Dépendance sexuelle

Version complète : Allo? (sevrage de fritzecat)
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Bon trop de payote ou de champignon magique...quel belle naiveté...couleurs mauves...mmmm j'aime!
surtout à gauche la face de aliens...vraiment magnifique! Je suis Mort de rire...Ma conjointe ne voudrait pas avaoir ceci dans son salon!!!Chacun son style...j'ai déjà fait qqchose de similaire durant un voyage au Costarica...Quel expérience shamanique...salut
oui, important les aliens ! pour se souvenir que le monde est mystérieux et qu'on ne sait toujours pas le fin mot de l'histoire! (sauf Vorilhon et d'autres "abductés" dans son genre...),  moi je trouve que ça fait joli dans le tableau, mais je n'ai pas la chance d'avoir été contacté par les "gris" ni les "reptiliens" !
<!--[if gte mso 9]> Normal 0 21 false false false MicrosoftInternetExplorer4 La tentation et la rechute

Bien sûr une tentation n'est pas une rechute, mais elle peut devenir un pas vers celle-ci selon la façon dont on y réagit, même si la rechute peut paraître encore loin. L'idéal est de reconnaître l'erreur à la seconde où elle se produit et de faire une « correction intérieure » (Stuart Grayson appelait ce genre de travail « traitement spirituel du mental ») pour : 1) reconnaître clairement que la pensée ou l'impulsion est néfaste et pourrait mener vers d'autres pensées du même genre qui en se banalisant finiraient par amener de nouveau la compulsion, 2) faire un effort de diversion pour éloigner ces représentations de l'esprit et apaiser le trouble émotionnel que cela induit, 3) formuler un ancrage mental (pour les croyants cela peut être « merci seigneur, d'éloigner de moi la tentation », pour un non croyant cela peut être autre chose à votre convenance, par exemple une autosuggestion genre : « je suis maître de moi, j'éloigne cette pensée avant qu'elle ne prenne possession de mon esprit », etc.), 4) remplacer l'activité reconnue comme néfaste par une autre reconnue comme bénéfique (prière, méditation, exercice énergétique, respiratoire, exercice physique, ballade, lecture spirituelle, etc. etc.) pour mettre l'énergie au travail sur un autre plan, dans un autre domaine (l'énergie dite sexuelle peut servir en réalité à tout, elle n'est sexuelle que si on l'utilise de manière sexuelle).

En somme (d'après l'expérience que j'en ai), si on arrête la tentation compulsive immédiatement, elle ne peut acquérir la force de nous amener à une rechute. Par contre si on la cultive, même en pensée, même sans être excité, si on la tolère pendant trop longtemps sans une franche et nette réaction (il faut pour cela reconnaître la chose, ce qui est parfois malaisé), alors au niveau émotionnel on travaille dans le mauvais sens.

J'avais appelé ça quelque part la rechute par étapes : à force d'accumuler des « non rechutes » de plus en plus nettes, on finit par passer à l'acte. C'est ce qu'il faut éviter.

Ça peut paraître simpliste à un esprit perfectionné, mais parfois des choses simples fonctionnent, la difficulté est tout d'abord d'y penser, de croire que cela va être efficace et surtout de le faire.

Je considère l'ancrage mental comme important car la chaîne causale (l'ordre chronologique donc hiérarchique) des évènements c'est : Le mental commande l'émotionnel qui commande le physique. Il faut avoir l'esprit bien clair pour observer la chaîne causale chronologique. Vous verrez que c'est toujours l'image (une image est une idée, elle est d'ordre mental) qui apparaît en premier et qui déclenche l'émotion, et que c'est l'émotion qui permet le passage à l'acte. En agissant sur le mental (c'est facile, il suffit de se représenter clairement les idées que l'on veut promouvoir en soi, de les formuler, les écrire pour ne pas les oublier, etc.) on intervient à la racine du problème et empêche l'émotion d'apparaître donc aussi l'acte résultant.

Je ne parle pas ici des affects inconscients (système de défense contre les émotions refoulées) qui nécessitent un travail spécifique et qui peuvent rendre le travail mental inefficace puisque ces émotions, échappant à la conscience, ont une certaine autonomie et résistance au travail mental précisément. On en a largement débattu avec Plouf et Stef. C'est bien sûr la partie la plus difficile de la lutte contre les dépendances, c'est un travail qui peut durer des années et n'est jamais totalement terminé (même si le gros œuvre est fait, il reste toujours des finitions, et tous les travailleurs manuels savent que les finitions sont ce qui dure le plus longtemps si on a le souci de la perfection).

