Dépendance sexuelle

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Espoir, oui.
Parcequ'une femme qui s'assume tient à sa vie.parceque passées les marées, elle se doit d'être mère, si elle a la chance d'en être une.....Mis à part quelques cas, nous sommes presque toutes des mamans.
Et si l'homme s'occupait un peu plus, en règle générale, il aurait moins le temps de batiffoler..à ses pensées de sexe.
Mais il y a un mais.
Depuis la nuit des temps, ls sont là, formés par peut être papa, à penser que les filles, çà doit se cumuler.Que les blagues, on les connait, c'est, et çà revient toujours sur des histoires de Q..............
Plus ils ont de conquêtes, et plus ils ont le respect.µSi c'est une femme, quel irrespect!
c'est une trainée.........
Et encore.
Un père il y en encore que très peu de temps, était "fier"d'emmener son fils devenir homme, comme ils disent.
une fille on la préserve, instinctivement , parait il pour la sauvegarde de l"espèce.c'est lugubre tout çà, mais tellement vrai.
On est encore à l'époque ou certaines ont compris, à leur subconsicent, qu'elles pouvaient vivre de leurs charmes.Sachant l'homme chasseur(dans le besoin plutôt) fier de raconter "ses conquêtes"
plus il en a , plus il est homme.
Mais attention, plus elle voudrait faire pareil, et moins çà passe.
Comment font ils pour tenir leurs stats?
Parait il que les filles font çà avant"de quelques mois" par rapport aux garçons.BOn ok.ou sont les vrais compteurs.....
Et que par contre, les conquêtes sont moins nombreuses chez les filles que chez eux?Bon encore...........
Mais , qui couche avec qui?j'avoue que je ne comprends pas tout.
A moins qu'il y ait plus de professionnelles que je ne pensais.
çà tombe pas rond.
Je n'aime pas ce que je suis devenue à ce jour.Je suis comme Rose, je me cherche, car je veux me retrouver.J'ai trop donné, trop souffert, attention, je ne veux pas qu'on pense que je ne suis qu'une pov femme qui s'est appitoyée sur le sort de son dépendant.et en tant que codépendante.Le temps de comprendre on est déjà au fond.
Mais elle a raison.
Purée çà bouffe toute l'énergie qu'on pourrait avoir et garder pour faire la guerre...pour sauvegarder son pays, ses biens.
Comment partager?avec d'autres...........Comment accepter que son homme, puisse passer tout ce temps à ne Penser qu'à lui.quand je lui ai dit:
de toute façons, ne dit pas que tu ne penses pas qu'à la fille que tu regardes lorsque tu fais çà tranquille,(des photos) elle n'a pas donné son accord.C'est du viol intellectuel.Bah oui, il vole la photo, pour se"masturber" sur elle, alors qu'elle n'est pas au courant.Alors çà peut passer d'une actrice qu'il a vue dans un film, 15 mnts avant, à ce qu'il recherche autrement..Jamais je ne penserais à me"masturber" devant un acteur connu qui me plait bien, jamais, jamais, jamais.
C'est impensable.
j'avoue que depuis que j'ai lu Rachoune, je suis mitigée.
Je ne sais plus si on se pisse sur les pompes, à espérer, et ce pour rien.
être dépendant sexuel, c'est à vie, comme l'alcoolisme, et çà fait peur , pour nous, car plusieurs années se sont des fois passées avant que l'on en parle, et là, quand on comprend, c'est pour la vie.Et la vraie vie, c'est comme le dit le mien :
tu ne peux rien y faire :
y a des pubs partout, des slips, des tenues, des nanas, de plus en plus jeunes, et c'est comme çà la vie.........
Ouais, mais , je pense qu'on ne pense pas comme çà, quand on n'est pas dépendant sexuel.Je ne regarde pas les "pov quelques pubs" existant sur les hommes en slip...........comme lui.
Je ne m'imaginne pas aller vite me satifaire sur un des ces clichés.çà me passe devant les yeux comme un chiché sur un paysage............
Je crois toujours à l'amour, spécialement pour Rachoune..................................
je pense que je vais abdiquer.
Quelques jours déjà que je n'ai pas posté. Je sentais le besoin de prendre un certain recul. Sûr que je venais vous lire tous (co-dépendantes et dépendants). Je me sens mieux...pas de crises ces derniers jours et du temps pour vivre, faire ces petites choses qu'on n'avait plus le temps de faire, parce qu'on se battait tout le temps.

