Dépendance sexuelle

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La première blague sur la cyberdépendance, par John W., de l'Institut.
C'est l'histoire d'un mec qui se tirait trop sur la nouille et qui est devenu éjaculateur précoce à force de se branler sur internet. Pour retrouver des rapports sexuels normaux avec sa conjointe, il essaye des préservatifs à effet retardant, mais ça marche aussi sur elle donc il n'arrive pas à la satisfaire. Il en essaye des "stimulation des 2 partenaires", mais ça l'excite deux fois plus et il arrive tout aussi vite à l'orgasme. Un jour il a l'idée de génie : en mettre deux l'un sur l'autre, "effet retardant" dessous et "double stimulation" par dessus. Mais curieusement, il jouit en trente secondes. Sa femme, qui a fini par observer ses ratages avec une tendresse amusée, lui demande ce qui s'est passé. Il vérifie sa stratégie : il avait interverti les deux boites.
(cette blague sera drôle vers 2023)
en attendant 2023 j'en ai une pour aujourd'hui,

moi j'aime bien celle du compulsif sexuel fatigué devant son docteur:
le patient enumere de façon chronologique sa journée et la serie de rapports sexuels qu'il a avec sa femme, ses collegues, ses maitresses et enfin sa femme. comptez au moins quinze rapports en une journée et racontez l'histoire en faisant en sorte qu'on comprenne que le doc arrive facilement à la conclusion suivante :
- ne cherchez plus mr, cette fatigue provient effectivement de ces rapports nombreux, il va falloir ralentir le rythme.
-vous etes bien sure doc, c'est bien ça qui me fatigue?
- oui sans aucun doute
-ouf et moi qui pensais que c'était à cause de la masturbation
:sceptic:

bon dimanche
déclick
Aujourd'hui je bossais à france 3, où il faut amener de la lecture ou son tricot, parce qu'on peut passer une bonne partie de la journée à attendre que les journalistes rentrent de tournage, et après on bosse comme des tarés pour démouler le sujet -montage et mixage - avant 19 heures, heure de la diffusion du journal. Bref.

Un sujet d'actu à monter me tombe dessus, et c'est sympa parce que c'est le portrait d'un ancien curé (mais il se soigne :lol: )-peintre septuagénaire et non conformiste qui dit des choses comme "la prière pour moi c'est pas une suite de mots, c'est une espèce de présence à l'indicible, à ce qu'on a de plus profond en soi. On est plus grand qu'il ne parait et plus petit qu'on ne pense." en souriant doucement, et n'importe quel bouffe-curé se laisse avoir par la connivence qu'il installe. C'est l'instant magique de ma journée.
Je ne me sens pas en position favorable pour parler d'humilité (l'est-on jamais ?), quand je vois les difficultés auxquelles je suis confronté pour entrer dans les pratiques bouddhiques (visualisations, récitations de mantras en tibétain) bien que je sois d'accord sur le fond du truc, que les moines que j'ai rencontrés cet été soient géniaux et que j'aie besoin de m'ouvrir à ce "quelque chose de plus grand que moi" si je veux pas tourner en rond dans l'abstinence comme je tournais en rond dans l'addiction. Même si le cercle est plus grand et l'air moins vicié.

