Dépendance sexuelle

Version complète : Sevrage de Hatt
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Eh oui, je suis entièrement d'accord. Mais, ce truc de contrôle c'est vraiment quelque chose que je fais involontairement. J'arrive vraiment pas à sortir de ce shémas, c'est comme si tout ce que je savais faire dans la vie c'est contrôler. C'est comme si je disais à quelqu'un "il faut que j'arrête de tout contrôler, mais je sais pas comment faire-- Mais au contraire, arrêter de contrôler ça n'est pas quelque chose que tu dois faire, c'est quelque chose que tu dois "arrêter" de faire.-- Ah d'accord... mais comment je fais pour arrêter de faire ?-- Tu ne le fais pas puisque tu dois arrêter de faire.-- Ah oui pardon, mais alors... comment on fait ?-- ..."Enfin bon, ça a l'air con mais c'est assez pourri comme problème. Je suis en premanence en train d'inconsciemment essayer de contrôler mon expérience lors de la méditation, j'essaye de contrôler mon rétablissement etc... Parfois je me souviens qu'il faut que je sois ouvert à mes émotions, puis quelques jours après, je me retrouve à essayer de contrôler cette sensation d'ouverture. A une réunion de workaholic j'ai entendu quelqu'un dire (je le mets en VO) " If I stop trying to control the world, it is not going to fall apart, because I am not the one holding it together", ou quelque chose comme ça (en gros, si j'arrêter d'essayer de tout contrôler la terre ne va pas s'effondrer, et ce tout simplement parce que ça n'est pas moi qui la fait tenir debout). C'est un peu comme être dans un couloir et pousser les murs pour pas qu'ils ne m'écrasent. J'ai l'impression que si je lache je vais me faire écrabouiller, donc je pousse de toutes mes forces. J'ai l'impression que si les murs ne bougent pas, c'est précisément parce que je les tiens, et j'ai l'impression que ma survie dépend de mes efforts. Mais en fait non, mais je ne peux m'en rendre compte que si j'arrête de pousser. Et pour ça il faut avoir beaucoup de confiance, comme tu dis, et de courage (on pense souvent, à tort, qu'avoir du courage signifie rérpimer ses émotions). Je pense que c'est très important de se rendre compte que la dépendance est plus forte que nous et qu'on n'a pas le contrôle. C'est quelque chose de très positif, ça fait partie de la première des 12 étapes. Et j'aimerais vraiment apprendre à accepter ça, à le vivre, pour ne plus perdre tout ce temps et toute cette énergie.  Peut être que c'est aussi la patience que je dois apprendre.
Hey salut !! Oui, toujours aussi bouddhiste mais, j'espère, moins obsédé par la question. (enfin on verra...)J'ai justement l'impression que j'ai toujours tout fait reposer sur le cerveau jusqu'à maintenant, ou quasiment tout. Et quand ça ne me sert pas à mieux comprendre, ça me sert à être obsédé et absorbé par quelque chose. Je fais ça tout le temps et je crois que je vais mettre du temps à changer. Me prendre la tête et (essayer de) tout contrôler, essayer de me prouver que je suis (le plus) intelligent, c'est un peu toute ma vie et presque mon identité. Mais si ça change je pense que je vais quasiment devenir quelqu'un d'autre. Pour le mieux j'espère. Peut être que je vais même commencer à m'intéresser à ce qui se passe autour de moi, on sait jamais !
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Citation : Hatt a dit : Enfin bon, ça a l'air con mais c'est assez pourri comme problème. Je suis en permanence en train d'inconsciemment essayer de contrôler mon expérience lors de la méditation, j'essaye de contrôler mon rétablissement etc... Parfois je me souviens qu'il faut que je sois ouvert à mes émotions, puis quelques jours après, je me retrouve à essayer de contrôler cette sensation d'ouverture.
Pendant la méditation (telle qu'elle se révèle à moi par l'expérience que j'en ai), il y a bel et bien un contrôle à opérer, mais il n'est pas mental, il est conscientiel, et il consiste à maintenir la conscience attentive, présente à elle-même et à ce qui se passe, c'est tout. Dès que le mental se lève et qu'on « s'endort » dans le rêve éveillé, on n'est plus présent. C'est un savoir faire qui s'acquiert peu à peu par la pratique. Par la pratique on finit par se rendre compte assez vite qu'on est en train de s'endormir de nouveau. Ainsi peu à peu on acquiert la capacité de rester « éveillé » c'est-à-dire « concentré et présent sans idées ». Alors ce qu'on voit ce ne sont plus les rêves du mental, ce sont les énergies des émotions, des sentiments, la présence de lumière ou au contraire de nuages sombres qu'il faut essayer d'éclaircir, etc. Quand on force la lumière à l'intérieur de ces nuages sombres, l'énergie émotionnelle douloureuse contenue apparaît à la conscience : c'est le seul moyen de les dissoudre.
Citation : Je pense que c'est très important de se rendre compte que la dépendance est plus forte que nous et qu'on n'a pas le contrôle. C'est quelque chose de très positif, ça fait partie de la première des 12 étapes. Et j'aimerais vraiment apprendre à accepter ça, à le vivre, pour ne plus perdre tout ce temps et toute cette énergie.  Peut être que c'est aussi la patience que je dois apprendre.
Cette question de contrôle et de lâcher prise est vraiment le cœur du problème. Comme tu dis : on ne peut pas programmer ni vérifier le non contrôle, sinon on est toujours dans le contrôle. J'ai pondu un petit topo en partant de cette idée, si tu as le temps, tu peux y jeter un œil :

