Dépendance sexuelle

Version complète : La masturbation non compulsive
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Citation : william 1983 : Si je suis seul, c'est de ma faute et reflète mes problèmes avec les femmes. Le sevrage ne résoud pas tout.
  oui si tu es seul c'est de ta faute... c'était exactement mon propos... ton problème avec les femmes n'a t'il aucun rapport avec ta dépendance ? et ton sevrage ne te maintient il pas d'une certaine maniere dedans ? pas besoin d'être compulsif pour se maintenir dans un fonctionnement qui nous "convient" pour différentes raisons... c'était pas une critique c'était juste des questions...Je ne vois pas où ce que je dis est vide de sens et illogique... (entre l'interaction inintéressante et ca, tu me gâtes c'est Noël ou quoi ?) Tu sais moi j'en ai rien a battre que tu t'en sortes en te masturbant ou pas... l'essentiel est que tu t'en sortes... t'es pas mon mec, je vis pas avec toi et à moi elle me sert a rien ta méthode parce que je suis co-dep et pas dep... qu'est ce que ca peut me foutre franchement ?? Je ne comprends pas pourquoi tu te "braques" (c'est un peu fort comme terme mais je sens quand même une pointe de  -_-  derrière...) a chaque fois que quelqu'un, en l'occurrence moi, ne va pas dans le même sens que toi... je ne cherche pas a te convaincre que l'abstinence c'est mieux, ça m'avancerait a quoi ?? si ta méthode marche pour toi et que ton psy est d'accord alors c'est merveilleux ! Mais pourquoi en parler si tu souffres difficilement les questionnements, scepticismes ou divergences d'opinion ? bref .... moi et mon cerveau de mouette on va se tirer en vacances ca nous fera du bien...
Ah bon ! Tu considères que le fait que tu dises cela te définierait comme une personne bête ?Je n'ai jamais dit ça, je disais simplement qu'avec tous les éléments et le manque de logique quand on regarde les évenements, je ne pouvais être dépendant de ma méthode.Je n'ai pas critiqué ta personne mais ce que tu as dit. Tu n'en restes pas moins une personne tout à fait intéressante d'après tout ce que j'ai pu lire.Tu n'es pas la seule à me dire cela, de nombreuses personnes ont émis cet avis, je ne te stigmatise pas.Je vais maintenant retranscrire une discussion que j'ai eu avec Mondom, ceci pour clore ma demande. J'ouvrirai un topic plus tard. Un échange sur la mise en pratique de ma méthode.Si vous avez un quelconque commentaire, je vous en prie.Mondom:"pas clair", je ne veux pas dire "sombre et imprecis", je veux dire "pas tres catholique" en quelque sorte...parce que, encore une fois, pour moi a present j'ai le sentiment que le sexe, s'il a son importance dans la vie, c'en est pas le centre, malgre que j'ai pu le croire toujours. et c'est anecdotique en fait.tu vois, par exemple, tu reponds en ne parlant que de ca. les interactions avec les personnes dont tu racontes des episodes, c'est toujours "j'aurais pu/du coucher avec", "je pensais qu'elle pensait au sexe, moi aussi" ou l'inverse etc... tu continues de faire tourner le monde autour de ca. je ne dis pas que j'ai raison de ne plus faire cela, ou que tu as tort de le faire. je dis qu'a present (sans le moindre jugement ni dire que c'est mieux ou moins bien) moi je suis sur la planete "pas de baise sans veritable amour au prealable" et toi tu me donnes l'impression d'etre sur la planete "pas d'amour sans veritable baise au prealable" (je caricature, hein, et je parle d'une hierarchie d'importance plus que temporelle, tu me suis?)donc, si on attribue a ma planete un cote limite "puritain" dont je suis conscient, que je considere moi principalement depornotisé, le coté (encore avec exageration) "pervers queutard"  que je me fais voir de la tienne me semble "pas clair", tu comprends?Moi: Ce topic a toujours eu de longs textes donc je voulais simplement que pour l'instant quelqu'un tombe directement sur la demande.Il y aura plus de chance comme cela. Ce message s'adressait à tous. Peut-etre John ou vision addict serait passé par là, pour ne citer qu'eux. Mais peut-etre serait-ce mieux de créer un topic à cet effigie un peu comme le topic sur la competition de sevrage.  Je sens depuis un petit temps comme une tension entre nous, j'ai déjà cru comprendre que mes propos te dérangeaient parfois. J'imagine que tes perceptions te donnent des forces.Si je devais me lire, peut-etre aurais-je la même impression ? En fait j'ai les mêmes perceptions que toi sur l'acte amoureux.  