Je sors d'une prise de tête un peu pénible avec une nana des AA qui me courait après dans le réel et le virtuel, et qui heureusement ne m'attirait pas du tout sur le plan sexuel, cette fille qui s'est rendue malade à force de crier au secours et de se rendre compte qu'elle importunait les membres de la fraternité plus que de raison. J'ai fini par lui dire que je ne répondrais plus à ses mails de détresse dont elle pouvait me harceler plusieurs fois par jour. Il y a des gens qui s'arrangent pour que vous ne puissiez les secourir parce qu'ils ne peuvent exister que dans la souffrance et dans la négation de leur potentiel de rétablissement.
Je poste ça là parce que si je le mets sur mon blog, elle va refaire un coup de calgon.
Bonne nuit à tous.
J'étais passé à côté de la ré-ouverture de ton topic et j'en ai profité pour relire le précédent chez Orroz (en partie pour l'instant car il est long, ça fait mal aux yeux et à la tête). Il y a plein de choses intéressantes, j'y reviendrai plus tard. Juste un détail : j'ai cru comprendre que ton premier avatar était celui que j'avais également choisi en arrivant ici (piqué sur ton site, j'avoue) : le Tintin drogué. La mise en abîme de ce gentil héros innocent dans une vie de camé est terrible. On pourrait imaginer la même chose avec Casimir ou Mickey. Bref, cette image m'a piqué au vif et a sérieusement renforcé mon envie de m'en sortir, je me suis dit : "ouvres les yeux, t'es pareil que lui !". Voilà pour le petit flash-back, passons au sujet du post.

Par rapport à la classification des personnalités et plus précisement sur les troubles qu'on peut y associés, j'ai lu, relu et digérer celui de Lise Bourbeau : "Les cinq blessures qui empêchent d'être soi-même", il est conseillé par Orroz sur son site.
Il m'a ouvert les yeux sur mes blocages et les attitudes que j'adopte malgré moi et que j'aimerai changer. Pour ceux qui ne l'ont pas lu : elle y décrit cinq "blessures" (le rejet, l'humiliation, la trahison, l'abandon et l'injustice) qui sont associées respectivement à cinq comportements (fuyant, masochiste, contrôlant, dépendant, rigide). Chaque cas est décrit au travers de situation de la vie courante, on identifie très vite celui qui nous correspond. On y apprend que l'attitude que l'on adopte est un refuge (un masque) pour se protéger de peurs qui remonte à notre enfance (la blessure). Il vaut mieux lire le bouquin mais le point important est qu'on fait aux autres ce qu'on ne veux pas qu'il nous fasse et qu'on leur reproche ce que nous leur faisons mais refusons de voir. Exemple : le "fuyant" fuit les autres parce qu'il a peur d'être rejeter. Comment il se sort de là ? En reconnaissant et acceptant que c'est lui qui rejète les autres, ainsi sa peur d'être rejeter disparaîtra et il arrêtera de fuir.
Elle fait aussi le lien entre la morphologie et la blessure associée, ça me semble correct mais on n'est pas obligé d'adhérer à cette théorie pour bénéficier de son enseignement.
Tu viens de me donner une idée.
Je vais offrir ce bouquin, que j'ai lu du temps d'orroz, à la nana en question.
on avait des rapports épistolaires assez SM dont j'étais tout aussi incapable qu'elle de réfrener les ardeurs; le fait qu'elle s'enferme dans son rôle de victime m'incitait à jouer les Brice de Nice.
Ca ne peut marcher qu'avec ceux à qui les baffes stimulent l'esprit critique. Pas ceux qui interprètent la vie comme une souffrance sans fond (qu'elle l'ait été ou non)
Allez, tiens, j'ouvre la rubrique "l'enterré vivant de la semaine".
J'ai repris contact avec alie, un vieux de la vieille du premier forum
http://orroz.forumactif.com/ftopic96.pas...umiere.htm
lui son problème c'est l'érotisme, il ne peut se faire à l'idée du manque à venir (il consomme depuis 20 ans) et la peur du manque semble lui interdire de se confronter à la réalité du sevrage de façon continue, qui prise par tranches de 24 heures, est bien moins affreuse qu'une alternance de shoots et de périodes sans.
il m'écrit :"Salut mon vieux sage,
C'est idiot, et étrange ... je continue la dérive lente, faite de ressacs.
Je crois que fondamentalement, l'idée de l'abstinence ne passe pas dans ma tête.
Je ne me sens pas de taille. J'espère me lasser, sans y croire. Je tiens, dans une vie qui tient un peu par miracle, aux limites, avec une bonne dose de mensonge par ommission. Tout ca est bien fragile. Néanmoins, je m'intéresse
aussi à autre chose niveau loisir, ca c'est mon vieux côté passionné. Je ne suis donc pas dépressif aigü, bien que malheureux.
C'est idiot, et étrange ... j'attends surement un événement, en actionnant les manettes à ma disposition : changement de vie, ... c'est déjà énorme ! J'aurai déménagé 2 fois et changé 4 fois de statut en 1 an 1/2 (boulot 1, chomeur,
boulot 3, boulot 3 à venir). Peut être faut-il s'exiler loin, mais loin de toute connectique ? et alors, pourquoi ne pas l'envisager ? sinon, des médicaments. je commence à me poser sérieusement la question ...