Je dirais recul mais aussi...«petites» victoires, du genre que seule moi (et vous toutes co-dep) peuvent savourer. Je dirais, sans vouloir entrer dans les détails, petites situations de vie où je me suis choisie, parce que je sais que si je vire à droite (embarque dans le jeu, accepte la chicane) je vais souffrir, et que si je vire à gauche, je vais me protéger. Mais il peut être tentant de virer à droite des fois...parce que c'est ça que je connais, parce que c'est ma façon spontanée de réagir et qu'après...ça devient MOI le problème, parce que je réagis mal ou de façon excessive et que ça le valide dans ses choix: «À quoi bon? elle est pas parlable»...ou...pas assez affectueuse (vraiment j'en ai soupé de celle-là!)

Secondo, il est venu lire sur le site et m'en a parlé de lui-même. Les premières fois qu'il venait lire c'était pour me reprendre et même me critiquer par rapport à ce que j'avais écrit (parce que lui n'a toujours pas écrit)...

Voilà...je me sens bien (aujourd'hui) parce que moins centrée sur mon problème pis du coup, me sens compétente dans mon travail, me redonne de la valeur...

Mais, chères co-dep, je constate que c'est un combat de tous les instants (j'imagine que c'est davantage comme ça au début)...

Autre chose, on va aller (ou plutôt retourner) en thérapie (parce que la première fois, on parlait pas de la bonne affaire...me sentais de plus en plus mal...y ai mis fin).

Comment aborder LE SUJET avec le psy sans que monsieur se sauve ou passer pour l'hystérique (je sais, tous les psys ne sont pas sensibles à ça)...Mon défi, trouver les bons mots pour bien exprimer ma pensée et ne pas prendre toute la responsabilité sur mes épaules et comme l'une d'entre vous l'a dit: «C'est sa CHOSE, et lui laisse sa CHOSE.»

Mais, la sexualité, l'intimité, comment on retrouve? comment on fait comme avant?

Rose
Ce qui a été est fini. On n’oublie rien, de rien comme disait Brel. Ce n’est pas une raison pour que mon passé détraque toute la suite de ma vie.
Ce qui sera… aucune idée, aujourd’hui est peut-être mon dernier jour.

La sexualité, le désir, s’abandonner et donner. Si je ne me suis jamais masturbée en pensant à Brad Pitt, à Sean Connery ou à Georges Clooney, difficile d’oublier qu’il peut faire l’amour à une autre, fantasmée, quand il m’étreint. Seule solution : restée collée au présent, à ce qui éveille mes sens. S’il paraît être à ce que nous faisons, vraiment là, je lui laisse le bénéfice du doute. Sinon, Bye !

L’intimité, c’est au présent. C’est être totalement présent, au présent. C’est être tout à ce qu’on ressent maintenant, à ce qu’on éprouve.
Pour ça, il faut aussi s’y soustraire, à l’intimité, quand pour une raison ou pour une autre on n’est pas totalement dispos.

Faire comme avant… On est autre, on ne fera plus jamais rien comme avant. Ce ne sera peut-être pas plus mal.
Tous les psys ne sont pas à même d'être spécialisés concernant cette dépendance.Faudrait peut être te renseigner avant, car çà peut être "dépitant" que de déballer son histoire, et ne pas avoir en retour l'aide que l'on attendait.
çà me rappelle mes rendez vous avec un psy, qui m'a regardé avec des soucoupes : madame, la codépendance, çà n'existe pas!
boum, pas bien pour moi.Je l'ai vu trois fois, parceque j'ai insisté, une aurait suffit.
Rebonjour toutes et tous,

J'ai assisté hier, avec mon conjoint, à notre première rencontre avec un psy. Nous en étions à notre deuxième «thérapie» ou «tentative de» parce que bien qu'on y soit allés l'an dernier et bien qu'aussi à ce moment-là j'avais découvert ses fréquentations multi-quotidiennes de sites porno, on n'avait pas parlé de ça! Bien sûr que ça avait été mentionné mais la thérapeute m'avait dit à ce moment-là que je ne pouvais être la «seule» à exciter mon mari...que c'était normal et tout le tralala. Et moi, j'étais la coupable...coupable de n'être pas assez ouverte, d'être contrôlante, de vouloir gérer sa vie, il me disait à ce moment-là que certes il appréciait sa sexualité avec moi mais qu'elle avait aussi sa sexualité: «Moi avec moi!»...(mots rapportés)...tout ça pour dire...environ 10 séances avec la psy d'où j'en ressortais le plus souvent en pleurant (lire en rageant!)

Mais hier on l'a abordé...c'est à dire qu'il l'a abordé avant moi, me laissant le soin de nommer LA chose. là j'avoue que j'ai eu peur...sûrement de ne pas être comprise ou prise au sérieux...lui ai demandé s'il avait quelques notions sur la dépendance...m'a dit que oui (je marchais sur des oeufs) mais, est-ce nécessaire d'avoir un thérapeute bien au fait de ce problème? Est-ce que je risque de retourner dans l'état dans lequel je me trouvais l'an dernier? (puisque une année s'est passée entre le moment de ma «découverte» et celui de mon ultimatum: «C'est ÇA ou c'est moi!»

