Dépendance sexuelle

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John ,ce héros....
Tu sais, stauton, c'est facile d'avoir une grande gueule sur Internet. Si c'est à la portée de peter et de moi, et si ça te fait tripper, c'est tout le mal que je te souhaite. Ca ne présume en rien de ce que je suis ou fais dans ma vie.
Je reste impressionnable : le film qui me ferait le plus peur encore aujourd'hui (j'adore la SF) ça reste "l'invasion des moules géantes" ;-)
Coucou les gens.. !
Je vous écris parce que je suis en pleine voie de rechute... Faut dire que j'ai un peu merdé c'est dernier temps. Déjà j'ai commencé par acheté 4 dvd interdit au moins de 18 ans ( En angleterre la moitié des film qui sorte sont interdit au mineur... pratique pour discerner la pornographie du reste). Bon j'avoue que c'était assez trashos... et ça a ravivé le goût que j'avais pour les trucs malsains. Enfin, c'est extrément bizarre, car je n'ai jamais considéré la violence interieur comme une tare. Et c'est d'ailleur pour ça que je me sens vraiment différent des autres membres du forum, pour qui la pornographie constitue plus un double schizophréne, une part sombre comme il le dise. Pour moi cette part fais partie intégrante de moi et je n'en suis pas pour autant un perver. Cela viens peut-être du fait que je n'ai pas peur dévoquer mes fantasme devant un large publique. Pourtant j'ai conscience qui faut que je m'en éloigne un peu. Du moins le temps du sevrage. C'est vraiment étrange , mais après avoir travaillé sur certaine image , celle ci perde de leur connotation sexuel. Le fait qu'on les ait par exemple dessiné, et bien après, on ne se masturbe plus dessus. Et inverse, dessiner un corps qui ne nous aurait pas excité peut m'éxité, et ceux en soulignant ses courbes et ses détails. C'est vraiment très étrange.. de dessiné de la pornographie, mais ne pas pouvoir s'en servir. La pornographie est-elle un moyen de s'exorciser?
de se revendiquer?
de controler les gens?
Je pense que c'est les trois en même temps. Apré quelques chose me marque quand je parle du fait que j'accepte très bien ma part sombre... le fait de parfois avoir l'impression de ne pas accepter ma part douce. Il y a des mots d'une douceur infini qui évoque en moi un envie de haine. Comme un monstre qui surgirais des entraille de mon cortex pour repousser cette chose d'une douceur infinie. D'ailleur je ne saurais vous donner que peu d'exermple de ceux ci... Le mots lampe de chevet. Celui ci m'évoque le fait d'être au chevet de quelqu'un de l'aidé. Et bien depuis m'a plus tendre enfance ce mot me rempli de haine. De mène quand je me retrouve fasse aux lunettes des gens. J'ai envie de les cassés. Comme si j'avais envie de détruire leur handicape.. Ces choses qui faisaient de eux des handicapé asexué. (parceque quand on a 5 ans on est cons et que la moindre faiblesse chez les autres peut te permettre de t'affirmer. Il ne faut pas se leurrer. Une cours de récréation est très cruelle). Peu être ai je eut du mal a accepter que les personne douces se faisait taper dessus parcequ'il possédait des signe d'intellectuel, des lunettes. c'est étrange parce que beaucoup de personne qui réussisait bien en classe portait de lunettes. Et les lunettes, sa rend moche. Je me souviens comment je