Bien à toi, la warsenure !

je lui réponds :
"t'as vraiment décidé de mourir la bite à la main et les bottes aux pieds comme un vrai cowboy ?
ton truc, c'est comme visiter le salon de l'auto sans pouvoir jamais acheter une seule voiture.
Se condamner au lèche-vitrines perpétuel, c'est de la cruauté mentale envers soi-même.
C'est un truc de smicard, pas d'ingénieur. (il va décrocher ce nouveau job, mais comme il s'est interdit internet à la maison, il ne surfe qu'au boulot et est un peu inquiet de se rendre compte que demain, il n'aura pas "droit à l'erreur" qu'il s'accorde aujourd'hui)
anyway, l'abstinence, c'est que pour aujourd'hui : hier c'est trop tard, et demain est hors de portée.
"J'espère me lasser, sans y croire." là franchement, j'ai trouvé mon maître dans le sophisme.
Je m'incline. Mais pas devant ma bécane.
J'ai accepté mon impuissance.
Lis la première étape du 12/12. (un bouquin des AA que je lui ai offert http://www.nouvellescles.com/article.php...rticle=572)
le premier médicament de l'addiction, c'est l'abstinence, un jour à la fois.
un dépendant m'écrit aujourd'hui :
"j'ai arrêté de fumer il y a 8 ans en gros. C'est bien pour mes poumons mais je sens au fond de moi que ce n'est pas une victoire car je n'ai pas réglé le pb - que je connais encore bien mal - qui m'amenais à cloper 30 lucky strike par jour parfois... (le plaisir de sentir ses bronches brûlées)"
donc comme ça tu peux te dire "à quoi bon me sevrer si ça ne règle pas le ploblème ?"
:lol:

