Dépendance sexuelle

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Pour moi, le Seroplex m'a été prescrit par mon psychiatre il y a  un an, juste au moment du début de mon sevrage actuel.Je n'ai pour ma part qu'a m'en féliciter. 
Bravo Milou pour ton année! Tu dois être content du chemin réaliser et aceuillir la défférence de tes démarches agréablement...Je voulais seulement dire que je suis venu lire le suivi. Lâchez pas.Moi aussi...à la porte de mes 6 mois d'abstinance selon Sexolique Anonyme. Je crois que ceci a été une révélation...un but et une cible...positive. Je ne crois pas que ceux qui juge les moyens de s'en sortir sont en bonne voies de guérions...Toutes les voies positives sont bonne.Les médicament: j'ai repris un peu des reste de mes cachets d'il y a un an...lors de ma grande dépression, fond du baril...perdu tout estime des autres, avoir fait souffrir ma femme ainsi..encore pardon (lourd souvenirs). Et je crois que ca aidé...Je ne vois pas comment tu refuse l'avis de professionel...tel ton psy...Tu n'es pas en mesure de prendre de bonnes décisions en dépresssion...je te l'ai écris...Règle ta dépression ensuite ta dépendance...Je crois que ton psy a vu juste...Tu n'excluera pas ta démarche dans ton adiction, mais focalise tes énergies vers ta dépression...bonne chance...citation:Une alternative :accepter le manque et la souffrance avec calme et douceur, sans se juger. Devenir l'observateur de ce qui se passe en moi et prêter attention à mon souffle plutôt qu'à mes ruminations...se reconnecter à l'instant présent par l'intermédiaire de ma respiration (aussi pour ne pas entrer dans cette infernal labyrinthe)<b../../../em>Bien dit...accepter les moments moins heureux d'une journée (tel: un acrochage avec sa conjointe au sujet des courses ou ménage...avec son patron au sujet d'une action posée avec bonne intention mais reçus négativement...ou encore un message @mail de sa soeur qui vous exclus lorsque vous essayer de créer des liens entre elle et vous...idem avec vos proches, refus de relations sexuelle par votre femme...) Aceuillir ses sentiments.Mon psy et je l'avais écris l'été passé...me disait, regarde toi comme un laboratoire...expérimente positivement, étudie tes sentiements précédents, pendant et après une compulsion...Sans y trouver des réponses tu trouvera des alternatives afin de ne pas y céder...<b../../../font>Bonne chance merci pour ce renforcement positif...Alexandre<b../../../font>
Salut Corvus,Règle ta dépression ensuite ta dépendance

Si je rechute, je déprimerai encore davantage ! Je ne vois pas comment tu refuse l'avis de professionel...tel ton psy...Tu n'es pas en mesure de prendre de bonnes décisions en dépresssion...

C'est juste que j'ai l'impression que c'est pour lui, la solution de la facilité (de me prescrire des cachetons) plutôt que d'essayer 1 travail de fond plus sérieux et efficace sur le long termeMais c'est peut-être aussi mon égo surdimensionné qui croît pouvoir s'en sortir seulBonne continuation à toi

