Dépendance sexuelle

Version complète : Voyage a la (re)conquete de soi (Sevrage de Strider)
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Quand à l'opposition de la spiritualité face à ça, et bien je ne la comprenais pas du fait que je rattachais forcement spiritualité a religion. Alors après je peux me tromper mais j'ai l'impression que la religion est une forme de spiritualité mais qu'il y en a bien d'autres.
C'est une confusion répandue de confondre spiritualité et religion. Je crois que la spiritualité commence le jour où on prend conscience qu'il est possible et qu'on doit essayer de s'améliorer. Ensuite c'est un long cheminement où il faut apprendre à éliminer les erreurs de vie, d'attitude, les choses immorales, les manques de respect de soi, des autres et de la vie, car on se rend compte que tout ceci en définitive se retourne contre nous. Se rendre compte de l'interconnexion de toutes choses et de tous êtres, et des conséquences des actes les plus infimes (et l'acte le plus infime de tous est de penser) est le début de la sagesse.En somme la spiritualité pourrait s'appeler aussi « école de maîtrise de la pensée ».

à+
Salut a tous.

Bon bon bon, petit problème aujourd'hui. Je me rends compte que je suis très stressé a l'idée de faire ces exercices. Il s'agit d'un travail d'écriture a faire en plusieurs étapes, j'ai essayé a plusieurs reprises de m'y mettre aujourd'hui mais j'arrive pas a me lancer. J'ai une espèce d'angoisse qui monte quand je lit le bouquin qui me sert a faire le travail. Du coup j'ai arrêté, je suis sorti un peu, voir un pote, faire des courses pensant pouvoir m'y remettre en revenant. Je sentais que ça m'avait fait du bien, mais en revenant, rien a faire, j'arrive pas me concentrer et je stresse. Ça me rappelle ce qui m'arrivait quand j'étais encore en cours et que j'avais du boulot a faire qui me mettait un peu la pression. Le plus souvent j'attendais le dernier moment pour m'y mettre, pour finir avec un truc fait a la va vite qui passait ou pas, mais forcement pas aussi abouti que je l'aurais voulu a la base.Mais la je comprends pas, je suis même pas obligé de le faire ce truc, c'est moi qu'en ait eu l'idée.En plus personne ne va me juger dessus de toute manière, et en plus, c'est vraiment pas compliqué. Vraiment je comprends pas, je trouve ça un peu ridicule de stresser pour un truc aussi insignifiant. Mais force est de constater que la boule au cœur est la. Je pense toucher a un sujet sensible en moi, car ça a été un problème récurrent dans ma scolarité, et qui a pris de plus en plus d'ampleur a mesure que j'avançais dans mes études. Faire des études ça a un coté rassurant puisqu'on se dirige dans une direction mais on n'y est pas encore. Mais plus je me rapproche du but, plus je stresse, me demandant si j'ai choisi la bonne direction. Si je serais a la hauteur pour réussir. Si je ne vais pas décevoir mon entourage en choisissant cette voie. Je sais que c'est bête de penser comme ça, qu'au final l'avis des autres n'a pas d'importance. Mais bon l'angoisse reste sans vraiment que je parvienne a me l'expliquer. Du coup j'essaye de me détendre en écoutant de la musique. Ça marche plutôt bien d'habitude. J'arrive même pas a lire ou jouer. Je pense que c'est pour ça que j'avais peur de rejouer aux jeux vidéo il y a quelques jours. Malgré un réel désir de divertissement un peu nostalgique, je devais sentir que je pourrais bien me servir d'eux pour fuir cet objectif que je m'étais fixé.La pour le coup c'est pas le cas vu que je ne fait ni l'un ni l'autre dans cet état.

Enfin bon je me déçois un peu pour le coup. Je me sens en position de faiblesse, mais je ne pense pas que j'irais jusqu'à rechuter niveau mb ou porn. J'en ai vraiment pas envie. Par contre point positif: je découvre un nouveau nœud en moi même, et si je parviens a le dénouer un peu celui la ça me rendra un gros service. Je vous le dit: en résistant a la tentation de la rechute, on en vient toujours a faire une découverte.

