Dépendance sexuelle

Version complète : Allo? (sevrage de fritzecat)
Vous consultez actuellement la version basse qualité d'un document. Voir la version complète avec le bon formatage.
Pages : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33
"haut la main au dessus des 16", bon pour une cloture ok, mauditzob, mais pour un mémoire, c'était la meilleure note de la promotion (par modestie je l'avais pas dit !) faut savoir reconnaitre sa valeur, merde !et tout ça grace à qui ? pas moi : mantak chia et son enseignement de chi kung qui m'a permis de me surpasser par la répartition de l'énergie sexuelle dans le corps et son contrôle depuis le point couronne... c'est ça qui m'a donné la force de me relever parce que quelques mois auparavant j'étais une vraie loque, suite à une rupture bien hard... alors au lieu de pleurer, quand allez-vous vous mettre vraiment au boulot ? et obtenir des résultats ?
Ah cela signifie un gros coup de pied aux fesses ça !!!
salut fallait bien que je te taquine un peu vu que ça fait longtemps que je suis pas venu sur le forum[img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4d6422f04.gif"[/img].Eh oui pour les reves c'est bien d'avoir les siens et d'aller jusqu'au bout pour les réaliser.bonne a route à tous
L'espoir " Ne vous laissez pas prendre au piège de l'espoir. Ne soyez pas prisonnier de l'idée que l'aide vous viendra de l'extérieur. Ce n'est pas l'autre qui va vous combler. La plénitude est au-dedans de vous. J'ai entendu parler d'un chasseur qui s'était perdu dans la jungle. Durant trois jours, il ne put trouver personne à qui demander son chemin. La panique commençait à monter en lui : trois jours sans nourriture et dans la peur constante des animaux sauvages. A l'aube du quatrième jour, il aperçut un homme assis sous un arbre. Quelle ne fut pas sa joie! Il se précipita vers lui et l'étreignit. L'autre homme également le serra dans ses bras. Tous deux étaient immensément heureux. Puis ils se demandèrent l'un à l'autre : "Pourquoi donc es-tu si joyeux?" "J'étais perdu, dit le premier, et j'espérais rencontrer quelqu'un." "Je suis aussi perdu dit le second, et j'espérais également rencontrer quelqu'un. Mais si nous sommes tous deux perdus... alors notre joie est vaine. Maintenant nous sommes perdus ensemble!" " Osho
Fritz je comprends et vois très bien ce que tu nous pointes du doigt à chaque fois dans tes posts. La solution est en NOUS. Nous possédons la clé de nous libérer et il nous faut la "cueillir". Mais ne penses tu pas qu'on ait besoin à certains moments de notre vie et plus précisément durant notre sevrage (puisque nous sommes quelque part ici pour parler de ça) d'une aide extérieure comme DASA, un psychologue (thérapeute en général) , ce forum, des personnes de confiance ... ? En complément de ce travail spirituel ? Combien de fois j'ai cru pouvoir m'en sortir seul. Probablement que je n'avais pas "assez la niaque" ou que je n'avais pas encore eu ce "déclic" dont certains m'ont parlé. Je suis intimement convaincu que notre déclic arrive parce qu'on veut le voir mais ça c'est autre chose. J'ai essayé de méditer mais du peu que j'ai pu faire je me sentais bloqué, surtout après quelques jours de sevrage. Mes pensées n'arrivaient pas à se libérer. Je crois me rappeler que tu t'en es sorti après de longues années à méditer. Pendant ces années comment te sentais tu ? Tu sais combien je suis ouvert à tes idées mais hélas que je n'ai pas toujours le temps de chercher les infos que tu sèmes (paresse ou réel manque de temps?).  
Sonic, je ne sais pas comment interpréter le message de Fritz, mais je pense que le message derrière cela, c'est que nous avons les clés à nos propres problèmes, la solution existe en nous autant que le problème mais nous le savons pas toujours, pas nécessairement.On peut très bien recourir à des DASA, psy, ami, forum etc... pour avoir de l'aide, une orientation, mais au final c'est toujours en soi qu'on a les clés de ses problèmes.L'autre jour j'ai entendu cette phrase et je crois qu'elle est très juste : 

"Si tu ne trouves pas le bonheur en toi même, tu ne le trouveras jamais"

 

Asmyr.

