Eh bien voilà !
Cela fait 40 jours de nickel.
Lorsque j'avais 17 ou 18 ans lors de mes premiers essai de sevrage je m'étais fixé ce nombre symbolique de 40 jours à résister.<b../../../span>
En 34 ans je n'ai pratiquement pas réussi à tenir plus de 4 ou 5 jours.
Et cette fois ci j'y arrive sans même ressentir de réelles difficultés.<b../../../span>
Hier par exemple j'ai eu à gérer un très gros stress d'ordre privé et professionnel, j'ai ressenti durant quelques instant la tentation de fuir la réalité en "trainant" un peu sur le net.
Eh bien ce malaise à à peine durer 1/4 d'heure et tout est rentré dans l'ordre.<b../../../span>
Bien sur mon problème d'ordre professionnel est toujours la et semble t-il pour un bon moment.
Il est, pour moi, particulièrement coriace car je n'ai pratiquement pas
de possibilité d'agir.<b../../../span>
Cet état de fait entraine pour moi une impossibilité à controler la situation.
Et c'est justement cette sensation de perte de controle qui est une des origines de ma compulsion.<b../../../span>
J'ai la sensation d'être maintenant capable d'éviter une rechute masturbatoire mais cela ne me suffit plus,
je veux dépasser mon problème du moment en le gérant proprement, sans péter les plombs en gardant un maximum de recul.<b../../../span>
Je suis impatient de voir comment je vais me comporter dans les prochains jours.
C'est une étape primordiale dans la conquète de ma nouvelle vie.<b../../../span>
Décidement le sevrage m'entraine de plus en plus loin, c'est une aventure intérieure somme toute rare dans la vie d'un homme.<b../../../span>
Merci à tous pour votre attention et n'hésitez pas à venir me rejoindre dans ce train qui n'attend que cela pour repartir de plus belle.