Au fond, pour tout ça je verrai...je me fais davantage confiance...ai trouvé de l'information de façon à comprendre...d'abord sur le site d'Orroz et ensuite ici.

Autre chose, mon conjoint a mentionné hier au psy que je souhaitais qu'il participe à une tharapie en ce sens, qu'il participe à un groupe ou je ne sais quoi. J'ai été surprise. Au fond de moi je ne crois pas qu'il fréquente ces sites, mais autres choses me font peur...il a un passé où il fréquentait régulièrement les bars de danseuses, lignes rencontres, «petits services» (fellation) et service complets par des prostituées.

Je sais qu'il est inscrit à ce site...y vient des fois...ne poste pas...lit un peu...oui je sais...c'est un début...mais vendredi dernier m'a demandé: pourquoi on irait pas louer un film porno tous les deux. On le faisait ça AVANT...je n'y voyais pas de problème...mais maintenant? J'ai refusé...ai peur qu'il loue des films en mon absence... (tout plaisir, quand il n'est pas partagé, peut devenir une addiction) (lu sur le forum)...Comment on agit? Il m'a dit aussi: «Qu'est-ce que tu veux que je fasse de plus?» Je ne vais plus sur les sites!!!

Je ne veux pas lui dire quoi faire...(il pourrait me le reprocher)...me dit qu'il ne sait pas...veut louer un film...«Il est où le problème? Je veux louer avec toi et tu veux pas!!»

Je pense sincèrement qu'on est pas rendus à la même place.
hello Rose,

Il a déjà franchi un grand pas.Mais je pense que le fait de vouloir louer de suite un film en ta présence, fait qu'il n'a pas encore acqui le fait qu'il devrait abandonner tout vision de cette CHOSE.
il ne se projette pas encore dans un sevrage à part entière, je pense.
QUant à l'autre psy, qui te disait qu'il était normal etc etc...c'est çà le problème, c'est comme quand on arrive sur doctissimo pour déballer son histoire, ne connaissant pas cette chose sous le terme de "maladie" et qu'on se fait remballer, parceque l'on est soit disant coincées, pas assez bien pour monsieur etc...ce qui nous fait encore reculer de 10 cases, et qui fait qu'on perd encore du temps à lui parler.
Je ne sais pas ce que pourraient te dire les dépendants d'ici sur le fait ou il veut louer des films pour vos relations.
A t il pris l'habitude du visuel, et est ce nécessaire pour lui?je sais çà, j'y ai eu droit aussi)
j'espère qu'ils vont te donner leurs avis sur les questions que tu tu poses, légitimement.
A plus
Laure
coucou rose.
c'est vrai que c'est déja un grans pas d'aller "re" consulter un psy d'en parler.
:evil: mais en te lisant j'ai envie d'hurler qu'est ce que c'est que ces psy qui culpabilise literalement leur passient :evil: merde merde merde à tout ces cons. :evil:
oups pardon c'est quand luciole se lache.(ça fait du bien)
je te trouve très courageuse.
courage un jour à la fois princesse :Hello:
Vos paroles me font le plus grand bien! Mais je sais qu'il ne comprends pas jusqu'où j'ai pu me rendre. Il a aussi tendance à attribuer ma détresse à une première expérience du même genre avec un ancien conjoint (même addiction, médium différent, revues dans le temps). Je serais en quelque sorte «marquée» par cette expérience douloureuse qui refait surface aujourd'hui.

Je suis allée lire aujourd'hui d'anciens forums. Je m'y retrouve tellement que des fois c'est comme si c'était moi qui avais écrit. Une citation de Labardo que j'ai notée: «Ce que je vis avec lui (le difficile comme l'agréable) m'amène à me surpasser!» Mais ça sabote toute la vie et les situations impromptues et banales prennent parfois un tout autre sens...parce qu'on est marquée. Comme cette voix sur notre répondeur qui mentionnait qu'il (personne qui voulait lui parler) essaierait sur «tel» numéro de cellulaire que mon conjoint lui aurait laissé...numéro qui ne correspondait pas au sien. Du coup ça part...a-t-il un autre cellulaire pour s'adonner à son ancien dada? Toute une soirée à me tordre l'esprit...je lui dis...lui m'explique...ça se tient...mais moi???

C'est ÇA qui est gâché...cette insouciance qui n'existe plus...parce qu'on a toujours peur. Y a des morceaux qui sont brisés entre nous. Je sais, je dois acquérir cette maturité nécessaire pour passer à autre chose.