voulait pas en avoir. Déja que je paraissait bizarre avec des tics de prononciation, de je me suis fais rééduqué pour le langage et pour les yeux. Je me demande si je ne voulait pas être le méchant à cette époque. Enfin j'en sais rien... mais je me souvient qu'à une époque, je ne m'identifiais plus au gentil dans les films et dessins animés. Je préférés toujours le méchants. D'ailleur je me souvient avoir aussi fantasmé être l'héroine aussi. C'est vraiment étrange parce que c'est une chose dont je me souvient très clairement, et ceux même dans mes rêves quand j'étais jeune. être la belle héroine en danger. Ce désir été apparu a la période ou je faisait des rêves étrange: cauchemars, croyance infantil comme quoi quand je prononcé 3 fois le mot cauchemar une dame tout en blanc venait me chartouillé dans mon lit. J'en ait le souvenir comme d'un spectre qui hantait ma chambre. C'était un personnage récurrent de mes rêves. Le pire c'est que je n'en ait pas un souvenir très éffrayant. Ce n'était pas une veille sorcière. C'était une femme remplit de lumière. Comme quelqu'un qui m'aidait a m'endormir. Je me souvient aussi quand j'ai fais la rencontre de mon fantasme. Je regardais un épisode de zorro avec ma mère. C'est la période où zorro passé sur tf1. je crois que c'était au disney parade. dans cette épisode de zorro un garcon se faisait kinapper par les méchant et était attaché et baillonné. Et c'est la que ma mère ma appris un mot qui allait devenir pornographique. "Baillon" Et s'en n'est d'autant plus effrayant qu'il ne l'ai pas pour le commun des mortels. J e me souviens que l'orthophoniste avais essayé de me le faire prononcé et j'avais vraiment tout fait pour l'évité. D'ailleurs je crois ne j'amais l'avoir prononcé de ma vie (et biensur, qu'est ce que je l'ai écrit sur google, mais cela je pense qu'on est beaucoup dans ce cas là). Je crois d'ailleurs que c'est a cause de se sentiment de refoulement que j'ai envie de partager ça avec une fille. Me libéré. C'est une véritable mise en abime que de ne pas pouvoir prononcer baillon en plus. Bon revenons un peut à cette épisode de zorro. Voyant que zorro arrive, les deux méchant ouvre un puis et menace d'y faire tomber le garcons inpuissant... mais zorro arrive et finalement c'est les méchants qui finisse dans le puit. Et ça sa ma énormément excité. Je me demande d'ailleurs si je n'ai pas eu ma première erection. Cette premiére chose si agréable et si étrange. Cette scéne et pleine de signification. Le garcons et passif et séquetré et les autres sont actifs. Zorro veut le bien du garçon et les méchants veulent tuer. Remarqué qu'il y a une signification extrement morbide... mais le puit est un trou avec de l'eau au fond et cela peut être interprété comme la mère. Le fait d'être passif dans la vie veux dire qu'on ne peut se détacher de sa mère. Voir pire se faire manger par celle-ci. Pourtant à ce niveau j'ai des fantsme autant actif que passif.. j'alterne entre les kidnappeurs et le kidnappé. Peut-être le désir de donné quelqu'un a manger a ma mère pour échapper à la castration? Pour l'induire en erreur. Je pense qu'à partir de là l'interprétation commence a devenir foireuse...
