Dépendance sexuelle

Version complète : À propos des fantasmes
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TU n'es pas dans une sale période Bruno , au contraire , tu vas être éloigné du Pc , comme tu dis : TANT MIEUX.

Positive les choses , ça ira un jour à la fois.
Bon courage.
Pareil pour moi Bruno, je suis retombé petit à petit dans tous mes travers...
Alors je passe faire un tour ici, je lis les posts et essaye de partager quelques messages cela me remet quelque peu en selle. Je suis sûr que pour toi c'est pareil.

Aller ! On va pas se laisser abattre ! Tu es loin de ton ordi pour le restant du week-end, de mon côté je vais essayer de m'en tenir éloigner car j'ai besoin de faire de ces deux jours quelque chose de bon pour attaquer la semaine qui vient dans de meilleures conditions. Je penserai à toi, ça m'aidera à tenir aussi :-)

Courage ! :-)
Salut Bruno,

Si tu te connectes et que tu as besoin d'aide, plutôt que d'aller là où il ne faut pas on peut en discuter, n'hésite pas.

Polo
Bonjour tout le monde.

Je vais mieux et je reprends pieds dans l'abstinence de sexe compulsif. Je vous remercie beaucoup de vos conseils et de votre présence.
J'y reviendrai dès que j'ai un peu de temps, mais en discutant avec mon psy, celui m'indique que le fantasme est un moteur, qu'il est premier chez l'homme, comme désir de vie, d'exister. Reste à savoir ce que l'on fait de ce désir.
Par ailleurs, il note chez moi la fascination pour le virtuel, qui complique la tache sur le plan sexuel. Pour aller vite, la relation sexuelle n'existe chez moi, essentiellement avec des "femmes objets" (prostituées, filles du porno...), c'est-à-dire avec des femmes pour qui il n'ya pas d'affectif. En revanche, dans les relations plus concrétes et affectives, la relation sexuelle devient difficilement concevable. Il est vrai d'ailleurs que le sexe n'est pas tout à fait central dans ma relation avec mon épouse - en tout cas de mon côté.

D"'après mon psy, il y a ici quelque chose qui a à voir avec la Mère.

Voilà. :Hello:
moi c est l inverse j ai rechute et j ai du mal a gere en ce moment c est dingue pendant une semain tout allais bien il a suffit d une fois pour me faire replonge
Salut Bruno !
Àaah, le truc avec la mère !
En fait, le remède au sentiment de fusionnalité serait peut-être de se convaincre de l’impermanence des phénomènes. Faire une sorte de cure de désintoxication pour comprendre et expérimenter que notre attente d’une identité “qui dure” sera déçue tôt ou tard.
Quand on constate que le lien de l’attachement pend dans le vide, la souffrance est au rendez-vous.
On revient dans la ville de son enfance et la vieille ferme près de laquelle on jouait a été rasée. On souffre. Alors, on recrée un objet d’attachement mental, un souvenir qu’on idéalise. On écrit un roman : “la vieille ferme”. La critique hurle au génie. Ca y est : on a réussi son coup et immortalisé l’objet d’attachement en le rendant vivant dans la mémoire de cent mille personnes.
Mais en fait, ce n’est jamais qu’une représentation qu’on s’en fait dans notre cerveau. Nous sommes attachés à des objets mentaux en 3 D qui tournent doucement sur leur axe quelque part dans notre tête.
Gautama conseillait de méditer près d’un charnier. En fait, la Voie royale est peut être celle de l’acceptation, accepter ce qui arrive, accepter ce qui repart. Vivre à 100 % l’instant présent et ne pas se lamenter quand la roue tourne.
Dormir dans un palace le lundi et dans un taudis le mardi, en s’adaptant sans état d’âmes, en acceptant.
ETRE SANS ATTENTES.
Par exemple, il semblerait qu’accepter pleinement la perspective de sa mort inéluctable aide à apprécier pleinement la vie.
Quoi qu’il arrive : accepter, accepter, accepter.
Se battre pour faire aboutir un projet, mais accepter toutes les issues possibles. Agir ! mais sans attentes.
http://johnwarsen.blogspot.com/2008/09/u...a-mre.html
P'tain t'as bouffé du Tolle, John ! ;-) :lol:

C'est très vrai ce que tu dis :-) Mais hélas parfois difficile à admettre face à certaine situations. C'est tout un travail de dérégler cette façon de penser pour en arriver à, justement, ne plus penser mais vivre l'instant présent.
Salut tout le monde.

Je ne vais pas bien en ce moment. Je suis dans la compulsion (pas spécifiquement sexuelle, d'ailleurs. Mais le problème est le même) et dans une absence totale de sobriété émotionnelle. J'oublie trop que le bien-être ne viendra pas d'ailleurs et de demain mais d'ici (en moi) et maintenant et que je ne peux pas changer les autres.
Je relis ce que dis John plus haut et ce qu'il m'a mis en MP (super merci au passage. :Hello: C'est précieux tout ça).
Je suis impuissant devant mes déficiences émotionnelles et devant les déficiences des autres. Accepter (et non pas se résigner) et garder confiance : c'est la seule voie possible.
:Hello:
Merci d'être là tout le monde. :-)
Salut Bruno,

Sois patient et cool avec toi même, ça finira toujours par passer.

Bon courage à toi !
:trefle:
Petit cadeau, que je me (re)fais et que je vous mets en partage.
Ce qu'on appelle parfois "la prière de l'Humilité" en AA :
Citation :L'HUMILITE est une perpetuelle paix du coeur...


L'HUMILITE est une perpetuelle paix du coeur

C'est n'avoir point de trouble, c'est n'être jamais fâché ou vexé. Irrité ou endolori. C'est ne m'étonner de rien qui puisse m'arriver.
De ne rien ressentir comme étant dirigé contre moi.
C'est rester calme quand personne ne me louange et si je suis avili ou méprisé, c'est trouver en moi un lieu béni où je puisse me rendre, refermer la porte,
m'agenouiller devant mon père en secret.
Être en paix, comme au sein d'une mer profonde et calme, quand tout autour de moi semble trouble."

Pour info, on trouve ce texte, sur le blog d'un ami que je vous recommande, car c'est un trésor sur le plan spirituel :
http://unpassantanonyme.blogspot.com/200...ix-du.html
:Hello:
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