Dépendance sexuelle

Version complète : la complicité dans un couple...
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et boum! le coup de baton de Mondom! [img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4d6422f04.gif"[/img] remarque, ca fait parfois du bien.[img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil43c0149e4ff00.gif"[/img]il ne me semble pas que Nina accepte de bon gré les vices de son homme ni moi de me complaire dans l'état d'homme/enfant.C'est juste qu'en reflechissant sur le pourquoi des choses je m'aperçois que j'agis comme un enfant et que Nina a peu de solutions qui s'offrent à elle...A partir de là, je peux tenter de construire une autre relation. Jusqu'à présent, et grace à vos remarques et dialogues à tous, je ne me suis pas aperçu de cet état et il est hors de question que je reste un enfant!Donc grace   à vous tous j'avance...A nina:Pour te répondre vite Yann yann, que dirais-tu et que ressentirais-tu si tu savais que de son coté, ta femme a, elle aussi ce désir de voir ailleurs et qu'elle ait envie de lutter, elle aussi, contre la monotonie de VOTRE couple (donc de toi quelque part, hein?)? Et que ressentirais-tu encore si tu t'apercevais que, plutôt que de t'en parler à toi, premier concerné, ben elle préférait règler le problème toute seule en se faisant plaisir en matant d'autres hommes, plus jeunes par exemple, bien foutus et tout et tout? Et si tu t'apercevais que ces images d'hommes avec lesquelles, elle se fait un bien intense, et sans penser à toi surtout, et bien ils ont justement tous les atouts physiques que toi, tu n'as pas? cette question, ma douce me l'a posé il y a un an en clair et j'avoue ne pas y avoir répondu. En fait, notre couple ronronnait doucement... si doucement que j'avais presque envie qu'elle fasse comme moi afin que quelque chose se passe...Tout est très diffèrent à ce jour.<b../../../em>
Jolie petite discussion, je vais y mettre mon grain de sable!!!Le couple est quelque chose de difficile en soit et l'est d'autant plus quand il part sur une béquille comme la dépendance  au porno!!Moi qui ai connu ma copine très top, je pense en faite non je suis sur que j'ai basé mon couple en grande partie sur ma dépendance affective, elle était celle qui me soulagé qui me rassuré, et son histoire au combien douloureuse faissait de nous deux enfants fait l'un pour l autre.Très vite on en ai venu à des actes sexuels, sur une pression de ma part , car avec du recul je pensais beaucoup à cela, maintenant je ne l'ai pas violé donc c est qu elle en avais envie aussi.Puis le porno pour moi a continué, de la frustration c'est accumulé, mon monde virtuel de sex c'est amplifié, ma copine ne me parraissais plus du tout à mon gout, voir je la trouvai moche... les idiossies de la dépendance.Et voila, maintenant que je découvre tout ça, il est difficile de faire face à soit, entre l'homme que je veux être, que je suis , ou que je suis en devenir et l'enfant, qui agit par dépendance affective, et la il faut faire attention, je commence à le reconnaitre, et a éviter ses pièges mais attention à ne pas tomber dans l'excé, en effet, c'est quand même ma femme, et lui faire un calin dans sa poitrine juste pour le plaisir, par tendresse n'est pas de la dépendance affective, pourtant par exemple en ce moment quand cela arrive, mon cerveau fait un petit bug!!!Il me semble donc évident de lutter ou plutot d'écouter cet enfant mais attention à ne pas tomber dans les excés, surtout que quand on arrête une conduite excéssif (la dépendance),on est fragil à toute excés.La question que Nina a posé est très intéressante, moi aujourd huis j y apporte deux réponses, celle d'avant, " j'accepterai pas, quelle ailles voire ailleurs " avec essntiellement dans ma petite tête l'acte sexuelle, et l imaginer faire l amour à un autre, mais maintenant je ne l'accepterai toujours pas je pense mais non plus pour une simple question de cul mais pour une question de confiance la base à mon sens d'un couple adulte et solide!! et aussi ce qui montre que je commence à avoir plus confiance en moi, car avant je m aurais aussi imaginé qu'elle prendrait grave son pied avec un autre!!!enfin voila pour ma petite participation.Je pense que nous dépendant devons revoir notre copie de la conception d'un couple!!allez bonne journée!!

 

Décidément j'aime ce topic, que de réfIexions qui font avancer !Bravo Ietudiant pour ton grain de sabIe!
