Dépendance sexuelle

Version complète : le parcours de Mondom
Vous consultez actuellement la version basse qualité d'un document. Voir la version complète avec le bon formatage.
Pages : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27
le vrai rhum est bien meilleur que le fo-rum [img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4dbc14f3f.gif"[/img] 

et d'une il n'est pas en train de devenir n'importe quoi ce forum c'est simplement le partage de deux clans malades,,, les dep et les codep,ce que j'ai ressenti est que d'inrevenir une semaine après avoir lu ce post effacé , ne méritait pas autant dejugements par rapport à Modom,,, je ne le connais qu'à travers son vécu sur le forum, à travers des messages, ou des discuts, par rapport à mon cas, je suis codep, et c'est pas rien non plus, mais je sais, que cette dépendance, reste, perdure, et qu'un seul clash, peut faire replonger au fond,et je n'ai pas compris cette intervention aussi "vivante" une semaine après ,,,,,est- ce que c'est moi sui suis à côté? peut-être mais je m'en fiche, c'est fait,tout c e que je souhaite c'est qu'évidemment tout le monde s'en sorte, c'est pas rêver d'une chose impossible mais si,je suis intimmement persuadée que cette dépendance est la plus difficile à soigner, parcequ'elle peut être réveillée de partout, j'ai lu, j'ai imbibé chaque post, quant aux expliacations des dep, un cliché dans la rue, une pub, une émissions et çà peut repartir, souvent , même si la force de vouloir s'en sortir est làet çà a été comme une délivrance car pour moi, je ne me suis pas trompée, une évidence,Je comence suelement après 10 ans de vie commune avec mon dépendant, à me penser une autre vie, sans lui, sans personne,mais on s'interesse à moi, je ne veux pas me dire peut-être suis-je bien dépendante affective, pourtant les occasions n'ont pas manquées, avant, mais là c'est autre chose, autrement,même avec tout çà j'ai peur d'avancer,,,,je scrute, je regarde tout, je note, je me dis peut être que lui aussi? et oui 10 ans,,,,,,peut-être est-ce le moment, peut-être ai-je besoin de cet"épisode" pour revivre, mais je reste la tête haute, je ne suis plus depuis longtemps en désaccord avec moi-même, je me sens bien dans ma tête, dans mon corps, dans mon âge, en harmonieil suffit peut-être d'une rencontre saine, sans équivoque, sans parler de futur, pour juste se dire, j'existe, je vis, je ne subis plus,pensez tous à vous, pensez à ce que vous faites, pensez à ce que vous ne faites pas, ou plus, rester envaser dans son sable mouvant, n'est pas la vie, et elle est tellement courte,j'aia juste envoe de vivre la vie qui m'a été donnée, me,regardant chaque jour,avec une fierté de faire plus que ce je ne devrais faire, pârceque c'est juste çà la vie, c'est aimer les autres que si on peut aimer les autres,ce n'est pas en reculant chaque jour pour être à la hauteur, que les choses s'arrangeront, faire les choses heure par heure, jour après jour c'est juste le bon déroulement de sa vie, si tout çà peut se faire avec un sourire en coin, bah c'est déjà gagné

Et voici mon (Cosmos) 1999eme post sur ce forum...L'esprit, le mental, le conscient, l'inconscient, l'égo, la dépendance... Bientôt deux ans que j'ai commencé à explorer cette planète. J'en ai appris beaucoup, même s'il m'en reste encore davantage à découvrir. J'ai utilisé la métaphore de la fusée qui dérive dans l'espace, quelques fois, sur le chat avec des inscrits... Face à des commandes qu'on ne connaît pas, et dans une fusée dont on ne sait ni où elle est, ni si elle bouge, ou tourne sur elle-même, et où il faut prendre le temps d'observer, déjà trouver un hublot et regarder au-dehors, repérer si des étoiles semblent repasser régulièrement ou non, puis essayer une commande, observer la différence notable ou non essayer une autre commande etc, jusqu'à éventuellement arriver à savoir la piloter. Cela prend du temps mais c'est le seul moyen de se sauver.La vie, l'esprit sont