Allez sur ce, bon courage a tous (moi y compris).

Bonsoir a tous,

Juste un petit post pour faire le point. Alors d'abord je ne me suis toujours pas mis a l'exécution de ces exercices me rapprochant de mon objectif professionnel. J'ai pris conscience de l'existence du nœud a ce niveau la et j'ai décidé de ne pas précipiter les choses pour le dénouer. Ca prendra le temps qu'il faut pour comprendre cette peur et l'évacuer. J'en ai parle en DASA et ça m'a fait réaliser certaines choses. Cette peur pourrait s'apparenter a une certaine "peur de gagner" en réussissant a atteindre mon objectif sans le mériter (ou plutôt en pensant ne pas le mériter). A une "peur de la monotonie" une fois l'objectif atteint. Je décèle surtout un manque de confiance en moi a ce niveau la, l'impression de ne pas mériter mes diplômes, limite de ne pas mériter mes rêves. Je ne me sens pas de faire ces exercices pour l'instant, mais je me promet de sauter dessus des que l'envie m'en prendra. Et il m'en prendra j'en suis sur.Sinon autre chose: j'ai finalement retrouvé mon ancien sujet sur ce forum, et je l'ai relu entièrement. J'ai l'impression d'avoir fait du chemin depuis, mais certains thèmes sont toujours d'actualité. Ego, peur de tout faire par compulsion (mélanger plaisir et compulsion),...Puis c'est drôle, certaines fois je me lisait, en voyant clairement quel était le vrai message qu'a l'époque je ne remarquais pas a travers mes propres propos. Le lent processus qui te ramène a adopter pour un temps de fausses idées, mises en place uniquement pour rechuter plus tard. En cette période ou je fais face a une angoisse encore inexpliquée, je me dis que je pourrais bien retomber dans ce processus. Voir que c'est un piège dans lequel je suis déjà tombé auparavant m'aide a être plus vigilant.

En pleine introspection, mais toujours sur la route,

bon courage a tous.

Bonsoir a tous,

De retour après ces quelques semaines d'absence. Je me suis pris un peu de vacances chez des amis a l'étranger, histoire de me changer les idées. Ça m'a fait du bien, c'est fou comme parfois partir de chez soi donne l'impression de laisser sa dépendance a la maison. J'ai passé un séjour très sympathique ou je n'ai pas vraiment eu l'impression de lutter contre ma dépendance, ça m'a fait du bien d'avoir un peu de temps pour souffler et oublier un peu tous ces problèmes. Je restais vigilant niveau fantasmes etc mais étant occupé en visites culturelles (si si) et autres restos et brasseries, je n'avais finalement que peu de temps pour y penser. Certes je n'ai plus posté sur le forum depuis un moment, mais ça m'aide aussi a ne pas me reposer uniquement sur ce forum et DASA pour m'en sortir. Il faut que je puisse compter sur moi même aussi !Enfin bref, j'ai passe du bon temps mais ça n'empêche que la dépendance est toujours la et il faut quand même rester vigilant. Depuis mon retour chez moi (et quand même quelque fois chez mes amis) j'ai eu quelques assauts de fantasmes que j'ai su réprimer. Ça m'arrive quelques fois pendant la journée mais ça m'arrive surtout en rêve. Ce qui est marrant ce que souvent ces rêves sont flous, ou la sexualité n'est que supposée ou implicite. Comme si j'arrivai a m'autocensurer même en rêve. Je me demande si c'est efficace, c'est sur ça doit aider niveau pollutions nocturnes, mais en ce moment j'ai un peu l'impression d'être une cocotte minute qui monte en pression niveau fantasmes. J'ai l'impression d'en avoir de plus en plus a réprimer ou effacer mentalement. Je ne sais pas si c'est la bonne manière, mais en tout cas c'est celle que j'ai choisie pour l'instant, et ce qui est sur ce que je ne vais pas leur laisser libre cours, a ces fantasmes. Je sais que ça me mènera inéluctablement a la rechute.Sinon j'ai finalement réussi a m'y mettre a ces fameux exercices. Je suis en plein dans le bouquin la, j'ai même commence a écrire un peu, alors que ce n'est pas quelque chose que je faisais spontanément, ailleurs que sur ce forum. Je crois que j'avais besoin de prendre conscience de cette pression que je me mettais tout seul, pour la faire disparaitre petit a petit. Je me suis rendu compte que si je me la mettais, c'était parce que c'est quelque chose qui me tiens vraiment a cœur, un vrai rêve et donc finalement quelque chose dont il est vraiment sympa de se rapprocher. Aucune raison d'être paralysé sur la ligne de départ.Je me rends aux DASA demain histoire de continuer le combat. Je n'ai encore pas trouvé de manière de m'accorder ce temps pour moi, ou je manifeste ce combat contre ma dépendance, autres que DASA et ce forum. Donc je continue.

