Je maintiens pour l'instant... Bientôt 10 jours de sevrage, je suis assez content de moi.
12 jours de sevrage, pas de rechutes à l'horizon...Ca va à peu près...
A peu près? qu'est-ce qui ne va pas?
Heu... la rechute prouve la nécessité du sevrage, et non l'inverse... essaye d'analyser les conditions qui t'ont mené à déraper, de façon à ce qu'elles ne se re-produisent plus ensemble (il peut être intéressant de dissocier les facteurs, de tirer les leçons de l'expérience, une fois passé ce gout de vomi dans la bouche et la désagréable impression de
rentrer chez soi quand on rechute...)nos dépliants tout en couleurs
e saines lectures pour repartir du bon pied
LIEN BRISÉ LIEN BRISÉ
4 rechutes depuis le début de mon sevrage, j'aimerais maintenir, je sais qu'il faut s'éloigner de l'ordinateur, j'y suis moins...
Tout ce que j'ai à dire :
Déprime + ma copine qui part en vacances et qui me manque atrocement + beaucoup de stress + énervement = rechutes sur rechutes ...
Tu en es encore à ne pas arriver à gérer, avec ces paramètres qui te servent d'excuses... C'est sans doute bien normal. Alors prends ton mal en patience, réfléchis et observe-toi pendant ce temps...
Stress et énervement, ça ça vient de quoi? Tu as déjà utilisé le joker "ma copine est en vacances"...
Expliquer tes rechutes ne doit surtout pas servir à te les justifier, voire te les pardonner. Ces "paramètres" n'ont d'ailleurs pas beaucoup de rôle à jouer dans ce qui te pousse vers la rechute : ils font partie du merdier, mais n'en sont pas nécessairement à la source. Tu es accro c'est une chose, savoir d'où vient l'addiction en est une autre. On repère assez vite que l'on est plus sujet à la rechute dans des moments de déprime, angoisse, ou de stress important, ce qui s'accorde bien avec l'idée selon laquelle la compulsion est une fuite de la souffrance, l'évitement de la confrontation. En dehors de cela, l'absence de ta copine ne devrait, en principe, rien avoir à faire là-dedans ( elle ne te sert pas de porno en 3d quand même ? ), sauf bien sûr si on considère l'aspect dépendance affective. Besoin d'attention, de se sentir sécurisé par la présence de l'autre, etc... La pornographie établissant une relation idéale, virtuelle et "parfaite" dans laquelle l'actrice est là pour réaliser tous les désirs du consommateur, qui prend ses regards aguicheurs et calculés pour de l'affection. Une confusion terrible entre industrie du sexe, sexualité, affection, et amour. Creuse-toi bien la cervelle, se retenir ne suffit pas !