 viewtopic.php?topic_id=3701&forum=20&post_id=46145#forumpost46145  (../../../2012 14:54:10)

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En ce moment ça va pas. Je suis dans une autre ville pour le boulot. J'ai pris quelques jours de congés pour visiter, mais je me retrouve à rester longtemps dans ma chambre d'hotel le matin, à la limite de la rechute des fois. Je me suis interdit absolument de sortir mon ordi du sac quand je suis dans ma chambre d'hotel (avec connexion internet...). Je me suis fait cette promesse devant plusieurs personnes, dont mon sponsor, pour m'aider à la tenir, mais c'est pas évident.Là il est tard et j'arrive pas à retourner dans ma chambre pour me coucher. Demain boulot, et moi je viens ici pour écrire des pavés et partager "ce que je sais", encore mon ego, toujours là quand il se sent menacé. Quand je me balade dans la rue j'arrive pas à m'arrêter de me retourner sur les filles depuis environ une semaine. J'en ai parlé à des gens, mais pas assez. J'ai toujours tendance à garder ça secret. Je vais visiter des choses et je suis plus obsédé par les filles que par ce que je fais, je profite peu de ce que je fais, je suis obsédé par mon obsession. Hier j'ai maté une fille pendant plusieurs secondes avant de voir que son mec me regardait avec insistance. Je suis parti, j'avais vraiment honte. Ensuite je suis parti dans ce cycle d'auto-pitié, en me disant que je suis un pervers, que je suis seul et que la société est contre moi etc... encore l'ego, mais sous une forme différente.Aussi on s'est séparés la semaine dernière avec ma copine. On l'a décidé tous les deux. Moi surtout, mais c'est elle qui en a parlé parce qu'elle comprenait. C'est un soulagement quelque part, parce que cette relation était pas très saine. Mais ça n'empêche que je recommence à me sentir très seul et je me reprends parfois pour "le centre du monde". Comme j'ai entendu dire, parfois je me plais presque à me prendre pour une merde qui serait le centre de gravitation du monde. Moi, seul contre tous, seul contre la société, tout ça. Mais tout ça est dans ma tête.Enfin, en ce moment ça va pas trop. Ca a commencé avant la rupture en fait. Et j'arrive pas à voir vraiment ce qui me fait peur. J'ai beaucoup de boulot maintenant, je vais faire un petit changement de carrière bientôt, j'ai trouvé un boulot en france. Ca pourrait être une source d'anxiété, s'en est une, mais pas terrible non plus comparée à ma dépendance maintenant.Allez, je finis mes trucs et je vais me coucher. Bonne nuit et bon courage à tous. J'essaye de moins venir écrire des pavés. Je vois que comme avant je recommence à utiliser ça pour fuir mes responsabilités dans la vie réelle. Je procrastine.
salut hatt, je n'ai pas beaucoup de temps pour te parler.1 arrêtes de t'auto flageller, le désir est quelque chose de normal quand on est jeune, essaies seulement de le faire remonter, le globaliser, ne pas le maintenir uniquement dans la sphère sexuelle...2 tu n'es pas le centre du monde, en cela que tout le monde l'est, mais ce n'est pas pour autant qu'il faille ignorer l'existence des autres, c'est le paradoxe de la spiritualité...3 courage à toi, écrire des pavés vaut mieux que rester dans la compulse, c'est une action créative et qui peut servir aux autres, c'est un bon usage de l'ego, il y en a de meilleurs, soit, mais chaque chose en son temps...

à+

Je pense que vous avez tous les deux raisons. Je dramatise beaucoup, au final je suis pas dans une si mauvaise situation. Et puis c'est vrai qu'écrire des pavés c'est mieux que de tomber dans la dépendance, surtout si ça peut servir à quelqu'un. Mais il faut quand même que je fasse gaffe, il faut pas que je me serve de ça comme excuse pour me jeter dedans et y passer tout mon temps.En tout cas c'est agréable de parler de ses défauts et de trouver des gens qui comprennent et qui peuvent nous ramener un peu à la réalité. Rien que le fait de parler de ce qui va pas ça me fait déjà du bien (parler de ce dont j'ai le moins envie de parler), plutôt que de parler que de ce qui va (ce qui est bien aussi parfois).