Bon je ne m'étends pas plus longtemps pour aujourd'hui. Comme d'habitude j'espère avoir été utile (c'est pourquoi j'ai précisé tout ça de nouveau).

Bonne suite à tous.

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100% daco avec ceci...j'ai pratiqué ceci se matin...Comme tout mec je vois une belle fille faire jogging...oups...Me dit toi: adictme dit tourne les yeux...me dit...merde...que je suis con...Ensuite me suis lancé sur sujet du jour...la météo...fini...Et vlan...pas de compulsion obsessionel...Obsession...étape à franchir...tentations...autre étape...Complusion...autre étape...étape par étape...
<!--[if gte mso 9]> Normal 0 21 false false false MicrosoftInternetExplorer4 Le « jeu » de la vie 

En ce qui concerne le jeu, mon idée est que cela peut devenir une passion addictive aussi bien que d'autres choses. Moins dangereux que la compulsion au porn, certes, mais présentant un risque de dépendance aussi. Tant qu'on ne joue pas de l'argent, la principale chose qu'on ait à y perdre c'est du temps. Il faut gérer cette question. Quand on est jeune on ne se rend en général pas tellement compte que le temps est précieux et surtout qu'il est compté ; et que dans la vie pour arriver à quelque chose il faut y consacrer énormément d'efforts d'énergie et de temps. La passion est nécessaire mais pas suffisante. Elle devrait être dans l'idéal productive, c'est-à-dire en rapport avec son but de vie, sinon c'est une activité séparée du reste, qui est peut-être agréable, mais qui retranche de précieuses heures à « l'œuvre », le but qu'on s'est fixé (car il me semble profitable et nécessaire de se fixer des objectifs). Par passion productive j'entends quelque chose qui apporte des connaissances, un savoir faire, quelque chose qu'on puisse réinvestir par la suite. Je ne peux donner trop de conseils en ce qui concerne les jeux, n'étant pas joueur (j'ai joué au poker quand j'étais très jeune, mais j'ai vite compris que je risquais de m'attirer des ennuis et j'ai arrêté). Étant musicien, par la suite pour moi jouer voulait dire : de la musique, et je n'avais pas l'impression de perdre mon temps même en jouant 8 ou 12 h par jour puisque je voulais en faire mon métier. Il n'y avait pas de jeux vidéo et je n'ai jamais aimé jouer aux cartes, etc. j'ai toujours eu le sentiment de perdre mon temps dans de telles activités.

Il me semble que passer 2h par jour dans une activité de détente de ce genre est vraiment le maximum (je serais tenté de dire que c'est trop). Il y a autre chose que je reproche aux jeux, c'est de ne pas faire appel aux facultés les plus nobles mais au contraire les pires, au niveau culturel, donc, j'aurais tendance à dire que les jeux ne favorisent pas du tout l'élévation spirituelle, et  flattent les bas instincts. De plus ils véhiculent des valeurs très discutables. Je me souviens d'avoir été horrifié une fois par un jeune qui m'avait annoncé un jour avec un grand sourire que son jeu était marrant car il fallait « dégommer des viets ». Ayant vécu à l'époque de la guerre du Vietnam, j'ai pensé que ce jeu n'était qu'une propagande de l'impérialisme yankee déguisée en divertissement. Beaucoup de jeux ne cultivent que la peur ou la violence virtuelle ce qui n'est pas bon. Ceci dit il en existe peut-être des bons, je ne suis pas assez spécialiste pour le dire, le peu que j'en connais ne m'a pas semblé d'un très haut niveau spirituel (peut-être très complexe et faisant appel aux réflexes, à l'intelligence, etc.) mais qui travaillent les trois premiers chakras uniquement (survie, sensualité, domination ou attaque) quelquefois le cœur aussi sans doute (construire des villes, établir des communautés&hellipWink Commercialement une telle chose est compréhensible :  des jeux exigeant des efforts et un haut niveau de développement ne se vendraient pas, donc le nivellement se fait au plus bas pour correspondre à la facilité réclamée par le « grand public ». Il existe peut-être des jeux sains et intelligents, où le but est l'amour et l'altruisme, ça serait bien…  (Quand je me « distrais » en regardant un film -les navets je zappe-, je me dis toujours que ça fait partie du boulot d'écrivain, puisque j'analyse toujours le scénar, les dialogues, etc. Si c'est une adaptation j'essaie d'avoir lu le roman pour pouvoir juger du boulot qui a été fait, etc. j'essaie toujours de bosser, même en me divertissant.)

