Dépendance sexuelle

Je suis d'accord avec toi, mais ca va être dur, comme tout le reste.
J'aimerai savoir ce que tu pense d'écrire des histoires pas entièrement érotiques. J'ai quand même l'impression que quand la pression est trop grande ça me calme un peu

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Il faut viser haut, le plus haut possible,et donc te libérer d'une habitude qui te ne te satisfait au mieux qu'a moitiée, et qui te pousse régulierement vers les sites graphiques,qui matérialisent et mettent en scène ce que tu as lu ou écrit quelques semaines avant...jusqu'a finalement te dégouter de tes choix.

a mon avis la solution durable est d'écrire sur un sujet qui va t'épanouir,qui épouse rééllement tes aspirations profondes,et dont tu sort grandi.

attention je ne dis pas que celà soit facile comme démarche, il faut persévéré, mais essayer de confiner la débauche est une perte de temps,car celà sous entends que tu te soumets à sa présence,comme si elle était incontournable,comme si tu étais son esclave.

Commences par croire à la possibilitée de t'en défaire totalement,et que celà devienne qu'un mauvais souvenir. Si c'est un échappatoire face au stress de tes études oubien à la frustration,faits en sorte de trouver d'autres echppatoires,d'autres activitées, physiques ou intellectuelles.

ce ne sont que des pistes,mais je t'assure qu'une fois que tu mets le pied dans un cercle virtueux, tout celà se mettre en place naturellement.

Je sais que personnellement j'ai gaché beaucoup de temps dans ces bétises, j'ai même du faire un effort pour me souvenir de ce qui me définissait vraiment, ce qui m'interessait et me passionnait avant de tomber dans ce piège que l'on pense maitriser au début.

J'ai pris beaucoup de plaisir à relir des livres, revoir des films,revoir des personnes que je cotoyais avant ces mauvaises habitudes qui nous isolent cat elle nous vole notre bon sens et une part de notre humanité.

par exemple,Je me souvient avoir rédécouvert mon gout pour l'Histoire Géographie, alors que j'avais totallement perdu toute envie de m'y replonger...

je sais que celà peut paraitre impossible de pouvoir totalement s'échapper de ce cirque, mais je t'assure que celà est possible et c'est pour celà que j'aime le rappeler

d'apres moi il faut tout arreter, il n'y a pas de "patch",il te faut trouver d'autre "nourritures" pour ton esprit.

quels étaient tes passions plus jeune, penses tu pouvoir t'y replonger?

Je pense que tu as raison. Mais ce que j'écris aujourd'hui n'est pas seulement érotique, pour l'instant il ne s'est même rien passé, c'est un couple qui se rencontre. Je sais bien que c'est partiellement érotique évidement, mais d'un autre côté, coucher mes idées sur un papier me calme et j'y prend plaisir. Ca me fait réfléchir à ce dont j'ai envie vraiment sans être sous l'emprise du désir.

Le problème c'est aussi que je dois survivre sans avoir le moral à 0, et vu les autre problèmes qui existent je n'ai pas tellement le temps de me battre contre moi même

J'ai continuer à faire ce que j'aimais faire malgré cet attrait trop poussé pour des faux plaisirs.

Je vais essayer de garder le cap, et de trouver une solution pour que je puisse voir mon copain et qu'on agisse un peu au lieu de toujours en parler. On veut se voir et profiter un peu de notre jeunesse, mais ce n'est encore jamais arrivé

Merci, bonne soirée

Lou.y

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je me permet encore quelques remarques; nous sommes tellement conditionnés ,synchronisés, pour avoir les memes reflexes, les memes reflexions,les memes réactions... c'est tout un challenge de retrouver nos véritables préférences dans toutes ces suggestions qui nous ont été mille fois répétées.

Quelques fois ont croit "aimer" quelque chose, car tout le monde s'y précipite...et meme si ça ne nous ressemble pas,on y adhére à force de répétition et de sollicitation.

Dans ton cas écrire une hitoire entre 2 personnes peut t'aider à prendre le temps de réfléchir sur chaque séquences,et mettre des mots à tete reposée sur des impressions est une exellente idée.

