Dépendance sexuelle

Version complète : C'est parti pour le sevrage
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Citation :Je voudrais ajouter un point. En lisant, les histoires de chacun, j'ai le sentiment que  pour certains, c'est un choc majeur qui a permis de passer rapidement le cap de la pornographie...Pour d'autres, comme moi, et je pense toi, nous y sommes arrivés par réflexion et analyse, et au final, j'ai le sentiment que nous sommes ceux qui avons le plus de mal à avancer sur la voie de la guérison.
 

C'est intéressant ! S'il y a moyen, j'aimerais bien que tu développes cette idée. Sinon tant pis. Pour ma part, je suis peut-être très pessimiste aussi. Heureusement que quand je relativise, je vois qu'il y a des gens autour de moi et que je viens vachement bien par rapport à la majorité des êtres humains.  

Je me suis renseigné et apparement il est possible de consulter des établissements de psychiatrie nommés CMP. J'irais faire un tour au moins pour voir et à l'avenir, j'irais voir un psy une fois par mois.
Oui effectivement il existe des CMP: des Centres Médico-Psychologiques. Les CMP sont rattachés à des hôpitaux et comprennent des psychiatres et psychologues entièrement remboursés par la sécurité sociale.  Si ça te dit, racontes nous ton expérience avec le CMP dès que tu y seras allé, car ça m'intéresse et je ne suis sans doute pas le seul... Ça fait aussi un petit moment que je pense aller au CMP de ma ville, même si je n'ai toujours pas franchi le cap.

Tu risques de ne pas avoir de rendez-vous tout de suite et il te va sans doute falloir attendre un peu, si j'ai bien suivi ce qui se dit à ce sujet ici ou là.

Bonjour à Tous,Pour débuter, je vais essayer de répondre à la demande de Nev dans la soirée  : développer la réflexion "prise de conscience choc contre prise de conscience  progressive". Sinon, Je vais au CMP depuis déjà presque 2 mois. C'est un service de santé public ouvert à tous et donc gratuit. Mais naturellement, il est soumis aux contraintes du service public, en résumé, assez peu de psychologues ou psychothérapeutes (dans ma ville, deux nouveaux viennent juste d'arriver pour combler le vide),et donc aussi blindé en nombre de demandes. Il faut prendre son mal en patience. En complément, ils évaluent les cas en fonction des difficultés estimées et de l'urgence. Mon cas, et je le comprends très bien, n'était pas prioritaire. Par contre, pour combler le manque de psy, il y a des infirmières conseil. Celle qui me suit est exceptionnelle, d'une très bonne écoute et avec pas mal d'expérience. Elle n'est donc pas psy, mais oriente l'échange en ouvrant des pistes de réflexions par des questions pertinentes. Elle m'a donc aidé à progresser dans la guérison, même si nous en sommes loin, et que cela manque parfois un peu de cohérence.Le CMP m'a réorienté vers le CPCT, association de psychothérapeutes volontaires qui offrent 16 séances pour débuter un traitement, et passer un cap de la vie difficile. Je vais essayer avec un début prochainement.Sinon, ma situation professionnelle s'améliorant, il est probable que je passe vers du libéral prochainement.En résumé, le CMP c'est bien, allez-y, en espérant qu'il est une place pour vous !!! Bonne continuation

 

Ok merci. Ouais en tout cas, ça me dit d'y aller rien que pour voir à quoi sa ressemble. Je ne pense pas que mon cas sera prioritaire non plus. Mais si au moins je pouvais un peu parler de ce qui m'arrive de temps à autre ça pourrait être bien. De plus, si j'obtiens des pistes, ça pourrait m'aider pour ma guérison. D'après ce que je comprends et de ce que j'ai lu, il faut apprendre à tirer une force des mauvais moments pour avancer et ne pas se laisser tenter. Puisque se laisser tenter revient sur le long terme à modifier les circuits qui livrent la dopamine... Je ne sais pas quand je pourrais, mais j'ai bien envie de reprendre un sport. Il me faut des bonnes chaussures de sport, mais malheureusement je ne peux pas me permettre d'en prendre pour l'instant ; du coup pour compenser j'ai pensé au vélo, ça sera toujours mieux que de ne rien faire du tout ! Pour le CMP, je vais voir quand... Car je suis un peu chargé en ce moment, donc j'irais voir un après-midi. J'ai pensé au Samedi, mais ça risque d'être bondé. Je vais voir si je peux un Lundi après-midi ou autre... En tout cas merci pour les encouragements.Sinon aujourd'hui ça peut aller, certaines choses me tracassent sentimentalement et je doute un peu de moi... J'ai un peu de temps cet après-midi, je vais en profiter pour réviser. Les premiers jours de sevrage sont pour moi assez "faciles", mais c'est après, à partir du 7ème jour ou des 15 jours que ça devient de plus en plus tendu. Chaque jour est une victoire, je vais faire en sorte de ne pas l'oublier.  
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Avant de commencer, je souhaite préciser que ce n'est pas un jugement que j'exprime, ce n'est même pas un avis car celui-ci n'a pas pris forme, c'est juste un faisceau de réflexions, voire d'intuition qui a pris forme dans ma tête. Personnellement, ce faisceau de réflexions a un intérêt, me questionner sur mes motivations, sur la force de celles-ci, et donc sur ma capacité à m'en sortir dont je doute toujours car je n'arrive pas à mettre en place un processus de guérison...Il est vrai que j'ai toujours eu énormément de mal à suivre une procédure.

