27-04-2017, 11:12
Bonjour, et merci pour vos réponses qui me font réfléchir.
Ce serait donc la part addict en moi qui repousse cette idée d'être en couple... c'est une réelle possibilité oui.
Cela dit, c'est vrai qu'au niveau professionnel, j'ai des projets, et j'ai besoin d'avoir une grande focalisation pour les mois à venir, donc il me faudrait un compagnon compréhensif et en aucun cas adepte des relations "fusionnelles".
Après, peut-être que ce motif professionnel est lui aussi un prétexte avancé par cette petite voix perfide de l'addiction. Car au final, même si la sexualité solo compulsive demande moins de temps et d'implication, elle me pompe mon énergie et l'estime de moi-même, tandis que la sexualité à deux au sein d'une vraie relation permet au contraire un épanouissement, et peut-être même de "relativiser" le travail, et alléger la pression que je peux m'imposer à ce niveau.
Et quand je dis que ça ne me prend pas tant de temps que cela, pas si sûr en fait, puisque après une séance PMO, je ne me remets pas forcément au travail ou même à quelque chose d'autre constructif, je glande un peu...
Pour répondre à votre dernière question sur mes vrais besoins, et bien je ne diffère pas vraiment de la majorité des personnes à ce niveau, j'ai tout simplement besoin d'amour, envie d'aimer et d'être aimé, et donc effectivement, ce n'est pas dans les histoires sans lendemain que je trouverai cela non plus.
Ces coups d'un soir sont en quelque sorte une "branlette améliorée" (bien que je n'ai jamais ressenti une compulsion aussi forte que pour le solo), c'est un moyen d'auto gratification bien plus puissant, et d'autant plus pour moi qui ai toujours une frustration plus ou moins consciente d'avoir été vierge jusqu'à 25 ans. Mais tout cela, c'est de la surface en effet.
Ça satisfait le corps et l'ego, mais pas forcément l' "âme", pour prendre une formule poétique.
Après, je me dis qu'en contre partie, il faut être sûr d'avoir pleinement envie de construire quelque chose, que cela soit un véritable désir intérieur et non une influence extérieure.... par exemple comme une envie de se conformer à ce que la société définit comme signe de réussite (être en couple).
Je passe mon temps à réfléchir, et cogiter, comme vous le voyez...
Ce serait donc la part addict en moi qui repousse cette idée d'être en couple... c'est une réelle possibilité oui.
Cela dit, c'est vrai qu'au niveau professionnel, j'ai des projets, et j'ai besoin d'avoir une grande focalisation pour les mois à venir, donc il me faudrait un compagnon compréhensif et en aucun cas adepte des relations "fusionnelles".
Après, peut-être que ce motif professionnel est lui aussi un prétexte avancé par cette petite voix perfide de l'addiction. Car au final, même si la sexualité solo compulsive demande moins de temps et d'implication, elle me pompe mon énergie et l'estime de moi-même, tandis que la sexualité à deux au sein d'une vraie relation permet au contraire un épanouissement, et peut-être même de "relativiser" le travail, et alléger la pression que je peux m'imposer à ce niveau.
Et quand je dis que ça ne me prend pas tant de temps que cela, pas si sûr en fait, puisque après une séance PMO, je ne me remets pas forcément au travail ou même à quelque chose d'autre constructif, je glande un peu...
Pour répondre à votre dernière question sur mes vrais besoins, et bien je ne diffère pas vraiment de la majorité des personnes à ce niveau, j'ai tout simplement besoin d'amour, envie d'aimer et d'être aimé, et donc effectivement, ce n'est pas dans les histoires sans lendemain que je trouverai cela non plus.
Ces coups d'un soir sont en quelque sorte une "branlette améliorée" (bien que je n'ai jamais ressenti une compulsion aussi forte que pour le solo), c'est un moyen d'auto gratification bien plus puissant, et d'autant plus pour moi qui ai toujours une frustration plus ou moins consciente d'avoir été vierge jusqu'à 25 ans. Mais tout cela, c'est de la surface en effet.
Ça satisfait le corps et l'ego, mais pas forcément l' "âme", pour prendre une formule poétique.
Après, je me dis qu'en contre partie, il faut être sûr d'avoir pleinement envie de construire quelque chose, que cela soit un véritable désir intérieur et non une influence extérieure.... par exemple comme une envie de se conformer à ce que la société définit comme signe de réussite (être en couple).
Je passe mon temps à réfléchir, et cogiter, comme vous le voyez...