Dépendance sexuelle

Version complète : Voyage a la (re)conquete de soi (Sevrage de Strider)
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Hello Kalliste,

Pas vraiment, je dois reconnaître que je suis actuellement dans une des périodes les plus difficiles que j’ai vécu avec mon addiction. J’ai rechuté énormément de fois, au moins 3 fois par semaine, depuis mon dernier message, dans des phases de compulsion à avoir l’impression de ne plus contrôler son corps, à avoir mal à la tête de tant de pression mentale et physique. On a parfois tendance a peindre l’addiction au porn comme une addiction « gentille » par rapport a des addictions aux drogues dures et à l’alcool, mais en ce moment je me reconnais dans des addicts aux drogues dures, dans leur envie incontrôlable et leur quête de shoot a tout prix…

Mon travail est vraiment le catalyseur de mon addiction aujourd’hui, je commence à me sentir mal dès que j’y arrive et plus je me sens mal plus j’ai envie de fuir vers la compulsion. Tout les jours en fin de journée je me sens capable de laisser tomber l’addiction dès le lendemain et tous les jours dans la journée je craque et ne réussi pas à tenir. Je crois que j’ai besoin de lire plus de contenu sur ce forum et autres sur le sujet de l’addiction. J’ai besoin de rompre le cycle infernal dans lequel je suis attrapé et qui me détruit physiquement et mentalement, et affecte aussi les autres autour de moi.

Mon copain ne m’a jamais fait de commentaires la dessus mais j’ai l’impression que mon mal être l’affecte aussi. Après avoir craqué au boulot, quand je rentre chez moi je suis souvent en mode « automatique », pas vraiment dans le moment présent, en faisant des choses passives machinalement pour oublier l’échec du jour. Du coup j’ai l’impression de transmettre mon insatisfaction générale avec ma vie et de nous enfermer dans une routine qui peu à peu nous use tous les deux.
Aujourd’hui pas de rechute de la dep au porn mais échec complet de la résistance a la dep aux vidéos/réseaux sociaux. Pour rappel: après tant d’années ma dépendance a muté en une hydre a deux têtes: d’un côté ma dep au porn et a la mb, la plus ancienne, plus compliqué à réaliser partout/à toute heure et dépendante d’une envie physique. De l’autre une nouvelle dep aux vidéos youtube / instagram de divertissement, plus facile a alimenter, à toute heure, a chaque moment sans devoir se cacher ni dépendre d’une envie sexuelle…

Ça paraît anodin de parler de dépendance aux vidéos / réseaux sociaux dans notre société actuelle toujours connectée, mais dans mon cas c’est certainement un gros problème. J’y passe des journées entières, au lieu de travailler. J’enchaîne vidéo après vidéo sans but, machinalement, en me promettant chaque fois d’arrêter sans jamais réussir. Les jours ou j’ai pas d’envie sexuelle, j’alimente la dep réseaux. Les jours pù j’ai des envies, je fait les deux. Les vidéos des réseaux sont même devenu une passerelle vers le porn: plus j’en regarde, plus l’envie sexuelle monte et plus il est probable que je rechute.

C’est triste a dire mais aujourd’hui j’ai perdu le contrôle. La zone de mon cerveau qui me pousse à la compulsion est plus forte. La compulsion est devenu un automatisme. Je peut littéralement être en train de me dire qu’il faut que j’arrête etc en ouvrant au même moment une appli ou un site de porn.

J’ai perdu le contrôle mais je veux croire qu’il est possible de le reprendre. Je veux croire qu’en passant par un sevrage sec je peux faire diminuer ses automatismes et revenir a la clarté dans mon esprit. Ça fait des mois que je me dit tous les jours que je me lance sans y arriver, mais je crois quand même qu’en passant quelques mois sans réseaux / porn je peux reprendre le contrôle.