comme cette fusée. Nous avons le choix, soit de rester à nous lamenter de ne pas savoir où elle est ni comment la diriger, ou bien de nous coltiner à essayer de reprendre le contrôle. Pendant ces presque deux ans, j'ai vu que je possédais déjà certains contrôles, que j'en utilisais d'autre complètement de travers, et il y en a certains que j'ai découverts. Raoult écrivait qu'il n'y a que les vieux cons ignares en technologie qui lisent les modes d'emploi; je ne suis pas d'accord, étant un vieux con technologue, je lis toujours les modes d'emploi afin de savoir les possibilités d'une machine et comment elle a été prévue d'être utilisée. Après, bien sûr, je fais ma propre expérience de son usage, mais ne pas lire le manuel est aussi une attitude de "jeune écervelé qui croit tout savoir mieux que les autres à cause de l'arrogance de sa jeunesse"...Les pensées.Sortes de signaux électrochimiques que nous commandons plus ou moins, qui circulent dans notre cerveau selon des connections établies, et susceptibles de se défaire et se réorganiser. Nous avons le langage, qui les filtre et les arrange, ces pensées. Nous pensons des notions, nous pensons des choses abstraites, mais si nous voulons en être conscients et les observer ces pensées, nous les traduisons en mots. Par exemple "cette fille est excitante"...Oui, une telle pensée s'associe d'un ersatz de sensations elles-mêmes véhiculées par de l'électrochimie en nous. Une telle pensée s'accompagne d'une petite excitation sexuelle qui vient accompagner et confirmer les mots "elle est excitante". C'est le produit qui participe de notre addiction. Une telle pensée est donc... une "petite" rechute. Le "second regard", celui qui est bien souvent accolé au premier regard, qui fait qu'on remarque une fille et pas un mec, qui fait qu'on remarque une jolie femme en jupe et pas une "grosse vache" (pardon mesdames, c'est juste pour mon exposé), selon nos goûts et nos prédispositions, est un début de rechute parce qu'on y fait vite intervenir la conséquence qui est cette excitation que d'aucuns appellent le sel de la vie... Mais qui nous la pourrit à nous à force d'avoir déconné avec tout ça et tout déréglé.Une des commandes que j'ai décelées, et que je m'entraîne quotidiennement à utiliser, c'est de contrôler certaines pensées. Museler ses pensées ou ses émotions n'est pas une bonne chose, refouler est malsain et mettre la poussière sous le tapis est la dernière des choses à faire. Mais certaines pensées, comme les souvenirs de situations sexuelles, les fantasmes, etc, sont en fait créées par moi-même dans le but de me faire produire ce titillement. C'est une petite rechute. C'est dangereux. C'est inutile et c'est moche. Je sais les faire partir. Il suffit de ne pas leur prêter oreille, de les chasser en leur répliquant qu'elles ne sont pas bienvenues et chronophages en plus de malsaines. Il suffit... Encore faut-il y arriver. A force de concentration, comme beaucoup, j'y parviens. Sauf si je n'y arrive pas parfois. Mais en m'y entraînant, y compris et même surtout lorsque "tout va bien" et pas seulement quand les mauvaises pensées pointent le bout de leur mini-jupe, je développe et modèle mon libre arbitre en la matière et je renforce ma maîtrise. C'est plus qu'une victoire, c'est une nécessité parce que si je ne le fais pas j'abandonne cette maîtrise de mes pensées, et de ma vie tout entière, à ma dépendance qui joue alors le rôle de la Puissance Supérieure façon DASA, qui me contrôlerait alors totalement, ce que je n'ai aucunement l'intention de laisser encore arriver, maintenant que la supercherie est étalée au grand jour...Rome ne s'est pas bâtie en un jour. Mon esprit non plus. La déconstruction de schémas archaïques ne sera pas plus rapide. La reconstruction à la place, dans un esprit en fonctionnement et en perpétuelle évolution (Je ne peux pas "éteindre la machine", faire de la maintenance, et la rallumer n'est-ce pas.. Je vis aussi ma vie pendant ce temps-là...), tout ça est complexe et dépasse mon propre entendement. Pourtant c'est bien ce à quoi je me suis attelé il y a presque deux ans. Et c'est ce qui continuera d'être jusqu'à la fin de mes jours sans doute. Avec grand optimisme et plaisir de vivre autant que je pourrai au lieu de repli et pessimisme dévalorisants.C'est dur. Peu arrivent à "s'en sortir". S'en sortir ne signifie absolument pas guérir et être débarrassé de ce "mauvais penchant" pour toujours, cela signifie arriver à vivre avec cette ombre qui plane sans la laisser faire autre chose que planer; et en plein soleil elle ne peut pas grand-chose. Le soleil est agréable, alors s'astreindre à y vivre toujours n'est pas la pire des choses. Cela demande des efforts réguliers, qu'il ne faudra jamais négliger. Certes, plus on sait piloter sa fusée et mieux on est armé pour la promener comme on l'entend. Gare aux astéroïdes ou aux aliens, tout simplement, comme pour tout le monde. Éteindre le radar est inenvisageable n'est-ce pas... C'est élémentaire. L'égo, la conscience, n'ont pas de suprématie là-dessus, et il a été illusoire de le croire, de même qu'il a été illusoire de croire que je ne pourrais jamais savoir si un astéroïde n'était pas en train de me foncer dessus... Il fallait que j'apprenne à me servir du radar, et des commandes de la fusée. Bon, il reste tout plein de leviers et de boutons... Gare au siège éjectable, mais peut-être y en a-t-il un qui distribue de la glace au chocolat... S'ils avaient mis la notice, ce serait plus simple. Mais ce n'est pas par hasard qu'il n'y a pas de notice... Pas plus que de fusée peut-être, ou alors c'est sans doute moi qui l'ai construite mais avec des éléments que je n'ai pas tous su maîtriser. Quelle connerie la guerre...
Une conversation avec free hier me trotte dans la tête depuis.Un aspect sur lequel on n'insiste pas beaucoup ici, même si on l'aborde régulièrement, cela n'a pas encore fait son chemin parmi les "principes de base"...Ma dépendance n'est PAS un problème sexuel. Sa manifestation prend parfois cet aspect-là, ce site contient le mot "sexuelle" dans son url, ok. La sexualité présente quelques différences pour les femmes et les hommes, aussi, j'ai déjà exposé mes balbutiements de notion dans ce sens qui ne sont pas encore très convaincants même pour moi. Mais force est de constater qu'il n'y a pratiquement que des hommes inscrits ici côté dépendant(e)s, que les rares femmes qui passent ne deviennent jamais des utilisatrices assidues et régulières sur de longues périodes.Le nouvel inscrit, bien souvent, comme ce fut le cas pour moi, a décelé un bout de la partie émergée de l'iceberg... Il voit au mieux le symptôme premier qui est l'addiction à la MB et au sexe, et c'est déjà pas mal (cela m'a pris plus de 30 ans avant de voir cela...). Mon propos est de mettre l'accent sur le fait que l'iceberg est plus important qu'une question d'érection, de MB, d'éjaculation. Ok, ces questions se posent pour les hommes car nous sommes ignorants et peureux, mais s'attarder dessus c'est se maintenir au plus près du "rassurant" produit de l'addiction.Certes, l'accent est mis ici et sur Orroz.net sur ce challenge que représente le sevrage. Cela ressemble à une quête presque insurmontable... Le sevrage ne fait pas tout, il n'est que le début, et je pense que tous ceux, y compris moi-même, qui ont dépassé le stade "je m'accroche mais n'arrive pas à dépasser une barrière de xx nombre de jours d'abstinence" voient bien qu'il s'agit avant tout de voir que c'est possible, et que cela démantèle le mécanisme neurochimique d'assuétude, et que cela désembrume et permet de lever le voile sur le reste de l'iceberg. Le sevrage c'est nécessaire, ce n'est pas très facile, ce n'est cependant qu'un élément d'une reconstruction de soi qui est bien plus importante pour moi que "perdre une habitude sexuelle néfaste". C'est en comprenant cela que j'accepte sincèrement et volontairement