Fr-ED,
je prends tes plans de bataille des phases 2 et 3!
Je vois mon compteur monter aussi et je suis aussi très surpris de dépasser les 80 % pour mes 25 jours et presque nostalgique.
Ma semaine 3 n'a pas été évidente, je ne la vis pas comme si j'étais en France, le retour aux sources n'est pas véritablement salutaire, mais plutôt déstabilisant...
Mais je planifie également une nouvelle phase de sevrage dès le 1.1.2016!
Dans quelques jours je posterai ici aussi mon petit bilan!
Bises à tous et bonne fête de fin d'année!
C'est vrai, vous me manquez...!
Jan
J'allais zapper la FreedomWeek. Donc fin de la 11 semaine de sevrage. Pas très en forme aujourd'hui, des tensions voire des pulsions, je gère. Sinon la semaine fut bonne, j'arrive maintenant à dépasser mes blocages et parfois je m'étonne. Je ne m'enferme plus (m'emmurer) dans le silence comme avant lorsque je dois faire face à des contrariétés. J'arrive à parler, cela ne résout pas le problème, mais au moins je le partage et ne reste pas enfermer dans un monologue avec moi même.
Pour le reste, étonnant cette météo, où l'on peut randonner dans des canyons en T-shirt dans les Pyrénées aragonaises !
Avec un jour de retard.
Je suis en famille, et fait le tour en famille de la famille au sens large. C'est juste une chose éprouvante, mais bien nécessaire aussi.
Je tiens toujours mon sevrage.
Le forum est un peu endormi en cette nouvelle année.
Je finis donc ma 12ème semaine de sevrage, pas de tension de ce coté. Beaucoup de difficultés, de réflexions personnelles. C'est compliqué, mais il y a quelques temps je n'aurais jamais osé les regarder en face, c'est donc difficile mais positif. Je marche.
@Dexter: merci de m'avoir fait ressortir le livre que je te conseillais. Sa lecture m'a été d'une grande aide hier soir.
Bonjour.
Semaine particulière, le 31, nous avons à midi, mon épouse et moi, mangé avec des amis. Lui connaissait mon histoire et mon implication sur le forum. Total, après une maladresse... ou pas, ma femme s'est mise à pleurer et le repas est partie en vrille. Rien de bien grave, mais ce sont des sujets brûlants. Nous nous sommes réconciliés, mais elle est toujours très secouée quand on évoque cette partie de ma vie et mes blessures. Je le comprends mieux maintenant.
Le lendemain, j'ai eu une discussion musclé avec mon père de 82 ans, très violentes et directes, mais sans être dénuée d'affection. J'en sort grandis, la confiance à gagné du terrain, il y a encore du chemin à faire cependant.
Je vis des grands moments de pertes d'assurance, ce qui ne m'était jamais arrivé, je me sens quelque fois déstabilisé par une émotion que je ne sais identifier, entre honte et humilité, ou avoir des complexes, ce qui n'est pas du tout habituel pour moi, donc nouveautés, mais pas forcément agréables.
A+
Bonjour les amis.
Pas de rechute... mais, une masturbation à risque. Je n'ai pas mis mon compteur à zéro, car elle n'était pas dégradante à mes yeux (enfin je bricole peut-être, je ne sais pas). Elle n'a pas était la pente savonneuse redoutée, mettre le compteur à zéro m'aurais plombé le moral. (51 jours sans masturbation et sans porno, c'est pas si mal, en tout cas le sans porno poursuit sa route).
J'ai pris la résolution en 2016 de ne plus jouer au jeux débiles genre Candy crush ou autres tue-temps. C'est un vrai sevrage, j'y pense sans arrêt, mais je me dis à chaque fois ... qu'est-ce que tu perds en ne le faisant pas, je ne perd rien c'est sur.
à bientôt
Oops, j'avais oublié la FreedomWeek.
Pas de rechute non plus, mais la réapparition d'images, de flashs assez troublant me rappelant ma dépendance. Rien de déstabilisant, mais sur le coup une impression de nostalgie. Etrange sentiment. Je suis vite passer à autre chose.
J'approche des 100 jours !
Bonjour BURRHUS !
Peut-être faudra-t-il déplacer mon poste ici ailleurs que dans la « freedom-week », mais j’ai envie de réagir aux postes très personnels que tu fais ici :
Moi je suis d’accord avec toi sur le fait qu’au bout de 51 jours il n’y a pas à remettre le compteur à 0. La question qui se poserait pour moi tout simplement pour ton cas : As-tu encore réellement besoin des sevrages cadrés par le compteur ? N’es-tu pas capable de voler de tes propres ailes ?
J’ai lu aussi ton poste sur ton repas qui s’est mal passé... c’est douloureux, j’en conviens ! Mais au bout de tant d’efforts et de temps passé à impliquer aussi ta femme dans ta problématique n’est-il pas temps de définir ensemble de ce que vous pourriez appeler « votre sexualité normale » ? Dans ma conception personnelle, chacun doit avoir dans cette construction sa propre liberté quitte à ce que ce soit dans la MB, il suffit juste maîtriser la partie pulsionnelle. Dans quelque attitude que nous sommes, le but ne doit pas être de souffrir dans notre sexualité, mais avec l’esprit sainement posé de définir - à nos âges d’ailleurs - la cadre dans lequel cette partie de notre vie aussi s’inscrit pour rejoindre une logique de bien-être et non de souffrance.
Je rejoins mon message à Fabrice : Nous ne sommes pas venus sur terre pour souffrir. Si notre propre jugement moral nous accorde aussi la part sainement humaine avec nos imperfections, rien n’est jamais dramatique ! Et ta femme n’aura plus besoin de pleurer sur cette partie de ta vie !
A bientôt mon ami !
Jan
P.S. Qu’appelles-tu une MB à risque ???
Salut Jan merci de t'intéresser à moi.
Pour ce qui est du compteur, je l'ai mis parce que je sais que je peux le pousser assez loin, et qu'en ce moment, j'ai besoin de victoire. Tu sais le beau Narcisse qui se regarde dans son reflet et qui se trouve merveilleux.
Pour l'autre remarque, je te répondrais sur mon fil, un truc un peu construit, un peu réfléchi.
Amitiés.
Agnus dei qui tollis peccáta mundi...
pourtant c'est pas simple le sevrage. On souffre un peu, beaucoup, passionnément à la folie... Ou pas du tout. Mais ça doit être à la fin quand c'est réussi.
Pour l'instant je pars sur el chemin de la Freedom week number 3 pour anglophile francophobe... Je déconne. Je vais pas trop mal. Je me sens bien. Des grandes décisions aujourd'hui. le RDV avec docteur foldingue - je considère que l'humour est un droit inaliénable et signe de santé mentale- pour la fin du mois. De l'ordre dans ma vie, une sexualité qui semble retrouver une place appropriée. Mon rapport aux autres plus sain donc une vie plus zen...
Donc voilà....je continue
Fr-Ed