Merci free, ça me fait plaisir que tu me dises cela.

 

oui, oui, bon grain de sable.le sujet est inépuisable mais c'est très intéressant de se confronter aux expériences des autres. Car dans la vraie vie, jamais je n'ai pu parler avec d'autres couples de ces choses intimes et encore moins de dépendances. L'anonymat du web permet tous les excès, certes, mais aussi de belles confidences qui font avancer... alors tout n'est pas mauvais! [img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4d6422f04.gif"[/img]Moi j'aimerais bien que ma femme vienne discuter ici et donner son point de vue. je vais tenter la chose bien qu'elle ne soit pas une adeptes des forums.
Mondom a écrit :"Excusez-moi, mais...Quelle discussion de dépendants affectifs!Rester ensemble à tout prix... Rester enfant à tout prix... Virtuellement et réellement c'est différent... Que de faux-semblants et détours vous employez, pour perdurer dans cette dépendance affective, Nina et Yannyann! Quelle différence entre l'amour et l'amitié, selon vous...? Est-ce que l'amour est donc le gros prétexte qui justifie grâce à l'intimité de se conduire n'importe comment? Nina, tu es prête à ce que ton mec te trompe virtuellement de temps en temps s'il ne s'en cache pas...Yannyann, tu es prêt à rester un enfant auprès de ta femme-maman et à trouver cela bon pour vous deux... C'est quoi ces histoires? C'est la magie de l'amour, ce truc dont on  ne connait pas l'explication rationnelle, alors youpi on fait ce qu'on veut et rien ne pose problème? C'est en faisant n'importe quoi qu'on prouve qu'on aime, qu'on est digne d'être aimé? A quoi ça sert seulement, d'aimer ou d'être aimé d'ailleurs...?"BonjourUne réponse pour toi Mondom car une fois de plus, ton post me met en colère. C'est vrai que tu apportes beaucoup aux discussions, que ton parcours est exemplaire et que, probablement, beaucoup ici comme moi, ont envie de te dire merci pour tout ce que tu apportes y compris ce message d'espoir : "oui, on peut s'en sortir".Pourtant, combien de co-dep comme moi, dont le mec ne prend conscience de rien?, combien de dépendants qui n'arrivent pas à s'en sortir malgré leur bonne volonté et leur envie d'y arriver? Donc tous ces gens-là, faut les condamner? Non, je n'ai pas le choix qu'IL s'en sorte ou non et il ne faudrait peut-être pas inverser les rôles non plus... JE me suis faite suivre chez une psy pour ME soigner de SA dépendance. Je l'ai écoutée me dire séance après séance que ça n'était pas MON problème et que je n'y pouvais rien si ce n'est apprendre à vivre avec ou me barrer à toutes jambes parceque trop dur... Elle a même tenté, comme beaucoup, de dédramatiser le truc en me disant que ce n'est QUE l'imaginaire et que la question est de savoir si SON imaginaire M'appartient, LUI appartient à lui seul ou NOUS appartient à tous les deux... Ma réponse est que je ne suis pas Big Brother et que je n'ai ni le droit, ni l'envie de contrôler SON imaginaire!!! Après, oui bien sûr, le seul choix qui me reste si je ne veux plus avoir mal de ça, c'est de le foutre dehors mais en l'éjectant de ma vie, certes je suis libérée du porno mais je me prive du reste aussi et ce reste-là, je n'ai pas envie de m'en priver car quoi que tu en penses, il est bien beau à des tas de moments que nous partageons et ces moments-là, se font de plus en plus fréquents. Nous avons quand même bati quelque chose tous les deux et même si le porno reste une énorme épine entre nous, un sujet qui fâche et qui fait mal, nous causons et là-dessus, nous nous entendons drôlement bien. Je n'ai pas peur d'être seule, j'aime ça, je suis une solitaire et plus le temps passe, plus j'aime. Je peux me débrouiller en tout, toute seule, je n'ai pas besoin de béquille. Et je le sais d'autant mieux que je l'ai vécu pendant longtemps déja et que je n'ai jamais déprimé de ça. Alors je ne m'accroche pas à lui à tout prix. Je n'ai plus peur de l'abandon comme par le passé, ça je l'ai soigné et j'ai bien avancé là-dessus... Maintenant si je t'écoute alors une seule solution : il fait son baluchon et se casse parceque ce qu'il fait est inacceptable... Tu as peut-être raison, sûrement même... Mais voilà, moi je suis une truffe, une lâche qui, pour le moment, n'a pas eu le courage de cesser de croire qu'il y a quand même un "possible" entre nous mais un "possible" qui ne ressemble pas à la relation "idéale", celle que certains rencontrent dans leur vie mais aussi, celle que beaucoup ne rencontrent jamais. J'ai un deuil à faire, celui