de ne plus croire au plaisir que l'excitation me procurait en apparence, en voyant que je détournais ce qui est simplement une belle partie de la vie amoureuse en croyant que cela pourrait servir à autre chose, à savoir fuir la dureté de ma vie. Cela a fait illusion, trop bien et trop longtemps, mais une fois que j'ai vu que c'est une erreur comme l'usage excessif de n'importe quelle drogue, je me dois de laisser cette vérité décanter au fond de moi, m'y ouvrir et la faire mienne entièrement, et ainsi laisser tomber ce leurre tout simplement.Et porter beaucoup de mon attention sur des questions autrement importantes pour moi que ma quéquette! Ce mystérieux organe dont on raconte qu'il fait mon humanité, ma virilité, ma puissance... Alors que je n'ai en fait ni la toute-puissante maîtrise dessus, et que franchement d'autres choses autrement plus importantes dans la vie existent, et ma quéquette ne sera de toutes façons jamais assez grosse pour les cacher toutes derrière...Il ne s'agit pas de négliger son sevrage, mais peut-être essayer de se projeter plus loin que cela. Parce que le sevrage ne résout pas les problèmes, il aide à les trouver pour celui qui accepte de les regarder. Le sevrage en se regardant la nouille pour bien la surveiller et essayer de lui interdire de se manifester est tout bonnement voué à l'échec. Parce que le problème ne vient pas de cette nouille à qui on l'attribue faussement.Je laisse ma nouille tranquille et elle me le rend bien. Je ne compte pas le nombre de jours, mais depuis que je me suis remis en route je n'ai pas encore eu à me bagarrer contre parce que JE ne provoque pas cette inutile bagarre. Et j'utilise autant que je peux de mes ressources pour découvrir ce qui fait que j'ai eu recours à ce désastreux stratagème. A mon rythme, je poursuis mon introspection, mes lectures, mes réflexions sur moi, ma vie, je cherche encore dans mes souvenirs, je fore encore dans mon esprit, je débusque encore des lièvres, je trouve aussi des belles choses, je confronte, je répare, je dépoussière, je secoue les tapis, je regarde dessous, je pose des actes qui sont autant de réalités et de jalons, c'est juste comme ça que j'aurais du vivre depuis le début parce que c'est passionnant et que j'ai eu tort de me croire indigne de vivre ainsi. Ce n'est pas qu'un travail temporaire de reconstruction. Certes il y a une sorte de rééducation à faire, qui est en train et ne sera jamais réellement "finie", mais il y a surtout une vie qui se nourrit, qui comprend le fait de se l'approprier, d'en être un acteur actif et pas un spectateur déçu, mon but n'est pas de retrouver après un travail sur moi un "retour à la vie tranquille", mais après ce travail sur moi, de le poursuivre et de vivre plus intensément, plus intelligemment, plus efficacement, plus honnêtement ma vie. C'est sans doute négliger cela qui m'a fait replonger il y a quelques temps. Je ne le prends pas comme une condamnation ou une obligation, je le prends au contraire comme une superbe occasion d'aller bien! De profiter de ma vie au max, sans me fermer des portes parce que je me concentrerais sur certaines... Je fais le choix de faire mes choix, en somme.Et mon zizi? Ben il est avec moi dans mon pantalon et puis c'est tout, je le vois régulièrement pour uriner. Peut-être bien qu'un jour la vie me mettra en situation de nouer une relation amoureuse et de faire l'amour, mais qu'est-ce que cela peut me faire aujourd'hui d'envisager cela? Aujourd'hui c'est un rêve de conte de fées tout au mieux, et ces trucs-là sont irréels, et je veux la réalité alors je m'occupe de cela avant tout.Ok, j'ai 43 balais, et je n'en suis pas à mon "coup d'essai", et il n'est pas évident en débarquant sur ce forum de parcourir d'un coup toutes les prises de conscience qui m'ont prises à moi deux ans. Si j'écris tout ceci c'est pour me l'exprimer à moi-même, pour fixer ma pensée. Si quelqu'un lit et en tire quelque chose, c'est tant mieux.
