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Normal 0 21 false false false MicrosoftInternetExplorer4 Le comportement alimentaire est indissolublement lié au comportement sexuel, et j'ai essayé à de nombreuses reprises d'attirer l'attention de nos bons forumeurs sur ce fait important. Contrairement à ce que croit Warsen, je déteste les croquettes et préfère de loin l'alimentation naturelle, surtout végétarienne: la bouffe industrielle me donne des plaques de pelade et me rend l'esprit mou. Trop et mal manger répond à un critère de lutte contre les émotions, ce que montre Thierry dans son témoignage, et de plus cela booste la sexualité par un apport excessif énergétique, autant que par une irritation et un besoin d'évacuation dû à la toxicité. Et cette sexualité exacerbée est à son tour utilisée dans la lutte contre nos émotions.
Pour ma nourriture spirituelle je fais comme tous les chats : je taquine la souris... j'ai trouvé quelques liens intéressants (qui du moins me paraissent tels à vous d'en juger) :
Vivre cru avec Thierry : http://vivrecru.org/ Thierry parle de pranisme : http://www.youtube.com/watch?v=Njy9IXBL8Ss
Nathalie Gauthier : http://www.youtube.com/watch?v=MOXZkggIhDg
Alain Cornély: http://www.youtube.com/watch?v=jCudGbOdVEs http://www.youtube.com/watch?v=p1qQAgrGdng
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la même chose en bleu : <b../../../h5>"Il nous arrive d'errer dans les ténèbres, éprouvés et fatigués, troublés et perplexes, en nous demandant : "Où est la lumière ? Existe-t-elle seulement ? Et que dois-je faire pour la trouver ?" En approfondissant ce champ d'inconnues, nous sommes confrontés à la "nuit noire de l'âme" ; toutes nos affections et consolations habituelles perdent de leur sens ; le passé s'effondre tandis que le futur nous est encore inconnu ; nous nous retrouvons alors isolé, seul avec nos besoins. C'est en ces termes que mon ami Raz Engrassi, directeur du Hoffman Quadrinity Institute, décrit cette nuit noire : "Souvent lorsqu'on souffre, on pense être à des millions de kilomètres de Dieu, persuadé qu'Il nous a abandonné." Toutefois, ce type de souffrance nous met face à face avec qui nous sommes et avec ce que nous avons fait de nous-mêmes. Nous pouvons alors traverser cette nuit noire en reconnaissant que notre souffrance, quelle que soit son intensité, a un projet clair : notre éveil. Lorsque nous en recherchons le sens caché, notre souffrance peut se muer en appel à l'éveil, devenir une voie menant au divin plutôt qu'un chemin de séparation. La voie vers la lumière nous fait traverser les ténèbres, à travers la vallée de l'ombre de la mort. Là, désespérément égarés, nous n'avons plus que la foi pour nous guider. Mais, vivre ainsi par la foi, revient à marcher sur le fil d'un rasoir. Néanmoins, la foi transforme nos erreurs – ainsi que leurs douloureuses conséquences – en enseignements sacrés. La manière dont nous vivons nos expériences fait toute la différence. C'est ainsi que les événements traumatisants brisent les uns et transforment les autres. Nous souffrons lorsque nous essayons d'imposer nos conditions ; quand nous choisissons, manipulons, rejetons, exigeons et nous plaignons, faisant tout, sauf être présents à ce qui est. Mieux vaut laisser l'univers être ce qu'il est et accepter la place que nous y occupons. Comme dit mon ami Paul Lowe, "la vie telle qu'elle est, se présente exactement de la manière dont elle est supposée être pour vous à cet instant précis. Où que vous soyez, c'est votre vie. Si vous l'acceptez telle qu'elle est, elle deviendra tout ce qu'elle est censée être par la suite, sans que vous n'ayez rien à changer, manipuler ou diriger. Vous accepterez et vivrez chaque instant tel qu'il est." C'est ce que veut dire être éveillé et vivre selon la foi. Nous pouvons nous éveiller à tout instant. Il est également fort utile de se souvenir que "ce à quoi nous nous opposons, persiste" ; que l'ego n'est pas notre ennemi. Lorsque nous en faisons notre ennemi, nous lui donnons notre force et en usons contre nous-mêmes, comme un ventriloque tourmenté par sa marionnette. Notre ego est un phénomène naturel, comme le temps qu'il fait. Nous pouvons en étudier ses traits caractéristiques et son mode de fonctionnement afin de ne pas tomber dans ses nombreux pièges. Si nous dévalorisions le mauvais temps de la même manière qu'on nous incite à le faire pour notre ego, on serait certainement traité de superstitieux. Se lamenter sur notre redoutable ego au point d'en être obsédé et d'élaborer des plans raffinés destinés à l'anéantir constitue en soi un acte de "masturbation égotique". Pourquoi ne pas simplement en tenir compte, de manière naturelle, en servant une cause utile à l'humanité ? Le fait de craindre ou de ressentir de la culpabilité par rapport à notre ego ne fait que lui donner une importance disproportionnée. Traitons notre ego comme nous traitons le temps qu'il fait dehors et vivons notre vie en êtres à caractère divin, participant au miracle de la vie." Margot Anand
Pardon Fritzecat,erreur de frappe! Tu m'a bien fait rire!!!!ca aussi je te remercie bey
Je suis allée voir ce lien, c'est assez inconnue pour moi, il faux que j' écouté plusieurs fois.merci Fritrecatbonne j' née a toi