Ça va être dur, mais c’est le seul moyen. J’ai tout un tas d’excuses dans le fond de mon cerveau qui me font penser que c’est pas viable de se passer de mes deux dep sur le long terme. J’ai des besoins sexuels, il faut que je me mantienne au courant de ce qu’il se passe sur les réseaux pour rester intéressant, tout ça tout ça. J’identifie souvent tardivement ce genre de pensée qui pourtant traîne depuis longtemps dans mon esprit. J’ai peut être besoin de les exprimer plus souvent pour prendre de la perspective. J’ai peur de l’ennui par exemple. Peur de la routine, de devenir chiant, de perdre mon esprit d’aventure. C’est plutôt drôle sachant que la routine la plus constante que j’ai gardé dans ma vie jusqu’a maintenant c’est ma dépendance en vrai…

Demain je retente le sevrage complet, il est temps de tuer l’hydre….
Aujourd’hui premier jour de sevrage complet. Ça a été très dur, ça a occupé mon esprit tellement que j’ai pas fait grand chose au travail. Comme je le pensais je suis loin dans la manifestation physique de ma dépendance, et chaque minute mon cerveau sollicite son shoot hormonal via videos (porn ou non). Il faut savoir que je bosse seul dans un bureau, le reste de mes collègues sont a distance, du coup chaque minute est une opportunité de céder à la tentation.

J’ai tenu le coup sans céder toute la journée, mais l’envie de regarder des vidéos était telle que n’importe quel support aurait pu servir, même de la pub. Et en ne cédant pas sur la dep youtube/insta, pendant l’après-midi la dep mb porn a tenté sa chance aussi. Ça confirme mon constat que les deux dep ne sont que deux faces d’une même pièce.

Avec ces réactions et sensation de manque je réalise a quel point j’ai été loin dans la dépendance. Je me sens comme ces addicts à l’héroïne dans les premiers jours de sevrage qui semblent si horribles a vivre ( mon ressenti est sûrement beaucoup plus light j’en ai bien conscience). Mais je dois passer par ça. Les premiers jours sont les plus difficiles mais il faut que les traverse pour commencer a ressentir les bénéfices du sevrage, et de récupérer ma clarté d’esprit.
Bonjour Strider.
Je me reconnais beaucoup dans tes 3 derniers posts. Ce passage en mode automatique qui fait qu'on est plus au commande de son corps, la dépendance qui pèse sur mon couple, la procrastination, la relance de sevrage. 
Tu ne recrutera jamais autant que moi et pourtant aujourd'hui je suis persuadé que la vie sans la dépendance est possible. 
Pour ma part, me battre frontalement à ma maladie n'as jamais apporté que tension, difficulté et rechutes avec à chaque fois une estime de moi un peu plus abîmée. 
Paradoxalement, c'est maintenant que j'ai vidé mon sac, arreté de porter ce fardeau seul sur mes épaules et accepté les choses que c'est le plus facile. Fini la souffrance, la lutte et la douleur...
Si tu en à l'occasion, parle. De ton addiction si tu peux, à quelqu'un de confiance, à un(e) thérapeute. Mais parle aussi de tout ce qui te pèse. Car c'est l'accumulation de tensions, de contrariété qui nourri l'addiction et mène à la rechute, j'en reste persuadé. 
Je continu à lire ton carnet tout les jours comme pour tout les autres. Se battre c'est bien, mais se faire aider pour avancer c'est encore mieux. 
On est jamais aussi fort que quand on se fait aider. 
Courage à toi, ne perd pas espoirs
Merci Eric pour les encouragements. Effectivement je me sens en face a face avec mon addiction ces jours-ci, et c’est pour ça que c’est dur. Mon cerveau demande son shoot de porn, mb ou vidéos toutes les minutes. Vu la résistance que j’oppose à céder au porn ou aux réseaux, c’est l’envie de mb qui me titille le plus aujourd’hui.

Mais ma démarche de sevrage vient d’une envie de « reset » mon cerveau et sortir de ces automatismes qui me détruisent à petit feu depuis tant d’années. Donc d’un côté je tiens car j’ai envie d’une vraie remise à zéro pour repartir sur de bonnes bases. Je veux pas introduire un biais en cédant sur une mb et continuer sur une trajectoire bancale, donc je résiste, mais c’est dur.