d'une relation ou la transparence est là à 100 pr 100 et où la complétude aussi même si, je le sais bien, le conflit est là aussi parceque necessaire et utile pour rester soi dans une relation à deux. Alors oui, peut-être que je dois le foutre dehors avec ses poufiasses suceuses de bites mais dans ce cas, la majorité des co-dep d'ici doivent faire la même chose car rares, très rares sont leurs conjoints qui acceptent l'idée qu'ILS ont un problème avec ça. Aujourd'hui, je me débats comme je peux et c'est dur crois-moi, pour arriver à faire mon choix mais, j'ai des limites et je suis bien obligée de faire avec aussi car à force de me battre toujours et encore dans ma vie, je suis parfois "out" et découragée.Depuis quelque temps, je m'aperçois que je viens ici pour justifier le fait que nous sommes toujours ensembles malgré son déni, ce n'était pas ce que j'étais venue y chercher au départ. J'ai cessé de voir ma psy car ras-le-bol de ME faire soigner SON problème et ras-le-bol aussi de me reluquer le nombril chaque semaine pour tenter d'accepter l'idée qu'aujourd'hui, le porno est devenu accessible à tous et que, quoi qu'on en dise, cela plait énormément à beaucoup d'hommes. Il y a sûrement une raison mais à l'heure actuelle, je ne l'ai pas comprise et moi, en tant que femme respectueuse des autres et de ce qu'ils sont dans leur entièreté, j'en souffre, j'en pleure, j'en rage et je me dis de plus en plus que mrdrrrrr... ce monde-là n'est pas le mien!!! Dois-je alors en tirer les conclusions qui s'imposent et me comporter en hermite?
Je reviens là, après avoir un corrigé mon post précédent pour ajouter une dernière remarque... Si nous sommes tous ici parceque nous sommes tous des dépendants affectifs alors j'en déduis que dépendant comme co-dépendantes sont malades au même titre et que donc, nous avons tous besoin de guérir, les uns pour arrêter de compulser et les autres pour arrêter d'accepter que nos mecs le fassent.Donc chaque co-dep dont le conjoint ne prend conscience de rien doit le foutre dehors! Vu comme ça, c'est sûr que ça simplifie les choses!Quand j'ai tenté d'en parler à l'extérieur, à des proches (très peu, hein...), j'ai eu deux réponses radicales : "fous le dehors, il se moque de toi!" et l'autre : "mais c'est normal, tous les mecs font ça!". On en revient donc toujours aux mêmes schémas d'incompréhension, c'est donc si difficile que ça de s'en sortir et de considérer que ça n'est pas si simple?Enfin, j'ajoute encore, pour me justifier pour la Nième fois quand au fait que je n'ai toujours pas rompu à l'heure qu'il est... Cette déviance de crotte qui habite mon compagnon ne l'envahit pas autant qu'elle m'envahit moi. C'est à dire qu'en dehors des moments ou il est seul ici, inactif donc à s'adonner à son passe-temps favori, IL N'Y PENSE PAS! C'est moi qui y pense et qui anticipe que ça va se passer alors que lui, il a l'esprit dans bien d'autres choses plus intéressantes et plus constructives. Encore une fois, ça ne régit pas sa vie, loin de là! Ce que je pensais pouvoir atteindre un jour, c'est une situation plus équilibrée où moi, j'y penserais moins et où lui, réaliserait d'avantage que même quand je suis pas là, il peut faire mille autres choses... Et puis une dernière chose pour toi, Mondom, oui c'est vrai que le fait qu'il compulse sur des vidéos plutôt qu'en vrai, ça change la donne pour moi et ça m'aide à moins souffrir. Ca peut paraître aberrant de bêtise mais c'est comme ça! C'est un peu comme une graduation mais il est clair que pour moi, ça n'est pas la même chose et je crois vraiment qu'il y a une différence entre le fait de mater des vidéos et celui de passer à l'acte même si savoir que son conjoint s'excite sur des poufs à poil, c'est loin d'être la panacée! J'y vois une notion de limite que l'on ne dépasse pas, une notion d'interdit posé par des règles éducatives et un peu la même logique qu'entre le fantasme et le passage à l'acte que nos barrières sociales nous interdisent... Je sais pas si je suis claire, là... Je ne crois pas me voiler la face à ce point ni pouvoir affirmer en toute certitude que c'est idem même si, je le reconnais, c'est assez problématique pour l'intimité du couple. Quant à lui, il est clair qu'il est convaincu qu'il ne me trompe nullement en faisant cela...A+nina