Oui ... Je comprends mieux. Les clés je les ai. Elles sont quelque part en moi, et les trouver est une mission qui se fait de plus en plus urgente. Cette nuit j'ai naïvement cru que le raisonnement de ma psy pouvait être vrai (il est le même que le raisonnement de mon premier psy). Il est possible de se masturber, prendre du plaisir après une journée de travail, d'efforts ... Et non. Au fond de moi cela me disait "tu vas encore replonger coco". On connait cela. J'ai perdu le contrôle. La preuve est qu'à 4h du matin je me suis réveillé pour ça. Donc cette piste de travail comme quoi il est possible de contrôler la chose j'y mets une croix DEFINITIVE !! Je reprends un sevrage clean et sérieux sans y mettre le moindre compromis du genre "une petite masturbation sans support ?". Ce sera non aussi. Merci à toi Asmyr pour ce regard objectif et lucide que j'ai perdu on dirait. 
je trouve que c'est dur à faire comprendre à un psy qu'on puisse se sentir dépendant, accro à la masturbation qq soit le niveau de dépendance. C'est sûr que si on dit qu'on a perdu son boulot, qu'on se désocialise complétement, se retrouve à la rue, façon drogue alcool.....à cause du porno le psy il va dire y a un prbl d'addiction OK. Maintenant  quand on dit qu'on le fait, parce c'est plus fort que nous mais qu'on "vit" quand même avec, boulot préservé, études perturbées mais  menées à bien malgré tout, vie de famille idem...le psy il a du mal à voir l'addiction où alors, comme je disais sur ton forum Sonic, il nous teste en minimisant la chose pour voir comment on réagit et tenter de nous faire passer cette addiction au registre de la boulimie passagère de saucisson/camembert à 4h du mat'!! Mais pour ma part j'ai trouvé cette posture du psy blessante, même si j'ai du faire avec ça pour travailler sur les "causes" dans ma vie qui entraine ce besoin de porno.Maintenant j'ai trouvé une oreille bcp plus attentive sur le côté addiction avec une psy d'un centre d'addictologie générale (ANPAA), ca réconforte même si le travaille que je fais avec elle tourne la plupart du temps autour de pleins de sujet autre que mon sevrage, ma pratique addictive, comme avec un psy lambda, par contre la relation de confiance et bien plus forte maintenant.à tchuss
@marduc.Tout psy qui se respecte est un tant soit peu sensibilisé aux problèmes d'addiction quelques qu'ils soient (drogue, jeux, sexe, alcool etc...). Ils n'ont peut-être pas tous la compétence ou la spécialité adéquate pour parvenir à y remédier aux cours des séances, mais ils se doivent de connaitre un minimum le sujet.De plus ce n'est pas au psy de juger de la gravité ou de la minimiser dans un sens ou dans un autre de l'addiction d'un patient. A partir du moment où tu te décide à pousser sa porte et à le consulter, cela signifie que le problème est suffisamment grave pour qu'il soit pris en compte.Un psy, n'a pas pour rôle de juger la sévérité de ta dépendance, mais plutôt la gravité du mal être qu'elle provoque en toi.Et c'est valable pour tous les problèmes que traitent les psy. Les patients qu'ils ont n'attendent pas d'avoir une rupture ou d'être à la rue pour consulter. C'est toi seul qui au final décide de ce qui est néfaste ou pas pour toi. Asmyr.

 

d'accord ASmyr, ccomme toi je fais confiance de manière générale aux psy, ce qui change je trouve c'est leur approche des problèmes selon leur formation (psychologue, analyste, psychiatre...) et leurs affinités perso. j'ai en ai connu 3 jusqu'à présent, une psychiatre en 2005 pendant 3/4 mois près de mon domicile, un psychiatre  de 2009 à 2012 (retraite) près de mon boulot, et maintenant une psychologue dans un centre ANPAA près de mon boulot depuis fin 2012, j'ai une préférence pour l'approche de la psychologue de l'ANPAA mais les autres mon bcp apporté aussi sur mon parcours...et tout est lié.
Pages : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33
URLs de référence