Dépendance sexuelle

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Bonsoir,Petite confidence après 4 jours de sevrage complet sans branlette sans site sans bla bla.J'ai craquer. Trois branle,et un site de Q. Je désespère. Aller on n'ai un homme un vrai on ne se fait pas commander je recommence. C'est repartis nouveau sevrage. Pourvus que sa marche. Donc je ré attaque a partir de maintenant. Mon psychiatre ma dit de mettre par écrit qu'est ce qui m'y a pousser a aller dessus ses sites. Puis qu'est que je ressens avant d'y aller pendant et après.DSL DE DERANGER AVEC CE MESSAGE. PRENEZ SA COMME UNE PETITE CONFIDENCE SUR MA VIE PRIVEE.QUI N'EST PLUS VRAIMENT PRIVEE PLUS QU'ON PARTAGE TOUS NOS EXPERIENCES PERSONNEL ENTRE NOUS.MERCI DE SE SOUTIENT. 
C'est un peu contraditoire, tout ça... Elle dit que tes pulsions séductrices n'ont rtien à voir avec ta dépendance, mais elle dit aussi qu'il y a des relations entre séduction et dépendance...Une demande d'amour serait-elle sans lien avec la moindre sexualité selon elle? C'est étonnant.Des livres sur la dépendance affective il y en a plusieurs. Lis donc le forum sur le sujet au lieu de dire que tu vas le faire. Procrastination quand tu nous tiens...Es-tu sûr de ne pas interpréter à ta sauce ce que tu dit ta psy? C'est quel genre de psy...?Je ne remets pas en question ses compétences, je te demande juste pour savoir.
Elle prétends que mon besoin de séduire (qu'elle assimile à 1 demande d'amour) n'a pas de rapport direct avec mon addiction au sexe et cela même si ce besoin de séduire peut passer par une relation sexuelle à un moment ou un autre.Toujours selon ses dires, son opposition séduction/dépendance n'est pas celui des neuro-physiciens pour qui les 2 sont liés. En cela, elle s'oppose à ces derniers.Je relate juste son interprétation...et j'y réfléchis afin se savoir si ce qu'elle énonce à 1 sens pour moi. Je ne dis pas qu'elle détient la vérité.Quant à ta remarque sur la procrastination...ce n'est pas toujours évident de passer du temps à réfléchir, lire et chercher des infos sur sa dépendance quant on vit au quotidien avec une compagne et une petite fille qui ignorent tout de mon addiction...
Elle prétends que mon besoin de séduire (qu'elle assimile à 1 demande d'amour) n'a pas de rapport direct avec mon addiction au sexe et cela même si ce besoin de séduire peut passer par une relation sexuelle à un moment ou un autre. Oui.. on en avait parlé avec Diabolovert.. de la recherche damour.. peut être de considération aussi des femmes en général... et effectivement.. je crois qu'il peut se cacher bien des choses derrière une addiction et que malheureusement, il y a encore a chercher derrière !! de la dépendance affective oui.. comme dirait Mondom mais pas uniquement .. c'est un sac fourre-tout la dépendance.. il faut d'abord traiter l'addiction pour voir ce qui se trouve au fond de ce fameux sac.. La dépendance c'est un peu la couverture que tu fous sur un vilain canapé pour ne pas voir combien il est sale et abimé..[img=../../../uploads/smil3dbd4dbc14f3f.gif" border="0]" width="15" height="15[/img]
désolé Lia, mais chez moi, mon canapé est relativement neuf...et je crois que la fameuse couverture que tu évoques, est pluôt à enrouler autour de mon corps...Non, finalement, j'abandonne cette idée de la couverture car cela reviendrait à noyer le poisson.A force de chercher derriére, j'en ai la torticoli...(pauvre) blague à part, je ne suis pas si sûr que dans mon cas, il faille traiter d'abord l'addiction dans le sens où l'objet de ma dépendance (le sexe en général) n'est que l'iceberg en dessous duquel se camoufle le véritable probléme. J'aurais pu être boulimique, alcoolique, joueur...mais non, ma drogue á moi, c'est le sexe.Pour faire simple -mais aussi car il faut vite que je j'aille m'occuper de ma petite fille qui est malade - je pense devoir d'abord m'occuper de moi (réflexions, lectures, travail avec le psy) pour régler mon addiction...celle-ci n'étant -je le pense comme cela aujourd'hui- qu'1 manifestation externe d'1 probléme plus profond... Bonne journée !
Bonjour diabolovert. Je voulais dire qu'il est normal de vivre des moments de déprime quand on se sèvre. On se place volontairement dans une situation de crise et le manque suscite de la nostalgie, ta partie malade a faim, pleure après sa nourriture. Il n'y a pas qu'une question de volonté derrière tout cela. Ce serait tellement simple !J'ai aussi ces périodes de mal-être, de manque face à la frustration. J'essaye de me concentrer sur des choses que je trouve belles, comme de la musique classique, des balades dans la nature etc, bref, des choses qui m'apaisent et me mettent en joie. Ce n'est pas simple tous les jours, je suis encore parfois hanté par la luxure, mais c'est quand même autre chose d'essayer d'être sobre que de vivre tous les jours dans la consommation, de devoir gérer une double vie, de se prendre de la culpabilité dans la figure etc...Je voulais t'encourager et t'inviter à ne pas être sévère avec toi. C'est énorme ce que tu as entrepris au regard de l'étau dans lequel on est, dans la consommation sexuelle. Tu as bien raison de vouloir penser à toi. Bon courage !
oui.. j'en suis d'accord [img=../../../uploads/smil3dbd4dbc14f3f.gif" border="0]" width="15" height="15[/img].. Il faut ouvrir les yeux et mener tout de front !!! l'addiction au sexe.. comme tu le mentionnes.. tu aurais pu être boulimique.. Les femmes nous sommes plus boulimiques par exemple.. et les hommes plus dépendants sexuels.. mais a mon sens c'est pareil.. le sexe ou la bouffe est rarement le problème.. cela cache l'iceberg de chacun... Je dirais que c'est peut être lié au fait que vous les hommes.. petit pour vous défendre vous avez peut être eu tendance a tirer sur.... et nous a combler par la bouffe.. peut être lié au fait de l'interdit.. de l'obsession des régimes ou autre.. je ne sais pas.. je pense que cla s'explique malgré tout.. pourquoi 80% des dépendants sexuels sont des hommes et 80% des anorexiques-boulimiques des femmes..?Bref, ce n'était pas le sujet.. En tout cas.. super.. tu es sur le bon chemin.. ![img=../../../uploads/smil43aa210b02519.gif" border="0]" width="25" height="18[/img] et moi j'ai jeté la couverture.. dessous mon canapé était tout neuf !!!

