Dépendance sexuelle

Version complète : En finir avec notre dépendance à la dépendance d’autrui
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c'est vrai jozefa elle est belle et courte la vie!
je dis souvent aux gens qui me disent le temps passe vite , moi je m en fou que le temps passe vite si lui passe vite moi aussi et c'est ça qui est con , au lieu de vivre sereinement ma courte vie je suis torturée parce quotidient souvent une lumière et puis la pénombre reviens à grand pas les grandes questions je reste je ne reste pas , qu'est ce que je fais de ma co- dépendance.

je reviens sur le site aujourd hui suis partie quelques mois et j'en suis ou ??????????

SAIS PAS , suis remplie d'amertume j'ai l'impression que j'ai fermé la porte à la tristesse.

j'étais une jeune et jolie luciole heureuse de vivre maintenant je vais avoir 37 ans et je me sens une vielle luciole bouffie par cette relation pourrie .
je n'avance pas je ne recule pas je suis tétanisée!

désolée de déprimée mon monde les filles mais luciole est désèspérement noir pour son retour sur ce site.
bye
c'est vrai faut que je pense à moi , j'y arrive si peut.
oui suis venue sur le site y quelques mois sais plus quand d'ailleurs je fait un vrai blocage sur le temps les dates les heures une vrai alzeimer de la vie.

je me sens si moche.
vive l'estime de soit.
moi sais plus ce qui me ferais plaisir ...un flingue peut être!!
non , je plaisante c'est de l'humour noir de luciole une fois!!

suis entrain de faire régime sais plus si c'est pour les bonnes raisons mais je voudrais que mon projet de maigrir se réalise.

faut beaucoup d'efforts et de paix pour tenir le coup je fais des efforts mais y à pas beaucoup de paix.

je me prendrais bien un rendez vous pour un bon massage mais est ce bien résonnnnnnnable encore des sous.

et toi aube qu'est ce qui te ferais plaisir?
mon projet de maigrir je cause bien sur mon français je me marre rien quand me relisant.

je disait donc : mon projet d'amaigrissement et suis pas sur que l'orthographe est zzzzzzzuste .

sentiment d'infériorité et d'imbecilité totale chez la luciole belge hahahahaha
mogoy ma belle.
tout te tombe sur la figure.
sur l'aveuglement on peut dire beaucoup de choses.et pour ce qui est de la famille et des quand dira t on merde et remerde c'est pas eux qui vivent ta situations.

tu as essayé de parlé avec lui?
DE SA Dépendance ?
PREND COURAGE ET PAS de bétises ne te précipite pas .
je sais que tu souffres commes beaucoup d'entre nous.
un jour à la fois
Val_erie, dans ‘Je touche le fond’ demande, comme régulièrement d’autres co-dépendantes, si une séparation ça aide ou pas.
Chacune selon ses moyens, chacune selon sa capacité à supporter une union devenue minable, chacune selon l’amour qu’elle porte à son compagnon, et chacune, comme le demandait Orroz, selon ce qui cimente ce couple et ses centres d’intérêts communs.
Je n’ai pas eu le choix : Il préférait la multitude d’images à une unique femme, ajoutant qu’une image ne réclame rien et ne s’offre qu’à son appel, alors qu’une épouse demande de l’attention et se retrouve dans ses pattes même s’il préfère la voir à des kilomètres pour compulser en paix.
Moi, ça m’a aidé. Lui aussi, ça l’a aidé dans ses rapports avec moi. Dans ses rapports avec le porno, je ne sais pas et ça n’est plus mon problème.
Je remonte ce sujet pour ne pas avoir à trop me répéter…
Free, tu as dit :"A ce jour pour le mien, il a l'air de m'en vouloir d'avoir été au bout de la dépose de mon sac."
et toi Luciole, tu as écrit : "Un jour il m'a dit que c'étais pour s'évader!!!!"

