@ tous : Mes amis, le temps nous étant hélas cruellement compté, et le devoir m'appelant vers d'autres travaux (dont la possibilité notamment fut ouverte par le travail sur l'économie sexuelle que j'ai mené grâce à votre aide), je vais devoir réduire quelque peu ma présence ici. J'invite ceux qui ont trouvé mes interventions utiles, encourageantes ou positives à relire mon topic et les interventions et dialogues disséminés ici ou là chez les uns et les autres (et les prie humblement de bien vouloir m'excuser pour les longueurs inutilement littéraires - ou les pitreries esthétiques, ou les inutiles querelles idéologiques - qu'ils pourraient y trouver : il y a également quelques clés qu'il m'a semblé utile et même indispensable de partager avec vous. J'aurais encore beaucoup de choses à dire et, lorsque j'en aurai terminé avec mon travail en cours (relectures de manuscrit pour envois) et qui va me prendre une bonne partie de mon temps, j'essaierai de revenir ici un peu plus longuement. Il y a du travail pour des mois et des mois, avec déjà les auteurs que j'ai cités (et ceux cités par d'autres que moi) et grâce auxquels j'ai avancé un peu dans la compréhension des mœurs et particularités du rétif (et si utile) cheval que chacun et chacune de nous doit chevaucher bon gré mal gré pour aller dans la vie, je veux parler naturellement de la force sexuelle ! Donc que tous ceux qui ont déploré ici ou là l'indigestibilité « titanesque » et « prétentieuse » de ma prose se réjouissent ! : mes interventions seront désormais et pour au moins quelques temps assez courtes. Je m'en fais (hélas, car j'ai un grand plaisir à écrire ici) un devoir et une discipline nécessaires. Bon courage à tous et bonne journée (une seule à la fois, toujours).
<!--[if gte mso 9]>Mes inquiétudes concernant la question de la congestion (d'un des pétales) du premier chakra suite à l'absorption de viande s'éclaire aujourd'hui : c'est un problème dentaire qui se préparait (et qui était déjà perceptible au niveau énergétique - le premier chakra gouverne les os et les dents). Il faut dire aussi que l'alimentation carnée diminue la résistance aux infections ce qui explique ma sensibilité excessive. Donc aujourd'hui ça va être vitamine C et téléphone au dentiste (moins marrant que de tapoter sur le clavier de l'ordi, mais y a urgence !)
Bon courage à moi surtout, et aux autres aussi, toujours.
<!--[if gte mso 9]>(roul, faudrait plutôt qu'on en discute par tel, je te dirai quand j'aurai installé skype.) <!--[if gte mso 9]>
Citation : La sagesse s'infuse, lentement mais sûrement, pour celui qui maîtrise ses pulsions...
Bon courage à tous.
<!--[if gte mso 9]>La notion de pureté revient souvent dans les préoccupations des « sevreurs ». Pour ma part j'ai remarqué une chose : c'était quand je me sentais sale, physiquement parlant, que j'avais le plus de chances de rechuter. La chaîne de causalité (tirée de l'observation de ma dernière compulse) était : 1 – paresse à faire ma vaisselle, ma toilette, mon ménage 2 – sentiment d'impureté augmenté 3 – rechute qui augmente l'impureté etc. (cercle vicieux)
Le simple fait de remplacer la paresse par une attention particulière apportée aux soins corporels, à la propreté de l'habitat, du linge, de la vaisselle, etc. est pour moi un garde fou qui me permet de garder cette impression de netteté qui ne ternit pas la sensation que j'ai de moi. Et donc l'opinion aussi. Ne pas oublier qu'on a en réserve le pire comme le meilleur comme idées au sujet de soi, et que les idées du jour seront celles qui correspondent au ressenti qu'on a (encore ici l'illusion de l'ego, qui n'est rien mais qui s'identifie à tout ce qui traîne dans la conscience).
Soigner ce ressenti quotidien est un moyen d'appeler les idées constructives, le négliger d'appeler les idées défaitistes et destructives. Quand on appelle par sa propre discipline un ressenti positif, on appelle aussi en même temps ce qui est en harmonie avec cela, et le cosmos nous fournit davantage d'énergie d'amour (de bonne énergie, de Dieu, de joie, etc.). On arrive à ce résultat quand on est rempli de davantage de pression énergétique, de davantage d'énergie sexuelle, (de chi ou prana ou énergie de vie pour être plus précis). Cela permet de mettre de l'ordre et nettoyer spontanément et naturellement et ne demande pas d'effort. L'énergie en nous se charge de nous pousser à cela et prend le relai. Les efforts qu'on a faits pour ne pas céder sont automatiquement réinvestis dans tout le reste. Dans la vie on ne devrait avoir à faire réellement que des efforts spirituels (rester propre et abstinent) ce faisant les autres efforts nous sont en grande partie épargnés (et tout au moins pouvons nous réaliser de plus grandes choses).