Merci beaucoup en tout cas

En ce moment j'ai vraiment du mal avec le boulot. Il faut que je finisse tous mes trucs avant la fin de mon contrat et c'est vraiment dur. Je dors mal et j'arrive pas à partir au boulot à l'heure, pourtant c'est quelque chose que je prend très au sérieux. La procrastination est comme une mélasse dont il est difficile de se sortir. Je sens vraiment que ma vie est invivable telle qu'elle est maintenant, tout est difficile, je redoute presque l'avenir au lieu d'aller de l'avant. J'en ai marre d'être sans arrêt en train de luter pour faire les choses. J'ai même pas réussi à venir bosser ce matin... Plus c'est dur moins j'arrive à en faire, je sens que je me rétracte au lieu d'aller de l'avant, au lieu de chercher la satisfaction. Et quand je fais ça je suis vraiment dans le déni de mes responsabilités. Je sais qu'il n'y a pas d'autres solutions que de passer à l'action, mais quelque chose rend ça tellement difficile qu'automatiquement je tombe dans ce déni, et je préfère faire comme si je n'avais rien à faire, pour avoir un peu la paix 5 minutes. Mais évidemment je n'ai pas la paix, je suis jamais en paix quand c'est comme ça.C'est con mais en parlant avec ma psy, elle me faisait comprendre que la discipline peut être quelque chose de positif. Mais rien que ce mot me rebute totalement. Je hais ce mot. Et pourtant je sais qu'elle a raison. Ca me fait penser à comment était ma mère avec moi quand j'étais petit, toujours culpabilisante, toujours énervée à partir au quart de tour, jamais satisfaite de ce que je faisais dans la maison etc... à chaque fois qu'elle me demandait de faire quelque chose, elle arrivait à le rendre pénible comme c'est pas possible. Les tâches qu'elle me donnait étaient interminables, et dès qu'elle me demandait de faire quelque chose ça me foutait un coup de barre pas possible, j'avais plus d'énergie, j'étais comme paralysé. Et aujourd'hui quand je me demande à moi même de faire quelque chose, je le fais avec le même manque d'amour, avec le même manque d'encouragement, le même manque de positif, avec les mêmes "coups de bâtons" intérieurs. J'associe vraiment la discipline à ça. Du coup j'arrive pas à avoir cette auto-discipline, j'arrive juste à me foutre des coups de bâton jusqu'à la paralysie ou à être dans le déni pour essayer de récupérer, mais j'arrive pas à toucher au juste milieu, faire des choses pour moi même, pour que ma situation s'améliore, par amour pour moi même, pour que je me sente bien. Pourtant j'irais tellement mieux si j'arrivais vraiment à me mettre au boulot, finir les choses, même de façon imparfaite. Ce soir j'ai ma réunion pour workaholics anonymes. Ca me fait plaisir d'avoir un espace où je peux rencontrer des gens qui partagent le même problème. Pas forcément pour avoir des conseils, mais au moins pour avoir un espace où je peux parler de ces choses sans sentir que je suis jugé, sans sentir qu'on veut me pousser malgré moi, juste un espace où je peux être accepté comme je suis maintenant et mettre mon rétablissement en commun avec celui des autres. Pour sentir que même tout dépendant que je suis, je suis acceptable, et je n'ai pas besoin d'être différent pour valoir quelque chose, pour voir que je n'ai pas à me détester pour progresser. D'ailleurs si y'a des gens ici qui partagent ces problèmes au niveau de la procrastination, je serais très heureux d'en discuter.

Sinon le truc bien c'est qu'après demain je fête mes 9 mois de sevrage pour ce qui est de la dépendance sexuelle (le calendrier déconne je crois). Finalement j'ai moins de pulsions maintenant par rapport aux semaines précédentes, j'ai toujours des moments où je "mate" et où je sens cette grosse frustration monter, mais c'est encore gérable, même si c'est très puissant, pour l'instant j'arrive encore à juste observer la sensation et ne pas me laisser emporter. Donc pour le moment ça ça va pas trop mal.

