Dépendance sexuelle

Version complète : Le Sevrage de Morbach
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salut Morbachje viens de prendre connaissance de ces deux derniers jours de post.J'y vois beaucoup de chose intéressante, et sache avant tout que tu avances et cela est évident vu de l extérieur, et toute les futurs choses que tu veux te mettre en place sont pour moi de bon augure.Pour ce qui est de la dépendance affective,continue, t es sur la bonne voie, d'ailleur le passage dans le bus m'a rappelé moi il y a quelque mois, où j 'étais justement passé dans un excé de ce style, je me vouté de tout et tout le monde, peut etre un contrebalacement, mais j ai très vite du me rendre à l évidence et tirier des leçon de ce comportement au combien adolescent non?C'est tout simplement de la rebellion et tu non respect pour la personne en face que l'on considère plus comme une personne, mais après ça se régulle.Aussi, cette peur de perdre ton identité en perdant le porno et normal et on la retrouve dans toutes les addictions, il faut là aussi faire face!!Cotinue à développer ton toi,à le reconnaitre car il est vrai comme le dit Mondom, il est sous ton nez!!Enfin, je suis aussi passé par un stade où j avais l impression qu'en arrêtant le porno, je me fragilisé face à d autre addictions, mais en faite quand je suis moi même , il n y pas lieu d avoir peur de cela, car on sait maintenant pourquoi on a eu une addiction alors pourquoi fuir une nouvelle fois faire autre chose, à quoi bon, ça n a pas de sens!!!

Sur ce bon courage l ami!!

Oui létudiant il y a un rejet de l'Autre, il passe de "personne" à "objet" puis d'"objet" à "chose". Mais ça fait un bail que c'est comme ça pour moi, et je ne considère pas cela comme quelquechose de particulièrement pathologique, c'est l'obsession qui se constitue autour de cet Autre qui est plus problématique.Je viens de nettoyer mon dossier à téléchargements  et ça c'est révélé disons, intéressant ; en effet je venais de remarquer que les "infos détaillées" concernant certains d'entre eux suggéraient qu'il s'agissait de fakes, ce que j'ai fini par vérifier, et bien évidemment il s'agissait de vidéos porno. Eh bien j'en suis à quatre mois sans rechute, et malgré tout le mécanisme a fini par redémarrer sans que ça prenne plus de deux ou trois tests... comme quoi c'est encore tout frais. Au bout d'un moment ce qui commençait à me motiver n'était pas l'élimination de contenu "prohibé" mais l'excitation provoquée par le visionnage, même si ça se limitait à 1-2 sec ( le temps de réagir quoi ). Maintenant que le tri est fait j'espère ne pas avoir à m'y remettre par mégarde, parce que je manque sérieusement de méfiance ces temps-ci ( sans doute à force de ne plus combattre des pulsions, devenues absentes ).Nina disait vrai ; la fatigue aggrave vraiment beaucoup de choses ; j'ai dormi environ 9 heures cette nuit, et depuis ce matin pas la moindre poussée de merde du style "il faut que je trouve quelqu'un qui m'aimerait, qui m'écouterait, etc... "... Je savoure un brin de tranquillité, ah si seulement ça pouvait se partager!Morbach
