Ps : on avance plus vite dans la relation avec un autre, même sur un forum, on peut voir à l'œuvre nos réactions émotionnelles, projections du passé, car l'autre nous tend un miroir. Si on ne veut pas lui parler, c'est encore une façon de se fuir soi-même.
Nb : ceux qui sécrètent trop de testostérone, c'est une particularité ou un dérèglement qui existe, doivent consulter, des conseils psychologiques quels qu'il soient ne pourraient solutionner leur problème qui est hormonal. Mes paroles ne valent que pour des gens à peu près en équilibre de ce point de vue. Ces questions sont complexes. Il faut examiner tous les aspects de la question. Mais je persiste à dire que la méditation peut permettre d'harmoniser les sécrétions endocriniennes (la glande pituitaire du troisième œil est le chef de tout le système endocrinien, elle sécrète des endorphines, aussi, et la mélatonine, qui a été citée récemment pour favoriser le sommeil, est sécrétée par la glande pinéale centre énergétique du sommet de la tête). Les pensées « spirituelles » et la méditation, en activant les centres énergétiques mentionnés, ont donc une action sur les glandes et sur l'état physique, émotionnel et mental. Le sevrage est en dernière analyse une école de contrôle de ses pensées… c'est donc une décision éminemment spirituelle, quelques soient les motivations de départ différentes selon les individus…
<!--[if gte mso 9]>MARDI 12h30 – 13h30 | « fermée » aux non-dépendants affectifs et sexuels | |
JEUDI 12h30 – 13h30 | ||
SAMEDI 11h00 – 12h30 | ||
DIMANCHE 20h30 – 21h30 | « ANOREXIE AFFECTIVE ET SEXUELLE » |
Comment faire pour « lâcher prise » ? Krisnamurti disait « la vérité est un pays sans chemin ». Autrement dit : il n'y a aucune méthode qui permette de lâcher prise de façon volontaire. Il n'y a que des méthodes permettant d'éliminer un par un les obstacles au lâcher prise. Lorsqu'il n'y a plus d'obstacle, le lâcher prise s'opère de lui-même, c'est un acte naturel et sans volonté. Ce n'est même pas un acte, c'est le résultat de la liberté de l'être retrouvée. Comme il n'y a plus rien contre quoi résister, la résistance cesse. C'est un peu schématique et structurel, évidemment. Dans la réalité, il y a des avancées et des retours. On peut lâcher prise un moment puis l'instant d'après une résistance se lève et le contrôle reprend (c'est-à-dire le conflit intérieur du moi conscient contre le moi inconscient). C'est au moment où la résistance apparaît qu'il faut l'observer, et c'est pourquoi la relation avec l'autre est si importante, puisque s'y révèlent nos habitudes émotionnelles inconscientes. C'est fondamental. Rester dans son coin n'aide pas à se connaître c'est même le contraire. Il est plus facile de se leurrer lorsqu' aucun stimulus ne nous oblige à réagir et nous révéler.
Quels sont ces obstacles ?
[color= #ff6600]-> présence d'énergies perturbantes[/color] : Les émotions « inférieures » négatives, indésirables, dont une bonne partie est inconsciente et qu'il s'agit de rendre conscientes, et les idées négatives ou destructrices qui aident à maintenir ces émotions bloquées, et qu'il s'agit de repérer également. Tout ça étaye le « système de défense » inconscient qu'il s'agit de comprendre, mettre à jour, et « nettoyer » par l'application de la lumière de la conscience, rien de plus… il n'y a rien d'autre à faire que voir. Mais ça peut être extraordinairement difficile pour quelqu'un qui a passé une grande partie de sa vie à se boucher les yeux.