Bonne route a tous.

Salut, moi je suis plutôt du genre à utiliser tous les outils à ma disposition. J'ai constaté que le forum pouvait avoir un impact négatif sur mon rétablissement, donc il faut que je me limite un peu. Mais les groupes de parole, plus j'en ai mieux c'est. Les groupes de parole ne me prennent que quelques heures par semaine, et tout le reste du temps je travaille à utiliser ce que j'apprends, à contacter des gens, à pratiquer une vie normale etc... Au final, je pourrais aller à des groupes de parole tous les jours, il faudrait encore que j'apprenne à compter sur moi-même la plupart du temps. Je ne considère pas que les groupes de parole m'empêchent de construire une relation avec moi-même.

Ce que j'ai constaté dans mon rétablissement, par contre, c'est qu'à chaque fois que je vais vers la rechute, je commence d'abord par m'isoler, ne plus vouloir contacter les gens, vouloir faire les choses par moi-même etc... ma dépendance me pousse au contraire à ne compter que sur moi-même. Ce que j'apprends à faire c'est demander de l'aide aux autres. Et ma dépendance déteste que je fasse ça. Mon ego aussi.

Ensuite pour ce qui est de l'effet cocotte minute, je crois que je vois très bien ce que tu veux dire. Les américains appellent ça "white knuckling" (serrer les poings jusqu'à ce que les articulations deviennent blanches). Ca veut dire tenir par la force de la volonté uniquement. C'est très important la volonté, mais ça n'est pas LA solution ultime. Petit à petit on apprend des nouvelles manières de se passer des fantasmes. Comme tu dis, au début on apprend d'abord à les réprimer et c'est très satisfaisant de voir qu'on peut avoir le dessus sur la dépendance. Mais on se rend compte après un moment qu'on ne peut pas compter uniquement là dessus (la cocotte minute finit toujours par exploser). Dans les groupes de parole, ils parlent souvent de "lâcher prise". Ca fait bizarre, on a envie de dire qu'on ne "tient" pas le fantasme, puisqu'on ne veut pas l'avoir. Mais en fait avec le temps ça prend tout son sens. Il y a une différence entre réprimer et lâcher prise. On peut se détourner du fantasme sans l'écraser par la volonté. La différence peut avoir l'air subtile, c'est la même chose que la différence entre étouffer une flamme et la laisser s'éteindre. Si on arrête de faire attention au fantasme, il s'éteint de lui-même.