 

En effet, les témoignages de quelques uns démontrent une rupture nette par rapport à leur comportement compulsif, un sevrage lancé sur la bonne voie dés la première tentative, ou presque. Bien que toutes nos histoires soient différentes, j'ai le sentiment que plusieurs caractéristiques se retrouvent chez ce type de personne. Déjà, c'est souvent des adultes dans la trentaine avec une expérience de vie. Cette expérience de vie permet de prendre un recul certain sur les méfaits de la dépendance quand la prise de conscience apparaît, mais pas trop agés tout de même. Puis, la forme de dépendance sexuelle, ce n'est pas uniquement visionné des images ou des films, il y a un comportement interactif de dépendance sexuelle (chat, prostitution, recherche compulsive de  partenaires disponibles, ...). Et les codes de nos sociétés sont assez claires la dessus. Autant visionner est quasiment toléré, presque normal, voire considéré comme sain par certain. Autant le comportement interactif, de plus dans le mensonge, est jugé naturellement négativement par une vaste majorité de la société. On touche à ce qui est bien ou mal. Personne n'accepte d'être trompé, voire trahi. Et dernière caractéristique, le témoignage fait apparaître une découverte par brusque confrontation à la réalité à l'aide d'un tiers très proche, confrontation qui conduit à "perdre" tout, ou du moins quelque chose d'intimement essentiel. Le dépendant bascule, d'un "clin d'oeil", dans l'horreur (c'est peut être un peu fort) inspiré par l'ensemble de ces comportements. J'ai le sentiment que ce type de dépendant ne ressentait pas de problème avant cette confrontation, parfois violente.

 

Et puis, de l'autre côté du spectre, il y a des dépendants comme moi...Ayant eu une prise de conscience sur la durée, qui vient et va en fonction des aléas de ma vie. Depuis de nombreuses années, ma réflexion me disait qu'il n'y avait aucun intérêt à ce comportement, qu'il me coupait des autres. Je n'y avais pas mis les mots de "dépendants" ou "d'addict", mais je savais qu'il y a avait un problème. Les signes étaient évident : se cacher pour regarder, faire passer la pornographie avant tout le reste quand j'en avais la possibilité, ne pas pouvoir s'en passer, les périodes houleuses dans mon couple, etc.... Cependant, je n'agissais pas pour me couper de mon addiction. Malgré elle, ma compagne n'allait pas me quitter, malgré elle, j'étais reconnu dans ma vie professionnelle, malgré elle, j'avais une vie sociale peu importante mais une vie sociale, ....En résumé, l'addiction me consommait beaucoup de temps, mais ne me mettait pas en danger.

 

Puis un jour dans un situation difficile, j'ai ressenti que cette addiction me mettait en danger. Néanmoins, il n'y a pas eu de confrontations à ce danger. il a été ressenti, intuité mais pas vécu. La dépendance pornographique, doublé d'une forte procrastination était là...à une période de ma vie, où il faut que je me prenne en main...et là la descente a commencé. Sauf qu'actuellement, je suis entrain de m'en sortir petit à petit, déjà je reprends un travail. La complaisance est toujours là, mais j'ai malheureusement la conviction que je vais de nouveau réussir, que comme d'habitude je vais aplanir les difficultés. J'ai peur que l'addiction reprenne le rôle qu'elle avait avant, fortement présente mais pas handicapante. Mes comportements seront toujours fréquemment déplacés et parfois malsain, je ne m'améliorerais plus.

