Dépendance sexuelle

Version complète : histoire de Cielazur
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Je n'ai vraiment plus envie de porno ni de sexe compulsif.ça me dégoûte vraiment.  Le truc pour en arriver là c'est de vraiment regarder son comportement passé en face.  Prendre la mesure du gâchis, du temps perdu, de l'inconfort, du risque etc...C'est dur mais c'est salutaire.Servons nous de la culpabilité comme levier. 
Je continue mon rétablissement. Je veux y croire, arrêter de me prendre la tête.C'est vraiment une abstinence totale. Aucune recherche de partenaire, aucune consultation de vidéo ni de sites X. Des mb solitaires rares. J'ai encore tendance à avoir les yeux qui trainent dans la rue, au primptemps c'est pas facile, mais moins qu'avant, je réussis davantage à ne pas avoir le fameux "deuxieme regard".Je prie. Je prie à ma manière et ça me fais du bien. Dieu me le rend bien.Je recommande "Le Grand Silence" de Philip gröning, documentaire sans parole sur les moines trappistes. C'est long, c'est austere et au début du visionnage on se demande un peu pourquoi on a acheté ça...Et puis petit à petit la magie se crée et on se laisse prendre dans la méditation. Sans atteindre l'idéal de spiritualité des Chartreux on ne peut que se sentir humble et vouloir etre un peu plus simple, non violent et prier un peu plus. Ces moines nous rendent bons...Cela m'a touché.Voilà les nouvelles. J'avais un deuxieme rendez vous avec ma psy, mais je suis tombé sur une porte close. Ce n'est pas son habitude. Elle a dut avoir un problème la pauvre. Ce n'est pas dramatique pour moi, mais un peu embetant quand meme . J'espere que je réussierai a avoir un autre rendez vous car pour le moment elle n'est pas joignable mais ce soutien m'est indispensable.
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Bonjour, Je suis de retour. Je vais de rechute en rechute.Le nombre de facteurs qui peuvent me faire rechuter est trop important. Malgré toute ma volonté il m'est impossible de stopper durablement.Lorsque j'ai compulsé j'ai conscience à 200% que j'aurais du éviter.Si je n'avais pas vraiment le désir d'arrêter je n'essayerais pas depuis si longtemps et je ne continuerais pas à fréquenter ce site.Je continue à consulter ma psy tous les mois pour divers problèmes comportementaux mais nous ne travaillons pas vraiment sur ce sujet là. C'est vrai que c'est un tout, pourtant c'est mon problème numéro un.Je ne me vois pas consulter un psy spécialisé en addictologie. D'abord par soucis de discretion j'ai peur d'être découvert par mon ami. Pour la meme raison je ne pourrais participer à un groupe de parole .Je suis fatigué.Il faut a tous prix que j'arrive à me persuader que la vraie vie est vraiment plus positive et agréable que ma fuite dans le sexolisme.Si vous avez des idées qui vous viennent spontanément à l'esprit par rapport à ce message, merci de m'en faire part.Bonne journée à tous. 
Je ne me vois pas consulter un psy spécialisé en addictologie. D'abord par soucis de discretion j'ai peur d'être découvert par mon ami.  ton soucis de discretion est bidon..tu vois deja une psy, rien ne t,empeche de voir un specialiste sur l'addiction.. tu tourne autour du pot.. 
 
Je ne me vois pas consulter un psy spécialisé en addictologie. D'abord par soucis de discretion j'ai peur d'être découvert par mon ami. Pour la meme raison je ne pourrais participer à un groupe de parole .Dommage pour toi
Le mieux, ce serait que ton ami soit au courant, ça te débarasserait de tes excuses foireuses.C'est dans le besoin qu'on reconnait ses amis.Autre chose : "Il faut a tous prix que j'arrive à me persuader que la vraie vie est vraiment plus positive et agréable que ma fuite dans le sexolisme."Si vivant en enfer tu n'arrives pas à croire au paradis, tu n'as plus qu'à lire Hellblazer !