Dans le sevrage le but du jeu est donc d'habituer l'organisme à un plus haut potentiel, une plus grande pression intérieure. Il ne faut pas croire que le fait d'avoir plus de pression augmente le désir sexuel, il n'en est rien. Le désir de compulsion est avant tout mental, émotionnel. Plus exactement c'est une réponse toute faite (et pathologique) à des situations dont nous pensons (ouvertement ou secrètement) ne pas pouvoir nous tirer, que nous pensons ne pas pouvoir ou vouloir affronter. Sentiment d'impuissance, que l'on fuit dans la drogue compulsive, donc. Lorsque nous avançons dans le sevrage, l'augmentation de pression donne davantage d'énergie pour contrôler ce surplus, il n'y a donc pas d'impossibilité au niveau de la quantité.
Une autre chose : modifier l'environnement : Modifier la situation extérieure permet parfois de perdre toute envie de compulse. Pourquoi ? Parce qu'il n'y a plus le besoin de fuir (et de se punir en plus pour n'avoir pas le courage d'affronter le vrai problème : se poser ces questions essentielles et fondamentales : est ce que ma vie me convient ? est ce que les choix que j'ai faits jusqu'à présent sont bien les miens ? suis-je totalement honnête avec mes rêves ? ai-je trouvé ma Légende Personnelle, comme disait Coelho ? ou me suis-je laissé imposer une vie qui ne me convient pas ?) Faute d'affronter ces questions et y répondre, on pourrait continuer d'avoir besoin de fuir, puisque le seul ami sur lequel on pourrait compter (soi-même) s'ingénie à nous tirer des balles dans les pieds…
merci de votre attention, un jour à la fois... <!--[if gte mso 9]>
Citation : sid a écrit: Je ne vous suis pas forcement sur cette notion de pureté, un avatar intellectuel à mon avis inutile, en tout cas pour moi.je ne ressens pas la question de pureté comme un idéal intellectuel irréalisable dans la réalité (ou inutile), c'est juste le contraire : lorsqu'on se trouve dans un état de non compulsion, c à d libéré de la boue des « pensées impures », la « pureté » est un ressenti immédiat, une réalité de la qualité de l'esprit qu'on désigne par ce mot commode. On pourrait dire clarté, tranquillité, paix, immobilité, joie à la place de pureté. Tout cela est synonyme et sont les qualités intérieures que le raffinement de notre énergie nous a permis d'atteindre (de ressentir).
Si on parvient à rester dans cet état et ne pas le détruire par des pensées libidineuses qui induisent des émotions négatives lesquelles entraînent à leur tour des comportements inadéquats (destructeurs, salissants), cette pureté d'esprit se traduit dans notre réalité matérielle par une envie de propreté, d'ordre extérieur. c'est ainsi parce que l'énergie supérieure qu'on a en plus grande abondance (le shen, le saint esprit, l'Amour) est pureté, intelligence, grâce, paix, ordre et propreté… Derrière ça, que des gens sales (je ne dis pas ça pour sid que je ne connais pas) prétendent que la propreté est un mythe, cela fait partie de l'ordre des choses, tant il est vrai que chacun voit midi (et balaye aussi ou ne balaye pas) devant sa porte.
Dans le même ordre d'idée, les belliqueux prétendent qu'il est impossible d'éviter la guerre (Si vis pacem, para bellum) et leur idéologie inadéquate rend effectivement toute paix impossible. Doit on en déduire que celui qui a le coeur en paix prône et prêche intellectuellement quelque chose d'irréel? Ce n'est irréel que pour ceux qui ne sont pas dans le même état (et ne le seront jamais, puisque leur idéal et leur conduite se situent à l'opposé de ce qu'il faudrait faire pour ressentir la paix – condition indispensable pour la propager dans le monde, si tant est qu'une telle chose soit possible, puisque tout amour qui ne nait pas en soi-même ne nous est réellement d'aucune utilité).
Ne pas attendre des autres ce qu'on doit découvrir et cultiver en soi-même me semble la conclusion logique de cette pensée du jour de fzc.
bon courage à tous, un seul jour à la fois.
<!--[if gte mso 9]>Citation : tout amour qui ne naît pas en soi-même ne nous est réellement d'aucune utilitéCe que je voulais dire par là, c'est que même si profiter de l'amour d'autrui est agréable et bénéfique, cela ne nous rend pas autonome et capable d'en fabriquer nous-mêmes pour pouvoir le rendre à celui ou celle qui nous en a donné. Donc l'amour que les autres nous portent pourrait se révéler parfaitement inutile à notre maturation spirituelle (apprendre à fabriquer l'amour nous-mêmes pour pouvoir l'offrir à autrui). Ce qu'on appelle amour bien souvent n'en est pas, ce n'est qu'une sorte de troc où on n'investit qu'à la hauteur de ses retours sur investissements. L'amour qu'on fabrique soi-même échappe à ces calculs mafieux, puisque si on n'est pas payé de retour, cela n'a pas d'importance : on peut rétablir la balance en puisant à notre source et ainsi rester bénéficiaire et en position excédentaire. On est autonome. C'est le contraire de la dépendance et c'est ce vers quoi il faut ce me semble s'efforcer d'aller.
Si on y parvient, le partage avec un ou une partenaire devient tout autre chose. La peur de perdre l'autre diminue et beaucoup d'autres problèmes sont évités.
Il y avait un film intéressant tiré d'un livre que j'avais bien aimé et qui disait cela aussi : La Prophétie Des Andes. J'en recommande le visionnage ou la lecture.
Bonne soirée.
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