J'ai beau essayé de mettre en place un chemin de guérison axé sur la compréhension de mon histoire, la gestion et la mise en place de mes émotions,...je me dis parfois que c'est voué à l'échec sans des motivations profondes.  Le fait de ne pas vivre le danger me donne le sentiment d'être faible dans mes volontés.

En quelques mots,  en étant plus tournés vers la pensées, en ayant beaucoup de mal à ressentir mes émotions, je m'accommoderais de la dépendance sans vraiment agir. Je n'ai d'ailleurs jamais trop été dans l'action. Comprendre me suffit amplement, et c'est un gros défaut pour se guérir.

 

Pourtant , je n'ai que trop conscience qu'il faille que je me guérisse de cette maladie. Sauf que j'ai véritablement le sentiment d'y être empêtré, et que je progresse assez peu...J'ai réellement peur que dès que l'énergie me manquera, j'abandonnerai le chemin de la guérison.

 

A me relire, cela fait écho au profil de guérison du site "recovery-nation". En s'y référant, je serais de type 2. J'espère me tromper.

 

http://www.recoverynation.com/recovery/m1w2d5.htm

 

Bon courage,

 

 

Merci pour l'analyse. J'ai bien aimé. Pour moi aujourd'hui, ça va bien, même si je suis un peu déçu par certains résultats d'un contrôle, mais ce n'est pas grave je vais me rattraper ! 

A part ça bon, sentimentalement, je suis un petit chamboullé, mais j'en ai parlé et ça m'a fait du bien. La femme que je voulais voir n'a pas l'air très partante pour qu'on est une aventure ensemble on dirait. Je vais tenter ma chance, mais j'ai l'impression qu'elle cherche un peu à m'éviter. C'est la vie de toute manière et le bonheur c'est la vie aussi. J'espère que je trouverais une femme avec qui je peux être bien Smile.

5 jours de sevrage pur, ça fait plaisir ! J'ai eu une petite tentation hier soir et ce matin, mais j'ai lu un bouquin et c'est vite parti. Je vais un peu réviser aujourd'hui (revoir mes définitions de statitisques, le cours de ce matin) et me reposer. J'ai eu droit à un cours supplémentaire ce matin, super intéressant d'ailleurs. D'ailleurs j'ai à nouveau un brin d'optimisme, ça fait plaisir !  
C'est relou j'ai rechuté... Cause, j'ai des cours à apprendre et tout, et je n'ai vraiment pas envie de m'y mettre >_<. Bon, je me sens un peu honteux la, ça me lourde. Bon je me remotive, je vais écrire sur le papier, ça fait déjà du bien là. Et je me relève !

 Edit : Bon la journée de ce matin n'a pas très bien commencé. Mais je me suis rattrapé durant la journée et la soirée du coup ça passe bien. Je suis reparti !