Par contre, lutter contre l'idée qu'"il se passera forcement quelque chose", ce sera un tour de force remarquable,  afin de laisser place à une histoire imaginée par ton esprit,et non par des scénarios dictés par des shémas redondants.

sans etre pessimiste, "profiter de ta jeunesse" est aussi une sorte d'idée reçue... ça ne veut rien dire,et je pense que c'est un raccourcis facile de penser qu'une vie affective ou autre quotidienne avec ton copain reglerait ton probléme de dépendance.

tu risques d'etre déçu sur plusieurs aspects, mais surtout, c'est ouvrir des portes vers d'autres problématiques que tu ne peux envisager aujourd'hui<<<;

Le une fois que tu auras réglé ton probléme de dépendance, tu seras plus solide sur tes fondations pour franchir de nouvelles étapes. Cette force ne peut venir que de toi, l'estime qui compte viendra de toi envers toi meme, il faut s'aimer soit meme pour ensuite aimer les autre.

ce n'est pas une critique, mais juste un retour d'expérience
bon courage

J'ai toujours eu du mal à m'aimer au moins un petit peu...

Quand je disais ''profiter de notre jeunesse'' je pensais plutôt à le voir et pouvoir passer des moments avec lui, regarder un film des choses comme ça



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Je retombe chaque jour, je pensais que les vacances me permettraient d'y voir clair mais absolument pas. C'est pire. Je ne me lève pas le matin et je reste dans mon lit tout ça pour se morfondre à cause de ce que j'ai fais même pendant...

Je me demande si j'ai réellement envie de m'en défaire.
Tout est confus dans ma tête. J'aimerai m'en défaire sans trop d'histoires mais vu en je suis tombée, c'est pas gagné..

Je vais partir sans interner pendant une semaine. Est-ce que j'ai intérêt à essayer de tenir sans rien lire ni voir ni même me toucher ? Je pense mais j'ai du mal à me le renter dans le crâne

Lou.y

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bonjour lou.y

Tu mets le doigt sur un phénomene sous estimé; le fait d'etre toujours en décalage,meme lors de phases de repos ou de calme,ou meme de bonheur.

C'est une "perversion" de l'esprit qu'il ne faut pas sous éstimer, car no seuleument la culpabilité paralyse,
mais un phénomene de désensibilisation est à redouter.

C'est comme une personne qui a faim, alors qu'elle vient de manger... et plus tu essayes de rationaliser les choses et plus le brouillard s'épaissie.

Je reste persuadé qu'une phase de mise en "quarantaine" est nécessaire pour se dégriser et laisser nos vraies sens prendre le relais. Partir une semaine sans internet peut te donner de bonnes pistes,
le challenge sera de cultiver les bonnes sensations que tu as éprouvée,de les transformer en objectifs à atteindre...et donc de trouver une motivation pour combattre les faux-amis

une semaine sans internet n'est pas un exploit,l'exploit c'est devenu de différencier le bien du mal...

bon courage

Depuis le temps que je n'étais pas venue, voilà les nouvelles

Pendant la semirn dernière en fait il y avait Internet, du coup j'ai pu pas mal discuter avec mon copain. J'ai appris pas mal de choses dont je viens de me remettre il y a quelques jours.
Comme ça allait mal .....

Bon comme il fallait bien prendre quelques résolutions en cette nouvelle année (Je ne l'avais jamais vraiment fait d'ailleurs) j'ai décidé que si je me caressait autant que ce soit seule.

Depuis une semaine, je me rend compte que ça va quand même mieux. Une fois que j'ai fini je me sens plutôt bien et je n'ai pas envie de dormir pour oublier. En plus je le fais une fois et après je suis rassasiée pour la journée ou un peu plus.

Ce n'est pas très glorieux non plus, mais dans ma tête j'ai quand même impression que ça va mieux. Et au moins j'évite le porno et le faire en lisant. Hier je l'ai fait en lisant. La différence est nette, je n'ai aucun plaisir et j'ai encore envie après, comme si je n'avais pas vraiment joui.


J'espère que ça ne va pas recommencer avec le manque de temps. On verra bien

Bon courage

Lou.y

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