L'être humain est évidemment le seul mammifère à avoir une sexualité aussi complexe. Je ne voulais pas réduire l'acte sexuel aux échanges de fluides.Quand je parlais des principes de la méthode, je parlais également de stimulation des souvenirs. Ces souvenirs qui permettent de ressentir la complicité que l'on a avec l'autre. Variation des zones érogènes, changement de rythme et les souvenirs sont tous des éléments de réminiscence du passé.Si c'était tellement réducteur, je ne pourrais pas hésiter entre une masturbation devant ou sans le porno. Le choix serait vite fait à mon avis.Ce qui est le plus douloureux dans ma vie, ce sont les occasions que j'ai râté en amour et affection et non les aventures.Mais quand un dépendant arrête, il passe par cette phase de manque. La masturbation non compulsive sert de nouveau départ afin de faire tout cela sans support.Mais je suis sûr que tous doivent se sentir seul par après. Le but est simplement d'être près à aborder sa sexualité sous un nouveau jour si l'occasion se présentait.Est-ce que j'ai éclairci tes interrogations ? Je crois que peut-être certaines personnes ont compris les choses dans ton sens. Mondom: tension, le mot est un peu fort, deranger aussi, mais en effet on a ete plutot en desaccord parfois, ceci dit si qqun avait la solution pour les autres on pourrait fermer ce forum et ce serait tres bien comme ça! :)tu reparles encore et toujours de sexualite avant tout, c'est ce que je lis...je ne crois pas qu'il faille passe par le sevrage de porno pour ensuite aller plus loin dans le sevrage de mb par exemple et finir par s'occuper de ses problemes affectifs, je crois tout l'inverse, que c'est a cause des problemes affectifs que out le reste vient en decouler... alors traiter le symptome avant la cause c'est un peu illusoire.c'est parce qu'on se sent seul au prealable qu'on se masturbe, qu'on tombe dans la dependance etc, plus seul qu'on n'est meme eventuellement. c'est parce que'on a dejades idees decales dans la tete qu'on essaye de redresser la barre avec des ides tordues. combler le vide par un truc qui s'avere etre vide.. c'est le vide initial le principal probleme, les autres n'en sont que des consequences. c'est pourquoi j'ai eu le sentiment de forer en moi bien u-dela ou ailleurs que dans des porblemes sexuels ou branlettiques, que j'ai desinfecte de l'intereur, et pas gratte jusqu'a tout degager pour nettoyer ensuite...c'est mon avis, hein!Moi:  Bonne nuit Mondom, bien que tu sois peut-etre déjà en train de dormir.Je suis d'accord avec toi. Pendant le sevrage, il faut prendre des mesures afin de mieux se comprendre.C'est pour cela que je consulte car tôt ou tard, mes vieux problèmes pourraient ressurgir et ma thérapie m'aide énormément, rien que pour le soutien.Il me semble avoir déjà spécifié que la méthode n'était pas salvatrice à elle tout seule.a plus
moi je ces même plus a quel moment je doit me masturber , avant j' était régler comme un horloge , depuit que j ai commencer le sevrage ces uniquement quand l' envie devient trop intense 
Souvent, une idée trotte dans ma tête, et turbine en tâche de fond, sans fare de bruit, et puis un beau jour ça fait "pop".Ca vient de se produire sur une broutille.william tu dis:"L'être humain est évidemment le seul mammifère à avoir une sexualité aussi complexe. Je ne voulais pas réduire l'acte sexuel aux échanges de fluides."je pense plutôt que l'humain est le seul mammifère à avoir des chemins de pensée aussi complexes, qu'il croit qu'il peut instrumentaliser et modeler sa sexualité, la détourner de son but naturel primordial. je dis ceci sans aucune intention de jugement moralisateur. c'est une constatation. l'Homme est bien l'animal qui se croit supérieur à tous les autres, qui croit qu'il fait mieux l'amour parce qu'il est soi-disant mieux conscient de ce qu'il en fait... hé, il a même inventé le film de boules pour se refiler des tuyaux, quel animal communicant et progressiste n'est-ce pas!(en même temps elle est fausse ma constatation, en ce sens que l'humain n'est pas vraiment le seul, puisque diverses espèces animales, mammifères ou autres, utilisent le sexe comme fonction sociale. il y a ceux qui se battent pour que seul le plus fort (donc le meilleur reproducteur?) puisse saillir la ou les femelles, il y a ceux ou la hiérarchie sociale se manifeste par des rituels sexuels, soumission ou autre, je nesuis pas zoologue alors je ne fais que citer de mémoire des infos glanées çà et là... mais en tous cas je n'ai jamais entendu parler de quoi que ce soit qui rejoignent les problématique des dépendants sexuels ou de compulsion, même s'il doit bien y avoir des espèces qui se regardent ou se montrent dans leurs ébats...)rom1, ce qui est étrange c'est que tu sois ainsi perturbé de ne pas "savoir quand tu DOIS te masturber"...je te repose une question que j'avais déjà posée, à quoi ça sert de se masturber?