[img=../../../uploads/smil3dbd4dbc14f3f.gif" border="0]" width="15" height="15[/img] wow.. et beeeeeeeen.. on en a parlé souvent avec Free.. mais j'avais pas osé le dire clairement pour ne pas choquer.. Je suis plus directe que toi.. tu le sais.. mais voilà, effectivement faut arrêter de se regarder le nombril.. voir plus loin que le pénis et le plaisir (tout relatif cela étant...) qu'il peut apporter dans vos branlettes compulsives... effectivement ce n'est qu'un petit petit bout de l'iceberg( sans insulter Mr le pénis en question...biensur  [img=../../../uploads/smil43c014c55f944.gif" border="0]" width="15" height="15[/img])Tout ca pour dire qu'il faut peut être voir plus loin et arrêter de tourner sur vous mêmes.. avec "j'ai le zizi mou.. le sperme liquide.. envie de m'uriner dessus...j'ai regarder ma voisine "....faut gratter encore une fois ou ca fait mal.. trouver les vraies origines de cette maladie.. GRANDIR j'y reviens... ouvrir grand les yeux face a la réalité et en pas avoir peur de ses propres sentiments ou angoisses.. se prendre en main comme un adulte et réagir sans se trouver des excuses.. parce que quoiqu'il en soit chacun de nous reste entièrement responsables de ses actes  et on a toujours le choix !Chapeau en tout cas Mr Mondom... bon ménage !!
congratulations Mr Mondomçà c'est du raisonnement ou je ne m'y connais pas,effectivement si je peux rajouter, fixer un sevrage, çà pompe encore du temps, temps qui serait bien évidemment bien à occuper à autre chose, il faut le comprendre le pourquoi de ce sevrage et ne pas en faire peut-être un labeur d'accès difficile qui occupe encore tout l'esprit du dépendant,,,peut-être, je n'ai jamais assisté à un groupe de paroles, mais peut-être aussi, ai-je tellement parlé des dépendances autour de moi, sans aucune gêne, que cela m'a certainement servi de thérapie, va savoir, et aussi de ne plus chercher trop à comprendre le pourquoi du comment, en ce qui me concerne moi la codep de service, peut-être l'ai je en moi, je ne m'en veux pas, je barre tout simplement en m'étant mis mes limites, et point, je n'y pense plus à ce jourT'es excusé pour les "grosses vaches" au fait!
Merci Mondom d'avoir écrit ce long poste plein de justesse et qui me fait tellement de bien. Je compare de plus en plus le sexolisme à une réponse chimique à un problème psychologique plutot qu'à un problème sexuel originel. Je serais meme pret à dire (dussais-je choquer la gente féminine qui comme chacun le sait est absolument exempte de défaut majeurs :-)) qu'il y a moins de perversité et de bassesse chez le compulsif notoire qui sacrifie une large partie de son temps à la compulsion que chez l'opportuniste pret à conclure sans délai selon les arrivages de "chair fraiche" qui passe à sa portée, ni vu ni connu, vite fait sur le gaz, je t'embrouille et je retourne vivre tranquillement ma vie de bon père de famille à l'image immaculée. Il s'agit bel est bien d'un grave probleme de dépendance chimique au meme titre que l'alcool le tabac, la drogue le jeu qui il est vrai touche presque toujours les hommes ( sans doute est ce une question physiologique). Alors de grace lorsque quelqu'un vous parle de son impossibilité d'arreter de boire ou de fumer vous ne lui dite pas qu'il lui suffirait d'arreter pour etre heureux et que vous meme vous arrivez trés bien à vous passer d'alcool ou de tabac, ou de jeu, sans pour autant etre malheureux? Alors svp mesdames faites en autant pour les sexolistes . Concernant le tabac j'ai lu qu'un certain pourcentage de la population était completement insensible à la nicotine donc ne sachant pas si je fais partie ou pas de ces personnes je me garderais bien de juger un fumeur invetéré mais plutot de compatir et d'essayer de l'aider avec finesse, bien que le probleme ne me concerne pas. 
