Dépendance sexuelle

Version complète : J'ai des doutes
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Pour revenir aux donzelles anorexiques et sexy à en palir.. S'ils vivaient avec.. ils continueraient à compulser..!! Même la femme parfaite "toujoursprêtatout".. idem..[img=../../../uploads/smil3dbd4d75edb5e.gif" border="0]" width="15" height="15[/img]C'est difficile à comprendre et à accepter.. mais vous n'êtes pas du tout la raison, l'origine, le motif etc etc.. du problème.. pour être franche dans ce problème, vous n'existez pas !!Vous n'avez rien à voir avec tout ça.. vous subissez.. et c'est déjà beaucoup.. mais ce n'est pas une réaction envers vous, un manque de sexe ou de féminité.. un besoin d'autres sexualité... non !Ce que je veux dire.. c'est que c'est vraiment LUI et la dépendance.. LUI et son problème..= LUI et un moyen de se sortir de ses angoisses ! Vous n'existez pas, pas par méchanceté mais seulement, parce que quand ils compulsent.. vous n'êtes pas là dans son esprit.. en comparaison avec les autres filles ou autres.. ! Ils sont dans leur monde.. et le pire, c'est que cela ne les empêchent pas de vous aimer sincèrement !Alors OUI, ils vous font du mal (et c'est inaccpetable !!) mais ce n'est pas du tout dans ce but là.. c'est encore eux et leur problème..Mon mari me disait que surtout surtout il ne pensait pas à moi.. parce que cela l'aurait rendu malheureux et coupable.. et c'était parfois insoutenable..C'est marrant.. (ou pas..) mais des fois.. quand on regarde les photos de notre vie en couple tout au début.. dans la 1ère année.. ou on vivait en fait à trois : nous deux & la compulsion.. Il regarde les photos de moi avec beaucoup de tristesse parce qu'il prend un peu en pleine gueule ce qu'il a gaché et le mal qu'il m'a fait.. Alors que pendant ces années là, j'ai vraiment l'impression que tête dans le guidon, il ne le voyait pas .. ou plutot il ne voulait surtout pas voir.. trop douloureux :Mais je demande qui je suis moi, pour me sentir autorisée à vouloir lui en faire prendre conscience.Tu es celle qui partage sa vie.. celle qui souffre de tout celà.. et tu es carrèment en droit d'exiger que cela change.. VRAIMENT !! Tu n'as pas à accepter de vivre ça.. Après a lui de voir si il veut ou non changer.. et alors, tu décideras, si tu veux ou non rester !!! On a tous le choix !! Lui de changer.. toi de partir !!Le moment où il se rendra compte que celà ne rend pas heureux (1ère étape..)voire malheureux.. n'est pas encore arrivé.. mais, avec l'aide d'un psy, il se rend vite compte que cela n'est pas un fonctionnement normal et que c'est surtout un signe d'une grande angoisse !Toutes encore, je crois.. on a les yeux sur la montre quand on sort.. On se demande ce qu'il fait .. avec qui.. sur quels sites..Les sorties sont des petites tortures et le retour, du stress à gogo.. la recherche d'indice ou de messages ! Co-dép c'est un role épuisant.. toujours en alerte.. toujours à craindre la rechute.. la compulsion.. en hypervigilance constante et ca bouffe tout !Depuis peu, je sors zen.. tranquille.. et je sais qu'il ne compulse pas.. mais pas depuis longtemps.. et cela ne m'emp^che pas d'avoir un oeil bien ouvert au cas où..On en parle aussi.. toujours.. de temps en temps.. pour remettre les pendules à l'heure.. sans aucune agressivité ou autre.. Juste pour que lui des fois, me dise combien c'est dur.. ou parfois qu'il est fier parce qu'il n'y a pas pensé !!