Et moi juste une remarque. Il y a des gens qui disent :"A quoi ça sert de faire l'amour" dans tous les sens du terme, tout dépend des gens. Il y en a qui parle du sens général et d'autres dans le sens baiser.Et puis c'est honteux la manière qu'ont certaines personnes à faire l'amour ou dans certaines occasions. Qu'il aillent se branler, il vaut mieux lol.
pour moi se masturber sa sert à se faire du plaisir , mais j' ai très rapidement abuser du plaisir .dans ma tête et mon corps sa devient une obligation de passe par la au moi une fois ans la journée  
rom1, du coup aujourd'hui ce n'est plus un plaisir mais un cauchemar. voilà un premier indice que tu as sans doute mal interprété ou décalé certaines idées afférantes à la sexualité... que tu t'es retrouvé à te mentir à toi-même d'une certaine façon, mélangeant plaisir, obligation, servitude... ça paraît pourtant sipple de te dire "mais non, c'est juste que j'ai abusé du plaisir et du coup en ai développé une fâcheuse manie" mais je te suggère de regarder plus profondément ce qu'il en est.william, tu n'as pas tort a mon sens! Smile

salut william,moi aussi je suis célibataire et le problème de la masturbation se pose également. Mais pourquoi ce problème de masturbation se pose ?Parce que j'ai du mal à y résister, parce que c'est une addiction tout comme mater du cul à la télé. Le célibataire n'a pas envie de cesser de se masturber, car il sait que ça implique qu'il va devoir se priver de jouissance sexuelle pendant une longue période (enfin bon c'est ce qu'il croît, pourquoi ne trouverait-il pas une copine dans les jours à venir ??)Ta méthode, je l'applique déjà en quelques sorte, parce que pour l'instant je n'arrive pas à résister à ces crises de masturbation qui se manifestent un peu n'importe quand et de façon purement aléatoire. Alors pour apaiser ces crises, et pour pas que j'ai l'impression de réalimenter la pompe, j'essaye de me masturber sans support visuel en me concentrant sur mon plaisir, comme l'indique orroz d'ailleurs sur son site. Le problème, c'est qu'une seule masturbation ne suffit pas et que un quart d'heure plus tard, j'ai à nouveau envie de me branler, et cette deuxième masturbation c'est dur de la faire sans penser à des fantasmes, à de la meuf à poil et une "belle" fellation.Franchement la masturbation selon moi, ça pue de la gueule. Tout d'abord elle s'est introduite dans ma vie alors que je lui avais rien demandé. J'étais au collège début 3e, j'étais déjà dépendant aux images érotiques à l'époque car je passais mes après midi à regarder les chaines musicales (mcm mtv...) pour essayer de voire des clips sexy, et ma première masturbation, je l'ai faite à la suite d'un clip de christina aguilera, en faisant l'amour à mon lit (je ne savais pas ce qu'était une masturbation à l'époque, je ne savais même pas ce qu'était jouir etc...). ça s'est fait par accident.Il n'y a rien de naturel là dedans. C'est la télé qui lentement mais sûrement m'a conduit à m'astiquer gentiement. Je remercie au passage tout ce que fait la télévision pour nos jeunes.Je n'aime pas l'idée qu'il y ait en moi un comportement que je n'arrive pas à contrôler et dont l'envie peut se manifester à n'importe quel moment et troubler ma quiétude, si on peut parler de quiétude.Je pense que ta méthode, c'est une manière détournée de justifier un comportement addictif dont tu n'arrives pas à mettre fin parce que tu penses que c'est trop dur. En plus, ya un truc que j'ai dû mal comprendre. Tu dis que tu ne penses pas à des fantasmes, mais ça t'arrive de repenser à ton ex quand tu fais tes masturbations, bref à des images qui vont t'exciter pour activer la branlette non ? Je me mets toujours en scène dans des situations très érotiques. Je me remémore donc des instants que j'ai ou pourrais partager. C'est pas une masturbation compulsive ça ? En tout cas d'après orroz, il ne faut pas penser à ses fantasmes. Quand je me masturbe en pensant à mon ex, je ne suis pas fier de moi. Un ça confirme que je suis encore dépendant d'elle, et deux si je pense à elle, pourquoi je serai pas amené à penser à du cul pour m'astiquer puis à forciori revenir sur des sites de cul. Parce qu'au final, c'est dans le même but, sauf que c'est plus excitant si je reviens sur des sites parce que ce ne sera pas le fruit de mon imagination. Moi je vais y mettre fin par tous les moyens, même si ça doit me coûter des nuits blanches. ça va être dur, mais peut-être pas plus que d'arrêter la clope ou le bédot. ça passe par des crises, il faut les surmonter.Et puis.... C'est vraiment pas classe la branlette !

(lol) j'avais pas vu que ça avait un an ce post ^^
verre à moitié vide "chaque instant où je ne suis pas en train de jouir est une privation, un manque".verre à moitié plein: "je vis ma vie librement et l'éventualité de la jouissance sexuelle, à l'instar du risque de prendre un PV si je me gare mal, fait partie des éventualités et des choses de la vie, sans en être un besoin absolu et inaltérable". Le jour où la jouissance survient, c'est juste agréable, cela ne fait pas que le jour où elle ne survient pas est une douleur.
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