Il me semble que les médicaments ne sont pas censés remplacer la psychothérapie, normalement ils sont censés la permettre, puisque dans la dépression tu n'as ni la force ni la lucidité pour analyser ton comportement. Un psy qui prescrit des médicaments n'est pas forcément un mauvais psy, mais un psy qui qui prescrit des médicaments sans rien proposer derrière, probablement. Dans ce cas il peut être utile d'en changer. Ca donne un peu l'impression de repartir à zéro mais parfois c'est nécessaire. Il faut voir un peu ce qu'il y a ailleurs. Tous les psys ne sont pas bons.Et, peut être que je me trompe sur ce que tu veux vraiment dire, mais je pense que de laisser faire les ruminations et les écouter n'est pas une très bonne chose, mais c'est mon point de vue. Peut être que tu peux essayer de les arrêter gentiment mais accepter qu'elles reviennent sans cesse. Mais à chaque fois les arrêter de nouveau, calmement et patiemment et revenir à ta respiration par exemple. En les arrêtant gentiment une par une, même si encore 1000 doivent venir. Ce que tu peux essayer d'accepter, par contre, c'est peut être la force qui fait qu'elles reviennent. Essayer d'accepter cet état d'esprit, un peu comme un tout. Mais ça fait longtemps que je n'ai pas eu de fortes ruminations, et je ne sais pas si j'ai déjà fait une vraie dépression.... Mais si j'étais toi, j'accepterai les médocs, mais pour faire un travail derrière. Et parfois les médocs aussi ne sont pas les bons, il faut en parler à ton psy. Mais si tu n'as pas confiance en lui, il vaut peut être mieux essayer ailleurs.
Oui d'accord, bonne observation.Note à tous...Je crois que nous devons essayer de lire la généralité des mots écris sur internet (je dois y penser aussi) car souvent on essaie d'interpréter les intentions ou encore, les sentiments de l'écrivain...Et pourtant seul une discussion face à face nous donne l'entière information (visuel et tonal) qui nous informe sur les sentis des gens...Bon... revenon brièvement à notre ami...Moi je ne fesais jamais confiance aux psychiologues...j'allais les voir et essayais souvent de les ammener ou je voulais...et ceci de manière pseudo-consciente. J'étais narcisique, je suis tranquillement devenu égocentrique, pour ensuite ne plus avoir peur de moi-même et ensuite écouter les autres...Dont mes deux psy. C'est bizzard comment je peux aussi mettre des points de réflexion à mes psy et desfois même ajuster leurs perceptions en décrivant mieux ou plus mes sentiments, des histoires et compulsions...En fait, fait confiance à qui tu veux, mais essaie de continuer tes efforts...car ca en vaux la peine...d'ici 5-10 ans tu aurras évoluer...1 jours à la fois...mais perciste...On ne peut pas dire à un ado de 16 ans qui fume son pot quotidiennement, arrête ton pot car tu es en dépression. Mais on peut essayer de sogner sa dépression et ensuite lui ouvrir les yeux sur la diminution de sa consomation suivant la sortie de sa dépression...Tu te gèle avec le sex...tu vie une vie de dépressif depuis les début de tes compulsions...C'est seulement que maintenant tu ne peux plus te cacher et assouvir tes down de dépressif avec de simples masturbations les yeux fermé...tu as progresser tes doses et ta dépression...Tu as jamais règler ta dépression...Tu la nie...et essaie de règler ta dépendance qui est uniquement l'objet d'assouvissement de ta dépression. Tu pourrais tout aussi bien écrire sur un blog de Alcoolic ou de gambler anonyme ou de workaolic de cocinomane, de fumeur de pot...Tu as toujours gelé ta dépression...avec tes compulsions!Je te jure...si ton psy te dis de prendre des médicament, tu peux aller voir un médecin généraliste et lui expliquer la réalité...si tu n'essaie pas de le berner (narcisique) avec des beaux discours il viendra peut-etre aux meme conclusions que ton psy. Mais nous ici au Québec, les psychologues n'ont aucun droit de prescription seul docteur (médecin) et pshychiatre (médecin psychologue spécialisé. Je ne comprends pas que des psychologues aient ces droit?Pour ce qui es de toi...comment ca va depuis une semaine? Ta famille vie comment avec ton état dépressif...quels sont les moments qui te déchirent avec tes enfants...passe tu du temps avec eux...de qualité...as-tu la patience pour leur donner une éducation acceptable? En dépression on se centre sur sois...Ta femme doit être vraiment forte pour t'endurer. Comme le dit Raoult...Botte toi les fesses et agit positivement...agit = prendre des actions des gestes (en parole, en actions et en choix). Va marcher 10 minutes par jour beau temps mauvais temps (quand ils sont tous couché...à ton retour va te coucher et dit je t'aime à ta conjointe embrasse là sur la joue et essaie de t'endormir en repassant cette marche...ce moment de vie avec toi même, moment de repos...et de réflexion...action positive...marcher...ne te dirige pas vers un endroit à risque (autre action positive) et ensuite félicite toi de tes actions positive...Je me félicite de t'avoir écris et lu, tu m'aide et je me valorise à t'aider. Merci aux autres qui essaie de t'aider, ils m'aide à renforcer mes efforts vers la liberté.Bravo merci et continuons...Bientot 6 mois pour moi sans sex compulsif...Les pensées sont là...mais quel libération...en fréquence et intensité...Comme MA PSY M'A DIT...MÊME après 10 ans d'abstinance si il y a une rechute...10 ans de podium BRAVO (ne pas jetter ses trophées et médailles)...pour une chute en piste...On se relève et on reprend la pôle position?  Salut salopards! HAHAHA rire...soyons beau et hummain...SALUT AIDANTSAlexandre
Voilà : je me suis décidé à prendre des anti-dépresseurs conseillés par mon psy...J'ai commencé jeudi : depuis, j'ai un peu mal au ventre, la tête lourde et j'ai un peu l'impression d'être à côté de mes pompes...chouette !J'en ai marre de râler et de me plaindre...ce qui signifie aussi que je n'accepte pas ma situation du momentPour chaque jour qui passe, j'aimerai avoir comme un plan de bataille...un fil conducteur pour une sobriété positive ; à la fin de la journée, je suis souvent insatisfait...mais ai-je réellement tout fait pour prendre soin de moi ???Derrière cela, il y a peut-être l'idée de vouloir tout contrôler....encore et toujoursQuand arriverai-je à me convaincre que je fais de mon mieux et qu'effectivement, dans la vie tout n'est pas noire ou blanc ? (comme l'a si bien décrit Hatt dans un post dédié à Thump)Mais fais-je vraiment de mon mieux ?J'ai aussi du mal à m'approprier les quelques réussites tout comme j'ai du mal à ressentir l'amour que me témoigne mes proches...suis un peu comme une chaudière trouéeBasta pour aujourd'hui...Non, je termine par une note positive : j"ai enfin réussi à télèphoner à une personne pour lui confier différentes difficultés (ça peut paraître banal, mais pour moi, c'est énorme...comme un pied de nez à mon égo qui me suggère de tout régler seul)
D'après ma récente expérience, les antideps mettent 3 semaines à agir. Patience !  Et après, fais gaffe : tu risques de t'attribuer les mérites dûs à leur effet !