Oui Lia, nous n'existons pas dans ces moments-là, c'est exactement ça! C'est peut-être justement ça qui fait mal aussi... réaliser qu'ils peuvent nous zapper comme ça juste le temps d'une branlette ou juste pour pouvoir aller mater d'autres femmes, l'esprit tranquille, sans culpabilité puisque nous, nous n'y sommes plus... Et pendant ce temps, pour nous, ils existent tellement trop, de façon pathos puisque nous sommes incapables de nous libérer l'esprit de ce qu'ils font... Je crois que vraiment dans ces moments, ils sont déconnectés de tout, la preuve, même le temps, ils ne le sentent plus passer! c'est en cela que je parlais de clivage. Le cerveau, le cérébral, celui qui réfléchit, s'éteind et le cerveau reptilien prend le dessus. même la passerelle entre les deux n'existe plus. Un peu comme si pour une image vue, une réaction du corps, une sensation, sans passer par la case pensée, comme si elle était court-circuitée. C'est dans ce sens que dans un autre poste, je parlais "d'outil". Je perçois ces vidéos comme des outils permettant au corps d'accéder à une sensation recherchée et agréable. Un peu comme la seringue sert au junkie pour s'injecter sa merde. Sans elle, pas de trip car pas de connection possible entre drogue et corps. Donc ces vidéos ont un peu ce rôle-là, je crois. Vu comme ça, l'addiction n'a plus grand chose de sexuel et les poufs n'ont pas grande importance pour ce qu'elles sont. Se libérer de ce besoin de déconnecter totalement, peut-être est-ce là, la clé de la thérapie. Ne plus avoir besoin de ça parceque plus besoin de fuir complètement la réalité, pouvoir vivre "avec" sans en avoir peur et pouvoir être bien dedans, tout simplement bien..."Tu es celle qui partage sa vie.. celle qui souffre de tout celà.. et tu es carrèment en droit d'exiger que cela change.. VRAIMENT !! Tu n'as pas à accepter de vivre ça.. Après a lui de voir si il veut ou non changer.. et alors, tu décideras, si tu veux ou non rester !!! On a tous le choix !! Lui de changer.. toi de partir !!"Pour te répondre à ça, Lia, je dirais que oui j'ai le choix justement et toutes les questions que je me pose vont en ce sens. Il choisi, lui, quelquepart de vivre avec ça et de ne pas s'en passer. Il aime ça et ça n'est pas négociable selon ses dires... dont acte! Que puis-je faire d'autre? Donc là, en ce moment, moi, je choisi de vivre et de continuer avec lui parceque je l'aime et parcequ'il n'est pas "que" ça. Il est aussi un mec super et bien en phase avec moi. Si je fais ce choix, je le fais AVEC le porno puisque ça fait partie de ce qu'il est aujourd'hui et qu'il a choisi d'être, comme j'accepte de le prendre. mais oui, ça me fait mal et j'ai du mal à faire avec. C'est dans la balance. Aujourd'hui, elle penche du coté "lui+porno", demain elle basculera peut-être du coté "sans porno donc sans lui". Je ne sais pas mais si c'est le cas alors je stopperai tout. j'ai failli le faire il y a 2 semaines et je le lui ai dit. Il sait que ça peut arriver. Mais il continue de choisir le porno et moi je continue de pas aimer donc le risque est là. En revanche, l'option "lui sans porno" n'existe pas et n'existera probablement jamais. Et ça, JE N'Y PEUX RIEN, parceque ça n'est pas mon problème et que ça ne m'appartient pas. Mon fils est autiste, je préfèrerais qu'il ne le soit pas et pourtant, c'est fou comme je l'aime ce môme avec son autisme et le caractère qui va avec. C'est lui, voilà tout. Il n'est pas comme je l'aurais imaginé, parfois il souffre, moi aussi mais nous sommes heureux quand même et je l'aime comme il est. je connais des parents qui n'ont jamais accepté alors dépression et souffrance sont au rv chaque jour, ça n'est pas tenable. On n'a pas le choix "avec ou sans", c'est "avec" point barre alors on s'adapte ou on crève mais on n'y changera rien. ma position est donc là et ma liberté à moi, c'est ce choix de partir le jour où je n'en pourrai plus. Je n'ai pas d'autre option!A+ Nina