Vraiment étrange ce fantasme qui a nourris mes séances de masturbations et qui n'a jamais trouvé d'alternative. Biensûr l'acte sexuele me provoque une érection , mais je suis incapable de me masturber dessus. Pour cela j'ai besoin de contact et de peau, de poil a touché. D'une partenaire, de quelqu'un de réel. Je me suis toujours trouvé anormal car les film pornos ne m'excitait pas. La vision de la pénétration n'était pas un motif pour me masturber. Je préféré les femmes habillées sexy. Voir même juste leurs visages. Et biensur les filles attachées... j'en téléchargait a foison d'internet.. Avec ce fantasme j'ai l'impression... d'avoir un penis en erection, un phallus (l'image que projette le pénis en erection sur nous si je ne me trompe pas). Il a l'avantage d'exicité, de provoquer du plaisirs, mais le désavantage de provoque la honte, de choqué. Peut-être ais ce pour ça que je veux choqué: Pouvoir jouir de mon fantasme sans la moindre contrainte. Pourtant un fantasme est une chose qui reste en nous jusqu'à la fin de notre vie. Il ne meurt jamais. Il peut faiblir, mais ne disparait jamais... J'ai vraiment du mal avec cette notion de sevrage. J'ai peur de refouler mes fantasmes et de les refouler dans un coins de ma tête. Pourtant plus mon sevrage avance plus j'ai l'impression que je doit les affronter d'une manière où d'une autres. L'année prochaine quand j'aurais un peu plus de temps libre j'irais voir un psy. Nan, je me demande si il ne serait pas mieux d'en parler à quelqu'un... à une fille (mon ex ne voulait pas en entendre parlait)? à un gars? Faut -il que je fasse un coming out public? Je vais y réfléchir... tout seul. Juger quel solution serait la meilleur.
Merci de m'avoir lu. Voilà j'ai fais un post sur mes fantasmes... j'en ferait peut-être un autres je vais voir, mais là je suis vraiment crevé, je crois que j'ai la créve et aussi la flemme de relire... bonne nuit à tous!
peter,
peut importe la nature du produit toxic qu'on se prend et la façon qu'on le vit au moment du shoot.
on prend la décision de se sevrer lorqu'on a plus de souffrance que de plaisirs.
je ne le souhaite à personne mais lorsqu'on a la révélation du piege du porno, c'est à dire de la perte de la maitrise .on découvre souvent tardivement les degars. parfois il est trop tard pour réaliser et réparer le mal qu'on s'est fait et le mal qu'on a fait. on se pose alors les bonnes questions et on cherche les bonnes réponses...pour ne plus souffrir.
déclick
J'ai vraiment beaucoup de mal en ce moment... comme l'impression que la rechute se fofille dans mes pensées, ramollissant mes convictions. C'est d'autant plus dur que je me bas contre un enemi invisible, indefinissable. Se terrant dans le néant d'internet et dans ma volonté de créer et dans ma soif de graphique. C'est débousolant, car la clope, la drogue, quand on la termine, il n'y a pas d'ambiguieté. On en consome plus et puis point. Sauf que la se sont des image et il ne nous appartient qu'à nous de les interpréter comme pornographique.. ce qui en fait un vice silencieux. Une drogue à l'image de chacun. Une chose étrange qui fait appelle a un mécanisme peu connue, la sexualité.
Et donc avec un peu de fatigue, le cerveau ne calcul plus les limites et l'on se retrouve en terrain miné. Bon allé dodo.
C'est bon j'ai résolue le problème qui trotinait dans ma tête depuis samedie.
cool.
Salut Peter!