mais pour moi il n'y a qu'une dépendance au centre, avec des ramifiactions différentes, quant au produit, ou autre, et si Ciel, beaucoup de femmes font l'erreur ne ne plus faire entrer aucun alcool dans leur maison, croyant que son dépendant minimisera les dégâts, j'en connais, perso, je leur dit que çà ne sert à rienComme celle qui va partir avec le modem, ou celle qui va jouer de l'ultimatum,,,,,,,ce n'est pas comme çà que çà marche,faut apprendre aussi de l'autre côté et pour çà faut aussi l'avoir vécu, soit le sexolisme passe moins ca ril touche l'intimité, c'est juste çà, mais l'enveloppe reste la mêmel'enveloppe du "mien" est complète, y a pas que le sexolisme, y a sa dépendance centrale
Les femmes, on n'a des défauts et déjà a mon sens celui de trop supporter l'inacceptable... !Pour revenir sur l'exemple de la personne qui fume.. si elle le fait.. c'est normalement avec le respect de ne pas enfumer ses proches.. [img=../../../uploads/smil3dbd4dbc14f3f.gif" border="0]" width="15" height="15[/img] parce que c'est comme cela que l'on doit fonctionner.. Respect de soi et des autres... Après, a partir du moment où c'est un(e) adulte, cela reste sa vie et sa santé.. Chacun est maitre de savie et de ce qu'il veut en faire.. les autres n'ont pas à jouer le role de l'infirmière, de la psy ou de la mère... Pour ce qui est du sexe, c'est tout à fait différent car cela touche a l'intime, a la vie de couple, au respect de sa/son partenaire.. et a mon sens, ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse.. Première des choses...Deuxième chose : a jouer avec le feu on finit toujours par se bruler.. à se retrancher derrière des excuses.. a juger les autres adultères (qui font bien pire...) a se dire qu'on est malade.. (oh làlà qu'on est malade.. )On n'avance pas ! a compatir non  plus... Et la dedans il s'agit d'assumer ce que l'on fait et d'avancer... c'est bien la le gros du problème...Avancer, c'est y mettre les moyens : psy, dasa, anti dépresseurs, sexologue etc.. c'est aussi ne pas regarder la paille chez le voisin.. on a bien assez de sa poutre...C'est ouvrir les yeux sur sa propre réalité et y faire face !!! Après lorsqu'on voit que les gens qu'on aime, souffrent.. Il faut peut être mieux partir pour régler des problèmes qu'ils n'ont pas à partager ni même à subir..J'ai un grand respect pour les dépendants qui mettent tout en oeuvre pour s'en sortir.. je sais que c'est un combat.. faut il vouloir combattre..[img=../../../uploads/smil3dbd4d6422f04.gif" border="0]" width="15" height="15[/img]
Vous n'avez pas que ces défaut là, vous les femmes, Lia. Je peux dire avec certitude pour moi qu'une partie importante de mes problèmes fut causée par ceux de mon père et de ma mère. Et de ma mère. Oui ma mère a des problèmes de sacrés problèmes affectifs, émotionnels, et donc sexuels hein. Bref j'en ai bavé et j'en bave aussi à réparer ses schémas de vie catastrophiques. Maintenant les problèmes que j'ai sont mes problèmes quelqu'en soient l'origine ; mêmes ceux dont la seule résolution consisterait à reconnaitre qu'ils ne m'appartiennent pas. Ce lachez-prise se fera par mon intermédiaire, en parti du moins. Et à moins de remonter au pêché originel, chacun profite et subit un héritage familiale et nationale. Côté subir : j'ai à assumer ma part (salée) de traumatismes, carences affectives, problèmes génétiques. Côté profit : ben quoi, je suis en train de vous parler, non ? Pour dire que les problèmes des femmes sont certainement moins voyant que ceux des hommes, en tous les cas, moins dans l'expression directe. Mais le nombre d'enfants bien "chargés" par leur mère témoigne que ces problèmes trouvent effectivement leurs hôtes à saigner jusqu'à ce que mort s'en suive. Ces phrases ne sont là ni pour me dédouaner de ma responsabilité ni pour déplacer une culpabilité sur "les mères". Je ne fais pas de généralisation. Je veux simplement pointer du doigt un fait évident : un problème non réglé chez les parents a pas mal de chance de se retrouver sous une forme ou sous une autre chez leurs gamins. Et des problèmes psychiques, les mères on en autant que les hommes. Et la souvent plus grande proximité des mères avec leurs jeunes enfants rend la prégnance de leurs problèmes surement plus importante que ceux de leur mari dans la majorité des cas (mais ça c'est uniquement mon avis, à la va-vite, ouais).  Pour finir, ce problème d'addiction sexuel que j'ai est un problème systémique (il m'englobe, me lie et me dépasse) -même si je me trouve être son souffrant direct ainsi que le chef d'orchestre de sa possible (priez pour moi) résolution. 
Pages : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27
URLs de référence