En conclusion  on peut remarquer que les enfants jouent, les acteurs et les musiciens jouent, tout ceux qui sont passionnés par ce qu'ils font considèrent leur activité comme un jeu et cela les aide à assumer les aspects désagréables dont aucune activité humaine n'est exempte. C'est une façon de rester jeune dans sa tête. Le jeu est effectivement essentiel. L'idéal est d'arriver à un état d'esprit où tout devienne jeu (j'en suis encore loin, mais je m'y achemine&hellipWink

Alors on ne se laisse plus voler sa vie (dont on voudrait s'évader) par les industries du ludique qui vous vendent des moyens d'évasion qui  ne sont au final que des drogues particulières. La vie devient un jeu et un art qui n'est plus enfermé dans des tableaux, des chansons, des écrits ou des PlayStation : il investit tout. Il y a un autre nom pour cela : la Joie de vivre !

<!--[if gte mso 9]> <style> st1\:*{behavior:url(#ieooui) }
Non pas moins dangereux...quand tu vole pour aller jouer...braque une banque...fait une pipe pour jouer 20$...ou encore passe 30% de tes revenus dans ceci et offre des cadeaux à 5 euro à noel à tes enfants...Quand tu joue tout...au point ou lorsque tu meurt...ta conjointe doit aller viv re dans un 11/2 et n'a pas rien à se mettre sur le dos d'élégant...comme avant tes déboires...Adiction au jeux est très forte...comme toute adiction elle est destructrice si elle est obsessionelle...Salut...expériences vécus et vus...Chiao...
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Citation : Non pas moins dangereux...quand tu vole pour aller jouer...braque une banque...fait une pipe pour jouer 20$...ou encore passe 30% de tes revenus dans ceci et offre des cadeaux à 5 euro à noel à tes enfants...
Merci de donner ton avis, corvus. Tu as raison de dire que cela peut-être dangereux pour certains, moi j'ai dû jouer de l'argent pendant un mois, vers dix-sept ans, avant de bannir ceci définitivement, parce que j'ai vu le danger justement. (J'ai prévenu que je n'étais pas addict au jeu et à vrai dire ce post s'adressait surtout à Strider, qui est jeune et joue à des jeux vidéo, apparemment, et pas à des jeux d'argent. Le pire qu'il ait à y perdre lui est son temps, et aussi ingurgiter les valeurs bidon que certains jeux véhiculent.)