C'est pas vrai qu'en arrêtant la cigarette y a pas d'ambiguïté, qu'on n'en consomme plus et puis point!

Là aussi y a des images, des odeurs, des gestes qu'on doit réinventer!

Te laisse pas aller, c'est pas tes convictions que tu dois laisser "ramollir"! :lol:

La nuit porte conseil! Dors bien! labardo! :love2:
j'ai du ecrire kek part la difference capital entre la pornographie et la sexualité.
c'est pour moi une question relationnelle. avec la pornographie on a pas besoin d'un autre pour jouir n'est ce pas? la sexualité oui.
maintenant composé avec l'autre c'est du boulot, c'est là que se situe la relation humaine, cette eternelle composition, negociation, ...c'est pas simple, frustrant mais c'est le prix à payer pour ne pas être seul. la vraie vie.
le dependant se leure en refusant cette confrontation aux autres. c'est un branleur avec sa pornographie rien d'autre.
maintenant reste les personnages d'exceptions, des genies qui je ne sais comment vont être des pornoïque de genie car ils ont la faculté de sublimer par l'art. j'en connais pas beaucoup. "quand je pense à fernande....

déclick
Pour Labardo:
La où constitue l'ambiguïté c'est qu'il n'y pas de consomation a proprement parler du produit. Quand tu merde quand t'arrête de fumer c'est quand ta repris une cigarette. Avec le porno c'est très différent car une rechute se passe petite a petit sur plusieur jour. On commmence a voir des film un peu sexy, a matté de mag avec des photo de fille. Quand on arrête la clope on se fait beaucoup moins niqué parce que l'annonciateur de rechute c'est quand on demande une clope... et ça faut vraiment être le dernier des con pour dire que ce n'est pas un annonciateur de rechute. Bref avec le porno, la chose est beaucoup plus flou. Alors que pour le porno cette rechute est beaucoup plus lente et beaucoup moins évidente. Je le sais j'ai arrêter de fumer il y a un an. Au fait Labardo ça vient d'où? Parce que moi je trouve que ça fait labrador (le prend pas mal lol!
Pour Déclick:
De mon point de vue le dépendant refuse la confrtontation avec soit et avec l'autre. Se masturbé c'est ce regardé de l'intérieur. Se masturbé sur du porno c'est regarder un écran. Qui certes nous donne ce que nous voulons, mais qui ne sera jamais nous. Pour se confronté aux autres il faut d'abord se confronté à soit (cela ne pas dire forcément se masturbé). c'être regardé bien en face, c'être trouvé et la on est près à affronter l'autres.
"pornoïque de genie". "quand je pense à fernande...." je crois qu'il serait abusif de considéré ça comme du porno (encore plus du géni) je pense qu'il faut retrouver ce côté noble qu'à le sexe, cette rencontre entre deux personnes. ET quand deux personne se rencontre se sont deux sexualités différentes qui se rencontre.. Cela veut dire que qu'on peut avoir une sexualité sans l'autres, que celle-ci n'est pas dépendante de l'autres. Mais je peut me trompé et l'on va surement dire que je me trompe. Mais c'est comme ça que je raisonne.
Salut Peter!

Question: "Labardo, ça vient d'où?"

Mes initiales sont B.B. Et quand j'étais petite, ma soeur m'appelait toujours "La Bardot", en référence à Brigitte Bardot. Et moi je l'ai reprit en l'écrivant comme ça: Labardo !

Voilà la petit histoire de mon pseudo!

Bonne journée! labardo! :love2:
hello,

la cloppe, Peter, arrêter çà dépend des fumeurs.çà prend du temps aussi , comme dit Labardo, gestuel, les rêves(en ce qui me concerne, j'en rêvais, que j'en avais des tas de cartouches qui tombaient de mon armoire, impossible des les attraprer comme quoi)mais à part de vivre en hermite, si tu arrêtes de fumer les gens le voient, donc ton engagement est beaucoup plus complexe, tu dois tenir, çà se voit , çà se sent.
Y a pas de demis de quart de rechutes comme cette expression reprise maintes fois dans le sexolisme.Combien de fois lit ton : j'ai rechuté.
Si tu reprends une seule cloppe, bah tu refumes, tu n'emploies pas le terme de rechute, à moins que ce ne soit qu'une seule et que tu l'écrases.Tant que tu as des rechutes de fumeur, bah t'es fumeur un point c'est tout.Tu ne peux pas dire : j'ai arrêté de fumer!
La psycologie est hyper différente, car c'est beaucoup plus insidieux avec la dépendance au sexe(Virtuel surtout) car à part la conjointe qui peut avoir des doutes, ou savoir, personne ne peut savoir à l'extérieur, tellement c'est planqué, secret.
La volonté d'ârreter de fumer :
stopper d'empoisonner....les autres(famille par ex)
stopper pour être mieux
stopper pour sa santé
stopper pour le prix que çà coute, y 'a un tas de bonnes raisons.........
Le sexolisme :
le temps que çà s'étende à faire du mal aux autres(plutôt de se rendre compte, il se sera passé du temps , mettre la tête dans le sable)
l'argent? adsl se mêle de faire le tout pour grattos........à la portée de tous, pas de limites.
Pour sa santé : bah puisque la jouissance est recherchée dans les débuts(qui peuvent se poursuivre en des années de dépendance) c'est pas nocif pour la santé hein????
La grosse différence est là.Le dépendant sexuel est seul ,à se demander pourquoi il arrêterai(d'ailleurs je pense que des années encore peuvent se passer avant d'y penser........° : puisqu'il ne fait de mal à personne, etc etc etc.
Et que physiquement çà ne se voit pas.........
l'important est de se reconnaitre soi même.Et d'avoir envie d'en sortir vraiment, sinon, tant que çà restera une paranthèse pas gênante envers les autres....çà ne le sera jamais pour soi même.
:Hello:
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