Hé, cool, Nina.Il est vrai qu'à une certaine époque, où tu disais toi-même que tu songeais sérieusement à arrêter avec lui, je te donnais mon ressenti qui allait dans le même sens. Aussi, plus tard, alors que tu disais que tu avais décidé de rester, il m'est arrivé de te faire des allusions sur le fait qu'il était possible que tu te fasses croire que cela allait aller mieux mais que ce ne fusse pas le cas. Là quand je suis intervenu sur ce topic, c'est parce que j'ai senti cela en lisant la dernière demi-douzaine de posts de la discusion, mais je ne suis pas en train de te conseiller à demi-mot quoi que ce soit. L'équilibre que tu trouves avec ton mec est à mon avis un peu instable, mais ce n'est pas un jugement, juste une constatation. Je n'ai de conseil à donner à personne en matière de couple. Si ce n'est la tralsparence parce que pour moi cela s'impose comme une évidence, mais chacun voit midi à sa porte.Il y a sur ce forum une belle qualité d'échanges et de parole, c'est certain pour moi. Il y a aussi une belle part d'échange affectif, entre certains membres de notre sympatique confrérie... Nous nous disons "amis virtuels" souvent, et je crois qu'il est important, j'en remercie avant tout John Warsen qui ne mâche pas ses mots et qui m'a donné cet exemple, de ne pas chercher l'approbation ou le soutien affectif... Quand une co-dep est en détrese et que tout le monde lui envoie ses bisous de soutien, je ne dis pas que c'est à proscrire, mais il faut ne pas oublier que c'est là une figure de rhétorique. Les bisous sont lus par elle, et peuvent lui faire savoir qu'on pense à elle et qu'elle n'est pas seule, mais pas qu'on est ses amis pour la vie, qu'on l'aime, qu'on a de l'amour à lui donner, parce que... C'est un peu décalé. Ici on échange nos points de vue sur la dépendance sexuelle. Affective aussi un peu de temps en temps, et encore, parce que le forum n'est pas dédié à cela. C'est à mon avis un manque, d'ailleurs, mais c'est comme ça. J'évite au max de m'apitoyer, sur mon sort ou celui des autres, à présent. J'appelle un chat un chat etc, depuis le début, et maintenant plus encore... Je ne dis pas que j'ai raison. Je donne mon son de cloche, à chacun de savoir ce qu'il a à en faire. "Je suis désolé de t'avoir mise en colère"... En fait, je le suis un peu par convenance, et à la fois en fait tout ça reste avec une certaine distance, je sais ce que j'ai voulu dire par mon post, peut-être maladroitement... Je ne t'accuse pas suite à tes actes, pas plus que d'être qui tu es. Dépendante afective, peut-être, je ne t'en diagnotique qu'un peu comme ça pour voir, la discussion m'a sauté aux yeux avec cet aspect-là, voilà tout. Ce n'est pas le seul aspect qu'elle ait, certainement, je n'y apose en aucun cas un jugement définitif. On n'est pas ici pour être aimés, à peine soutenus, beaucoup pour discuter, échanger, confronter, s'informer. Personne n'exige quoi que ce soit de qui que ce soit, et quand parfois des posts en prennent la tournure c'est un peu irréaliste je trouve... L'humour sert d'ailleurs parfois à désamorcer cela. Nous ne sommes pas dans des concours d'égo...Que ça soit vivable entre ton mec et toi, même si je te le souhaite, cela ne me concerne pas, nous nous sommes parlés ici, en e-mail, au téléphone pas mal de fois et sommes un tout tout petit peu plus que "connaissances anonymes de forum virtuel", nous nous donnons des nouvelles de nos vies, et c'est très bien, comme des amis pas super proches mais qui parlent d'intimité quand même, c'est inhabituel, pas malsain ni problématique, je m'y retrouve tout à fait.Tu n'as pas du tout à venir justifier que tu ne vires pas ton dépendant, en effet tu le fais souvent et cela donne parfois à tort l'impression que tu ferais mieux de ne pas le faire... Mais ce n'est pas bien important à côté de la réalité des choses je pense.Après, les avis que d'autres te donnent ne sont pas forcément de l'argent comptant. A toi de te faire ton opinion, de prendre tes décisions, sans te reposer sur les autres. T'informer, confronter, comme avec le forum, mais pas t'en remettre à leur jugement. Ce n'est pas à la suite d'un sondage que tu décides de rester ou non avec quelqu'un, je pense...Tu n'es en rien à faire preuve de bêtise, loin de là. Tu es un peu le cul entre deux chaises et ce n'est pas confortable. Je ne maîtrise aucune des chaises, pas plus que ton cul (pardon pour l'image...)... Il y a divers aspects à tous les sujets qui sont abordés sur ce forum, et le savant dosage est loin d'être facile à trouver, et surtout il diffère pour chacun-chacune!Ne te sens pas attaquée. Je mets sans doute trop mon grain de sel là où je pourrais le garder pour moi. Je vais m'y entraîner un peu!!