Bonjour à tous,Quelques news :au compteur, 72 jours de sevrage : j'ai radicalisé ce dernier en m'interdisant la drague et la séduction. C'est pas gagné : autant la masturbation avec support porno ne me manque pas trop en ce moment (du moins, cela ne me fais pas souffrir - mais restons TRES vigileant néanmoins), autant, j'éprouve ce besoin de séduire....pourquoi ? je n'en sais encore trop rien (je travaille sur ce sujet avec ma psy).C'est plus fort que moi..."heureusement", je ne suis pas un tchatcheur et je suis timide à aborder 1 fille...tout se joue au début par le regard..j'ai beau me poser la question -pourquoi je regarde cette fille avec 1 idée derrière la tête -, je ne trouve pas d'éléments de réponse à l'heure actuelle.Aujourd'hui, je vais voir 1 troisième psy (toujours 1 femme) : je ne suis pas sûr et certain que celle que je consulte actuellement (depuis 4 séances) soit celle qui puisse participer et être l'écho de ma guérison...en même temps, je doute de tous le monde...comme de moi-même bien évidemment !J'en ai vu 1 autre lundi, mais il n'y a pas de remboursement possible donc je ne peux continuer ayant pris actuellement 1 congé sans soldes.Mercredi prochain, j'ai aussi 1 RDV avec 1 infirmier faisant parti du secteur addictologie...je n'y vais pas de gaiter de coeur car ce n'est jamais évident de déballer son sac (surtout lorsque celui-ci contient autant d'obscénités), mais on verra bien...c'est peut-être une autre piste vers laquelle orienter mon chemin de guérison.Question à toutes les co-dépendantes : (bon, les autres peuvent aussi s'exprimer si ils le souhaitent) .Ma psy m'a dit qu'il faudrait que j'avoue mon addiction à ma compagne : en gros, cela fait partie du processus de guérisson, un peu comme un drogué fini par avouer à ses proches sa conso., tout en leur précisant que ces derniers n'y sont pour rien.Donc, auriez-vous aimé être averti par votre conjoint plutôt que de le découvrir de par vous-même ou au contraire auriez-vous préféré ne jamais rien en savoir (et à condition biensûr que votre conjoint s'engage dans une démarche de guérison) ?Merci d'éclairer ma lanternebonne journée

Personnellement, j'aurais préféré ne rien savoir et que mon conjoint entreprenne seul un processus de guérison.Il n'en a pas été ainsi. J'ai du d'abord accepter de voir ce que je ne voulais pas voir. Les co-dépendantes, même si elles ne posent pas de questions, même si elles ont une grande confiance dans leur conjoint, perçoivent, pré-sentent, inconsciemment, que quelque chose cloche. Et un jour ou l'autre, elles tombent sur ce que vous pensiez si bien leur cacher et qui ne leur laisse plus aucun doute.C'est alors qu'il faut être clair, ne pas nier, ne pas raconter d'histoire, ne pas trouver de justifications bidons.Votre honnêteté nous met du baume au coeur, vos mensonges ajoutés nous détruisent.Donc, ne dis rien pour le moment à ta compagne. Mais prépare-toi à dire la vérité quand ses questions viendront, en espérant que ton sevrage sera assez rapide pour éviter cette étape extrêmement douloureuse.  
Bonjour je ne savais pas où poser ma question , voilà je voudrais savoir qu'est ce que sa vous fais clairement les co-dépendantes si en allant sur l'ordinateur de la personne avec qui vous êtes , vous trouvaient du pornos ? J'arrive pas à comprendre le désastre que sa vous fais quand je lis tout vos messages. 
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