Peut-etre faut iI aussi se demander comment ceIa se passait-iI avec eux avant que nous sachions?Et pourquoi nous avons su, puisqu'iIs n'en n'ont pas parIé, Si nous nous en sommes aperçues, c'est franchement qu'iI y a un probIème qui touche Ie coupIe!Ia vie "à coté" ne veut pas dire qu'on aquiesce, ni qu'on a digéré, ni oubIié, on peut pardonner certainement comme se positionne Nina en ce moment, c'est je pense aussi une question de "survie" pas faciIe de se dire que non seuIement Iui est tombé, mais que nous aussi, autrement,Un truc qui me vient , iI m'a dit y a pas Iongtemps, en fait, avant que tu ne m'expIiques(sur pIusieurs années ,  çà fait Iong) çà ne me genait pas(Ie truc habitueI) je pensais qu'eIIes étaient Ià pour çà(Ies fiIies d'internet , cIichés etc) depuis, quand je Me retiens, je pense à toi, pensant que çà te fait maI, donc j'arrive à gérerMoi, je Iui dis, tu dois Ie faire pour toi, ce que j'ai appris concernant toutes Ies dépendances, c'est pour soi d'abord, Iui ne comprend pas, car iI  n'en n'a jamais souffert(evidemment) de ceIie-ci de dépendance,AIors bon, effectivement, çà tourne pas rond entre sa façon de voir Ies choses et Ia mienne,Je ne sais pas comment je ressens tout çà, mais, des fois aussi j'ai pensé comme Nina, je restais pour que çà ne se passe pas, mais comme Iui ne se genait pas par ma présence, iI a bien  faIIut que je me rende à I'évidence, je n'y pouvais rien, et si je vouIais revivre, iI faIiait que je sorte, commencer par Ià,Et iI n'y a que Iorsque quand je n'en n'avait pas envie(et Deu sait que çà m'a pris parceque j'en avais marre!) et que j'ai arreté de dire ok, quand iI vouIait Iui, et que je me suis aperçue que çà ne I'empechait en rien du tout de faire ses MB à tout va!(on pense faux, on se dit, iI ira moins, ou pas aujourd'hui au moins!)iI Ie fit moins, comme quoi, car oui, je décortique(est ce une manie des codep çà?) depuis queIques semaines Ia dépendance affective et oui iI est pIus que çà!(merci Mondom, pour Iui, d'avoir ecIairé mes Ianternes)Si je sors, pourtant j'évite un maximum,mais pour mes fiIIes, ex, j'ai eu un diner bouIot, pas partie Iongtemps, je sais que ce n'est pas de Ia "JaIousie" qu'iI ressent, iI m'envoie jusque 5 sms, sans compter ses appeIs, iI m'attend devant Ie portaiI, iI m'envahit totaIement, si bien que tension, et si bien que Ia prochainne fois Je couperai ce portabIeEt iI me dit, tu vois avant, avec ce stress de ton absence(en tout 4 heures) j'aurais été me MB,et de Ie voir ainsi, je me suis dit, **bah t'aurais mieux fait"iI m'arrive  bien évidemment de ne pIus penser correctement, car comme je Ie dis souvent si j'en suis sortie de cette codep je garde toujours en tete que çà reste temporaire surement et Je ne veux pas y repIonger,Et ce coté Iui iI aime pas vraiment, à croire que Ia surveiIIance, ma codep aIIait de mise avec sa dépendance, comme si ces deux pièces de puzzIe se cIippaient,c'est peut-etre aussi comme un dépendant qui se soigne, I'après, iI se rend compte que Mme ne comptait pas tant pour Iui, qu'iI a envie d'autres horizons après,Je suis compIiquée aussi, mais je I'assume car des années de tout çà, faut bien s'en sortir sans en payer autant d'années,à part égaIe,J'ai I'impression aussi que j'essaye juste de Iui montrer ce que I'acte