09-04-2013, 09:57
John warsen, nihiliste fichtre t'y vas carrément toi ! En tout cas y'avait rien de particulièrement sexuel non plus dans mon propos. j'essaie juste d'appeler les choses par leur nom, j'ai pas la prétention d'inventer une nouvelle philosophie, ni de "m'en mettre une au bout du gland" pour reprendre tes mots ! La question du sexe est sous jacente dans ma relation avec les filles, mais je n'en fais pas le premier objectif mais alors pas du tout ! Je ne sais rien de ces choses là, et en la matière il n'y a pas d'enseignement.Dogmatique, oui j'avoue j'ai peut-etre des idées préconçues sur la question, et j'ai parfois une opinion assez haute qui plus est de ce que j'avance. Mais c'est ma personnalilé alors, je manque de souplesse vraisemblablement, mais je suis comme je suis. J'ai par ailleurs conscience de cet état-là et c'est justement ce qui me pose problème aujourd'hui. Quand la moindre de mes certitudes, tout ce qui m'a permis d'avancer et d'être là ou j'en suis et que je puis renier sans me renier moi-même, est soudain mis à l'épreuve par une inconnue. C'était pas du nihilisme, mais plutôt la peur de l'inconnu donc, l'éventualité d'ajouter un ingrédient important dans ma vie (l'amour) qui me détourne de mes objectifs, projets, aspiration professionnelle en particulier.Bon en somme tu me pousses à aller plus avant dans mes relations et mes démarches sous peine de renoncer à récolter le sel de la vie. Je vais suivre tes conseils. Il me semble que c'est le sens des choses en effet Quant à la connerie dont je parle, c'est juste de la maladresse qui peut parfois être mal interprétée, je ne pensais pas a mal, crois le bien. Je dois m'en prendre qu'à moi si pendant toutes ces années, j'ai avancé avec des oeillères, ça ne va pas sans conséquence et je suis près à les assumer, mais suis je près à vivre à deux ? C'est une question que j'ai pas fini de me poser je sens... Fritzecat, ta participation apporte vraiment beaucoup d'espoir, quant à ce qui agite le garçon en question c'est la peur de mal faire de bruler les étapes, de pas etre à la hauteur, et de me planter parce que je crois que je saurais être heureux, mais que j'ai oublié en route comment c'était.