Dépendance sexuelle

Oui... C'est fou comme ces 13 jours ont été long. Mais ce n'est pas fini. Vous avez raisons j'ai fait du chemin, je dois en être fière.
@Fabrice félicitation d'avoir tenu le coup!
Merci beaucoup.

Un gros dodo s'impose, en espérant que demain tout aille mieux.

Voilà sevrage de 15 jours terminé! Et maintenant?

Je n'ai pas craqué, aucun site de rencontres, aucune rencontres réelle, aucun film, aucune MB.... Sincèrement je n'y croyais pas. Mais maintenant??

Bravo ! Tu as réussi

Euh... Tu continues. Et toi, qu'as-tu envie de faire ? 
Qu'est ce que t'ont apporté ces 15 jours de sevrage ?
Bon ok, tu pauses une question, et je te renvoie d'autres questions.
Maintenant, Essaie de faire le point, ce qui était super, ce qui l'était moins. 
Le principal est de continuer et de capitaliser.
Encore bravo !

Et maintenant tu continues, tu augmentes ton compteur et tu déchires sa race.

Moi si j'écoutais mon cerveau, j'irais compenser ces deux dernières semaines d'abstinence.
Bon je ne le ferais pas évidemment.

Sincèrement mise à part mon imagination quo s'est fortement développée, j'ai l'impression que ça ne m'a rien apporté. Je continue à m'imaginer au lit avec tout les hommes que je croises même si là je ne passe pas à l'acte.

Je ne comprends plus rien... Un coup je me dis que je suis fière de moi, l'autre je me dis que 15 jours c'est rien.

Aujourd'hui je suis énervée.

Je suis depuis hier soir chez mes parents et mon frère (qui fume des joints) a eu un excès de colère. J'ai revu ce regard noir et monstrueux que j'avais quand j'étais plus jeune. Il s'est levé de son canapé et a essayé de me frapper, ma mère a son grand malheur s'est retrouvé par terre en essayant de le bloquer. Moi je n'ai pas réagi, il ne vaut mieux pas que je sois violente en ce moment...
Ce matin j'ai essayé de parler de l'acte de mon frère avec mes parents. Ils l'ont pris à la légère, s'était limite si ma mère me disait que s'était ma faute!

A cause de toute cette histoire ma boule au ventre est revenue. Et ça fait mal!!!!

Je n'ai pas eu le temps et le courage de m'occuper de ce dont on avait parlé, j'en suis désolée, je fais ça lundi.

Un point positif: tu dis que c'est revenu, donc c'est que c'était parti? Essaie de ressentir ce qu'ils se passe dans ton corps quand ce n'est plus là, et de reproduire cette sensation quand la douleur revient. Ça peut aider...

Quant à ton frère, tu as réagi comme il le fallait. Rappelle toi simplement que tu ne peux pas sauver les gens contre leur gré, quand bien même ce sont tes parents. Tu leur as montré que tu es là, la suite c'est de continuer à avancer de ton côté, jusqu'à ce qu'ils t'appellent.

Ne t'inquiète pas pour ce que tu dois faire, prends ton temps :-)

Non ce n'étais pas parti je me suis mal exprimée, la boule c'était fortement apaisé mais elle était toujours là. Là elle a augmenté...

Je sais que je ne peux pas forcé les autres mais j'ai ce besoin d'aider, surtout ma famille, tu comprends?

Je sais et je comprends, ça a été très dur pour moi aussi au début. C'est la dépendance qui veut ça, il faut que tu arrives à te dire que ce n'est pas comme ça que ça doit marcher, qu'en faisant ça tu prives tes parents de leur libre arbitre. La dépendance affective nous fait parfois jouer ce rôle de "sauveur", mais l'autre sait bien mieux que nous ce qui est bon pour lui.

En tout cas c'est bien qu'elle aie baissé un moment cette douleur. Même si elle revient, au moins tu sais que c'est possible. Bon courage !

Oui je comprends.... Mais je suis tellement concentrée sur la culpabilité que j'ai peur qu'en ne réagissant pas, je culpabilise si il lui arrive quelque chose. Mes parents sont beaucoup trop absent psychologiquement parlant, et je n'ai pas envie qu'il subisse ce que j'ai subit.