[color= #ff6600]-> absence ou insuffisance d'énergies harmonisantes[/color]. : Apprendre à canaliser l'énergie sexuelle, la garder en soi et s'en servir, est difficile car sa tendance naturelle est de s'échapper. La compulsion sexuelle se sert de cette tendance naturelle à des fins qui deviennent pathologiques par leur exacerbation. Il faut donc réagir et pour cela avoir une très forte motivation et des outils. Pour ma part j'en ai trouvé un efficace : le chi kung tel qu'enseigné par mantak chia. Le surplus d'énergie sexuelle permet alors d'augmenter la lumière et la force intérieures, c'est primordial pour affronter ces énergies sombres qui nous gouvernent tant que nous ne les avons pas encore éclairées et évacuées. La difficulté est que ce surplus intérieur booste également les émotions sombres indésirables. Là encore mantak propose des outils pour évacuer l'excès d'émotions négatives qui risquent de faire exploser la marmite, mais sans se défaire de la lumière (ou énergie sexuelle) pour pouvoir continuer le travail.
[color= #ff6600]-> des bienfaits de la rechute : [/color]Il est impossible de garder l'énergie sexuelle en soi si on n'est pas fermement décidé à s'en servir pour faire quelque chose de bien précis : creuser des chemins dans son ignorance intérieure. Faute de faire ce genre de travail on s'achemine vers la rechute, et j'ajouterai même HEUREUSEMENT, car c'est alors la seule issue pour se défaire d'une énergie dont on ne fait rien, dont on ne se sert pas à des fins de découverte de soi. Il y a donc réellement un combat intérieur entre la lumière de la conscience (l'énergie retenue) et le système de défense qui nous protège de la douleur (la compulsion à se défaire de l'énergie « dangereuse » puisqu'elle menace notre ignorance protectrice, l'énergie sombre de nos « démons » ou émotions négatives inconscientes). Tant qu'on n'éprouve pas de joie à l'idée de se faire mal pour apprendre, affronter courageusement le « dragon » (comme dans les contes pour enfants, comme un sportif qui va au delà de la douleur pour progresser), tant qu'on croit que le sevrage doit être assisté, avec escalier roulant, bouillotte chauffante et rappel automatique de nos oublis, on stagne. (Autant dire que la société actuelle nous prépare à devenir des zombies spirituels.)
[color= #ff6600]-> le travail sur soi du point de vue des arts internes taoïstes [/color]Donc cette énergie sexuelle il ne faut pas la laisser en bas il faut la faire remonter dans le corps pour fortifier les chakras supérieurs : c'est le but du travail spirituel. Ce travail s'accompagne de découvertes parfois extrêmement pénibles, d'autres fois exaltantes, voire extatiques. Il faut continuer quelles que soient les choses rencontrées et avoir confiance dans les maîtres qui ont fait ce travail avant nous, et nous assurent que c'est bien cela qu'il faut faire. Faute d'avoir cette confiance, on stagne et tourne en rond car ce travail est difficile. J'avais fait autrefois sur ce topic un post sur le doute : le doute soi-disant scientifique peut être la chose la plus destructrice du monde, si on s'en sert comme d'un alibi pour ne pas faire, ne pas avancer, ne pas croire, ne pas comprendre… c'est une croyance à l'envers déguisée en doute. Pour ne pas tomber dans cette erreur il faut comprendre que la science est maintenant instrumentalisée et vient remplacer aujourd'hui la religion puisque cette dernière ne remplit plus vraiment son rôle anesthésiant.
[color= #ff6600]->La dépendance [/color]Elle n'existe pas. Je veux dire par là : ce n'est pas une entité, c'est un concept désignant un ensemble de comportements qu'on peut changer. Pour cela il faut les voir, les comprendre. Quand une chose inconsciente devient consciente, il n'y a rien de plus à faire, le travail a avancé, le problème est résolu. Le temps se chargera ensuite de répartir les énergies et de faire mûrir les zones qui étaient bloquées, cela peut être douloureux et prendre du temps, mais c'est aussi tellement salvateur que la douleur n'est rien en face la joie qu'on éprouve à se comprendre et savoir qu'on est déjà guéri depuis l'instant où on a vu ce qu'on ne voyait pas auparavant.
C'est Jung qui a dit je crois que « la plus grande souffrance est de ne pas comprendre, c'est l'absence de sens ». Un finaud, le père Carl Gustav !
