Dépendance sexuelle

Version complète : Sevrage de RedMoon
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Je préfère aller au quartier des putes et les mater pendant une heure, ça suffit a calmer mes pulsions, lorsque je confronte la beauté esthétique des femmes avec leur réalité sordide. La vérité, c'est que l'envie de retourner faire un saut dans le quartier des putes c'est 10 fois par jour que je l'ai. C'est normal, ça prouve que j'ai de l'énergie a dépenser. Problème elle est pas inépuisable... Bref tout ça pour dire que la lassitude et l'ennui envahissent peu a peu ma vie quand elle ne se confronte pas à l'univers féminin. Ou du moins ce que j'en perçois, car "l'univers féminin" se résume pas à quelques cagoles qui moulinent bien du popotin. Encore que...
Il parait aussi que "l'univers féminin", c'est pas que du "sordide". Merde alors j'avais oublié, encore une fois... 
on a besoin des femmes, elles sont la moitié de l'humanité, c'est normal. maintenant c'est vrai il faut s'efforcer d'élever l'amour et le désir au dessus de la ceinture, c'est une question capitale. car rester en dessous nous maintient dans le syndrome de dépendance et d'obsession. alors que  l'élever nous permet d'aller vers l'univers féminin d'une façon qui soit plus attractive, lumineuse. c'est donc un moyen à terme de connaitre une union véritable qui ne soit pas sordide et vénale. dans le domaine de la spiritualité, c'est souvent quand on a renoncé aux choses qu'elles nous sont offertes. car il n'est pas besoin en réalité de les désirer, elles nous sont naturellement accessibles lorsque nous comprenons que le désir de l'ego est son propre obstacle, car l'envers du désir pour la femme est la peur de la relation réelle avec la femme. et cette peur est ce qui nous empêche d'avoir ce que nous voulons, compliqué, hein...
Oui faut savoir ce qu'on veut avec les femmes. Faut du courage pour l'admettre. Et ça c'est chiant. C'est se centrer sur sa vie ses projets son avenir son travail. Pourquoi  je sais tout ça et je l'applique pas ? Et qu'est ce que j'en sais putain !? Je vais peut-être aller voir ailleurs si j'y suis du coup. Comme tu dis c'est compliqué.
Une trace de mon passage plus symbolique qu'autre chose pour appuyer sur le fait que je ne fais rien correctement depuis 3 mois et surtout que j'ai décidé de remonter du trou où je me suis enterré. Je me relance dans la recherche d'emploi ce qui signifie son lot de rencontres plus ou moins prometteuses et ou la désillusion et le stress on souvent été pour moi le signe d'un renoncement personnel, d'un abandon avec les conséquences que l'on sait. Je dois donc renoncer, c'est un peu contraint et forcé que j'emploie ce terme, à mon petit confort personnel, pour aller enfin vers un avenir construit. Et ça commence ici, sous vos yeux ébahis, m'sieur dames. Je sais qu'au moins par la pensée je suis soutenu par certains d'entre vous, mais bien entendu, ce qui compte, ce sont les actes. Ainsi donc, je renonce à tout ce qui ne me ressemble pas, à tout ce dans quoi je me suis perdu, car je sais aujourd'hui que je me suis bel et bien perdu dans une floppée de lubies plus ou moins persistantes. J'inscrirai dans chacune de mes démarches pour me sortir de cette nasse nauséabonde plus de raison et d'intuition, mettrai mes actes en accord avec pensées et/ou paroles, et ne garderai plus pour moi jalousement ce qui revient à d'autres, et ferai usage parcimonieux et réfléchi de toute mon énergie à plein temps pour vivre heureux. Je vais perdre beaucoup de choses auxquelles je tenais, certains amis et aussi certaines pulsions addictives dont les charmes du sexe sur Internet font partie évidemment. Je ne sais rien de vous sauf que si certains d'entre vous en sont la où ils sont, c'est faute de choix. Par ailleurs, je ne doute pas du bien fondé de ce site, mais je n'accorde aucun crédit à ses bienfaits et je ne saurai que trop inciter les gens distraits arrivé sur ce topic à vivre leur vie.L'énergie, le temps, le courage, la persévérance, et donc le renoncement qui est la suite logique de ce qui précède. Je suis une fois de plus passablement agacé par ma propre médiocrité, en ce qui concerne mon élocution écrite, alors j'arrête de vous harceler vous gens de bien, je n'ai pas le pouvoir d'améliorer le sort des gens. Et en ce qui me concerne, la question reste ouverte, hélas. Bon vent.
Alors ça y'est ? On oublie déjà ses belles promesses ? On choisit de ne pas choisir et on pense que le temps fera l'affaire ? On a pas l'impression d'être déjà passé par là ? Allez ! ALLEZ debout la-dedans !
Wè bon pas extraordinaire non plus, faut pas pousser mémé. Mais je peux pas me satisfaire de cette situation. La routine, les taches rébarbatives, qu'il faut répéter tous les jours comme des rituels quasi religieux, y'a rien à faire ça coince au bout d'un moment. Mais bon c'est pas parce que je suis pas une machine qu'il faut pas définir un plan d'action, s'organiser et tout et tout. Et comment il fait Terminator ? Sauf que si je commence à me prendre pour Terminator, je sais comment ça finit et le rouleau compresseur de la société aura raison de moi tôt ou tard. Et j'en suis encore à m'asseoir devant cet écran, comme s'il pouvait répondre à ma place. Le confort irréel qu'il procure jette un voile temporaire sur les péripéties sans saveur du monde. Il permet de garder un contact distant. C'est mieux que d'être indifférent. 

Faut que j'y aille.

Dur de s'y mettre, dur de s'y remettre et dur de continuer. A force de louvoyer sur la route quand elle est droite, on fini par épuiser le carburant avant la ligne d'arrivée. En fait de ligne d'arrivée, tout au moins un check point intermédiaire. Sur la ligne de départ pourtant, le plein paraissait suffisant. Les jauges étaient toutes ok. Mais ça, c'était au départ. Entre temps, on a pris des chemins détournés. Étonnant lorsqu'on sait qu'il n'y a qu'une route. La quatrième dimension est passée par la. Et patatras, vas-y que je dévale le ravin. La fatigue tombe plus vite pendant l'hiver. Surtout si l'on ne fait ... rien. Et après donc dur dur de remonter la pente. Et bien je suis en bas et je sens que si je bouge, je m'enfonce. Peu pas rester immobile quand même... alors, alors .... suspense...
Donc je disais, rencontrer des gens dans des groupes de travail, c'est a dire avec une coordination menée par un leader, permet de relativiser et de mettre en reflief sa propre réalité. Concrètement fréquenter des personnes avec lesquelles nous n'avons aucun lien, aucune affinité si cela ne présente à priori aucun intérêt, ben alors quoi, faut il arréter de vivre pour autant ? En fait non car le but est le même pour tous, faire au mieux, malgré les difficulté que cela représente et donner le meilleur de soi-même en cette circonstance et débarasser son propre itinéraire de ce que l'on croyait encore indispensable. Vive les connards !
Symptomes habituels des nuits pas finies. Cherche n'importe quel prétexte pour m'abstraire de la réalité, pour contrer la fatalité. Je suis circonspect et peu enclin à avancer à cause des nombreux écueils que la vie me réserve. J'ai pas la conscience tranquille car je suis loin de mes ambitions, et que les revoir à la baisse ne me satisfait pas. Un peu d'orgueil mal placé et un rythme de travail inexistant. Il est 10h10... 11. Une profonde inspiration et hop!   
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