Tu verras que les gens sobres et les anciens, dans les réunions DASA, parlent rarement de lute, de combat, ou de répression. Les techniques qui marchent le mieux sur le long terme sont plus proche de la pacification et du "lâcher prise", de la patience et de la compassion pour soi-même.J'ai moi-même beaucoup de boulot à faire de ce côté là. Enfin bon, c'est des conneries tout ça. Ce qui compte surtout c'est d'aller aux réunions et de continuer à faire des choses pour le rétablissement, de jamais s'arrêter. Mais t'as l'air en bonne voie, non ?  Pour ce qui est des rêves, j'ai vécu exactement la même chose plusieurs fois. Quand je prends l'habitude de réprimer mes fantasmes, j'ai même parfois quelqu'un qui débarque pendant le rêve et m'empêche d'avoir des rapports sexuels en rêve, ou bien quelqu'un me découvre et j'ai honte même dans le rêve. Moi j'essaye de ne pas trop m'en faire. On ne contrôle pas les rêves mais c'est intéressant de voir ce qu'ils peuvent nous apprendre sur notre vie éveillée. Souvent quand j'ai des rêves érotiques, ça ne colle pas tellement avec un cycle biologique, mais plutôt avec mon stress au travail. Je peux ne pas avoir de rêves érotiques pendant des semaines. Et d'un coup j'en ai un ou deux par nuit pendant 3 nuits d'affilée. Ils arrivent quand je refoule quelque chose, des fantasmes, ou mon stress. En général pour moi c'est mauvais signe. En plus c'est plus difficile de rester sobre après un rêve érotique. Mais un rêve ça reste juste un signe. C'est pas non plus une rechute.

Je fais des rêves érotiques assez rarement, par contre les miens sont plutôt violents, beaucoup plus proches du cauchemar. Ce sont plutôt des images pornographiques qui viennent et me harcèlent, et je n'ai pas de problème de pollution nocturne, car la sensation est assez désagréable et en général je me réveille comme après un très mauvais rêve. C'est peut-être un signe que je refoule mes pulsions? Je ne sais pas. Mais ça ne m'arrive pas souvent, c'est surtout les périodes où je vais mal.
Merci de ta réponse Hatt, je pense que tu a mis le doigt sur quelque chose en évoquant l'isolement. C'est vrai que depuis que je suis de retour, je ne suis pas beaucoup sorti et je ne suis pas retourné en groupe de parole et c'est surement ça qui me fait monter en pression. Faudra que je fasse attention a l'avenir a ne pas trop me couper du monde sous prétexte d'une quelconque mise a l'épreuve.

Pour ce qui est des rêves érotiques, on peut lire au début de ce topic qu'ils m'ont pas mal torturé lors d'un sevrage. N'en n'ayant que peu eu durant mon adolescence, j'ai vécu ça comme une terrible injustice d'être assailli de rêves érotiques alors que j'essayai de me sevrer de ma dépendance sexuelle. Je les ai interprétés comme une espèce de cri au secours de mon corps qui ne pouvait se voir affligé d'une torture comme le sevrage de masturbation compulsive, et ça m'a mené a la rechute inévitablement. J'ai pensé que la mb ça faisait peut -être parti de moi finalement, si mon subconscient la réclamait comme ça. Alors que non, il ne faut pas s'identifier a ses comportements addictifs, ils n'ont rien a voir avec soi -même. Maintenant je considère les rêves comme une espèce de condensé de ce qu'on a vécu ou pense récemment, on peut parfois les interpréter mais on ne peut en aucun cas les prendre comme un message éclairé de son soi profond.  