En relisant des anciens messages sur mon carnet j’ai revu la mention qu’Orroz disait qu’il fallait réellement 18 mois de sevrage pour pouvoir s’en sortir. J’ai déjà tenu un an de sevrage mais jamais 18 mois, j’ai bien envie de me fixer cet objectif. Dans le passé les soucis qui sont survenus après quelques mois de sevrage (émotions beaucoup plus fortes, rêves érotiques etc..) m’ont souvent généré de la honte et remis sur le chemin de la dep pour m’anesthésier. Mais aujourd’hui je me sens presque prêt a y faire face. Je suis en couple aujourd’hui donc je dispose d’un soutien de plus qu’avant mais j’ai aussi envie de me créer une résistance à toute épreuve. Qu’importe les tensions, les émotions, les évènements de la vie, les drames…je veux pouvoir y faire face sans que cela n’arrive à me faire replonger. Quelque part craquer me semble comme me remettre dans un trou, en m’anesthésiant et attendant la mort. Pas très attrayant.

Au sujet d’en parler, j’ai l’intention d’en parler a mon psy a ma prochaine séance. Jusque-là dans nos séances on s’était focalisés sur des problèmes persos, de confiance en moi, de responsabilité, de stress…mais je n’ai encore jamais abordé ma dépendance avec lui. Dans le passé j’ai déjà révélé ma dépendance à plusieurs personnes, amis ou couple, mais à chaque fois ces personnes n’ayant pas d’expérience sur le sujet n’ont pas forcément su réagir, ou leur réaction m’a laissé penser que ce n’était pas si grave à leurs yeux, que j’exagérais peut être… Ce qui par la suite a servi mon argumentaire de rechute. Ce n’est pas leur faute évidemment, ça a simplement été une autre excuse pour faire ressurgir ma dep. Mais du coup aujourd’hui j’ai envie d’en parler a un professionnel, dans l’espoir qu’il m’aide un peu évidemment, mais surtout par souci de transparence. Sinon comment pourrait-il m’aider efficacement sur mes autres problèmes, s’il n’a pas tous les éléments en tête?
(29-04-2022 11:02)Strider a écrit : [ -> ]Merci Eric pour les encouragements. Effectivement je me sens en face a face avec mon addiction ces jours-ci, et c’est pour ça que c’est dur. Mon cerveau demande son shoot de porn, mb ou vidéos toutes les minutes. Vu la résistance que j’oppose à céder au porn ou aux réseaux, c’est l’envie de mb qui me titille le plus aujourd’hui.

Mais ma démarche de sevrage vient d’une envie de « reset » mon cerveau et sortir de ces automatismes qui me détruisent à petit feu depuis tant d’années. Donc d’un côté je tiens car j’ai envie d’une vraie remise à zéro pour repartir sur de bonnes bases. Je veux pas introduire un biais en cédant sur une mb et continuer sur une trajectoire bancale, donc je résiste, mais c’est dur.

En relisant des anciens messages sur mon carnet j’ai revu la mention qu’Orroz disait qu’il fallait réellement 18 mois de sevrage pour pouvoir s’en sortir. J’ai déjà tenu un an de sevrage mais jamais 18 mois, j’ai bien envie de me fixer cet objectif. Dans le passé les soucis qui sont survenus après quelques mois de sevrage (émotions beaucoup plus fortes, rêves érotiques etc..) m’ont souvent généré de la honte et remis sur le chemin de la dep pour m’anesthésier. Mais aujourd’hui je me sens presque prêt a y faire face. Je suis en couple aujourd’hui donc je dispose d’un soutien de plus qu’avant mais j’ai aussi envie de me créer une résistance à toute épreuve. Qu’importe les tensions, les émotions, les évènements de la vie, les drames…je veux pouvoir y faire face sans que cela n’arrive à me faire replonger. Quelque part craquer me semble comme me remettre dans un trou, en m’anesthésiant et attendant la mort. Pas très attrayant.

