Dépendance sexuelle

Version complète : par où la sortie
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Vas-tu éteindre cet ordinateur et te souvenir que ta vraie vie elle est concréte et non pas virtuelle en allant te balader sous la pluie, oui ou m... !!! :lol: :lol: :lol:
Trève de plaisanterie : la seule solution, pour sortir de l'enfer de la compulsion est effectivement de lire et relire l'intégrale d'Orroz et de mettre le nez ailleurs que sur les endroits dangereux. Doctissimo, puisque c'est de ce site dont tu parlais, je pense, est devenu, dans sa partie sexualité, un lieu de Cul(te)permanent avec quelques sections alibis. Sur l'EJP, meix vaut privilégier le forum d'Etmoi à mon avis. Moi, j'ai rechuté aussi en me baladant par là bas, il y a quelques mois.

Bon courage à toi ! :Hello:
Finalement je reviens avec la queue entre les jambes... J'ai pas tenu, je sais pas ce que j'avais cet aprèm', mais tout y est passé, comme avant... C'est un truc de dingue, ça ma rend dingue !
Je comprends même pas comment c'est arrivé, je me suis jamais senti dans cet état, incontrôlable... pathétique...

Je note l'heure ici pour m'en souvenir : 18h24 - début de mon sevrage.

Addict
Courage, tu vas la trouvé ta sortie ;-)
Petit a petit
A taton , et ca passe obligatoirement par des rechutes, reste indulgent avec toi meme surtout: la culpabilité ne te servira pas là où tu en es sinon à te :mur: ..
Et des recommencements, mais il valent le coup
Parce qu'il y en aura un qui sera le bon :zen2:
You've got the power !
24h par 24h, demi heure par demi heure de victoire
Il faut y croire...

Bon courage sur le chemin de la liberté :trefle: et du vrai plaisir
Bises :-*
bonjour,

moi aussi ça compulse sec (à défaut de limer). avec support textuel (annonces de rencontres vénales) ou des contrepèteries. Méchamment atteint le mec. Une serpillère, un rat de forum.

Au fait, On ne dit pas "frustrés" ou "incasables" mais on dit plutot "personne à séduction, intimité, tendresse REDUITES" , c'est mieux non. Je préfère, j'y tiens beaucoup.

Femmes,
j'accuse réception de l'effet répulsif que je vous fais, vous prie de ne pas m'en tenir rigueur, vous promets de ne plus jamais vous adresser la moindre déclaration, avance, allusion. Juré, promis.
"vous ne m'aimez pas , he moi je ne vous aime pas non plus" Pialat à Cannes 89, palmé sous les sifflets).

N'importe Des mecs qui mettent 10ans à se remettre (pas tout à fait) d'un rateau, les rues en sont pleines.
En ce domaine, y'a ni revanche ni rattrapage.
mon drame : finalement, le porno c'est ce que j'aurai eu de mieux en la matière.

En route vers la gloire, pardon le sevrage.
Et en plus j'arrive même pas à lever une codép. Le comble dela misère.
Par accés, je deviens méchant, aigri, amer.

Avec un immense besoin de consolation.
Pour être regardé par une femme, je veux bien payer, je suis sur le point de le faire, sauf intervention.

Non, je vais plutot faire grenouiille de bénitier, ou bedot, pour ne pas m'éloigner du tabernacle.
et bien et bien y'en a un bordele sur mon topic, moi qui fait des efforts pour rediger des texte avec un début un milieu une fin (heureuse en generale). :evil:

je blague :lol:

mariejean qu'est ce qu'il ce passe?grenouiller? oui c'est préferable enfin faut voir si c'est une façon supplementaire de ce faire du bien? mais lorsqu'on peut ecrire ce genre de chose ici : finalement, le porno c'est ce que j'aurai eu de mieux en la matière(en terme de sexualité), c'est qu'on cherche à etre trolliser ou bien qu'on va pas bien du tout.

ex addict un autre qui passe un mauvais moment. qui a eu la l' iddée d'ecrire en pleine crise, pendant même la compulsion. mais je sais pas si c'est une bonne idée car avoir l'ordi tout proche de soi lorsqu'on rechute c'est quasiment mission impossible. tente plutôt le coup de passer un coup de fil à un membre du forum. et si possible dès que tu sens le scénario pre compulsif se mettre en place. (je l'ai fait avec john, j'ai réussi à passer à autre chose).

bon maintenant je pense que la rechute fait partie integrante du sevrage, vers la sortie. il faut savoir analyser lorsqu'on a pris un peu de reccul. à chaud c'est jamais très efficace.

et puis à vous deux pas la peine de vous torturer (c'est prendre le risque d'une erection incontrolée) si vous reprenez un sevrage rien n'est jamùais fichu.
bon weekend
déclick
marie-jean, j'aime bien ton new style, que j'ose croire moins hypo-skizo que l'ancien. Tu la trouveras, ta vérité ! dans cette attente, pour le sevrage on te prète les notres : le "sauf intervention" c'est du chantage à dieu, et ça ne marche jamais.
Sauf quand tu postules que "dieu, c'est quelqu'un qui a 6 mois d'abstinence de plus que moi" comme je l'avais fait l'an dernier dans un coup de gueule resté célèbre dans les anals :lol: mais que j'ai pas réussi à remettre la main dessus, si ça se trouve c'était sur l'ancien forum. Ce qui m'a permis sur le moment de lâcher prise et de m'en remettre à la fraternité à un moment où j'étais assez tenté de remettre le nez dedans.
ex-addict, merci pour ta rechute quasi-en direct et en temps réel. Si ça t'a calmé autant que nous, autorise-toi à ne pas rechuter tout de suite, tu l'as bien gagné.
déclick, merci pour le squatt, et à plusse.
Bon ben me voilà de retour, toujours en sevrage depuis... hier 18h24 ;-)
Je me sens mieux aujourd'hui, je veux dire par là que je ne ressent plus de tentation, c'est un truc vraiment bizarre qui m'est arrivé hier... Va falloir que j'analyse ça avec mon psy, dès qu'il sera revenu de vacances.

