Dépendance sexuelle

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personne ne saura qu'elle role et place tu auras dans l'avenir de ce forum, même pas toi. je crois que ce forum est important pour toi car il t'a apporté beaucoup. donc tu es en dette.
je crois qu'il ne faut rien forcé, si tu te sens d'intervenir interviens. et si tu compost leves le pied et arretes toi sur une aire de repos.
désolé pour ton ego mais tu as déjà une statue parmi nous. et une statue c'est plus impressionnant qu'un pilier ;-)
forcer les choses c'est au départ une motivation négative, voilà un truc que j'ai pigé. etre autovigilant c'est cool, s'autosencuré j'y crois plus. mais plus du tout.
super pour la clope moi je rame dure et y'a du courant marin, que c'est dure.
En dette ? est-ce que je suis en dette envers le forum ? moi qui ai tant fait pour lui, môssieu Astérix ? :-o si la question se pose comme ça, elle ne se pose pas, ou je choisis de ne pas y répondre.
Quand j'allais pas bien le mois dernier, je me disais que j'avais perdu 18 mois de ma vie sur le forum à me prendre pour un sevré qui ne l'était pas, alors que maintenant je le suis mais je n'y crois plus.
C'est normal que l'orgueil se mange une banane après ce genre de vautrage.
Si je rechute après un an, faut surtout que j'en fasse pas une catastrophe nationale, et pas me dire que mes messages sont périmés comme les yaourts au goût vulgaire.

Je n'ai donc plus les moyens d'avoir des "idées" sur la question. Donc je n'ai pas de "pensées", et encore moins à partager. Quelque chose s'est défait. S'il y a souffrance, dépression et plaintes, (essentiellement silencieuses) c'est qu'il a dû y avoir beaucoup d'orgueil et de j'me-la-pête sans m'en rendre compte.

En restant dans mes 24 heures, je finirai bien par assécher le lac.

Je pense que si chacun ici a l'impression d'avoir reçu plus qu'il n'a apporté, il faut bien que le reste vienne de quelque part. C'est ce qu'on dit aux AA pour évoquer la "puissance supérieure" à l'esprit des incrédules.

J'ai beaucoup de mal à faire jouer la carte "spiritualité" face à mes préférences affectives et émotionnelles m'inclinant à tomber du côté de la confiture. Peu de liberté de choix dans cet enchevètrement de déterminismes.

Mais à part accepter d'être gaulé comme ça pour le moment et voir ce que je peux faire avec ou à côté, ma liberté consiste surtout à me confronter à l'action, qui seule me préserve de la peur d'agir.