à part ça, et pour ne pas donner l'impression de ne progresser que sur le dos des autres, je vous annonce que après avoir mis mon blog en veilleuse, je vais raréfier mes interventions et ma présence sur le forum. Sinon ça sera pas raccord avec ma démarche de sevrage global d'ordi, prochaine étape du rétablissement du pachyderme que ça.
a+
échange avec une codep :
elle : "Pour ta question "Est-ce que ton homme fréquente le forum?", et bien, non. Il n'est pas inscrit. Au début, je lui ai avait proposé. Je lui ai fait lire quelques témoignages et aussi des choses que j'avais écrit. Après quelques jours, il m'a dit qu'en lisant les témoignages de dépendants, ça lui ramenait toutes les images dans la tête, que ça lui fesait repenser à ce qu'il fesait devant l'ordi. Et que pour l'instant, ce dont il avait besoin, c'était de ne plus se retrouver devant l'ordi.
Je ne connais pas grand chose à l'ordinateur et lui, encore moins que moi. Alors, dès que j'ai apprit comment, j'ai mis le contrôle parental sur l'ordi. Sur son entrée à lui. Car nous avons chacun notre entrée, avec notre mot de passe. Je connais le sien, il ne connait pas le mien. C'est dur pour lui, mais il accepte et comprend pourquoi c'est ainsi. Un jour où il ne travaillait pas et que je devais partir pour la journée, j'ai cédé à sa demande et j'ai enlevé le contrôle parental. Je lui avais écrit un petit mot, lui disant que je lui fesais confiance. Quand je suis revenue à la maison, je lui ai demandé si tout s'était bien passé. Il m'a dit oui, qu'il avait été sur des sites genre "National Géographique", "Discovery Channel". À la télé, il écoute ce genre d'émissions documentaires.
Bien entendu, en bonne "co-dep", je suis allée vérifier l'historique. Et là, je suis tombée sur une page où il y avait des femmes en tenues "très légères". Mon coeur a fait trois tours et s'est retrouvé coincé dans ma gorge. Pour faire une histoire courte, il n'est pas allé plus loin que cette page. Ce n'était pas trop dramatique mais c'est tout ce qui s'en est suivi dans sa tête qui m'a fait très peur. Nous avons discuté et je lui ai dit ce que je ressentais. Nous nous sommes mis d'accord pour que je remette le contrôle et il m'a dit qu'il préférait que je sois là quand il voudrait se servir de l'ordi. Et c'est comme ça depuis ce temps. Je sais que c'est dur pour lui. Il me dit, de temps en temps:"toi,tu peux y aller quand tu veux, mais moi pas". Quand il me dit ça, je comprend que c'est parce qu'il traverse un moment difficile. Alors, je l'entoure de mes ailes et ça lui fait du bien. Pas de cris, quelques fois des larmes et beaucoup d'amour.
Il voudrait tellement pouvoir être libre dans sa tête. Si sa tête était délivrée, il pourrait utiliser l'ordi n'importe quand. Ça viendra peut-être un jour! Voilà!
moi : "salut !
Tu peux dire à ton chéri de ma part que reconnaitre son handicap, c'est mettre beaucoup de chances de son côté pour le rétablissement. Accepter de te remettre les codes parentaux, et bien le vivre, c'est chouette. Mal le vivre, c'est chouette aussi, l'important c'est de le vivre. Un jour peut-être il n'en aura plus besoin. Reconnaitre son impuissance devant le porno et s'en souvenir, c'est balèze.
J'ai filé mon modem à ma chérie lors de mon premier sevrage; pas longtemps, 8 jours je crois, mais ça m'a aidé.
C'est vrai que lire les messages des dépendants, ça maintient dans une sorte de dynamique addictive. Beaucoup le supportent mal. Heureusement qu'il y en a qui ont la fibre pédagogique ;-)
Rester devant mon ordi à poster tous ces messages, c'est avant tout pour continuer d'avancer, et constater qu'on est vraiment tous pareils, donc qu'il y a pas de quoi en faire un flan personnel, la maladie est très démocratique, c'est tout. D'un autre côté ça m'arrange sans doute, je suis encore devant ma bécane, me croyant en sécurité comme un bateau qui reste au port alors qu'il n'est pas prévu pour, donc maintenant c'est à la cyber-addiction que je vais démonter la gueule, et pour ça faire comme ton chéri, m'éloigner de mon écran.
D'un autre côté, ça peut maintenir en éveil, de se creuser le ciboulot pour aider les autres à se sortir de la merde quand ils y sont jusqu'au cou alors que t'en as plus que jusqu'au genou.
Il faut du temps pour renoncer à la jouissance-mensonge. Les témoignages des nouveaux arrivants nous rappellent constamment d'où nous venons.

Après, être libre dans sa tête, c'est d'abord avoir chassé le poison depuis assez longtemps de son corps pour reconnaitre de loin sa nature, son entêtant parfum de glace ( à deux boules et à deux balles ;-))

un jour où j'en avais plein le cul d'en avoir marre, et où j'ai fait la remarque suivante à une copine bouddhiste, "Si on n'est pas complètement écrasé par la tyrannie des pulsions au goût sauvage, on ne peut s'empêcher au bout d'un moment de chercher à s'en extraire..."
elle m'a répondu : A s'en extraire ou à les utiliser ?
Si un oiseau dit : mes ailes sont tordues, je m'en extrais - il est mal parti.
Là c'est pas pour contredire, c'est juste que j'ai expérimenté que si on ne s'en sert pas comme support, ça ne marche pas. Et j'ai l'impression de voir la même chose autour de moi, dans la mesure où, disons le, 80% des forces vives de l'individu résident dans ses pulsions. S'en extraire (pacifier) c'est fonctionner à 20W au lieu de 100W, et on n'y voit plus grand chose avec 20W."

