Dépendance sexuelle

Version complète : Confidences
Vous consultez actuellement la version basse qualité d'un document. Voir la version complète avec le bon formatage.
Pages : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17
j'ai visité le salon de l'auto-satisfaction, il y avait foule !....t''aurais au moins pu venir me saluer !..j'y tiens un stand depuis bien longtemps.Si je veux en sortir un jour, de ce maudit salon de l'auto-apitoiement, va falloir mettre les bouchées doubles, se rendre utile, donner, faire entrer le "bien ", actif par nature..ne pas rester oisif, éviter le nombrilisme..s'investir dans 1 activité valorisante et épanouissante...mettre autre chose dans sa vie et cela à intérêt à avoir du sens.Ces propos te  disent bien quelque chose, non ????Je n'en suis pas encore là : j'avance à mon rythme tout en veillant à rester sur mes chemins de guérison en toute modestie et humilité.Bien à toi,le salon ne ferme jamais..tu t'en doutais...donc au cas où tu t'égares un de ces 4 par là, n'hésite pas (pour rappel, c'est une perpendiculaire á la ruelle de la mort)Ma méditation (toute simple) du jour : est-ce que j'adore mon apitoiement et ma peur du changement et que je m'y cramponne ? (merci à son auteur...un certain Bruno)
Aujourd'hui, les tentations sont nombreuses.Certes, ma compagne et ma fille sont parties pour quelques jours. Je ne crois pas trop à la théorie de l'abandon qui puisse justifier l'afflux de pensées sexuelles.Mon cerveau pathologique revient au galop, comme s'il profitait du contexte pour sortir de sa tannière et venir me tenter.Ne pas le combattre, juste le fuir afin de ne pas le nourrir et accepter d'être tenté sans me culpabiliser ni me juger négativement. Remettre mon impuissance à ma P.S : lui parler en toute honnêteté et lui demander son aide, juste aujourd'hui pouir ne pas céder à mon cerveau pathologique.Par expérience, je sais que ces tentations vont passer...à condition de s'en éloigner. C'est balaise, mais je sais ce que j'ai à perdre si je rechute.C'est dingue la force que possède ma voix de l'addiction :  elle essaye de me détourner des chemins de ma guérison et me renvoie à des pratiques antérieures.Pourquoi ?...je n'ai toujours pas élucider quel est le manque que je cherche à combler lorsque je me réfugie dans ma dépendance...peu importe, il est souhaitable d'aller de l'avant et de nourrir mes chemins de guérison...en acceptant encore et toujours ma fragilité, des moments de doute et de test...Bon courage à tous
Oui, Ça va passer, ça passe toujours, diabolovert, à condition de ne pas donner prise, de faire autre chose, quelque chose qui nous mette dans une situation agréable, de remettre cela à ta PS etc. Mon parrain SA me dit toujours : "tu n'es pas tes émotions, tes pensées, tes sensations physiques, tu n'en es que le témoin. Elles passent, toi tu restes".Bon courage ! 