sexueI, n'est pas ceIui dont iI en avait I'image, mais est-ce à moi de faire remonter ses émotions?Après avoit tout essayé(Iui) chantage au sexe aussi, si tu gnagna et j'en passe, ma désinvoIture I'a bouscuIé dans ce qu'iI appeIIe ses habitudes, et çà je n'avais pas prévu, comme quoi, quand on commence à ne pIus essayer de controIer(activité principaIe de Ia codep) çà rouIe droIement pIus faciIe, c'est juste du controIe sans préméditation,Je rajoute que oui, Lia, entièrement raison, va bientot y avoir affIuence, car Ies arrivées se font nombreuses, est-ce aussi Ie fait, que Ies coupIes se posent peut etre enfin Ies bonnes questions?A +++++++++++++++ bises à vous
Coucou !C'est exactement cela.. le clivage.. deux êtres en un ! Nina tout a tout compris.. Je crois aussi qu'on est pas là dans leur "trip" pour éviter la culpabilité.. Donc là, en ce moment, moi, je choisi de vivre et de continuer avec lui parceque je l'aime et parcequ'il n'est pas "que" ça. Il est aussi un mec super et bien en phase avec moi. Si je fais ce choix, je le fais AVEC le porno puisque ça fait partie de ce qu'il est aujourd'hui et qu'il a choisi d'être, comme j'accepte de le prendre. mais oui, ça me fait mal et j'ai du mal à faire avec. Je suis exactement dans la même position que toi.. dans le sens ou j'ai aussi le choix.. et j'ai fait le choix de rester avec lui.. Il ne va plus sur internet.. plus de tel rose.. ca va mieux ! mais j'ai toujours un peu dans la tête le "jusqu'à quand ?".. Ce n'est pas invivable.. loin de là.. contre toute attente, je suis heureuse avec lui.. Et moi aussi, Mon homme ne se résume pas qu'à ça.. Il m'a souvent dit.. quand il commençait à prendre conscience.. "pourquoi tu reste ? tu seras plus heureuse avec un autre ? je serais parti depuis longtemps à ta place.." Cela il n'en sait rien.. mais je lui ai répondu.. "un jour, peut-être cela s'imposera à moi.. et je partirais.."Voilà, morale de l'histoire.. il faut quand même se protéger et penser à soi.. ce que cela veut dire, c'est que cette putain de dépendance ne bouffe pas la vie qui et réelle à coté.. nos enfants, nous, se prendre du temps, profiter des moments à soi.. que va t-il faire de plus ou moins..?!! On n'a pas de prisedessus alors.. ne pas s'enfermer nous aussi..Et puis, quand même.. essayez de les faire réagir.. car quoiqu'il en soit, au plus haut de la dépendance, on est malheureux.. eux et nous.. !
Je ne sais pas si c'est qu'on se pose les bonnes questions, ou si pour ma part je m'en pose un peu trop !!Voilà plusieurs jours qu'il n'avait pas récidivé (il me semble..), et puis aujourd'hui ça a recommencé... je pense juste avant de recommencer sa semaine de boulot (on ne travaille pas le lundi)... je suppose que ça le stresse, car il m'a confié qu'en ce moment il en avait marre de son travail, et il pense sûrement que son angoisse s'apaise ainsi.On n'a encore jamais discuté du pourquoi à ce moment-T, il ressentait l'envie (ou le besoin) de se "soulager". Je sais qu'il faudrait creuser un peu tout ça, mais vue sa manière de voir ses habitudes (c'est à dire de manière plutôt positive), j'ai bien peur de parler dans le vide. Le fait qu'il le fasse "peu" est pour lui un argument de taille, alors que comme disait Mondom, il ne s'agit pas de quantité, mais plus de l'intensité du besoin qui se présente à ces moment-là.Ca m'attriste, et je me sens réellement impuissante. J'ai bien lu vos témoignages, et je comprends qu'il faille accepter TOUT en lui, et je le fais (sans me rendre coupable), mais comme on (les codéps) n'arrête pas de le répéter sur ce forum : CA FAIT MAL !!! Mais que c'est bon de pouvoir le dire, et de se défouler ici. Allez, ça ira mieux demain...Deapici