Bien le bonjour amis du forum. De retour des limbes je me suis dit qu'il fallait peut être ne pas oublier que j'avais un topic sur ce forum et que ma situation de dépendance n'était toujours pas résolue. C'est dur. Le temps passe mais je n'ai pas l'impression de progresser. J'ai toujours des problèmes de procrastination, qui impliquent souvent masturbation plutôt que faire une tâche pour laquelle je stresse. J'ai fait un retour vers les sites porno il y a pas longtemps. Je me suis vautré dans la fange un bon moment puis j'ai réalisé que c'était bien nul en fait, comme je le savais déja, puis je m'en suis lassé. Lassé des sites porno classiques hein, il m'est arrivé ensuite de surfer sur un site de chatroulette de cul.
J'ai beau le savoir, j'ai toujours ces moments ou je perd le contrôle et ou ma dépendance prend le dessus. Je sais que je vais le regretter, je sais qu'au final le porno n'est pas attrayant, violent et dégradant (et même dangereux pour ma propre idée du sexe et mon cerveau) mais ça n'empêche.
Pendant un temps j'ai décidé de changer d'approche envers le sevrage. J'ai décidé de ne plus utiliser de porno car ça, je le sais, c'est pas bien (j'ai encore vu un TED talk sur les effets d'une consommation régulière de porno sur le cerveau et le corps, consommation qui mène en général à l'impuissance et à une insatisfaction générale, et ça m'a fait un peu froid dans le dos.). Mais je me suis dit que je pouvais m'accorder une petite mb de temps en temps, tant que je restais maître de la situation.
Alors ça allait pendant un temps seulement je me sentais quand même mal à l'aise par rapport à ça. J'avais quand même l'impression au fond de moi de me voiler un peu la face en me considérant contrôler la situation sachant que cette mb hebdomadaire et bien, j'y pensais toute la semaine. Et j'ai eu l'impression aussi qu'en me masturbant régulièrement, j'allais moins vers les autres. J'évitais même le contact parfois. Devenant un peu anorexique social quoi. Et puis au fur et à mesure cette masturbation hebdomadaire est devenue masturbation tous les 3 jours. Puis 2. Puis quand j'en ai envie. Puis tous les jours. Puis plusieurs fois par jour. Puis plan cul avec des inconnus. Et là je me suis dit bon, là t'est aussi mal qu'avant mon vieux, faut se ressaisir.
Je reviens poster ici puisque j'ai tendance à crier victoire trop vite. Dès que les choses s'améliorent vis à vis de ma dépendance je me dit "c'est bon, je suis enfin normal, j'ai plus besoin de faire tout ça !" Et au final même si les choses changent j'ai pas l'impression que ça aille beaucoup mieux.
Donc la je reprend un sevrage. Je me lance sur un minimum de 5 mois. J'ai vu quelque part que c'est le temps minimum pour que le cerveau répare certains des dégâts liés à la consommation du porno. Donc pas de porno, et pas de mb. Je me suis masturbé ce matin donc bon, Day 1 sera aujourd'hui (ou demain? étant donné qu'il y a eu acte aujourd'hui dois-je commencer a compter à partir de demain? hum...). Une nouvelle règle que je me suis fixé sera de poster au minimum une fois par mois ici. Histoire de vider mon sac par rapport à ma dep régulièrement pour éviter que la pression monte, ou que le voile tombe sur mes yeux sans que je m'en rende compte. Vous verrez donc mes posts régulièrement Smile
Bon courage à tous.
Salut Strider. Je ne sais pas ce que tu appelles un "TED talk ", mais si tu as un lien, cela m’intéresse.

Concernant tes rêves, j'aurais tendance à penser que c'est une preuve que tu es efficace dans ton sevrage. La sexualité fait partie de l'être humain, et de mon point de vue, elle s'exprimera toujours d'une façon ou d'une autre. Je peux te dire que c'est même ce que j'attends personnellement. Des rêves érotiques, je n'en ai fait quand dans des périodes où je n'avais pas d'activité sexuelle, pas d'addiction au porno et masturbation, et où je n'avais absolument aucun problème pour avoir une érection avec quelqu'un. Je n'avais pas une activité débordante, mais je n'avais pas l'impression d'avoir de problème avec ma sexualité.
Pour le contenu des rêves, c'est très étrange, moi aussi ils n'ont toujours été que suggérés, aucun passage à l'acte, juste une potentialité, et une impression de disponibilité de l'autre, je me souviens d'un rêve qui m'a beaucoup marqué. Un garçon qui m'attirait bcp à l'époque me tendait simplement la main sur des marches d'escalier (tout une symbolique), c'est pour dire combien c'était soft... 
Les TED talk ce sont des conférences sur des sujets variés que tu peux retrouver sur youtube. Il y en a plusieurs sur le porno, voici le lien vers celle que j'ai évoqué (tout en anglais par contre...)




Au niveau des rêves je n'en ai plus fait depuis que j'ai repris la masturbation, mais je pense que ça va revenir après 1 mois de sevrage. Ca ne me manque pas du tout, je trouve toujours ça un peu embarrassant mais bon, ça doit faire partie des joies du célibat j'imagine :/
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