donc, je suppose que ça veut dire que parfois, le chemin est long, comme disait Thierry Lermitte dans le père Noël est une ordure.
Je serai absent du forum jusqu'à début Janvier. Je pars en vacances en famille et à la neige. (que n'ai-je fondu sur ton balconnet ! chantait Bashung en manque...)
Je vous souhaite à tous de poursuivre vos efforts et de passer des fêtes de fin d'années heureuses loin de cette saloperie d'addiction qui ne mérite même pas les torrents d'encre que nous lui jetons pour nous en délivrer.
Heureusement qu'aucun arbre n'a été abattu pour y imprimer nos souffrances !
Mention spéciale à Pikmin, que je voulais remercier perso de tout ton boulot de cette année, qui voit grossir nos rangs de nouveaux membres en cours de rétablissement. Et meilleurs voeux à tous de vous toucher...les bénéfices du sevrage. :lol:
john sur des skis je veux voir le film!
et oui pikmin fait un boulot enorme et le plus beau cadeau qu'on puisse lui faire c'est pendant cette période de fête, nous apporte que du bonheur
mais gaf les amis, ce genre de fête noel en rapport à la famille et le nouvel an en rapport avec la fin de quelque chose, c'est pas si simple à négocier. (tien je vais faire un un topic là dessus)
surtout pour nous assez fragile du coté de l'émotion et de l'affection
allez je vous souhaite à tous bonne dinde au marron.
déclick
Puisqu'on en cause ce week-end et qu'on est tous de bonne humeur, j'ai rechuté aussi un p'tit peu en novembre/décembre; un peu de porno et de branlette pour Johnnie la Warsenure. Yo.
Je n'en ai pas parlé sur le forum parce que je ne voulais pas me prendre pour une catastrophe nationale, et que j'avais peur que ça discrédite mon discours, auquel je tiens moins qu'à mon rétablissement, mais quand même :-(
Une fois la veille de ma rencontre avec un membre du forum, qui m'a bien requinqué.
Une fois le mois dernier.
Pas de motif particulier.
Je suis dépendant sexuel.
Je connais le tarif.
A part me dire "fuck" (plus imagé que le "fait chier" de bruno) et refaire le constat que je suis peut-être un peu trop collé à l'ordi depuis le début de mon sevrage, j'ai serré les fesses, et je continue actuellement.
c'est Bruno justement qui disait "moins nombreux on est sur un forum de cyberdépendants, meilleur signe c'est"
C'est marrant, cette nuit j'ai rêvé que Bruno était mort. Pas celui du forum, mais un autre, que je vois tous les lundis en réunion AA. On allait tous à son enterrement, c'était comme dans Six Feet Under (moins le fun).
C'est drôle, les rêves.
C'est pour ça que je suis allé remettre le nez dans les posts d'orroz que j'ai indiqué à Xanadu sur son topic.
Parce qu'il me semble que sans le Grand Schtroumpf on a quand même dérivé, le nez dans le guidon.
On a pas le recul.
Il se plaignait que la gestion du forum lui gardait le nez au chaud dans une problématique d'addiction.
Je suppose que nos crampes lui donnent raison.
Ca sera pas pour vous requinquer, mais Nostrawarsen avait prévu de longue date que les plus gros posteurs seraient de bons candidats à la rechute.
On peut donc avoir raison et être en tort.
Finalement, ça ne me fait ni chaud ni froid d'avoir remis le nez dedans.
Je sais où mènerait le ressentiment - ça, je m'en rappelle bien.
Je pense que les membres présents depuis moins longtemps peuvent en tirer une leçon, mais j'hésite à la formuler. Vous serez gentils de me donner un coup de main.

sinon, une blague de AA :
c'est Bill qui dit à Bob : "au moins, on n'a pas rebu aujourd'hui".

Mwahaha.
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