D'où cet éloignement du forum, même si j'ai un mal de chien à ne pas y revenir traîner ma couenne, sachant que si j'l'avais pas eu y'a 18 mois je n'aurais pas mis cette distance infiniment sécurisante entre moi et les famapouals.
Je reste membre du club. Mais je n'ai plus grand chose à fourguer, et n'aime pas les redites.
See you !
ok avec ton analyse, mais je me dis que c'est un putain de message : "on" me signale que j'ai fait mon temps comme animateur, ou modérateur, ou héros du forum, ou c'que tu veux, et que la crampe du forum ne vaut pas mieux pour moi que l'autre puisqu'elle ne m'en préserve plus. Ceci dit, pas d'envie de q et je suis clean depuis un mois.
et les rencontres dans le réel avec les dep's sont 10 fois plus enrichissantes que ces pings-pongs dactylographiques. Je veux dire qu'elles ont plus d'impact.
c'est juste la p'tite voix dans ma tête
qui me dit que j'suis obsolète...
ça me passera peut-être
mais à force de bramer mon malêtre
de cyber(johnny)depp
il vaut mieux que je sorte par la fenètre
bien sûr que le forum est un formidable tremplin de rencontres et de partage sur le fléau pornoïque, je ne remets pas ça en cause.
Ca fait quand même bientôt deux ans que j'dis
qu'il faut que je m'éloigne de mon ordi !
Je sors de la déprime POST-tabagique (je n'ai pas envie de fumer et c'est le cadet de mes soucis apprès les sévères remontées d'huile dans le carbu de ces derniers mois) et c'est pas forcément mieux, mais c'est forcément mieux quand même. ce matin, gros coup de colère envers mon fils ado qui multiplie mensonges et provocations, mais pas forcément pour me faire réagir : simplement parce qu'il est à l'âge où...
et moi qui m'apprétais à faire un post "la colère m'a quitté" ouARF OUARRF;
je le disais en mp, je le répète ici, je suppose que je dois au sevrage l'absence de fantasmes sexuels malgré mes rechutes récentes. Le plus dur à accepter, et c'est donc le truc à accepter d'urgence et plusieurs fois par jour s'il le faut - c'est la disparition totale du "confort" résultant du sevrage précédent. Difficile de laisser l'ordinateur vraiment éteint, j'ai quelques conversations en cours, et pourtant, rien qu'être assis devant, ça commence à picoter, donc il faut rapidement l'éteindre.
lisez donc éric loonis (bien qu'on y reste un peu le nez dans le caca : en gros, au rang du soin, il suggère de "varier les plaisirs" et eckardt tolle, (bien que le caca y perde au passage sa nature merdique) ... respirez à fond, relisez Orroz, ne vous laissez pas asphyxier par l'obsession de sevrage (remplaçant l'obsession du porno)... phrases maintes fois répétées, que je pratique au quotidien.
Ici plein de nouveaux, quelques anciens, des fantômes affamés qui cherchent à sortir de leur statut...
j'ai repris une démarche "psy" avec une praticienne du rebirth, parce que sur le plan intellectuel j'étais à bout. Cuit.
Avec son aide je respire, je pleure, j'essaye de contacter mon enfant intérieur, celui qui est resté en rade et qui menace de faire couler la boutique si on ne s'occupe pas de lui...
salut fraternel
christophe
A propos de cette démarche psy, je fais ça depuis a peu près 5 ans, avec quelques interruptions et un changement de thérapeute.
En France les seuls praticiens remboursés sont les médecins psychiatres (libre à eux de pratiquer autre chose en séance). Beaucoup sont aussi psychanalystes, ceux que j'ai consultés le sont et la séance consiste en un entretien face à face d'une vingtaines de minutes (certains c'est 15, d'autres ça va vers 45). Ce qu'on appelle un psychothérapie analytique, pas sur le divan. En général ces thérapeutes sont réputés pour pas parler beaucoup et c'est pourquoi j'ai changé, celle actuelle le fait un peu plus mais on ne peut pas parler d'échange, elle intervient ponctuellement.
En me retournant j'ai un peu de mal à voir ce que ça a changé, à la base j'ai consulté pour cette anxiété qui prend différentes formes comme angoisses, TOC et maux de ventre, j'ai enfin réussi à parler de mon addiction mais je n'arrive pas à voir en quoi c'est lié aux améliorations légères que j'ai observées ces derniers temps.
C'est clairement plus avec ce que j'ai découvert et essayé d'appliquer l'enseignement de Prajnanpad que le changement global dans ma personnalité est intervenu. D'ailleurs quand j'ai lu "L'expérience de l'unité", je me suis dit que j'avais enfin trouvé un bouquin compréhensible sur la psychanalyse. Et pour cause, ce sont les retranscriptions d'entretien avec un de ses disciples indiens, en face à face, avec finalement peu de références aux textes sacrés anciens, et toujours pertinentes et argumentées. Note qu'il était assez élogieux sur Freud et qu'il pratiquait aussi ce qu'on est venu a appelé des lyings, c.a.d l'expression allongée d'émotions refoulées en revivant en immersion le traumatisme.
Mais la différence, de taille et cruciale, c'est que le but visé est beaucoup plus profond que les thérapies occidentales classiques, qui visent à nous faire retrouver notre autonomie pour naviguer dans la société. Là on parle de transformation intérieure radicale. Je sais pas si c'est vraiment atteignable pour nous mais "Si tu veux tracer ton sillon droit, accroche ta charrue à une étoile". Avec ça, c'est ma vision de la vie qui est devenue infiniment moins négative.

En tout cas, lors des séances avec ma psy, je vois bien les limitations de ce genre d'entretiens. Finalement on essaie de trouver avec seulement la tête une solution à un problème dont la racine qui se situe à un niveau corporel-émotionnel (qui vient ensuite colorer les pensées). Et surtout, entre les séances, on est pas incité à pratiquer cette tentative de lucidité.
D'ailleurs je pense qu'elle est plus ou moins sur la même longueur d'onde, me disant au détour d'une phrase sa boulimie. Pour moi quand même l'utilité de cette démarche c'est d'essayer de faire ressurgir un certain nombre de choses du passé et de connecter mes réactions présentes aux évènements de l'enfance. Apprendre à vivre au quotidien, maintenant que sur un plan psycho-énergétique je tiens sur mes pieds, j'y arrive seul et j'essaie de comprendre mes frustrations et désirs immédiats à la lueur de ce que dit Prajnanpad. Hormis l'addiction et ce qui fait lever une réaction émotionnelle que je ne comprends pas, je lui parle assez peu des évènements du quotidien, en tout cas pas pour avoir un conseil.

Ce que tu dis du rebirth a l'air tentant (c'est quoi la méthode ?), on parle peu de ces thérapies. Ce serait bien d'avoir l'avis de ceux qui en pratiquent d'autres. Le sexologue que j'ai vu semblait clairement prendre la parti des thérapies cognitivo-comportementales (TCC) par rapport à celle que je viens d'évoquer.

