15-08-2016, 00:46
Bonjour à tous,
Merci de vos réponses JAN et NostrumFellow... je m'excuse de ne pas répondre plus en détail, mais vous avez déjà balayé la question au point que je ne trouve rien à ajouter...
Pour donner de mes nouvelles, deux points :
- le 1er est anecdotique, mais assez révélateur. Un astrologue, qui ne me connaissait pas du tout avant de faire mon thème astral, m'a dit que je devais probablement avoir une tendance à la compulsion, afin notamment de calmer ce stress en rapport à mon besoin irrépressible de contrôle. Je respecte la non-croyance des gens à ce genre de "science", mais là le fait est qu'il a touché en plein dans le mille, et du même coup, il a explicité la cause des causes : manque de lâcher-prise, rigidité, obsession du contrôle, notamment en terme d'image (en tant que Lion je suis très sensible à l'image que je renvoie), et donc les compulsions telles que le sexe jouent le rôle de soupape libératrice.
- le 2ème est que suite à une nouvelle activité professionnelle, je suis retombé ces dernières semaines dans des comportements totalement excessifs... sans rentrer dans les détails, je me consacre maintenant à la Bourse, aux investissements, domaine que je trouve très intéressant, mais qui requiert de la patience, une zénitude, que je n'ai pas... dans certains moments de grande tension où je me demandais "vais je gagner ou perdre le trade que j'ai passé ?", j'ai senti en moins monter ce désir irrépressible de me calmer avec la branlette, d'autant plus qu'étant chez moi, c'était extrêmement facile, pas besoin de s'isoler. Il est donc arrivé 3 ou 4 jours où je me suis branlé 5 fois ou plus par période de 24 heures ! Je tombais dans un cercle vicieux : je stresse à cause du trading => Je me branle pour évacuer => la branlette, surtout si compulsive et à la sauvette, ne me soulage que quelques minutes et me rend à moyen terme plus tendu, stressé, irritable => ma tendance au stress est augmentée et perturbe ma concentration pendant que je cherche des opportunités de trading => je me branle, etc etc..
On pourrait donc en déduire que cette activité basée sur les marchés financiers est donc néfaste pour moi, mais en fait, non, je prends ça comme une occasion d'affronter enfin cette dépendance, à la manière forte. Et le domaine me passionne en dehors de cet aspect stressant, pas question de s'avouer vaincu, ce serait vraiment laisser l'addiction gagner et orienter ma vie. Si je faisais un job plus "cool" en terme de prise de risque, ben la dépendance n'en serait pas moins là, à rôder. Là je vois une occasion d'apprendre à gérer le stress en direct live, à la dure, dans les conditions les plus difficiles... pour une guérison plus rapide du coup ? (je vois le verre à moitié plein :-)) .
Et c'est bien là une preuve que la dépendance sexuelle, pour ma part, n'avait aucun lien avec l'attirance pour autrui ou une libido insatisfaite, puisque ce n'est pas la vision de corps séduisants qui réveille cela, mais la perspective de perdre, ou même de gagner (je me suis déjà astiqué le manche suite à une victoire), de l'argent.
Bref, là je remets les compteurs à zéro, et je vais m'efforcer de faire d'une pierre deux coups : dompter mon addiction à la masturbation + être plus zen quand je bosse.
J'ai été abstinent pendant 2 mois cet hiver, donc je sais que je peux le faire, bordel.
Merci de vos réponses JAN et NostrumFellow... je m'excuse de ne pas répondre plus en détail, mais vous avez déjà balayé la question au point que je ne trouve rien à ajouter...
Pour donner de mes nouvelles, deux points :
- le 1er est anecdotique, mais assez révélateur. Un astrologue, qui ne me connaissait pas du tout avant de faire mon thème astral, m'a dit que je devais probablement avoir une tendance à la compulsion, afin notamment de calmer ce stress en rapport à mon besoin irrépressible de contrôle. Je respecte la non-croyance des gens à ce genre de "science", mais là le fait est qu'il a touché en plein dans le mille, et du même coup, il a explicité la cause des causes : manque de lâcher-prise, rigidité, obsession du contrôle, notamment en terme d'image (en tant que Lion je suis très sensible à l'image que je renvoie), et donc les compulsions telles que le sexe jouent le rôle de soupape libératrice.
- le 2ème est que suite à une nouvelle activité professionnelle, je suis retombé ces dernières semaines dans des comportements totalement excessifs... sans rentrer dans les détails, je me consacre maintenant à la Bourse, aux investissements, domaine que je trouve très intéressant, mais qui requiert de la patience, une zénitude, que je n'ai pas... dans certains moments de grande tension où je me demandais "vais je gagner ou perdre le trade que j'ai passé ?", j'ai senti en moins monter ce désir irrépressible de me calmer avec la branlette, d'autant plus qu'étant chez moi, c'était extrêmement facile, pas besoin de s'isoler. Il est donc arrivé 3 ou 4 jours où je me suis branlé 5 fois ou plus par période de 24 heures ! Je tombais dans un cercle vicieux : je stresse à cause du trading => Je me branle pour évacuer => la branlette, surtout si compulsive et à la sauvette, ne me soulage que quelques minutes et me rend à moyen terme plus tendu, stressé, irritable => ma tendance au stress est augmentée et perturbe ma concentration pendant que je cherche des opportunités de trading => je me branle, etc etc..
On pourrait donc en déduire que cette activité basée sur les marchés financiers est donc néfaste pour moi, mais en fait, non, je prends ça comme une occasion d'affronter enfin cette dépendance, à la manière forte. Et le domaine me passionne en dehors de cet aspect stressant, pas question de s'avouer vaincu, ce serait vraiment laisser l'addiction gagner et orienter ma vie. Si je faisais un job plus "cool" en terme de prise de risque, ben la dépendance n'en serait pas moins là, à rôder. Là je vois une occasion d'apprendre à gérer le stress en direct live, à la dure, dans les conditions les plus difficiles... pour une guérison plus rapide du coup ? (je vois le verre à moitié plein :-)) .
Et c'est bien là une preuve que la dépendance sexuelle, pour ma part, n'avait aucun lien avec l'attirance pour autrui ou une libido insatisfaite, puisque ce n'est pas la vision de corps séduisants qui réveille cela, mais la perspective de perdre, ou même de gagner (je me suis déjà astiqué le manche suite à une victoire), de l'argent.
Bref, là je remets les compteurs à zéro, et je vais m'efforcer de faire d'une pierre deux coups : dompter mon addiction à la masturbation + être plus zen quand je bosse.
J'ai été abstinent pendant 2 mois cet hiver, donc je sais que je peux le faire, bordel.