Tout d'abord bravo pour ces 9 mois de sevrage, ce n'est pas donné à tout le monde d'en arriver là.Tu cites dans ton texte : " tout dépendant que je suis" peux-t-on parler de dépendance après tout ce temps d'abstinence ? Tu as passé un cap, c'est certain, le fait de te voir de la sorte, ne va pas améliorer l'estime que tu as de toi, bien au contraire.Dis toi plutôt que tu fais partis des rares hommes sur la terre qui ont la force de dominer les mauvaises passions, surtout lorsque tu sais que 80 % des hommes regardent de la pornographie régulièrement, il y a là, une raison d'être fier de soi.En ce qui concerne le rapport que tu as eu avec ta mère dans ton enfance, il est clair que cela t'a marqué, et ce sentiment te hante malgré toi, à moins que la source soit ailleurs.Parfois je ressens ce que dis, ce sentiment de devoir me forcer pour vivre, de ne prendre plaisir à rien, de lutter constamment pour me faire violence, l'impression de ne pas avoir de but dans la vie, puis surtout le peur de l'avenir, l'impossibilité de se projeter vers un futur meilleur. Mais le monde actuel ne fait rien pour nous aider, surtout dans cette société de consommation à outrance, où l'on a perdu les vraies valeurs.Les maladies liées à l'angoisse, au stress, à la dépression sont des choses du siècle dernier, grâce à la soit disant évolution de la société.Enfin continue dans ce combat de toute une vie, ne désespère pas de jours heureux et à une évolution positive de tout tes "noeuds" qui encombrent ta vie. 
Merci beaucoup pour tes encouragements ! Je pense qu'on peut bien parler de dépendance même après tout ce temps. Je pense que je suis dépendant à vie, mais je ne vois pas ça comme quelque chose de particulièrement négatif, j'apprends à le vivre. En général c'est quand je pense avoir dominé le problème que je suis le plus près de la rechute. (je connais des gens qui ont des années d'abstinence, vivent une vie qui n'a plus rien à voir avec leur vie d'avant, ils sont beaucoup plus heureux, mais ils se considèrent comme dépendants à vie). Ils disent que leurs pulsions sont plus petites qu'avant, mais si on n'est pas vigilant, on peut toujours rechuter, même après 25 ans d'abstinence. Evidemment ça devient de moins en moins probable avec le temps, mais ce qui a existé un jour peut toujours revenir. Enfin, j'en suis pas encore là. L'abstinence est une chose, mais comme disait Fritzecat, c'est clairement l'arbre qui cache la forêt. Quand je vais dans les groupes de parole, j'ai beau avoir 9 mois d'abstinence, je suis vraiment qu'un tout petit nouveau comparé aux autres, j'ai encore énormément de choses à apprendre, et ça c'est vraiment positif aussi. En tout cas ça me fait plaisir de trouver des gens qui ont les mêmes problèmes que moi. Est ce que chez toi ça a un impact sur ta capacité à travailler, à sortir ? Moi j'ai l'impression d'être comme en sursis en permanence, j'ai l'impression d'être un peu hors de la vie, j'ai du mal à me faire des potes, je prend souvent peu de plaisir dans les choses, je suis quasiment toujours poussé à faire les choses par stress plutôt que tiré par mes envies. J'ai l'impression de devoir luter pour vivre, au lieu de prendre plaisir à la vie. Ca c'est ce que je ressens de plus fort en ce moment. Pour les gens qui ne comprennent pas vraiment, ça ressemble à un problème abstrait. Mais pour moi, enfin ce que j'en pense maintenant, c'est le coeur de malaise dans ma dépendance et c'est vraiment trop réel. La méditation m'aide un peu pour ça, je progresse un peu. Mais ça m'intéresse beaucoup de lire des gens qui vivent la même chose et voir à quoi ça ressemble pour eux.
Pour ma part ca n'a pas d'impact sur mon travail, mais plutôt dans mes rapports avec les autres, et ça c'est accentué depuis que je vis tout seul, en faite j'ai même commencé à être comme ça depuis que j'ai pris mon indépendance, j'ai tendance à m'isoler, à être solitaire dans mes démarches, c'est plus fort que moi, j'ai tendance à m'ennuyer avec les gens, je dois me faire violence pour ne pas me couper, alors je me force à aller voir des amis, à partager des moments de convivialité. Les gens me reprochent souvent mon côté sauvage, que je ne donne jamais des nouvelles, et si l'on ne m'appelle pas, il ne faut pas compter sur moi pour le faire. Bien souvent ce qui me dérange, c'est que je m'ennuie dans les conversations avec les gens, parler d'Iphone, de sports (bien que j'aime le sport) de mode et compagnie,ça me gonfle, il n'y a rien de concret dans ce genre de conversations, j'ai besoin de discuter de choses plus profonde.J'ai un ami qui est un peu comme moi, et l'on s'entend très bien car nous parlons de tout ouvertement, que ça soit des sujets actuels, de politique, d'histoires anciennes, de religions d'évolutions etc ... même si nous n'avons pas les mêmes croyances.Toi c'est la méditation qui t'aide, moi c'est la prière, depuis que j'ai rencontré Dieu dans ma vie, même si ce n'est pas toujours facile à vivre, j'ai quand même une autre visions des choses, ce qui me mets du baume au coeur malgré les épreuves. 
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