Bon eh bien je sens que demain sera une journée de merde ; j'ai bien déconné avec les impératifs de récupération de sommeil : il est deux heures passées du mat et je m'étais promis ( pas la première fois d'ailleurs ) que je ne dépasserai plus le stade de minuit pour aller me coucher. M' enfin bon, cette fois c'était pour la bonne cause, ou plutôt deux. Et d'une c'est mon quatrième mois sans rechute que j'ai atteint !!! Pour l'occas' ; YIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE !!!!!!!!!! Et de deux je crois que j'ai pu ( pour une fois ) avoir droit à une conversation intéressante et utile à la fois, avec une entité humaine qui n'était ni moi ni ma psy, en dépassant allègrement l'interdit horaire ( parce que sinon je serais allé me coucher et donc... ). Bon par claviers interposés, mais c'est déjà ça. Je vais profiter du petit moment au calme qui m'est imparti avant les céphalées probables de demain, pour tenter de réfléchir à ce que j'ai fait ce mois-ci. " Ce mois-ci " ; bon il est vrai que découper son sevrage en parts égales est un peu ridicule quand on voit qu'il progresse par pallier, et non régulièrement jour après jour. Certains actes fondateurs en entraînent d'autres et ainsi de suite, jusqu'à ce qu'on s'aperçoive que beaucoup de choses on changé au quotidien, ainsi qu'en soi. Mais c'est tout de même bien pratique de savourer chaque marche gravie, qu'elle débouche sur un pallier ou non, on a quand même progressé dans l'ascension de l'escalier, autrefois descendant. En gros, pas grand chose à retenir de ce mois ; des tentations à intensité fluctuante, du sommeil en retard, des cours en retard ; la routine quoi, pas de quoi le différencier des précédents dans l'ensemble. Et pourtant à bien y regarder ils ont chacun leurs spécificités, ils se font chacun l'écho déformé de l'autre, suivant de multiples processus, avec l'apparition de nouvelles formes d'organisations internes pour résister à la tentation ( vade retro satanas !! Big Grin ), et de nouveaux problèmes à résoudre. Celui-ci n'échappe pas à l'exception et s'il y avait un ou deux éléments à retenir pour éclaircir le champ, il s'agirait du développement ( ou de l'apparition plutôt ) d'une forme bien typée de dépendance affective ( si j'en crois ce que j'ai cru en comprendre ), et une paralysie plus poussée de l'action, au détriment des pulsions de base qui ont plutôt tendance à régresser. Je pense que le porno recouvrait proprement ( quoique ) cette recherche constante d'affection ; dans le regard de l'actrice on croit voir de l'affection, plutôt que de voir un appel à l'aide pour certaines ou un masque affligeant pour d'autres...,  il est donc plus facile de supporter l'indifférence ( qui est le véritable inverse de l'affection, a contrario de la haine qui est juste son négatif ) lorsqu'on a l' " antidote " ( avec de grands guillemets hein ) à portée de clic ( à portée de main aussi remarque ).Si j'ai plutôt tendance à me concentrer sur ces vagues de recherche de l'Autre à tout prix et quel que soit sa nature, et qu'à force je trouverai bien une façon de me satisfaire pleinement de ma propre attention sur moi-même ( en m'écoutant de temps en temps qui sait ? ), il y a encore du boulot du côté de l'inactivité totale qui parfois me saisit, surtout dans le cadre d'épisodes dépressifs. En gros, c'est de l'aboulie, voilà tout, ça se soigne mais c'est super chiant quand même. J'aime bien l'idée de Mondom ( qu'il rapporte de sa psy ) comme quoi il s'agirait de maintenir en place un état du " tout est encore possible ", une forme d'état proprement " adolescent " ( si j'ai bien pigé ), mais je ne suis pas sûr que cela soit sous cette forme que cela fonctionne pour moi. Il y a d'une part le tout est possible, ça oui, mais il y aussi une lassitude, un ennui du Monde, une grosse envie de tout laisser tomber ( sans mélancolie toutefois ), qui participe pour beaucoup au maintien de ce genre d'état végétatif de la volonté. La question serait de savoir dans quel cadre cela survient précisément ( facteurs facilitant  ? ) ce qui permettrait peut-être d'éclaircir le pourquoi de la chose... encore faudrait-il que je me prenne sur le fait, en flagrant délit de