Salut à tous, je reviens ici car ça fait longtemps et j'ai lu beaucoup de témoinage, ça fait plaisir de voir des personnes avancées et d'autres qui s'en sortent. J'avais envie de repasser, car depuis le temps beaucoup de choses ont changé et je voulais en parler ici.  Tout d'abord, je vous souhaite une bonne année et une amélioration pour vous chaque jour. Je ne sais pas vraiment où commencer pour être honnête. Je suis toujours dans un cursus économique mais qui me plait d'avantage cette fois et j'ai trouvé à peu près ce que je veux faire dans la vie. Le milieu culturel m'intéresse, donc je vais me lancer là-dedans. En ce moment, des personnes géniales m'entourent, malgré un petit accrochage au nouvel an. Un de mes meilleurs potes avait la même addiction que moi, il semble que pour lui cela s'arrange et pour moi aussi. Mais tout cela à une explication que je vais retracer ici. Ca a commencé durant les vacances d'été, à une soirée entre amis, j'ai fini fin bourré... Mais l'alcool, enfin pas que lui m'a aidé à briser certains silences. En réalité, pendant plus d'un an et demi, j'éprouvais toujours des sentiments pour une femme extraordinaire. En ayant bu, j'en ai beaucoup parlé à mes meilleurs amis en disant j'aime "S", je l'admire etc. Après m'avoir écouté, mes potes m'ont encouragé et m'ont dit, écoute Nev, va la voir. Dès le lendemain après la soirée, je lui envoie un message sans réfléchir pour lui dire : "T'es libre demain?". Elle me répond plus tard dans l'après-midi pour me dire qu'elle est libre le week-end. Elle me propose un cinéma Smile. On y est allé, mais en parlant avec elle (car de son côté il s'est passé pas mal de choses aussi), j'ai ressenti au fond de moi que ça serait mieux qu'elle soit mon ami. En rentrant, je lui ai plus ou moins dit ce que je ressentais. Ca faisait bizarre car en étant chez moi, je me sentais bien et mal en même temps : Bien pour avoir trouvé ma meilleure amie et mal pour avoir perdu une petite amie...  C'est comme si j'avais grandit d'un coup. Et depuis lors, j'ai eu moins de mal a abordé d'autres filles. En étant bourré j'ai eu des grosses tentatives de dragues foireuses, mais au final, je me marrais quand même. En assumant la partie de moi qui a des désirs sexuels, des désirs inavoués et des rêves... C'est comme si je m'étais réconcilié avec moi-même. En faisant plus l'idiot, en pratiquant plus régulièrement le dessin, en procrastinant moins etc. Après il y a eu la rentrée, j'ai repris des nouvelles de cette chère jolie femme "S". On s'est envoyé beaucoup de textos durant un moment, puis on s'est stoppé. On a repris plus tard dans la semaine et cette fois, je lui ai avoué clairement ce que j'ai ressenti pour elle. Je lui ai avoué avec honnêteté qu'elle m'intéressait. J'ai vraiment eu peur, car je pensais qu'elle allait mal le prendre. Ce fut tout le contraire, elle l'a super bien pris et à trouver sa flatteur. Sans le savoir, je l'ai beaucoup dragué Big Grin.Elle s'est mise à se confier à moi sur sa vie sentimentale avec son copain, ses grandes vacances etc. Puis on s'est bien mis clair, on veut être ami et depuis c'est ma meilleure amie. Cette conversation m'a réellement apporté un bien être absolu, je me sentais vraiment bien.Plus tard, d'autres soirées ont eu lieu avec d'autres tentatives de dragues (mais moins foireuses cette fois). J'ai repris les étude avec enthousiasme cette fois et malgré certains résultats décevants, je reviens toujours et toujours plus fort ! Puis il y a eu une soirée... Où vraiment je ne m'y attendais pas. J'ai été déçu par une personne, mais en contre parti, je me suis confié à un très bon pote... Puis plus tard en m'affalant sur le canapé. Une jolie femme que je nommerais W est venue vers moi. Ca m'a fait bizarre au début, car je la repoussais limite et je l'avait sans réellement en avoir conscience évité durant toute la soirée. On a parlé et on s'est beaucoup rapproché... Puis là, on s'est vraiment embrassé. Ca peut paraitre niais, mais les autres fois c'était par accident ou j'évitais l'acte. Enfin on a même failli couché ensemble... Mais bon. Du coup, après la soirée on a discuté et tout, mais finalement on n'a pas pu entamé une vraie relation. Je m'en suis remis, mais ce n'était pas facile au début... C'est vrai qu'elle habitait loin (200Km de distance), mais resté à ces côtés, de sa peau douce, de son corps chaud et de ces cheveux long, lisses et transcendants m'ont apporté une expérience fortement agréable.  Désormais, je prends les choses plus positivements et je suis moins pessimiste. J'arrête de me prendre la tête et me pose moins de questions pour passer à l'action. Je n'ai plus vraiment la flemme non plus et fait en sorte de m'investir pour accomplir ce que je souhaite. En ce moment je me recentre sur moi, mais des évènements récents m'ont fait comprendre que je voulais me confier ici... Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression que j'ai commencé un sevrage sans en avoir conscience. Depuis que je me suis remis à dessiner, que j'ai pu approcher plus de femmes, que je me mets à draguer et que je fais plus attention aux signes d'attirance que dégagent les femmes. Je vais mieux, beaucoup mieux et m'aperçoit que les femmes des porno ne pourront jamais remplacer les vraies qui ont une âme, des opinions, des qualités, des défauts et des désirs...Puis j'ai comme l'impression que je ne vais plus aller sur les pornos durant un moment... En allant plus sur le forum, j'ai compulsé à des moments. Mais quand je ne voulais plus aller sur un site durant longtemps, même quand les pulsions étaient là, je n'en voyais pas le problème. J'ai également réussi à résister au mal être, en le laissant venir puis en le laissant repartir. Comme disait un membre ici, parfois le meilleur moyen de lutter est de ne pas lutter... En laissant le mal venir et partir.

 Je reviens donc ici pour confirmer ma démarche... J'ai beaucoup changé cette année, mais je souhaite continuer mon développement personnel. Mon intuition me dit que cette démarche va me mener loin. J'espère que je confirmerai ici, ce que je ressens en moi. Je tiens également à vous remercier pour avoir été là dans les moments difficiles et vous souhaitent d'arriver à réaliser vos buts.

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