«Lui as-tu pardonné?» me demandait le psy (faisant référence à une autre situation de notre passé)...NON que j'ai dit...mais c'est calmé, je ne lui en parle plus. On pardonne?...mais faut pas oublier et demeurer vigilante. Il se sent surveillé et sans doute n'est pas bien...comme lorsqu'il compose un numéro bidon sur le téléphone suite à un appel qu'il a fait. Lui ai dit que ça me faisait de la peine...(en fait ça m'écoeure!)...encore et encore...c'est pas ce que je pense (c'est pratiquement jamais ce que je pense)...et c'est même MOI qui ai composé ce numéro et sans doute que je ne m'en souvenais pas!!!

Je vais passer au cash ce soir qu'il m'a dit tantôt (lire qu'il va me sauter dessus)...j'en veux pas...je veux qu'il m'écoute...je veux qu'il parle aussi, pas seulement me laisser deviner et si je me trompe...me dire que je le saisis mal...que je ne le comprends pas! (Tout ce que j'écris ici...je devrais lui dire en fait)...

On est un bien jeune couple pour déjà avoir tout à reconstruire. JE NE RECONSTRUIRAI PAS TOUTE SEULE!

C'est dur, mais j'avance...merci pour vos mots d'encouragement.
Il a lu mon post d'hier, en a été fâché. Il vient sur le site essentiellement pour y lire ce que j'écris. M'y revient: «Est-ce que ça va?» qu'il m'a demandé. je savais déjà qu'il faisait référence à ce que j'avais écrit. Il m'est arrivé au cours des dernières semaines de n'avoir rien écrit...parce que je réalisais que je me censurais ou que sinon, je devais rendre des comptes après (à lui).

Ce que j'écris, je le fais avec la plus grande honnêteté possible. Je sais bien qu'il est parfois question de perception: pas tout à fait ça qu'il a dit, pas comme ça que ça s'est passé etc. J'imagine que d'autres avant moi ont déjà réfléchi au fait d'avoir des accès réservés aux forums pour les dépendants ou les codépendants. Je peux penser quelques bienfaits que l'on ait accès aux deux. Mais le fait de venir lire ici ce qui a été écrit par sa conjointe, sans jamais avoir écrit lui-même n'est-il pas un peu pervers? Répondez-moi chères codep...mais au fond, ce que je peux dire c'est que ça PROVOQUE des choses...parce qu'on a parlé hier. Il me dit que dans la dépendance, il existe des degrés...de A à Z...et que lui se situerait quelque part entre les deux. (Ne m'a pas dit à quelle lettre). M'a dit aussi qu'il n'avait pas vraiment envie que l'on se loue un film 3x vendredi dernier...qu'il pouvait facilement s'en passer...mais qu'il ne pourrait s'en passer toute sa vie!

On a déjà eu du plaisir à visionner certains films ensemble...AVANT que je découvre sur son pc...J'arrive même à identifier ce qui me faisait le plus mal (en fait, tout me faisait mal)...on communique ensemble par msn durant la journée, chacun à nos milieux de travail respectifs...ses réponses lorsque je lui parlais étaient de plus en plus courtes ou se mettait en statut «absent»...j'ai découvert après qu'il était sur des sites à ce moment-là...m'appelait à la maison en fin de journée me disant qu'il allait rentrer tard...était sur ces sites. Il travaille beaucoup, parfois très tard le soir, doit s'absenter pour la nuit, heures irrégulières...et moi...(pauvre conne)...je préparais le souper, faisais le ménage et l'attendais...lui...«terminait des dossiers»...mais qu'est-ce qu'il se disait? (bien sûr, tant que l'on est dans le plaisir)...

Je crois qu'il n'admettra jamais...comment on s'en sort face à un conjoint qui n'admet pas?...parce que le fait de ne pas admettre entraîne la balance des comportements destructeurs...me faire porter la culpabilité...la jalousie...(je l'ai connu alors que j'étais en couple...ai divorcé, suis allée avec lui)...je vais le tromper c'est sûr! (qu'il me dit)...est jaloux aussi...(série de petites remarques en apparence innofensives)...il est futé mon conjoint!

Mais....je me sens bien ce matin...et c'est ÇA le principal!
Bonjour Rose,

Je ne suis pas co-dép, mais je puis te dire qu'il est toujours difficile de gérer le dépendant et la co-dépendante au sein du même forum. Les remarques de l'un se retournant souvent contre l'autre...
Tu devrais demander à ton mari de respecter ton espace de parole en n'allant pas faire un tour sur tes posts. Et encourages-le à poster dans sa partie pour se sortir de ce bourbier...
Sinon, s'il ne respecte pas ton espace de liberté et que cela te gêne, je peux t'inviter à rennaître sur une autre identité, moins précise que celle-ci, mais qui te permettra d'écrire comme bon te semble.
Il est important que tu te sentes libre d'écrire ici, tout comme lui doit se sentir libre d'écrire sur le forum d'en face.

A bientôt, Nicolas.
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