.....c'est bien ça le problème. Nous ne sommes pas toutes flanquées d'un compagnon, mari, amoureux qui admet d'emblée qu'il vaut mieux crever l'abcès.
Le mien, de mari, me dit tendrement "qu'il ne veut plus entendre parler de tout ça", que "ça fait partie du passé", "qu'il y allait par curiosité et pour s'amuser" (eh oui Luciole....itou :-o )...et que "c'est bien fini, qu'il a été trop malheureux" (entendez d'avoir été découvert et d'avoir risqué pour son couple)
Et moi je balance entre :
- en parler encore de temps en temps simplement parceque j'ai encore quelques réassurances à entendre, que je veux l'assurer de ma vigilance
- et "ne plus en parler du tout" pour lui montrer que je crois en sa volonté de changement.
Là, j'avoue que je ne sais pas trop quelle attitude adopter. Je suis partagée entre ma tendance à enfoncer encore le clou de temps (...) et la volonté de ne plus en parler, de faire table rase pour lui montrer que je crois en sa bonne volonté.....
La méthode dépend-elle de la personnalité du conjoint ou de la dépendance?
Je ne sais pas. Peut-être à la ennième crise saurais-je.....là, je n'en suis qu'à la deuxième :-(
Il est très difficile de ne plus en parler du tout, tant que la blessure est là.Tant que les souvenirs sont encore trop présents, moi aussi, lorsque j'en ai besoin, j'en reparle, mais plus objectivement, dernièrement çà n'a pas débouché sur une dispute, juste une très longue conversation, à laquelle il a pris part, chose qui était inconcevable il y a quelques mois.........
John Warsen a dit, à propos de l'attidude de sa femme, quelque chose comme : La confiance n'exclut pas la vérification.
Je ne vérifie plus mais la question de la confiance, pour ce qui est de son sevrage éventuel, ne se pose plus pour moi. C'est SON problème.
Je conçois néanmoins que ça puisse être déstabilisant, pour lui, de voir sa compagne s'en désintéresser à ce point. D'une certaine façon, je fais preuve d'un égoïsme encore plus grand que celui qu'il me reprochait quand j'étais torturée par ses fréquentations virtuelles, jalouse disait-il. Et de savoir que je ne suis plus 'jalouse' peut lui engendrer des doutes quant à mon attachement pour lui. Il a raison, je ne suis plus 'attachée' -même si je l'aime. Il n'a plus de contrôle sur moi. Pour certains hommes, ça représente une perte, et s'il fait partie de ces hommes (il s'en défendrait, orgueilleux qu'il est), il récolte ce qu'il a semé.
L'avantage que j'y vois, c'est que j'ai sauvé ma peau.
c'est ce que j'ai comme attitude, sans le vouloir vraiment, depuis 3 semaines.
Quand je souhaitais ce dettachement, je n'y arrivais pas, ce qui prouve que travailler sur soi, fait qu'un découlement naturel s'en suit surement.
Il m'a sentie m'éloigner de lui, surtout quand j'ao fait chambre à part.Pourquoi? pour sauver mes nuits, pour être en meilleure forme.Pas d'autre moyen, plûtot que de parler dans le vide, il continuait ses horaires à lui, sans penser, qu'une personne qui marche toute la nuit dans la maison(ce depuis des années) fait que tout le monde trinque, sauf lui, puisqu'il choisissait.
Ne rien dire, juste vouloir dormir , récuperer, pour mieux(légitime nan?) affronter mes journées.
Bah, à ce jour, il se couche avant moi, et çà n'a plus de rapport avec ce qu'il fume, puisqu'il continue, mais il a été malheureux de me savoir ailleurs que dans notre chambre .
Lui a tout de suite pensé que je ne l'aimais plus, que j'avais de la haine .
Moi : non, pas çà du tout, j'ai besoin de repères, je vis la journée, c'est tout.
Il m'a demandé hier si çà me convenait qu'il vive"normalement", oui bien sûr, mais je n'ai pas assez sauté de joie...dit il.Mdr,(jamais depuis qu'il a changé ses mauvaises habitudes je ne lui en ai parlé)
pas peur que çà recommence, juste trop d'arriérés, trop habituée à ce que çà capote.
Je me suis aperçue qu'il était bien plus dépendant affectif que moi, car j'ai plus ou moins"soigné" mon comportement.
Sans haine, ni désir de LE changer, juste aussi sauver ma peau, déjà , je pense mieux, je vis mieux, je vis quoi.
Et ce qui est surprenant, c'est que c'est ce qui marche, alors que tout ce que j'avais "tenté" en réflechissant sur le comment je pouvais faire, a échoué.Faut laisser le temps nous faire penser à nous, sans à un moment penser à effectivement, ce qu'il fait?ce qu'il regarde, ce qu'il ne fait pas.Nous sommes "une personne" je vis, pour être bien, pas pour me pourir avec autrui.
Ce qui a bien changé pour moi, est d'avoir atteint le fond aussi, et de me dire, c'est fini, y a rupture pour de bon, et me suis mise à vivre avec cette idée, pas en pensant au gâchis, pas en pensant au coté triste, mais en pensant à moi, demain, qui serait mieux Seule, n'ayant pas
Ses problèmes qui me jaillissent dessus, et d'imaginer, ce qu'inmaginent certains dépendants, le pantalon baissé, cette pensée sur lui, m'a presque fait rire, franchement, j'ai imaginé le truc, cette image qui tourne au ridicule, et çà m'a beaucoup aidée.Chacune sa manière, du moment qu'on s'en sort......la liberté commence là, ou l'autre n'empoisonne plus notre cerveau, pour ne plus avoir assez de place pour les vraies choses de la vie.Dans la vie, y a pas de place pour l'irréel, pour le virtuel.
De là, juste dire, que çà fait un bout de temps, que je ne me fais plus mal à pister que qu'il fait, çà aide......
:Hello:
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