blues à deux balles, mais j'ai tendance à trop y croire pour cogiter quand je m'y mets, donc faudra peut-être trouver un autre moyen d'investigation.Poursuivre un travail sur la dépendance aux autres et/ou à l'Autre ( faudrait que je définisse ça, parfois je me comprends même pas moi-même en me relisant ), et lutter contre l'inactivité pour mieux comprendre ce qui la motive ( presque une oxymore à distance ça dis-donc ! motiver l'inactivité, elle même due à l'absence de motivation ??? ), voilà qui s'annonce comme la suite du programme, et pour une fois je dois dire que je le trouve alléchant... Allez, faut vraiment que j'y aille là !Morbach     
Aujourd'hui : application du conseil de Nina, pour le moment, moi, le type pas sportif pour deux sous, je n'avais même pas tenté de faire ce que j'ai fait aujourd'hui, à savoir une escapade en vélo longue de deux heures et vingt minutes tout pile, pour faire environ 36 kilomètres. Au moins je suis vanné et ainsi l'objectif de base est atteint ; le mieux là-dedans c'est le dépassement, à ceci près que j'ai du faire des pauses ( je n'ai pas pensé à emporter quelque chose pour tenir, étant donné que les petits trajets que je fais d'habitude ne nécessitent pas de reprendre des forces ) : je crois aussi que c'est la première fois que je me sers vraiment de mes jambes dans les côtes, et du mental aussi. Dans l'ensemble je note un regain de volonté, et ce à tous les étages, certes insuffisant, mais bien réel.Espérons que cela suffira pour cette nuit, là franchement j'en peux plus de ne pas dormir, que ce soit "volontaire" ou non .Morbach 
Bravo MorbachAujourd'hui tu as fait quelque chose pour la première fois.J'ai l'impression que tout ce qu'on fait pour la première fois "surprend" notre addiction qui à horreur de devoir s'adapter à un nouveau schéma.Bien fait pour elle !
C'est chouette ce que tu écris, Morbach.Toi qui décrivais plutôt un certain individualisme, un rejet des autres, tu l'identifies aujourd'hui comme dépendance à l'autre... C'est un sacré paradoxe. Le monde et notre esprit en sont truffés, de ces paradoxes, auxquels nous ne sommes pas préparés, que nous avons du mal à appréhender parce qu'au contraire on est élevés à "blanc, ou noir, ou entre les deux" et pas vraiment à "les deux à la fois sans que ce soit forcément conflictuel ou pathologique"...En tous cas, c'est formidable que tu trouves ça alléchant, et pas une tâche ingrate de plus!
Eh bien Mondom tu te rends définitivement utile sur ce forum ! ( je pense que tu le savais déjà mais bon...). Je ne m'étais même pas aperçu que je l'avais formulé comme cela, mais je me dois d'émettre quelques précisions à ce sujet. D'une part il y a un mépris assez diffus que j'ai pour beaucoup de gens, qui ne me pose pas de problème particulier au quotidien ; je sais juste qu'avec ces personnes je ne pourrai pas véritablement échanger quelque chose, ne serait-ce que parce que je cracherai dès le départ sur leur façon de fonctionner... ainsi je ne tente pas le contact, et suit mon petit chemin dans mon coin, "peinard"...D'autre part, et il s'agit d'une forme beaucoup plus ancienne, lorsque le mépris devient haine, et se fixe sur "le monde" ou certaines personnes, j'en arrive à un rapport très ambivalent, bien que ce ne soit pas étonnant, où il y a à la fois un rejet et une demande excessive de la présence des autres/ ou ,plus souvent, de l'Autre. A la limite dans cette idée on pourrait ne plus différencier les autres de l'Autre tant "les autres" ne sont souvent qu'une somme d' " Autres ", c'est-à-dire d'individualités réduites à l'extrême pour ne former qu'un tout menaçant mon intégrité, jaugeant ce que