pas envie d'avoir à me lancer dans des procédures d'urgence toute ma vie pour m'empêcher de me planter pour de bon. D'autant plus que ces vidéos ne m'apportent rien, mais alors rien de rien ... je veux dire, sur un autre plan que celui de la compulsion sexuelle à dose homéopathique.
N'aller sur Youtube ( ou autre ) que dans l'idée de voir quelque chose de bien précis et rien d'autre effectivement pourrait s'avérer efficace : cela nécessite quelques exercices de conditionnement pour être efficace, et ce ne sera pas la première fois que je me servirai de tels exercices. Mais pour m'aider à ne pas minimiser la chose, je voudrais réfléchir sur le statut de tels dérapages, quitte à les taxer au final du nom de "rechute" pour mieux faire le distinguo entre les loisirs et ... la merde. 
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Je trouve que ton dernier message ouvre une piste de réflexion primordiale, devrons nous rester toute notre vie hyper-attentif et à la merci d'une pulsion arrivant lors d'un moment de faiblesse ?

A propos de moment de faiblesse il est fort possible que les quelques échanges que je qualifierai de vifs ayant eu lieu sur le forum dernièrement t'es mis précisément en porte à faux.

Ton gros dérapage (ce n'est en effet qu'un dérapage à mes yeux) et la ou les rechutes de grands anciens comme Mondom m'amène effectivement à me poser des questions sur le sevrage dans sa durée.

Bien sur dans mon cas il faudrait déjà qu'il dure mais je m'y emploie de manière totale.

Pour répondre à la question ci-dessus j'ai bien l'impression que l'on est pas le choix et que se soit oui.

Mais est ce seulement possible ?

Citation : Je trouve que ton dernier message ouvre une piste de réflexion primordiale, devrons nous rester toute notre vie hyper-attentif et à la merci d'une pulsion arrivant lors d'un moment de faiblesse ?

A propos de moment de faiblesse il est fort possible que les quelques échanges que je qualifierai de vifs ayant eu lieu sur le forum dernièrement t'es mis précisément en porte à faux.

 

La question de la raison de ma faiblesse actuelle n'est, a priori, pas trop difficile à traiter : comme tu le dis la véhémence des échanges récents, le changement de statut que je m'impose, mais aussi le stress du changement d'orientation, la remise en question de bien des points dans ma vie de tous les jours, et sans vouloir les culpabiliser outre mesure, la rechute de Mondom et d'autres membres sur le forum pèsent de tout leur poids sur ma caboche. Mais ce n'est pas tant le pourquoi qui me pose problème, que le comment ( en sortir ).  Avec le peu de sommeil que j'ai eu cette nuit j'avance à petits pas sur la piste de réflexion que j'ai ouverte, mais ça vient quand même.

Je crois que le but de tout ceci est de parvenir à l'indifférence la plus totale vis-à-vis du produit, non pas dans le sens où nous ne serons plus vulnérables, mais dans le sens où nous ne le chercherons plus. Alors nous serons tranquilles, et notre sécurité ne naîtra plus de notre vigilance, mais de notre accomplissement. Pour cela je pense pouvoir développer une philosophie et une méthode adaptée ( à mon cas seulement ? ), mais cela ne se fera pas en un jour. J'ai bien l'intention de lui coller la pâtée à ce monstre, et pour ça il me faut raisonner sur un principe de base que je me suis donné (presque) depuis le début : pour le tuer il ne faut pas chercher à le vider de son sang, mais bien à le faire mourir de faim.

En ce moment, je ne cherche pas le produit et pourtant je suis bien certain de ne pas y être indifférent.L'accomplissement dont tu parles n'est pas un sevrage réussi ni même une "guérison" (quelle est d'ailleurs la définition d'une guérison) mais plutôt un changement radical d'état d'esprit.C'est d'un changement en profondeur dont il s'agit, cela entraine des adaptations philosophique, voire religieuses pour certains.Tout cela est de plus en plus loin d'un "simple" sevrage.

Bien sur nous vivons des périodes difficiles mais bon sang qu'elle aventure !

Sans doute je m'exprime mal ... quand je dis "ne plus chercher le produit", cela veut dire ne plus être à l'affut, malgré soi, de la moindre pichenette pour relancer notre roue de hamster compulsif. Être indifférent au produit lorsqu'il se présente à nous ne sera jamais possible sans doute, puisque nous resterons dépendants à vie, et c'est cela que j'entends par "fragilité" quand je dis l'accepter, cette fragilité. Quand je dis "indifférence", c'est ambigu, car en fait je parle de l'indifférence qui rend la recherche vaine : être confronté au produit, c'est sans doute prendre peur et se protéger en conséquence de lui, mais ce n'est pas pour autant se sentir attiré par lui en dehors du contexte de la rencontre. Je pense qu'on peut atteindre ce degré là d'indifférence relative.
Ta question ( et la mienne aussi ) était de savoir si oui ou non nous serons condamnés à vie à devoir rester vigilants, prêts à flancher au moindre pet de travers. Et je disais qu'à terme, le but - et nous l'atteindrons ce but, si nous nous en donnons les moyens - était bel et bien de passer de la vigilance à l'accomplissement, loin du produit. Dans ce cadre on peut bien dire, et je n'ai jamais dit le contraire, je crois, que la fin de tout ceci n'est pas le sevrage en lui-même, mais notre libération, qui, elle, passe par bien plus que le sevrage. Ce que je veux développer ( et développe par ailleurs mais attends de le finir pour le publier ) est une petite réflexion sur le concept de sevrage évolutif. Pour moi le sevrage ne se borne pas, ou plutôt ne se borne plus, à se sevrer de pornographie et de masturbation. Il doit se resserrer progressivement jusqu'à permettre d'éliminer les dernières traces du mécanisme que nous avons mis en place. Et bien sûr tout ce parcours est accompagné de révélations sur d'autres plans que le sevrage, il s'agit bien de remettre la totalité de son fonctionnement en question, de s'interroger sur le sens de l'existence, sur son identité, sa volonté, la liberté, la morale, le droit, les devoirs de tout un chacun, et même la politique !
Là je ne m'occupe que de la partie sevrage parce que je suis dans une crise à ce niveau ... provoquée par le fait que je ne supporte plus cet état de fait, ces "autorisations" plus dangereuses qu'utiles, et qui portent de plus en plus atteinte aux valeurs que je prône, et à l'équilibre intérieur que je cherche à préserver. C'est bien une évolution intérieure qui me mène à renforcer le sevrage, quelque chose qui le dépasse donc, mais j'en dirai d'avantage plus tard ... quoiqu'il en soit, ne te fais pas d'illusions, je suis totalement d'accord avec ce que tu viens d'écrire, Milou. Smile
Voilà, je viens de pondre mon pâté du jour. Pour le consulter, si ça vous intéresse et n'avez pas trop peur de lire des trucs indigestes, c'est ici : [b][u]LIEN BRISÉ non pas le premier texte "Clivage et détachement" qui date d'Août dernier, mais le second, "La rechute, un concept évolutif ?" )

Rapport à cette petite réflexion, des engagements s'imposent pour moi, mais je développerai à leur sujet un autre jour, pour le moment, j'en ai un peu marre d'écrire. Pour simplifier, il est clair que ces "dérapages" n'en sont plus, et qu'il est temps de leur attribuer un nouveau statut, celui de "rechute" : il me faut maintenant travailler sur des exercices de conditionnement, question de ne pas me planter ...

URLs de référence
  • Dépendance sexuelle: http://www.dependance-sexuelle.com/index.php
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