"tu n'es pas tes émotions, tes pensées, tes sensations physiques, tu n'en es que le témoin. Elles passent, toi tu restes". Ce que tu écris-là fait référence à E.Tolle "le pouvoir du moment présent"...1 ouvrage que je bouquine actuellement et que j'avais déniché sur ton post (merci pour le tuyau)L'idée de n'être que le témoin de mes pensées compulsives et parasites est aussi une technique que j'utilise depuis peu pour ne pas céder et nourrir mes pensées compulsives. Ce n'est pas évident...mais comme tout apprentissage, cela demande un peu d'entraînement.Bon courage à toi
Fais toi un plan de route...ta route seul.Tu es en fin seul avec ta volonté...Soit fiere de ton geste d'avoir écrit. Pense à ce beau moment ou tu dirra a ta femme, j'ai tenu bon...mais j'avais le gout...Je t'aime...Et dis toi que tu es autre chose qu'un adict...Sportif? PEINTRE? Lecture? Travaux de jardinage, ébénisterie...Et en soirée, appel un ami, cherche de la musique. Regarde l'horraire et les extrais du festival d'été de Québec un bon site pour passer du temps, découvrir des artistes et surtout ne pas penser juste à tes pulsions...Je te souhaite aussi une bonne bouffe...prépare un bon dessert à ta femme et tes enfants...Va préparer un bon repas pour eux...leur retour. Pense à ta fille, qui est avec sa maman...et serra avec son papa fier et remplis d'énergie...Vs papa plein de resentiments, de honte et de culpabilité...Tu es un homme de courage, un guerrier...Tes peur tu les as combatus avec tes pulsions...Tu as sortis la peur avec maîtrise étant plus jeune...Tu as combler une peur...Et maintenant cette peur n'est peut-être moins importante que tu ne le crois...Mais ton adiction à la compensation par le sex (ta dose d'adrénaline, de drogue...) est une habitude ancrée....alors lèves les voiles et laisse l'ancre au fond...Regarde l'ile là bas....Tu peux être heureux...tu n'a pas à fataliser ta solitude...ta dépendance...Un jour, tu n'y pensera que normalement à ces femmes...ces femmes qui sont là comme les hommes, les annimaux, les plantes...l'eau....le sex, l'amour, la vie...les nuages, la pluie, le vent...tout est un tout...Toi seul...maintenant...toi en cie bientôt...toi et ta conjointe amoureux dans 10 ans...toi et ta fille dans 15 ans...au souper de Noel...à rire et vivre...Salut...je dois aller travailler...
Fais toi un plan de route...ta route seul.Tu es en fin seul avec ta volonté...Soit fiere de ton geste d'avoir écrit. Pense à ce beau moment ou tu dirra a ta femme, j'ai tenu bon...mais j'avais le gout...Je t'aime...Et dis toi que tu es autre chose qu'un adict...Sportif? PEINTRE? Lecture? Travaux de jardinage, ébénisterie...Et en soirée, appel un ami, cherche de la musique. Regarde l'horraire et les extrais du festival d'été de Québec un bon site pour passer du temps, découvrir des artistes et surtout ne pas penser juste à tes pulsions...Je te souhaite aussi une bonne bouffe...prépare un bon dessert à ta femme et tes enfants...Va préparer un bon repas pour eux...leur retour. Pense à ta fille, qui est avec sa maman...et serra avec son papa fier et remplis d'énergie...Vs papa plein de resentiments, de honte et de culpabilité...Tu es un homme de courage, un guerrier...Tes peur tu les as combatus avec tes pulsions...Tu as sortis la peur avec maîtrise étant plus jeune...Tu as combler une peur...Et maintenant cette peur n'est peut-être moins importante que tu ne le crois...Mais ton adiction à la compensation par le sex (ta dose d'adrénaline, de drogue...) est une habitude ancrée....alors lèves les voiles et laisse l'ancre au fond...Regarde l'ile là bas....Tu peux être heureux...tu n'a pas à fataliser ta solitude...ta dépendance...Un jour, tu n'y pensera que normalement à ces femmes...ces femmes qui sont là comme les hommes, les annimaux, les plantes...l'eau....le sex, l'amour, la vie...les nuages, la pluie, le vent...tout est un tout...Toi seul...maintenant...toi en cie bientôt...toi et ta conjointe amoureux dans 10 ans...toi et ta fille dans 15 ans...au souper de Noel...à rire et vivre...Salut...je dois aller travailler...