<!--[if gte mso 9]> <style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-ansi-language:#0400; mso-fareast-language:#0400; mso-bidi-language:#0400;} </style>
Salut fritz merci pour ta réponse. (ne t'en fait pas, je ne te regarderais pas de travers a cause d'elle, car je comprend ce que tu dit et je suis d'accord globalement).Je trouve ta remarque sur la notion de perte de temps très juste, le temps est précieux et nous est comptés donc il faut l'utiliser a bon escient. Ce sur quoi je bute, c'est sur quand considérer quelque chose comme une perte de temps?  Doit-on considérer nos échecs scolaires comme une perte de temps? Doit-on considérer le visionnage d'un navet comme une perte de temps? Doit-on considérer le temps de convalescence après une blessure comme du temps perdu? Et pour finir, doit-on considérer ses rechutes en période de sevrage (quel qu'il soit) comme une perte de temps? Selon moi, c'est non pour tout ça.  Je considère qu'on apprend de toute chose et qu'au travers de nos expériences nous affinons notre personnalité, nos gouts et la direction dans laquelle on souhaite se diriger. Tous les navets que tu as pu visionner (même si tu dit ne pas en regarder tu a surement du en voir un ou deux) ne t'ont ils pas aidés a mettre en valeur les chefs d'œuvres également vus? a te montrer dans quelle direction tu ne souhaitait pas aller justement, en tant qu'écrivain? Personnellement si j'avais le choix de pouvoir revenir dans le passe et effacer ma dépendance de ma vie des le départ, je pense que je ne le ferait probablement pas, car même si j'ai effectivement "perdu" beaucoup de temps sur le porno et autres, c'est mon chemin pour m'en sortir qui fait ma force et certaines parts de ma personnalité aujourd'hui, et me fait sortir la tête du trou. Il fallait passer par la pour pouvoir rebondir, ça avait donc malgré tout une utilité. Maintenant si le jeu n'est pas du temps perdu, alors qu'est-ce que c'est? C'est du temps, certes, investit dans du divertissement. Le divertissement est-il du temps perdu? Tu le dit toi même, tu n'y connais pas grand chose en jeux vidéo (tout comme je ne connais pas grand chose en beaucoup de choses), il n'y a pas besoin de s'y connaitre pour en parler. Simplement je pense que de nos jours, il est important de le considérer de plus en plus au même niveau que la musique ou le cinéma (très acceptés socialement, beaucoup plus que le jeu vidéo). Tout comme ces derniers, il ne s'agit que de divertissement, de détente, d'un moment "non productif" (forcement car le film on ne l'a pas produit, et même si on l'a produit, quand on le regarde, on ne le produit plus). Mais pour moi non-productif ne veux pas dire inutile. Le jeu vidéo est une création de l'homme et, comme la musique ou la littérature , certaines de ces créations vont parfois trouver une forte résonance en nous, plus que d'autres. Nous faire réagir, nous faire aimer, nous faire rêver. Nous permettre de nous retrouver ensemble et de partager a propos d'un même jeu joué (des tuyaux sur comment passer telle zone, des expériences vécues en jeu, un ressenti...). Tout comme la littérature, le cinéma, la musique et bien d'autres choses.  Et bien sur au détour d'un jeu on peut apprendre des choses ("s'instruire"), sur une période si le jeu est basé sur des faits historiques, sur soi même en se découvrant touché ou non par tel ou tel thème, sur la technique si l'on est intéressé par la production videoludique, etc... Bref je pense vraiment que le divertissement, même si tu l'axe sous un œil professionnel, en essayant de prendre exemple ou de repérer des techniques...reste du divertissement et donc loin d'être inutile, au même titre que la spiritualité ou le besoin de manger, dormir etc...c'est un besoin nécessaire au développement humain.Au delà de savoir si l'on perd son temps en faisant quelque chose ou non, je pense surtout qu'il faut gérer son temps et ne pas laisser tel ou tel besoin empiéter de trop sur un autre.  Après niveau jeu, eh oui on trouve de tout, du bon comme du mauvais (beaucoup de mauvais, pas beaucoup de bon comme d'hab'). Mais au moins les bons ont le mérite d'exister et c'est tout ce qui compte. Je te rassure, il y a beaucoup de jeux ou ils ne s'agit pas que de "dégommer des viets". (même s'il est dur de les remarquer de nos jours avec l'opulence de FPS et autres Call of Duty...) Voila j'espère que ma réponse n'est pas trop brouillon. (en tout cas si le débat deviens trop houleux, on pourra toujours régler ça sur une bonne vieille partie de pong)
<!--[if gte mso 9]> Normal 0 21 false false false MicrosoftInternetExplorer4 Salut strider, merci pour ta réponse. Beaucoup de points soulevés sont vrais et je ne reprends pas en détail. Seulement quelques remarques en passant…

Le danger de vouloir apprendre des choses à travers la fiction est grand. Ceux qui sont parfaitement informés à propos d'une notion donnée peuvent facilement démêler le vrai du faux dans une œuvre fictive ou un jeu. Ceux qui ne connaissent pas peuvent facilement être induits dans l'erreur.

Je ne cherche jamais à apprendre quoi que ce soit dans un roman, sauf si  je connais très bien la question traitée. Pour apprendre il y a les multiples monographies, documentaires et articles (et encore il faut faire du tri, aujourd'hui le mainstream prend les gens pour des cons).

Quand considérer une chose comme une perte de temps ? C'est très difficile à évaluer. J'ai mis des décennies pour comprendre à quoi me servaient certaines choses que j'ai faites ou étudiées dans ma jeunesse, et qui ne m'ont servi et ne se sont « associées » au reste de mes compétences que longtemps après. Je dirais que ce qu'on aime vraiment (là où on est guidé par son cœur, par l'amour) finit par nous servir à quelque chose parce que un jour on finit par trouver sa place et son but en ce monde, et c'est là où on comprend à quoi sert ce qu'on a aimé et pourquoi on l'a aimé. Avant d'en arriver là, il faut essayer de faire la distinction entre une activité qu'on aime positivement et une autre qu'on croit aimer mais qui n'est en réalité qu'une fuite de notre voie, une façon de ne pas ressentir notre peine, notre solitude, notre colère, etc. Or s'il est nécessaire de suivre sa positivité, il faut aussi pouvoir reconnaître sa négativité, si on ne peut le faire, jamais on ne sera à même de la surmonter. Je propose cette image : travailler à accroître le positif (sevrage, méditation, vie saine) nous amène plus de lumière. Le surcroît de lumière éclaire peu à peu ce qui en nous était dans l'ombre. Sortir les vieux fantômes de l'ombre est effrayant, mais c'est aussi la guérison. Une fois la frayeur passée, on est libre, car il n'y a plus d'ombre à fuir…

À+

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URLs de référence
  • Dépendance sexuelle: http://www.dependance-sexuelle.com/index.php
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