Ou inversement, si t'es vraiment dépressif.

 
Et après, fais gaffe : tu risques de t'attribuer les mérites dûs à leur effet !Ou inversement, si t'es vraiment dépressif.cela me fait vraiment "plaisir" de lire ta conclusion.....vivement dans 3 semaines !1 déprimé comme moi (nan, nan John, je ne joue pas la VICTIME - quoique-) a un peu perdu le sens de l'humour et de la dérision...
Salut diabolo

L'humour permet la distance envers la maladie, salutaire. Si je n'avais pas la chance d'en être richement pourvu, je serais déjà mort il y a longtemps.

La dérision, que je pratique parfois avec excès, n'est pas dénuée de vacuité égotiste (elle invite les autres à s'ébaubir du brillant esprit qui nous habite) et peut tendre ou renforcer le pessimisme, le cynisme... elle doit donc être tempérée de vigoureux coups de pelle à la face de nos interlocuteurs, pour leur rappeller qu'on n'est quand même pas là pour faire que rigoler bêtement des travers (de porcs) de nos contemporains.Je découvre aussi progressivement les effets secondaires un peu douteux des antidepresseurs, à moins que ça vienne de moi :scandaleuse atténuation de mon humour ordurier, déception subséquente de mon fan-club... il y en a d'autres beaucoup moins drôles :  records de productivité pulvérisés au boulot, insomnies, crises de fou-rire, sentiment de triomphe irraisonné substitué à l'accablement précédent...

Dis moi si tu veux qu'on cause en mp, je pense que mon état n'est pas stable, mais pour l'instant c'est très confortable.C'est mieux que la dope (la dope, c'est comme visiter l'Egypte sans descendre du bus) : à l'illusion de puissance se substitue la puissance, et en plus remboursée par la sécu, ainsi que les consultations.Quelle arnaque  !a+je reste à l'écoute & je planque ma pelle derrière mon dos ;-)

"Mais puisque tu sais cela, pourquoi ne pas le devancer ?"<b../../../strong>C'est ce que demandait un psy à une patiente que j'ai entendu hier lors d'une réunion des émotifs anonymesCela renvoie au labyrinthe de MilouEffectivement, pourquoi ne pas devancer tout ce qui peut me ramener vers la dépendance et les ruminations ?oui, pourquoi pas ?juste ne pas nier et fuir...juste être honnête avec soi-même et reconnaître les situations et comportements dangereux
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