oulà.. je reviens sur le post et je me rends compte qu'il y a du mouvement..Nina.. personne ne détient la vérité absolue mais on te donne ce que lo'n a comme outil ou expérience pour te rendre la vie plus facile et peut-être te donner les clés de cette vie là..Pour tous les deux, (Yann et Nina).. Je suis désolée mais je suis d'accord avec Momdon.. Il faut ouvrir les yeux si l'on veut que la situation change.. et si on est ici, c'est qu'on le veut puisqu'à priori on n'est pas heureux...Je suis co-dep, encore avec lui.. mais je sais qu'il ne faut pas "cautionner" certaines choses.. en ce qui conerne no dépenandts de mari.. Il ne faut pas à mon sens, non plus, les pousser ou les enfermer dans un rôle qu'il ont déjà tant de mal à quitter (enfant..)Tout cela sont des conseils.. rien d'autres.. mais comme des amis on se doit d'être franc.. et c'était également mon opinion.. Je ne dirais pas du tout à Nina de mettre son mari à la porte.. Ce n'est pas la seule solution.. Il y en a d'autres !! La preuve.!!! Je suis encore là avec mon homme.... mais subir tout trop longtemps n'en est pas une à mon avis !!!!
Pourquoi est-ce que rester = forcément être dépendante affective et on le serait toutes ici ? Après m'être bien posé la question, je pense que je ne le suis pas. Et pourtant je suis venue ici, et j'y ai trouvé l'aide dont j'avais besoin. A chaque "crise", je suis restée avec mon mari par besoin de comprendre, parce que je sentais qu'il y avait quelque chose de pas si simple derrière le mensonge et la tromperie, un truc qui nous échappait. Quand on a enfin mis le doigt sur le problème, il nous est apparu évident que passage à l'acte ou pas (qui plus est avec des hommes en ce qui le concerne) n'était pas réellement important ; les dépendants qui en sont passés par là en ont tous témoignés mais on le devinait déjà.Je conçois qu'on reste parce que les bons moments pèsent plus lourd dans la balance, mais aussi dans l'espoir que les choses changent ; dans ton cas, Nina : que lui prenne enfin conscience de son problème et s'y attelle. Mais rester en étant résignée, en acceptant définitivement la situation, en trouvant des raisons pour s'en accomoder, même si c'est une psy qui le conseille, je n'y crois pas. Je trouve moi aussi que ça revient à cautionner, à diminuer les chances que l'autre soit motivé à arrêter, mais surtout à se mentir à soi-même à son tour. Je pense qu'on est plusieurs à le ressentir comme ça, et qu'on a pas envie de t'aider à te mentir. A quoi ça rime de baisser les bras ? Ou alors c'est du masochisme, et ça non plus, je n'y crois pas. Je me mets à ta place et j'ai envie que tu continues à te battre pour qu'il s'attaque au problème ! Et quand je lis ce que conseille Lia, elle ne fait pas autrement. On est toutes différentes mais s'il y a bien une chose qui nous rassemble c'est la souffrance qu'engendre la position de "co-dep" et l'envie que ça cesse.
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