je fais, ce dont j'ai l'air, en clair passant son temps à me juger. J'ai bien conscience que ça semblerait ( même de très loin ) à relier à des délires de persécution ou autres, mais pourtant cela ne m'empêche pas de ressentir une certaine pesanteur dans le regard de tous ces Autres. Cette pesanteur c'est à la fois la honte de soi, parsemée de pensées fugaces et accusatrices, de remords, etc... ce qui entretient le côté obsessionnel de la chose.Ce midi en prenant le bus, qui une fois de plus était bondé, une de ces "Autres" obsédantes est venue s'asseoir à côté de moi, sa copine restant debout à ses côtés. Pendant qu'elles parlaient, je n'ai pas arrêté de me dire "et si elle savait à quel point j'épiais il y a encore quelques semaines ses moindres faits et gestes ? cherchais à capter son regard pour peut-être y voir poindre quelque chose d'humain, quelque chose que je ne retrouve chez personne d'autre ? peut-être de l'amitié, de la compassion, de l'affection ? et si elle savait à quel point ( de l'extérieur du moins ) elle me plait ? et si elle savait à quel point je suis contraint de me refuser tout contact, pour la préserver et me préserver aussi ? Elle est assise à côté de moi, pendant que je regarde ce qui se passe de l'autre côté de la vitre, mais se doute-t-elle que c'est pour passer inaperçu ? pour faire comme si de rien n'était ? se doute-t-elle qu'à chaque fois que le bus tangue je me débrouille pour éviter tout contact physique, parce que je sais ce que la proximité avec les gens qui m'obsèdent a de mauvais ? ". Et encore, cette fois je m'en suis pas mal sorti ; je ne m'en suis pas trop voulu après coup, l'ai rapidement oubliée, et ce n'est qu'en pensant à écrire ce post que je me suis remis à penser à elle.Ce que j'aimerais, c'est comprendre dans quelle mesure cela participe à la consolidation de mon psychisme, en quoi est-ce que cela présente un avantage pour mon équilibre mental que de passer par ce genre de phases ; si je le fais, que je le veuille ou non, c'est qu'il y a bien une raison ; et de la même façon que l'addiction à la pornographie est un symptôme révélant un moyen de défense( le moins mauvais ? ) , que l'on a soi-même choisi plus ou moins consciemment pour se protéger de quelque chose, de même je pense que ce genre d'obsessions a une cause ; dans la mesure où elle sont sensées ( lorsqu'elles fonctionnent à plein régime ) m'apporter l'illusion d'une relation fusionnelle avec un Autre ( ou plutôt une Autre ), que ce soit dans la haine ou l'idéalisation ( je n'ose pas parler d'Amour, je crois que le véritable amour, l'agapè, inconditionnel, n'a rien à voir avec cette mélasse affective ), je suppose qu'il y a peut-être un manque à combler de ce côté là ; hypothèse à travailler encore et encore...Cela devient un véritable travail de fouilles archéo-psychologiques tout cela, et je ne suis pas près d'arriver au bout ( si il y en a un, ce dont je doute fort ). Je crois cependant que cela apporte ses fruits, point de vue pulsions primaires de porno-dépendance, j'ai l'impression de commencer à oublier certains trucs ; chaque jour cela me semble plus lointain. Pour le moment pas question de baisser la garde, il est encore trop tôt pour se reposer, mais je commence à me faire un tout petit petit..... petit peu confiance La confiance : c'est là la première goutte qui tombe sur la dépendance, et un jour, goutte après goutte, elle se sera tant érodée qu'elle partira en miettes, brisée par les efforts d'une volonté plus tenace qu'elle, j'en suis sûr ! Morbach       
Le sport c'est la santé mental et physique c'est sure . Je vais peut etre mi remettre aussi ... Bravo Morbach!!