Au sujet d’en parler, j’ai l’intention d’en parler a mon psy a ma prochaine séance. Jusque-là dans nos séances on s’était focalisés sur des problèmes persos, de confiance en moi, de responsabilité, de stress…mais je n’ai encore jamais abordé ma dépendance avec lui. Dans le passé j’ai déjà révélé ma dépendance à plusieurs personnes, amis ou couple, mais à chaque fois ces personnes n’ayant pas d’expérience sur le sujet n’ont pas forcément su réagir, ou leur réaction m’a laissé penser que ce n’était pas si grave à leurs yeux, que j’exagérais peut être… Ce qui par la suite a servi mon argumentaire de rechute. Ce n’est pas leur faute évidemment, ça a simplement été une autre excuse pour faire ressurgir ma dep. Mais du coup aujourd’hui j’ai envie d’en parler a un professionnel, dans l’espoir qu’il m’aide un peu évidemment, mais surtout par souci de transparence. Sinon comment pourrait-il m’aider efficacement sur mes autres problèmes, s’il n’a pas tous les éléments en tête?

alors je te stop tout de suite c'était une grosse connerie l'histoire des 18 mois surtout ne rentre pas la dedans .. j'ai dépassé allégrement les 18 mois ce n'est pas le problème du tout .. 
orroz c'était il y a 16 ans beaucoup de ses conseils sont complétement obsolète. faut arrêter avec la méthode volonté.
NE TE FIXE PAS D'OBJECTIF TEMPOREL, il faut comprendre pourquoi il y a rien a abandonné ..ça sert a rien le porno 
tu va te faire du mal pour rien. 
 
il y a deux aspect émotionnel, et le conditionnement j'ai poster le livre adapter d'allen carr pour arrêter facilement la pornographie 
bonne lecture.

allez stop la souffrance pour rien
Je te rassure 1_char, je ne crois pas que passé 18 mois de sevrage pouf ! Plus d’addiction, plus d’envie, nouveau moi pour une nouvelle vie, tout ça tout ça… Par contre je suis dans les premiers jours de sevrage, et la demande physique est réelle et j’ai besoin de me raccrocher à un objectif pour tenir le coup. 18 mois c’est simplement plus que le plus long que j’ai tenu, c’est tout. Mais le but réel est évidemment de me distancer de l’addiction et de la compulsion. En comprendre les mécanismes pour les abandonner, ce que je tenterai de faire également seul et avec mon psy.

En tout cas merci de la piqûre de rappel et de la mise a disposition de ressources.
(29-04-2022 14:06)Strider a écrit : [ -> ]Je te rassure 1_char, je ne crois pas que passé 18 mois de sevrage pouf ! Plus d’addiction, plus d’envie, nouveau moi pour une nouvelle vie, tout ça tout ça… Par contre je suis dans les premiers jours de sevrage, et la demande physique est réelle et j’ai besoin de me raccrocher à un objectif pour tenir le coup. 18 mois c’est simplement plus que le plus long que j’ai tenu, c’est tout. Mais le but réel est évidemment de me distancer de l’addiction et de la compulsion. En comprendre les mécanismes pour les abandonner, ce que je tenterai de faire également seul et avec mon psy.

En tout cas merci de la piqûre de rappel et de la mise a disposition de ressources.

Je t'assure que c'est beaucoup plus cours que ce que tu pense mais faut le prendre par le bon bout.
 
tu la connais l'histoire de la crème magique une crème qui soulage les démangeaison alors oui ça soulage le temps que la crème fasse effet et puis juste après ben c'est repartis ça gratte et on est reparti pour un tour . 

mais c'est GENIAL strider tu deviens un non consommateur... quand ça gratte c'est que ça pars et tu le sais très bien qu'a un moment ben ça grattera plus.

franchement tu loupe rien, tu pourras faire ce que tu veux aucun des modèles de ton écran ne sortira pour te claquer la bise ...

nan mais sérieux je te critiquais pas du tout pour le coup des 18 mois je suis tomber les deux pieds dedans.
Merci pour tes mots d’encouragements 1_char, et tu as raison de me mettre en garde, le sevrage n’est pas une formule magique et c’est important de s’en rappeler.