 

C'est le problème des dépendants, on croit toujours que quand les autres découvriront la vérité sur nous, ils nous rejetteront, se moqueront de nous, et on n'aura plus qu'à s'isoler loin du regard de tous.J'ai parlé de ma dépendance à bien des gens. D'abord à des gens qui avaient le même problème, puis peu à peu à mes amis et des gens que je jugeais de confiance. Je ne suis pas mort, et en plus, maintenant, j'ai des personnes à qui je peux me confier quand ça va pas, à qui je peux parler des vraies choses qui me préoccupent.ça sert à quoi les amis si on peut pas leur parler de nos vrais problèmes? Dsl ciel d'avoir été un peu dur: c'était plus pour te faire réagir que du jugement.C'est un mensonge de croire que personne ne peut comprendre notre problème, qu'on est obligé de le cacher, qu'être démasqué signifierait la déchéance. Les dépendants ont général croient qu'il vaut mieux se cacher et n'en parler à personne. C'est très bien expliqué dans alcooliques anonymes. Nous croyons en des choses qui ne sont pas vraies et qui sont fausses. C'est pour cela qu'on a besoin de s'ouvrir aux autres, d'être aidé, et de partager, pour découvrir que nos croyances sont fausses, et en développer d'autres qui nous aideront.Tu veux que je te donne mon point de vue? On ne peut pas en vouloir à qqun qui entreprend des choses pour avancer. C'est à dire que qqun qui va voir un psy, qui va à des groupes d'entraide, ça peut paraître pas banal, mais c'est louable car il se bouge le cul pour s'en sortir. Passé le premier stade où les gens te jugent, ils en viennent rapidement à l'admiration, car c'est beau de voir qqun qui a des problèmes entreprendre des démarches pour se soigner.Mais refuser d'entreprendre des choses nouvelles par crainte, c'est une des pires choses au monde.
Merci pour ta réponse Nuage. Je vais réfléchir à la possibilité de consulter un addictologue. Je vais demander à ma psy son avis et éventuellement de m'indiquer quelqu'un ou alors de recentrer ma psychothérapie sur ce qui est mon principal problème, mais n'est que la cause d'une phobie sociale qui passe inaperçue aux yeux des gens qui me croisent et ne comprennent pas toujours mes brusques réaction (agressivité, provocation, changement d'humeur etc...).  
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Raoult et John Warsen merci pour vos réponses également.Partager de façon volontaire ce fardeau avec la personne avec qui on  vit est inconcevable pour moi (à moins d'etre découvert ce qui hypotèquerait grandement la poursuite de notre relation). Etant le premier concerné il ne pourrait etre à la fois aide et partie. Je n'ai aucun doute là dessus. De plus son caractère ferait qu'il ne le supporterait absolument pas.Quant à en parler à des amis. Sachez que je n'ai pas d'amis. Je l'ai déjà écris ici plusieurs fois mais c'est la vérité. Une vérité inconcevable sans doute pour vous autant  que pour moi .Je n'en ai pas l'explication. J'ai parfois effectué un travail la dessus avec ma psy mais elle n'a pas réussi a me pousser à aller vers les autres. Trop d'obstacles, de déceptions, de freins, trop accaparé par le travail etc...Je vis dans la ville ou je suis né, j'y travaille, je rencontre beaucoup de monde et pourtant je n'ai pas d'amis. Etonnant non? Je sais ça fait froid dans le dos. A une époque ou j'étais un peu plus entouré de personnes à qui je pensais pouvoir faire ce genre de confidences je me suis ouvert à deux personnes en particulier sur ma dépendance. L'une a été catégorique et m'a apporté une mauvaise réponse ("Si tu vas voir ailleurs : c'est que tu as un problème dans ton couple!"). La seconde a immédiatement coupé les ponts.
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Un jour j'y arriverais. Mais apparemment ce n'est pas encore le bon jour...
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URLs de référence
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