Sinon Eckhart Tolle c'est vachement bien, Radio Ici et Maintenant diffuse ses talks sur le net en anglais de 6 à 7 le matin.
Je l'ai écouté sur mon baladeur en partant et retournant du boulot intensément pendant 10 jours, j'ai retrouvé un peu ce calme qui m'avait envahi après ma retraite. Il ne donne pas vraiment de méthode mais il pointe pas mal de choses intéressantes.

Mais à certains moments d'énervement ou d'excitation, je devient totalement hermétique à ce qu'il raconte.
Il dit souvent qu'une astuce pour bien l'écouter c'est prendre conscience de l'espace entre les mots, et pour moi c'est un bon indice. Si j'y arrive pas, j'arrête au lieu d'écouter mécaniquement.
petit bilan de rebirth, après 3 séances espacées de 15 jours chacune + 1 après-midi en piscine. C'était assez drôle parce que j'étais le seul homme, entouré de 5 femmes amochées par la vie je ne sais pas jusqu'à quel point, c'était pas un concours mais l'idée de pratiquer "en groupe" en piscine nous oblige à sortir le nez de notre douleur pour accompagner celle de l'autre.
Praticienne trouvée sur http://www.psycho-ressources.com
Je ne voulais plus d'une thérapie en face à face (déjà plusieurs entreprises, avec des succès, des progrès, mais le mental étouffe tout chez moi, donc je voulais autre chose : travailler directement sur les émotions; très durement ébranlé ;-) par l'arrèt du tabac et les rechutes porno récentes, sans parler de sérieuses difficultés professionnelles. J'ai failli me flinguer. En tout cas j'ai été sérieusement squatté par des images de suicide avec mise en scène et tout. J'avais beau les mettre à distance en les mettant au crédit du dépit narcissique...
...enfin bref, ça calme. En rebirth
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rebirth
on travaille sur l'émotion, et ça c'est sûr que j'ai beaucoup pleuré, pendant et parfois entre les séances. Est-ce que j'ai vidé le lac ? je ne sais pas. Les détracteurs disent que c'est une thérapie de la régression. c'est possible. En tout cas la femme qui m'a "accompagné" pendant ce travail, si elle ne m'a rien asséné de révolutionnaire, m'a bien fait comprendre qu'a part accueillir et pardonner, au lieu de me prendre pour une catastrophe humanitaire, l'a fait de façon honnète.
Je ne sais si je vais refaire de séance tout de suite, j'en ai un peu marre de chialer au risque de renaitre. Faut dire que pour se frustrer et refouler, le porno c'était top-moumoute. Ca se décante doucement, et le constat que j'en fais c'est que si je veux dissoudre l'aspect dépressif faut éviter de le nourrir, donc réduire toute station prolongée devant un écran.
à vous les studios.
C'est tout de même génial que tu sois parvenu à arrêter le tabac!!
j'ai rechuté dans le tabac depuis 2 jrs et je me suis arrêté sur demain pour arrêter cette mauvaise manie!

Reprendre alors la marche puis le jogging.

Cela m'attriste que tu sois en souffrance alors juste te dire que vue de l'extérieur (ou disons lue de l'extérieur)
sur ce forum tu es quelqu'un que j'apprécie franchement, car tu sais les mots juste à dire et à placer la ou il faut!
Le fait que tu sois dans la panade ne raye en rien tout le bien déja donné à tous ces gens

501, ce n'est pas la marque de mon jean mais bien le nombre de message que tu as posté!

Hein???... Oui un, c'est bien le nombre de rechutes que tu as effectué depuis le 08.10.2005
(infos prises sur ton profil) tu imagines le temps sinon qu'il m'aurait fallut pour compter tes interventions!


je n'ais pas lus tout ce post et même si je n'ai que répété ce que d'autres ont dit.

Ceci dit peut être qu'effectivement il ne serait pas néfaste pour toi de t'éloigner de ton ordi.
Idea Idea Idea
Prendre des cours de théâtre, n'y as tu jamais songé???
Je te verrais très bien la dedans!

ou des cours d'autres choses, de ce que tu aimes, la vidéo???
Citation :John Warsen a écrit:
En rebirth
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rebirth
on travaille sur l'émotion, et ça c'est sûr que j'ai beaucoup pleuré, pendant et parfois entre les séances. Est-ce que j'ai vidé le lac ?