c'est très bizarre ce 6 ème sens que I'on a, comment arrive t on à savoir sans rechercher?C'est pareiI pour moi, à juste sa façon d'etre je sens, je sais,Au début çà m'attristait, maintenant je ne dis pas que çà ne me fait rien, mais, je I'intègre , je ne Iui en parIe pas de suite, j'attends Ie moment opportun, mais sans guetter, je dis ou pas ceIa dépendra si j'en fais un fixe ou pas,Si fixe iI y a , oui, j'en parIe, car sinon, c'est Ia repIonge pour moi, donc, comme j'essaye toujours de ne pas retomber avec cette "ancienne"moi, qui ne pIaisait pas, j'avance tranquiIIou comme çà, et décortiquer Ie pourquoi iI a refait, on Ie sent aussi, stress comme tu dis, ou contrariété, ou autre, çà je ne cherche pIus à comprendre,Car iI a Ia facheuse manie de me baIancer sa cuIpabiIité, en étant ainsi, iI se Ia garde pour Iui tout seuI,Ne prends surtout pas son maI etre sur toi, sois au dessus, ce truc est comme un fantome rodant dans notre maison, dans notre vie, iI ne faut surtout pas Ie Iaisser tout envahir, Iimiter ses errances bien à toi et bon courage
Non Deapici, tu ne "dois pas" accepter tout. Tu ne dois accepter que ce que toi, tu décides d'accepter. Le pourquoi à l'instant T, vous n'en avez pas parlé? Moi non plus, je ne peux pas en parler avec lui car il estime qu'il n'y a pas de "pourquoi". Admettre qu'il y en a un supposerait qu'ils admettent que c'est un besoin et non un simple plaisir anodin comme ils veulent se (et nous) faire croire.Le mien aussi voit ça comme quelque chose de ludique, de léger, de pas grave, c'est rien du tout selon lui!!! Mais pu... Un "rien du tout" qui fait drôlement mal quand même!!! Il s'en fou, il ne veut pas l'entendre parceque probablement, ça l'arrange. Moi aussi, je me sens impuissante, tu sais et parfois, je suis au bord de pêter les plombs et de le foutre dehors. En ce moment, je ne supporte plus qu'il m'approche, j'essaye de pas lui montrer mais il le sent. Je n'y peux rien, je ne supporte plus en ce moment, de vivre avec un mec qui passe son temps libre à mater des "gonzesses à poil"! Alors je suis fuyante, hyper fuyante et je me recroqueville en moi, je sais pas trop comment expliquer.Comme le tien, quand semaine de boulot stressante, hop, une branlette... Si sport intense en journée et que je suis absente quand il rentre... hop branlette.... Puis après quand j'arrive, il se justifie sur ce qu'il a fait en m'attendant (j'ai gravé des cd et gna gna gna...) et il me ment juste un peu sur l'heure de son retour histoire de ne pas avoir à justifier la petite heure passée à baver devant ses vénus de 20 ans! Puis le soir, quand il m'approche, je me demande à quoi il pense... (sûrement pas à moi, c'est clair...). Je deviens alors la marionnette réelle qui lui permet d'appliquer à la lettre les leçons enseignées par ses vidéos et à vivre en direct, les stimulis provoqués par des minettes à la plastique parfaite. Ca me dégoute!Oui, ils brandissent leur "j'y vais pas souvent" pour justifier le fait qu'ils ne sont pas dépendants. Ils oublient juste, ou ne savent pas, que plein d'hommes n'y vont pas du tout, n'y pensent pas du tout et ont un désir sexuel émoustillé par le désir de leur compagne car ils y associent tout naturellement les sentiments qu'ils ont pour elle. D'autres y vont parfois, comme ça mais sans régularité et sans besoin de mentir ou de se cacher...Bon, je dois arrêter là, j'ai un peu la haine aujourd'hui, c'est un jour "sans", c'est comme ça. Comme tu dis, ça ira mieux demain...Bon courage à toi...A+ Nina