Hier est passé sans trop d’encombres, et j’ai pas de doutes que ce week end aussi. Le week end est beaucoup moins stressant, donc moins propice a la rechute. Je sens que je commence à me tranquiliser dans ce nouvel état. En n’utilisant ni réseaux sociaux ni porn ni mb, ça a parfois tendance a me générer une espèce d’angoisse, comme si je n’allais rien avoir à faire de ma journée pour passer le temps… Mais j’ai relu certains de mes anciens messages sur ce topic, et quand je vois combien de fois j’ai répété les mêmes erreurs, et depuis combien de temps je traîne cette dépendance, ça me donne encore plus le vertige.

Dans ma vie sous dépendance, j’ai toujours l’impression de manquer de temps. Toujours encie de faire plein de choses que je ne fait jamais, car attrapé dans les mêmes mauvaises habitudes. Évidemment arrêter la dep ne va pas me transformer en qqun d’ultra productif non plus, mais en tout cas pour l’instant ça me donne l’impression d’avoir beaucoup plus de temps pour vivre, ce qui est agréable.
(30-04-2022 11:50)Strider a écrit : [ -> ]Merci pour tes mots d’encouragements 1_char, et tu as raison de me mettre en garde, le sevrage n’est pas une formule magique et c’est important de s’en rappeler.

Hier est passé sans trop d’encombres, et j’ai pas de doutes que ce week end aussi. Le week end est beaucoup moins stressant, donc moins propice a la rechute. Je sens que je commence à me tranquiliser dans ce nouvel état. En n’utilisant ni réseaux sociaux ni porn ni mb, ça a parfois tendance a me générer une espèce d’angoisse, comme si je n’allais rien avoir à faire de ma journée pour passer le temps… Mais j’ai relu certains de mes anciens messages sur ce topic, et quand je vois combien de fois j’ai répété les mêmes erreurs, et depuis combien de temps je traîne cette dépendance, ça me donne encore plus le vertige.

Dans ma vie sous dépendance, j’ai toujours l’impression de manquer de temps. Toujours encie de faire plein de choses que je ne fait jamais, car attrapé dans les mêmes mauvaises habitudes. Évidemment arrêter la dep ne va pas me transformer en qqun d’ultra productif non plus, mais en tout cas pour l’instant ça me donne l’impression d’avoir beaucoup plus de temps pour vivre, ce qui est agréable.

super ça c'est encourageant, du coup pour l'angoisse et autre émotion ta une méthode qui marche du feux de dieu celle de luc nicon 
bon en fait c'est pas ça méthode mais ça explique bien 

(extrait du bouquin revivre sensoriellement )
GUIDE PRATIQUE

Vous ressentez une émotion désagréable…

Fermez les yeux,

portez votre attention sur les sensations physiques
présentes dans votre corps,
laissez ces sensations évoluer, se transformer

d’elles-mêmes,

laissez faire, sans contrôle, sans a priori…

jusqu’à apaisement.

bon après y a deux petit truc a chopper avec cette technique ne pas se focaliser trop sur les sensation et surtout rien faire .. rien avec ça ta enlever 99 % de l'attrait au porn puisque c'est casi juste qu'une fuite des émotions .
pareil pas de phobie dans l'arrêt du porn, faut pas fuir quoi que ce soit y a rien a fuir .. 
faut juste ce rendre compte d'un point essentiel la dépendance au porn c'est pas le fait de se terminer sur du porno c'est de commencer a chercher du porno.

bref ne rien faire et si ta une émotion déplaisante ben test la technique tu va voir c'est bluffant ..
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