Vider le lac est peut-être moins grave que de noyer le poisson.
Chez moi le poisson c'est le mental, et à défaut de le noyer - en vidant le lac ! - le rebirth l'a un peu redimensionné en lui taillant un short. En plus l'été arrive, c'est cool les shorts, à condition d'être guéri de la trique cosmique et de ne pas avoir d'érection monstrueuse à dissimuler.
Orroz disait : "Attention au piège du mental, car il fait le jeu de l'ego. Et comme votre ego fait le jeu de la "bête", vous risquez de tourner en rond dans votre problématique de base sans jamais trouver de solution. Et pourtant, la solution vous la connaissez : regarder droit devant sans rien regretter." J'écris à un ami qui ne vient plus sur le forum : "Quand le désir devient malédiction...
ça serait bien que tu lises le livre de Loonis que je t'ai envoyé, tu y découvrirais qu'à force de baiser avec notre imaginaire, puisqu'il s'agit de cela, et seulement de cela, finalement on se fait baiser par lui (on s'en doutait un peu)
Quand ça me gratte, j'évite de me gratter, parce que je sais d'expérience que ça serait sans fin : comme boire de l'eau salée quand on a soif.
Un ami me racontait hier le cas d'une personne qui, après avoir cessé de fumer pendant 9 ans, a eu un obscurcissement de conscience passager au cours duquel il a cru qu'il pouvait se risquer à en allumer une. Prévisible : sa consommation est maintenant supérieure à celle d'avant son sevrage.
Et ainsi de nous : un ou deux dérapages autour du jour de l'an, et c'est trois mois de dépression carabinée qui me sont passés dessus avec une joie sans mélange.
Bref.
Tu sais que c'est vide mais il y a quelque chose qui ne peut être raisonné en toi et qui croit que c'est plein; il n'en disconvient que lors des quelques instants qui suivent la fin de la masturbation, dans un grand cri de dépit étouffé qui ne mérite pas le nom de jouissance, et il usurpe vaguement ton identtité pour satisfaire ses besoins, mais tu ne lui prètes pas l'attention suffisante pour désamorcer le subterfuge; tu ne cherches pas à détailler les traits de ton ravisseur dans la pénombre parce que la "possession démoniaque" (ou "des moniques" ça marche aussi) au terme de laquelle tu te retrouveras plus vide qu'avant d'héberger cette tension désagréable commence à prendre forme, c'est à dire à prendre "ta" forme puisqu'elle doit passer par toi pour se satisfaire)
donc tu ressens ce vide, et tu cherches une fois de plus à le remplir, et tu sais que c'est peine perdue, mais mû par l'habitude de la défaite et prèt à tout pour éprouver le soulagement maudit, impossible de combler ce trou de ressenti par des images, qui ne sont que des représentations sur lesquelles tu projettes tes vieux fantômes affamés, et plus tu constates que c'est impossible à remplir et plus tu essayes, et plus l'inanité, l'absurdité de tes efforts te fait flipper : tu ne vois plus du tout comment t'en détacher maintenant, cette mécanique qui t'asservit sans t'apaiser. Ce poison qui crée le manque qu'il prétend combler mais qui le fait de plus en plus imparfaitement.

Et toutes ces reculades parce que tu as peur de perdre ton identité en lâchant ces désirs.
C'est plutôt une pulsion : pour qu'il y ait désir, il faudrait qu'il y ait quelqu'un de désirant, et si tu regardes bien ce n'est pas cela qui t'arrive quand tu cèdes à marée haute.
Au fond, il n'y a "personne" qui puisse éprouver ce désir pour de la viande pixellisée. Ce qui ne l'empèche pas de s'élever en toi. Impersonnel. Tu ne participes à la fête que comme dommage collatéral.

Il y a deux façons de s'extraire durablement d'un trou noir (avec ou sans poils autour) :
soit à reculons : on le garde ainsi au centre de son champ de vision en espérant que ce soit une sécurité suffisante pour qu'il ne nous saute pas à la figure, qu'il se résorbe petit à petit au fur et à mesure que l'on s'en éloigne.
Pas de surprise, mais on reste durablement obsédé.
soit en lui tournant le dos (méthode Superguerrier 3000 et autres) : Regarder droit devant sans rien regretter, ce qui ne nous dispense pas d'établir le contact avec les zones irradiées. A défaut d'une indifférence réelle on peut la feindre c'est à dire la cultiver, puis en récolter les fruits : au bout de x mois on est guéris."

à deux jours près, ça fait deux ans que je poste sur des forums de dépendant sexuel.
Je suis content d'avoir lu récemment qu'on pouvait se remercier pour même la pire journée d'abstinence car elle est toujours moins pire qu'une journée sous addiction, je trouve ça très vrai, l'abstinence ne m'a jamais fait souffrir comme l'addiction et on devrait s'en rappeler quand on trouve ça difficile".
Ni dieu ni maitre ni Internet ? finalement, ce ne sont que des outils au service du mieux-être et du progrès spirituel.
Loin de moi l'idée d'instrumentaliser Dieu, Orroz... et d'anthropomorphiser les famapouals :-? :-?
je me rappelle un témoignage chez les SA d'un gars qui racontait s'en être sorti en offrant ses couilles à Dieu. Ca me faisait rire, moins maintenant.
a+
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