Je me suis mal exprimée Nina, je n'accepte pas Tout, puisque je lui fais part de ma souffrance, et que je lui dis ma difficulté à passer outre... mais je pense que si je reste avec lui, je dois l'accepter de manière ENTIERE, c'est à dire avec son lot de qualités, et de défauts ! Le hic, c'est qu'il ne comprend pas que ce défaut-là (je devrais dire "son problème", mais comme lui ne considère pas que c'en est un...) me touche aussi et me fait mal. Bref, je ressens beaucoup de souffrance chez toi de ce fait justement qu'il ne veut pas entendre comme tu as mal de tout ça. Il n'y a plus qu'à espérer qu'il fasse un pas vers toi, car je ne pense pas que tu vas tenir longtemps avec un tel poids à porter toute seule !! Je te souhaite vraiment qu'il ouvre un peu plus les yeux, et prenne un peu plus en considération ta personne. Ca me bouleverse quand tu dis que vous n'avez pratiquement pas de rapports, alors qu'il s'adonne à la MB sans complexe ! De mon côté, les rapports restent réguliers et encore plein de tendresse.Merci Free pour tes encouragements, moi aussi je préfère attendre le bon moment pour déballer ce que j'ai sur le coeur ! Surtout que je le sens parfois en demande d'avoir des conversations "profondes" où on aborde les sujets sensibles. J'ai fait le choix de me mettre un peu en retrait cette semaine (éviter la mauvaise humeur après avoir fait mes satanées découvertes), pour voir ce que ça donne ! Je fais un essai pour voir. Cela ne veut pas dire que je veux fermer les yeux, non ils restent bel et bien ouverts...A bientôt,Bien à vous,Deapici
"Bref, je ressens beaucoup de souffrance chez toi de ce fait justement qu'il ne veut pas entendre comme tu as mal de tout ça. Il n'y a plus qu'à espérer qu'il fasse un pas vers toi, car je ne pense pas que tu vas tenir longtemps avec un tel poids à porter toute seule !! Je te souhaite vraiment qu'il ouvre un peu plus les yeux, et prenne un peu plus en considération ta personne. Ca me bouleverse quand tu dis que vous n'avez pratiquement pas de rapports, alors qu'il s'adonne à la MB sans complexe ! De mon côté, les rapports restent réguliers et encore plein de tendresse."Ca n'est pas qu'il ne veut pas l'entendre, il le sait très bien mais comme pour lui, c'est anodin et qu'il n'a pas de problème (ce qui est peut-être vrai finalement si lui ne le vit pas comme ça, c'est que ça n'en est pas un!), ma souffrance m'appartient selon lui et il n'y peut rien... A moi de me débrouiller avec. Donc selon lui, cela devient MON problème, tu vois? a travailler donc, ce que je fais chez ma psy depuis longtemps mais j'ai du mal car j'estime peut-être cela injuste de devoir travailler ça toute seule...Que je ne tienne pas longtemps, ça je ne sais pas mais cela fait deux ans que ça dure et je suis toujours là. Non, il n'ouvrira jamais les yeux, ça je l'ai intégré depuis longtemps.Nous avons des rapports, si si, biensûr que nous en avons mais selon moi, ils ne sont pas satisfaisants car son approche porno de la sexualité, même si il y a de la tendresse aussi, me rappelle sans cesse que, probablement, il rejoue avec moi ce qu'il voit dans ses vidéos. Donc j'ai le sentiment qu'il ne fait pas l'amour avec moi mais qu'il se sert de moi pour vivre ses fantasmes créés par ses vidéos et par les corps d'autres femmes. je ne suis pas certaine qu'il sache ou qu'il puisse faire autrement car il ne connait et n'aime que ça. Quand je dis que je m'éloigne, ce n'est pas tant de ce point de vue que d'un point de vue plus général. En fait, ses agissements ont brisé beaucoup de choses et en ont empêché d'autres de se construire en matière de complicité et d'intimité. Je