bon courage diabolo, ça va passer
Hier, le bateau a sacrément tangué...j'ai pu sentir le souffle de la rechute. Heureusement, il n'en a rien été.J'avais presque oublié à quel point les pulsions et la tentation pouvaient être violentes...Je ne me crois pas plus fort que le produit . Peut-être me suis-je  un peu relâché et mon cerveau pathologique en a profité pour s'engouffrer dans cette brêche.A moi d'être plus vigileant aujourd'hui et de méditer sur mes chemins de guérison.Bon courage à tous
J'ai craqué....après 7 mois et 29 jours !Je me suis laissé aspiré...alors même que j'avais plusieurs outils à ma disposition pour fuir, éviter et ne pas nourrir les tentations.Combien de fois me suis-je répété au cours de cette maudite journée d'hier qu'il était souhaitable que j'accepte ma fragilité, que j'accepte d'être testé et que je reconnaisse honnêtement que le produit est plus fort que moi ?...Mais hier n'existe plus : la seule vérité, c'est le moment présent !J'ai sollicité ma PS...peut-être avec moins de coeur, de conviction et de croyance que d'ordinaire...peut-être était-elle absente hier, non disponible...ou avais-je déjà enclenché le schéma comportemental ancien qui me mène à la compulsion et me ferme la porte d'accés à ma PS ????J'ai mal dans tout mon corps et dans ma tête...il est souhaitable aujourd'hui de l'accepter...instant après instant.Il m'est difficile de remettre mon compteur à 0...ce n'est pourtant qu'1 compteur.Je ne sais pas si je me croyais déjà arrivé dans le sens où le sevrage était presque gagné, mais comme dans d'autres domaines de ma vie, j'ai tendance à vouloir tout contrôler et maîtriser et l'idée de poursuivre un sevrage parfait était quelque par, inscrit en moi.Il me faut reconnaître ma vulnérabilité et l'accepter : je suis un humain qui a été vaincu par ses pulsions.Les forces négatives qui hier,m'ont traversé, ont eu raison de moi : j'avais le choix de les accepter et de ne pas les nourrir...mais j'ai failli. Biensûr je ne repars pas de zéro : j'ai construit mes chemins de guérison...ils sont toujours là, à ma disposition et j'ai toujours le choix de les appliquer ou pas.A moi de m'intérroger sur cette rechute...peut-être a-t'elle un sens dans mon parcours...alors même qu'il me semblait devenir plus fort, plus costaud par rapport à mon problème.Peut-être me faut-il apporter une nouvelle orientation à mes chemins...j'ai tendance á m'isoler ...aucun  proche n'est au courant de ma dépendance...je n'ose me confier par honte et peut-être que par orgueil, je n'ose demander de l'aide...aussi parce que j'ai été éduqué avec l'idée qu'il fallait se débrouiller seul , être fort, costaud et chasser d'1 revers de la manche toutes les émotions qui sont bonnes pour les pleurnicheurs et faibles.Ce soir, j'ai une réunion DASA...il serait bien que je puisse y assister plus régulièrement...et cela me fait extrêmement "chier" (dans le sens où cela me coûte) d'avouer le non respect de mon sevrage...mais je dois le faire..l'honnêteté est capitale.Pour terminer, je dirai juste que hier, je n'ai pas ressenti de souffrance, de vide ou de manque particulier : ceci pour me rappeler ce qu'une psy avait écrit sur la dépendance : "les raisons pour lesquelles l'addiction torture le patient au quotidien n'ont plus de rapport ou si peu avec les motifs pour lesquels le patient avait commencé ses usages. Le cerveau s'est transformé au fil chaotique de l'addiction. Il ne fonctionne plus comme avant. L'idéal de vie a changé, les penssées aussi. le cerveau est malade."...même après presque 8 mois d'abstinence...une simple goutte d'excitation peut faire basculer celui qui s'y mouille aux affres de la boite de pandorre.La vie continue...
Je suis désolé pour toi.Mais c'est maintenant que beaucoup de choses vont se jouer.Surtout ne te focalise pas sur ton dernier compteur, voilà une excellent occasion d'acceptation à faire.Il nous faut accepter également que nous serons toujours en sursis, mais tes quasi 8 mois ils ont bien existés, ils ont bien marqué ton cerveau, ta mémoire, tu ne repars pas de zéro.Il me semble que tu analyse bien les "causes" récentes de ton faux pas, voilà probablement un axe de réflexion pour re-commencer.Tu vas y parvenir !
Pages : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17
URLs de référence