Merci à vous les gars pour votre soutien !
@Bruno59 : ouais j'aurais mieux fait d'aller me foutre la tête sous la pluie battante ! ça m'aurait peut-être remis les pied sur Terre. Merci pour ton MP, je note ton adresse !
@elfi : Tout à fait juste ce que tu dis là : "tu vas la trouvé ta sortie" ; je pense qu'en effet on a tous une manière personnelle de sortir de ça, c'est justement ce qui rend compliqué la guérison, y'a pas de remède miracle, hélas... J'espère en tout cas que ce sevrage sera le bon !
@marie-jean91 : c'est dur ce que tu dis dans ces deux derniers posts. Sois indulgent avec toi même et compte sur ce qu'il y a de bon en toi pour venir à bout du côté obscur ;-) Courage ! Je sais ce que tu vis, on peut s'en sortir, faut en parler surtout et pas se renfermer...
@déclick : merci pour le conseil du coup de téléphone, j'y penserai (la prochaine fois). Dur quand même de se défaire de l'ordi quand c'est un outil de travail intensif... Tu dira combien on te doit pour le loyer du topic. Je peux faire le ménage aussi ;-)
@John Warsen : bah si mon foutoir a pu servir à quelques uns c'est déjà ça ! Moi ça m'a bien soulagé, je sais pas ce qu'il se serai passé sans ce forum, pi' je préfère pas imaginer :lol: De retour dans le sevrage !

Addict
J'assume pleinement mon manque affectif et me retire définitivement de la vie affective..
Je vais citer une amie :
"L'espoir n'est pas un steak

Par Flopinette de la Croisette, dimanche 12 février 2006 à 16:08 - catégorie "Entraînement de l'esprit"
Par curiosité, je suis allée voir où en était Spirit de sa lutte contre la cyberdépendance, et j’ai vu qu’il avait ouvert un nouveau nouveau blog après sa nouvelle nouvelle rechute. Apparemment, il y a une chose qu’il n’a pas comprise : on ne se nourrit pas d’espoir. L’espoir c’est comme la barbapapa, c’est rose, c’est sucré, ça a l’air bon, mais ça colle et c’est surtout du vent. Si on se nourrit de barbapapa, au bout de quelques jours, on commence à avoir très faim.
Tout le monde a essayé de se nourrir d’espoir un jour ou l’autre. Par exemple, quand j’ai commencé le Tchan, en 1996, je me disais « Allez, aujourd’hui je prends une bonne résolution, je deviens consciente. Et dans 48 jours ou peu s’en faut, je serai éveillée. Voilà. On y croit. Tout va changer. Je peux le faire. ». Quand je lis Spirit, j’ai l’impression de me voir il y a 10 ans. Mais il y avait là une erreur d’analyse fondamentale. C’est que l’espoir est une pensée, contrairement à un steak, ou à un plat de pâtes, par exemple. Et, au bout de 10 jours, on peut bien penser ce qu’on veut, le corps, lui, regarde ce qu’il a mangé entre temps. Et s’il n’a rien mangé, il n’est pas content, et il retourne là où il y a à manger. Donc tout se casse la gueule.
Le problème de nos compulsions, c’est qu’elles nous nourrissent. Si on ne trouve pas de nourriture alternative, il est normal qu’on y retourne, à moins qu’entre temps on se soit habitué à crever la dalle, comme les moines trappistes. Mais alors on vit mal, on est dépressif. Dans les monastères, on appelle ça l’acédie. Bien sûr, on ne cède plus aux compulsions, mais ça ne nous remplit pas pour autant. On est vide, et on ne peut pas se remplir avec de l’auto-satisfaction. Surtout pas, en fait. Car l’auto-contemplation est précisément ce qui empêche Dieu (l’état naturel) d’être présent. On essaie de se remplir de la pensée de soi, ce qui est impossible puisque la pensée est vide, comme le soi, mais le problème c’est qu’en attendant la place est prise, même si c’est par un fantôme.
L’espoir est au fond la même chose que le doute. J’y arriverai, ou je n’y arriverai pas, c’est la même chanson, déclinée sous deux modes différents. Une façon de penser à soi. C’est pour cette raison que les maîtres sont assez peu complaisants envers l’un comme envers l’autre. Qu’on ait l’air tout exalté ou tout malheureux, qu’on s’auto-convainque de ses mérites ou qu’on s’auto-apitoie, il s’agit toujours d’auto-contemplation, de mensonge. Le moi n’a pas d’existence intrinsèque. "
autrement dit, gaffe à l'acédie, mon coco.
sans déconner, "Je me retire définitivement de la vie affective" on dirait Jospin(e) après le coup de massue de 2002.
Ce matin, tu étais prèt à payer pour disais tu "être regardé d'une femme" (bien qu'en bonne professionnelle, elle aurait sans doute plus regardé tes biftons) et ce soir tu nous la joues grand départ, mais putain, t'es où ?
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