me sens "frustrée" de tout ça mais je m'y suis résignée depuis longtemps aussi puisque pour lui, tout va bien de ce coté-là et il ne voit pas en quoi, il faudrait y changer quoique ce soit. Il fait partie de ces hommes qui dissocient sexualité et sentiments et ne veut pas faire autrement. Il le revendique haut et fort. Je ne peux pas le forcer à faire autrement puisqu'il ne le veut pas et que ces affaires-là, c'est bien à deux que ça se joue. Il s'adonne à la MB sans complexe puisque pour lui, ça ne m'enlève rien et qu'il dispose de son corps comme il l'entend.Bref, j'ai du faire et je fais encore certains deuils, je me replie beaucoup sur moi. En ce sens, je le tiens à distance et je ressens de moins en moins le besoin de partager des moments intimes avec lui. Il ne me laisse pas le choix. Mais heureusement, j'ai d'autres satisfactions dans ma vie et je m'évertue chaque jour à les prendre de plus en plus en considération pour ne plus ressentir de manque concernant notre relation "amputée" de cette complicité et de la notion de transparence puisqu'il me ment, même si c'est par omission, en se cachant de moi sans cesse et en me manipulant pour pouvoir compulser en paix. Je refuse catégoriquement l'idée que mon bonheur puisse dépendre de lui ou de quiconque. Travail pas simple mais très gratifiant quand on y arrive. Je veux juste réussir à me débarasser de l'amertume que je ressens encore trop souvent à son égard en raison de ses comportements boulimiques "de gros seins" et autres atouts féminins que je n'ai pas...Voilà Déapici, je te souhaite de ton coté, d'arriver à avancer et de réussir à te libérer de ta douleur.Je suis de tout coeur avec toi car je sais combien cela peut être dur parfois.Biz Nina
Je pense que Iorsque Ie dépendant ne prend pas conscience que c'est un probIème, quand iI peut répondre, çà ne t'enIève rien à toi, puisqu'on a des rapports(j'ai aussi eu ce genre de réponses)nous commençons effectivement à ressentir comme des pannes, une sorte de refus de cette sexuaIité à IaqueIIe on s'adonne contre notre espérance d'en avoir une meiIieure,Ies périodes ou on se sent mieux(pour moi) sont ceIIes ou on a senti des changements si petits soient iIs, mais dès que I'on ressent à nouveau cette chute, cette continuité dans Ies MB, on est moins accessibIes pour Iui, je me heurte assez souvent au fait ou pour Iui iI a engagé une forme de contrat, mais Iui I'a un peu mis à sa sauce, styIe, je cIaque des doigts, et je dois me rendre disponibIe pour Iui, pour sa sexuaIité , avec moi, mais pour Iui, sans moi, iI ne comprend pas que je puisse dorénavant refuser, çà fait d'aiIIeurs pIusieurs mois que je fonctionne ainsi, je ne peux pas faire autrement non pIus si je veux rester EN DEHORS de SON probIème, iI a franchement du maI à comprendre, enfin d'accepter ce qui ne I'arrange pas IuiQuand çà se passe ainsi, c'est aussi que j'ai perçu des chutes, et qu'au Iieu de venir m'en parIer, iI pense que je dois etre une huitre, imperméabIe, qui ne comprend pas peut-etre?çà me protège de vouIoir ou non, çà m'a fait reprendre ma vie, en commençant par me respecter moi-meme, peut-etre que Iui comprendra aussi un jour qu'un coupIe n'est pas Iié forcément qu'à des rapports dictés par une dépendance, Ies hauts et Ies bas font partie de ces coupIes, j'ose dire tout de meme cahotiques, beaucoup de tension, de pression, mais çà ne doit pas déboucher sur un bras de fer, Ia communication doit etre présente, mais souvent ce n'est pas possibIe, car à force on a I'impression de pédaIer dans Ie vide!A + et bonne soirée
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