<!--[if gte mso 9]>Ah ça me fait plaisir de lire ça ! Surtout sur le fait qu'il n'y a rien à "faire" mais tout à "observer". On est plus intelligents qu'on ne le croit, et souvent il suffit d'avoir conscience de toutes les informations pour que les problèmes se résolvent d'eux mêmes. Quand on voit tout, les problèmes se dissolvent, pas besoin de se prendre la tête, il suffit de voir.
Moi si je devais prendre des leçons de natation, je ne ferais pas confiance à quelqu'un qui m'explique qu'on ne peut pas arriver sur l'autre rive sans se noyer. J'écouterais celui qui m'explique comment nager correctement et m'assurerait que je vais y arriver sain et sauf. Il est probable que dans ses conseils on trouverait des choses comme « continuer de nager toujours tant que le but n'est pas atteint ».
Dans la vie le rivage ultime à atteindre est la mort. Donc il faut se battre jusqu'au bout. Le problème de la rechute n'a bien souvent rien à voir avec cette notion de « dépendance », qu'on peut lire ici employée à toutes les sauces et qui n'est qu'une façon de désigner le manque de maturité et d'autonomie spirituelle. La « dépendance » n'est qu'un des symptômes de la maladie spirituelle qui est l'ignorance de soi et dont tous les humains ou presque sont atteints.
Lorsque on est sorti du cercle étroit et vicieux qui nous pousse vers l'ordi pour tenter d'assouvir un désir irraisonnable et irraisonné, on n'est plus dans la « dépendance » proprement dite. Ceux qui rechutent après plusieurs années de bonne conduite passée (j'en fait partie, je peux en parler) montrent avant tout une chose : c'est qu'ils ont cessé d'être vigilants et de se battre. Car au stade ultime de la victoire, il n'y a presque plus d'effort à faire pour se maintenir dans le droit chemin. L'effort est si minime qu'on finit par oublier de le faire et c'est là que la régression peut commencer. Qu'elle a déjà commencé mais on ne s'en rendra compte que lorsqu'un tout petit caillou sur lequel on bute suffira pour nous faire tomber. Par ailleurs, je ne crois pas qu'on puisse rechuter brutalement après des mois de vie « saine » sans en ressentir les prémisses ou sans avoir des causes déclenchantes graves (dépressions, échecs, deuils, ruptures, etc.) C'est ce genre d'aventures pénibles qui amènent une personne insuffisamment forte, endormie dans son sevrage réussi, à se réfugier de nouveau dans l'erreur pour fuir sa douleur. Aujourd'hui, à la lumière de mon nouveau départ, je pense que cela révèle aussi autre chose : c'est que la personne a cessé d'avancer, d'évoluer, de se développer spirituellement, le confort de l'amélioration l'ayant dissuadée de continuer de faire des efforts pour s'élever encore plus en conscience. Ou bien alors (ce qui revient au même) c'est le résultat du découragement de voir que tant d'efforts n'ont pas permis de vaincre la douleur du deuil, de la rupture, etc. La personne s'est soit crue arrivée (dispensée d'avoir à faire désormais des efforts) ou soit au contraire dit qu'elle ne pourrait pas aller plus loin ou surmonter un échec ou une douleur (et elle baisse les bras). Dans les deux cas le résultat est le même : stagnation suivie d'une régression qui se matérialise par une « rechute ». Pourtant le sevrage (tous les sevrages des choses néfastes) ne sont que la condition nécessaire pour commencer un vrai travail spirituel, ce n'est en aucun cas un aboutissement. Le travail spirituel est précisément ce qui commence perpétuellement et ne se termine jamais.
Think of it, folks! Good day (but no sunshine by my window&hellip
<!--[if gte mso 9]>Faut toujours faire gaffe au petit cailloux qui dépasse,on pourrait se dire quel merde ce petit cailloux mais en fait c'est juste affaire de vigilance,car lui est statique,il s'est posé la on se sait comment et d'ailleurs ce n'est pas le problème,le vrai souci auquel il faut se méfier c'est nous,il ne faut pas etre faignant,ne pas se reposer,il y a la nuit pour cela
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