08-04-2008, 22:52
Un des signes qu’on est vraiment envoûté, c’est qu’on ne pense même pas à demander de l’aide. Au moins, tu cherches à déméler la signification de tout cela.
Bref. Faut quand même partir de là où en sont les gens. L'intellectualisme ne m'a pas souvent aidé à me sortir les doigts du cul, mais Allen Carr a largement contribué à m'aider à lâcher la clope. Du coup, je retrouve ce message qui m'avait bien plu sur le forum :
"Salut à toi voyageur.
Pour ma part, je suis dans un état d'esprit positif par rapport à mon sevrage; et comme tu l'as dit toi-même, quelques temps plus tard, on se sent beaucoup mieux.
Mais en réfléchissant, je me suis persuadé que ça n'était pas moi qui réclamait ma dose de masturbations quasi-quotidiennes, qui réclamait le visionnage de videos pornos et qui me faisait penser au sexe à longueur de temps.
Mon être profond n'est pas comme cela; et dès lors que je me suis persuadé que je n'étais pas comme ça, j'ai cessé de l'être. C'est bien simple: je ne lutte plus; comme quand j'avais arrêté la cigarette. j'ai lâché prise; j'ai cessé de me braquer face à ces envies.
Je me disais qu'en moi, il y avait 2 êtres: un bon et un mauvais, et que si j'arrêtais de nourrir le mauvais avec sa nourriture porno, il finirait par mourir. Et le bon aurait alors toute la liberté de croître et de rayonner.
Je me disais que j'avais l'entière liberté de refuser à ce mauvais être ce qu'il me réclamait. Je ne ressentais aucune tension face à cela, car je savais que continuer à visionner du porno me mènerait droit à la faillite sentimentale.
Je me disais alors que ma raison de vivre, en ces instants précis serait alors d'enterrer cette dépendance de façon définitive; de ne plus visionner un seul porno de toute ma vie, d'avoir en horreur cette représentation grotesque de la sexualité.
Curieusement, comme pour la cigarette, le sevrage a été très rapide. Il faut dire que cette nouvelle sensation de se sentir sain, revivifié, comme au premier jour est telle, que vous n'avez plus envie de retoucher à cette merde; que les lobbies de l'industrie porno peuvent avoir les autres dans leur filet, mais pas vous, car vous avez compris et parfaitement su déjouer leur stratagème.
Il n'y a pas de dépendance. décrocher du porno, c'est extrêmement facile quand on a compris qu'une seule petite video/photo peut vous faire replonger dans les affres de la dépendance.
Il faut se DETACHER de cette "dépendance", car l'obsession, c'est vous, et uniquement vous qui l'entretenez.
Et si vous êtes à la limite de craquer, posez-vous seulement cette question, en gardant toutefois à l'esprit que si vous cédez cette fois là,que si vous mattez cette petite video "juste une foi" alors vous replongerez dans cette dépendance dégoutante:
"Ai-je vraiment envie de cette petite video/revue/photo porno? Ai-je vraiment envie de recommencer à me masturber X fois par jour, de perdre des heures à surfer sur des sites pornos qui déformeront ma vision de la femme et de la sexualité, de retomber dans ce cercle sans savoir encore combien de temps j'y resterai avant une nouvelle tentative de sortie? Et pourtant, c'est ce qui se passera bel et bien si je visionne cette video/photo/revue. Alors, en ai-je vraiment envie?"
Cette question et tout ce qu'elle soulève devrait vous permettre de retrouver vos esprits, en ancrant encore plus profondément les cotés négatifs du porno. Utilisez la sans modération; c'est avec une question de ce style que j'ai arrêté de fumer."
pour la photo de moi à poil quand j'étais jeune, c'est là :lol:
Bref. Faut quand même partir de là où en sont les gens. L'intellectualisme ne m'a pas souvent aidé à me sortir les doigts du cul, mais Allen Carr a largement contribué à m'aider à lâcher la clope. Du coup, je retrouve ce message qui m'avait bien plu sur le forum :
"Salut à toi voyageur.
Pour ma part, je suis dans un état d'esprit positif par rapport à mon sevrage; et comme tu l'as dit toi-même, quelques temps plus tard, on se sent beaucoup mieux.
Mais en réfléchissant, je me suis persuadé que ça n'était pas moi qui réclamait ma dose de masturbations quasi-quotidiennes, qui réclamait le visionnage de videos pornos et qui me faisait penser au sexe à longueur de temps.
Mon être profond n'est pas comme cela; et dès lors que je me suis persuadé que je n'étais pas comme ça, j'ai cessé de l'être. C'est bien simple: je ne lutte plus; comme quand j'avais arrêté la cigarette. j'ai lâché prise; j'ai cessé de me braquer face à ces envies.
Je me disais qu'en moi, il y avait 2 êtres: un bon et un mauvais, et que si j'arrêtais de nourrir le mauvais avec sa nourriture porno, il finirait par mourir. Et le bon aurait alors toute la liberté de croître et de rayonner.
Je me disais que j'avais l'entière liberté de refuser à ce mauvais être ce qu'il me réclamait. Je ne ressentais aucune tension face à cela, car je savais que continuer à visionner du porno me mènerait droit à la faillite sentimentale.
Je me disais alors que ma raison de vivre, en ces instants précis serait alors d'enterrer cette dépendance de façon définitive; de ne plus visionner un seul porno de toute ma vie, d'avoir en horreur cette représentation grotesque de la sexualité.
Curieusement, comme pour la cigarette, le sevrage a été très rapide. Il faut dire que cette nouvelle sensation de se sentir sain, revivifié, comme au premier jour est telle, que vous n'avez plus envie de retoucher à cette merde; que les lobbies de l'industrie porno peuvent avoir les autres dans leur filet, mais pas vous, car vous avez compris et parfaitement su déjouer leur stratagème.
Il n'y a pas de dépendance. décrocher du porno, c'est extrêmement facile quand on a compris qu'une seule petite video/photo peut vous faire replonger dans les affres de la dépendance.
Il faut se DETACHER de cette "dépendance", car l'obsession, c'est vous, et uniquement vous qui l'entretenez.
Et si vous êtes à la limite de craquer, posez-vous seulement cette question, en gardant toutefois à l'esprit que si vous cédez cette fois là,que si vous mattez cette petite video "juste une foi" alors vous replongerez dans cette dépendance dégoutante:
"Ai-je vraiment envie de cette petite video/revue/photo porno? Ai-je vraiment envie de recommencer à me masturber X fois par jour, de perdre des heures à surfer sur des sites pornos qui déformeront ma vision de la femme et de la sexualité, de retomber dans ce cercle sans savoir encore combien de temps j'y resterai avant une nouvelle tentative de sortie? Et pourtant, c'est ce qui se passera bel et bien si je visionne cette video/photo/revue. Alors, en ai-je vraiment envie?"
Cette question et tout ce qu'elle soulève devrait vous permettre de retrouver vos esprits, en ancrant encore plus profondément les cotés négatifs du porno. Utilisez la sans modération; c'est avec une question de ce style que j'ai arrêté de fumer."
pour la photo de moi à poil quand j'étais jeune, c'est là :lol: