16-12-2016, 10:51
"au moment du passage à l'acte, qu'attends-tu de la consommation ?"
"regarde comment se construit le désir, ton désir... regarde toi faire dans le moment de dérapage... "
au moment du passage à l'acte, je n'attends rien.
D'une manière générale, je n'attends rien d'ailleurs.
Je ne peux pas dire que le désir se construit, je ne pourrais même pas qualifier ça de désir.
Au début en pendant longtemps, oui, il y avait du désir, et même du plaisir,
juste le plaisir de regarder de belles femmes, puis après j'ai ajouté quelques critères à mes recherches, (comme je l'ai déjà dit, toujours des trucs softs)
si ça peux aider, l'âge à partir de la trentaine, une poitrine naturelle, plus dans le genre sensualité en couple.
je ne me sens pas trop à l'aise de dire tout ça, je le fais quand même, si cela peut ouvrir des pistes vers la sortie de cet enfer....
au début, donc,j'étais excité rien que d'y penser. aujourd'hui, la tension arrive pendant mes recherches, je me soulage, mais je n'ai pas de plaisir.
je sais que la vie ce n'est pas ça, je me soulage physiquement, c'est tout.
Très souvent, le besoin n'est pas là, mais je le fais quand même...
comme si je subissais, alors que c'est moi qui doit contrôler ma vie.
Lorsque je me dis "c'est fini tes conneries, stop" j'arrive à tenir, mais pas très longtemps. c'est très compliqué, physiquement et psychologiquement aussi. les rêves pornographiques (et pas érotiques) viennent me réveiller.
Le pire, c'est que parfois, je me vois faire, et je me dit que je ne suis qu'un idiot! l'estime de soi, dans ces moments là n'est pas vraiment au top...
on pourrait me dire que je n'ai rien d'autre à faire pour agir comme ça, pourtant non.
c'est un cercle vicieux, c'est qu'on perd beaucoup de temps pour ces saloperies, que ton boulot ne fait pas aussi rapidement, que t'ai crevé
une vis sans fin.
alors qu'il serait si simple de ce concentrer sur la vie réelle.
je dois certainement cherché à fuir quelque chose, mais quoi?
"regarde comment se construit le désir, ton désir... regarde toi faire dans le moment de dérapage... "
au moment du passage à l'acte, je n'attends rien.
D'une manière générale, je n'attends rien d'ailleurs.
Je ne peux pas dire que le désir se construit, je ne pourrais même pas qualifier ça de désir.
Au début en pendant longtemps, oui, il y avait du désir, et même du plaisir,
juste le plaisir de regarder de belles femmes, puis après j'ai ajouté quelques critères à mes recherches, (comme je l'ai déjà dit, toujours des trucs softs)
si ça peux aider, l'âge à partir de la trentaine, une poitrine naturelle, plus dans le genre sensualité en couple.
je ne me sens pas trop à l'aise de dire tout ça, je le fais quand même, si cela peut ouvrir des pistes vers la sortie de cet enfer....
au début, donc,j'étais excité rien que d'y penser. aujourd'hui, la tension arrive pendant mes recherches, je me soulage, mais je n'ai pas de plaisir.
je sais que la vie ce n'est pas ça, je me soulage physiquement, c'est tout.
Très souvent, le besoin n'est pas là, mais je le fais quand même...
comme si je subissais, alors que c'est moi qui doit contrôler ma vie.
Lorsque je me dis "c'est fini tes conneries, stop" j'arrive à tenir, mais pas très longtemps. c'est très compliqué, physiquement et psychologiquement aussi. les rêves pornographiques (et pas érotiques) viennent me réveiller.
Le pire, c'est que parfois, je me vois faire, et je me dit que je ne suis qu'un idiot! l'estime de soi, dans ces moments là n'est pas vraiment au top...
on pourrait me dire que je n'ai rien d'autre à faire pour agir comme ça, pourtant non.
c'est un cercle vicieux, c'est qu'on perd beaucoup de temps pour ces saloperies, que ton boulot ne fait pas aussi rapidement, que t'ai crevé
une vis sans fin.
alors qu'il serait si simple de ce concentrer sur la vie réelle.
je dois certainement cherché à fuir quelque chose, mais quoi?