Autres. Cette pesanteur c'est à la fois la honte de soi, parsemée de pensées fugaces et accusatrices, de remords, etc... ce qui entretient le côté obsessionnel de la chose.Ce midi en prenant le bus, qui une fois de plus était bondé, une de ces "Autres" obsédantes est venue s'asseoir à côté de moi, sa copine restant debout à ses côtés. Pendant qu'elles parlaient, je n'ai pas arrêté de me dire "et si elle savait à quel point j'épiais il y a encore quelques semaines ses moindres faits et gestes ? cherchais à capter son regard pour peut-être y voir poindre quelque chose d'humain, quelque chose que je ne retrouve chez personne d'autre ? peut-être de l'amitié, de la compassion, de l'affection ? et si elle savait à quel point ( de l'extérieur du moins ) elle me plait ? et si elle savait à quel point je suis contraint de me refuser tout contact, pour la préserver et me préserver aussi ? Elle est assise à côté de moi, pendant que je regarde ce qui se passe de l'autre côté de la vitre, mais se doute-t-elle que c'est pour passer inaperçu ? pour faire comme si de rien n'était ? se doute-t-elle qu'à chaque fois que le bus tangue je me débrouille pour éviter tout contact physique, parce que je sais ce que la proximité avec les gens qui m'obsèdent a de mauvais ? ". Et encore, cette fois je m'en suis pas mal sorti ; je ne m'en suis pas trop voulu après coup, l'ai rapidement oubliée, et ce n'est qu'en pensant à écrire ce post que je me suis remis à penser à elle. Alors pour cela, je vis exactement la même chose en ce moment enfin depuis un bout de temps, et ça me bouffe!!C'est vraiment lourd à porter!! des fois je désespère et plonge dans le noir en me disant que cela ne changera jamais!! Et si tel est le cas alors laisse tombé, je part pour une vie de merde alors que je veux bien plus que ça!! 
Aujourd'hui cela fait trois jours d'affilée que je bosse aussi chez moi. Cela n'a l'air de rien mais si je me souviens bien il y a deux ans, quand nous sommes revenus dans notre maison ma mère, ma soeur et moi, c'est à peine si je pouvais passer plus de cinq minutes dans ma chambre tant les souvenirs qui y étaient attachés m'angoissaient. Il y a un an c'était bosser dedans qui n'était presque pas possible. Maintenant le but serait de parvenir à décider de tout ce que j'y fais ; plus simplement de pouvoir le faire, mais de vouloir ce que je fais. Hier soir, pendant que je recopiais un cours pris à la va vite le matin même, je me suis vu tenté de me faire une petite partie d'un jeu vidéo de stratégie dont je ne citerai pas le nom, pour "faire une pause", parce que " j'en pouvais plus", quitte à remettre au lendemain ce que j'avais prévu de finir le jour même. En consultant ma base de données mnésiques, je me suis rappelé que c'était là le premier indice concernant une phase "aboulique" à venir. Cela commence toujours comme ça ; d'abord je tente d'échapper à ce que je fais ( que ce soit du boulot ou un truc plus ludique ), puis ce sur quoi j'avais bifurqué ne me satisfait pas donc je pars encore sur autre chose en repoussant toujours plus loin l'échéance de départ, au final je passe d'activité en activité sans jamais trouver mon compte ( étape deux ), et arrivé à l'étape trois je commence à angoisser. S'en suit une fuite vers le rien, une humeur de plus en plus massacrante, des ruminations... et au final je ne me sens plus capable de faire quoi que ce soit, je reste prostré à attendre que cela passe, ce qui peut mettre des heures voire plusieurs jours dans les crises majeures. Repérer le mécanisme c'est une chose, mais sur le coup je n'ai pas pu réfléchir à ce que je me trouvais comme justification plus "profonde" pour passer à autre chose que ce que j'avais prévu de faire en rentrant chez moi. Je pense que me forcer à faire quelque chose de ma journée facilite aussi la survenue de ce genre d'envies de foutre en l'air mes plans ( eh oui ! : si il n'y a pas de plans, qu'est ce qu'il y a à foutre en l'air n'est ce pas ? ), alors je vais continuer à me noyer dans un flot d'activités, après tout cela n'a pas grand chose de mauvais vu ma situation, je suis pas près de devenir un "workaholic" ...Morbach 
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