Dépendance sexuelle

Version complète : Mon conjoint vient de m'avouer qu'il est dépendant sexuel
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Tu nous parles encore beaucoup de lui, et toi dans tout ça? Si tu te faisais une vie où tout n'est pas en référence à lui? Pas forcément sans lui, mais c'est toi qui es sur ce forum, pas lui. C'est de toi que je veux entendre parler.
Ekeiloh : Merci, mais je ne suis pas sûre de comprendre ta question. Huh

Évidemment, je vous parle de mon conjoint, puisque c'est lui qui a un problème de dépendance sexuelle.

Oui, je sais : je dois faire attention de ne pas m'enliser dans un rôle de sauveur, mais j'essaie quand même de l'aider, dans le respect de mes limites... Je sais : j'ai accepté et je suis encore prête à accepter beaucoup de choses. C'est qu'on a déjà été séparés pendant près d'un an, mais finalement j'ai réalisé que je préfère vivre avec plutôt que sans lui (en raison des enfants, entre autres).

Et puis, je pense que j'ai développé une grande résilience au fil des années. J'ai travaillé sur moi. J'ai fait quelques dépressions dans le passé et j'ai lu beaucoup pour m'en sortir... J'essaie de relativiser, de voir le positif... Et je pense que je réussis assez bien la plupart du temps! Smile

D'ailleurs, si ça vous intéresse, je vous suggère à tous de lire Le pouvoir du moment présent, d'Eckhart Tolle. Wink Sinon, n'importe quel ouvrage de base sur le bouddhisme. Je ne suis pas religieuse, mais j'aime beaucoup cette philosophie de vie. Smile
Ce que je veux dire c'est que tu es codependante à fond dans ton rôle, que c'est toi qui es venue sur le forum et pas lui. C'est toi qui nous intéresse.
Je pense que Ekeiloh voudrait pouvoir t'apporter ton aide à toi, elle s'inquiète de savoir comment tu vis cette situation tout les jours, de ce que tu ressens, tes doutes, tes envies, tes angoisses?

Tu viens nous poser des questions pour lui apporter des réponses à lui mais cette démarche devrait venir de lui. Ma compagne m'a simplement orienté sur la piste de l'addiction sexuelle et j'ais fait le reste. C'est le début de la guérison je pense, prendre les choses en main.

Tu ne pourras pas le guérir malgré lui. Il doit s'aider lui-même avant que tu puisses lui apporter ton aide.
Bonjour Fineraziel,

Ekeiloh a raison de te rappeler de prendre soin de toi. Vous êtes deux dans l'histoire, mais vous formez un triptyque: le persécuteur, la victime et le sauveur. Ce n'est pas simple car tu es à la fois la victime, tu veux être le sauveur... et parfois tu pourras paraître le persécuteur..
Prend le temps de réfléchir à ce qui est important pour toi (vraiment pour toi, pas pour ton couple, pas pour ton mari), POUR TOI !. Quels sont tes besoins à toi ?
Je suis tombé sur ce texte il y a peu de temps qui parle des co-dépendants, définis comme personnes entretenant un relation affective (pas nécessairement amoureuse) avec un dépendant. "La plupart d'entre nous persévéront dans les rôle que nous avons adopté dans nos familles. Pour bon nombre d'entre nous qui aimons trop, ces rôle ont souvent signifié la négation de nos besoins personnels pendant que nous essayons de répondre au besoin d'autres membres de la famille. (...) Ayant appris très tôt à nier nos propres besoins affectifs, nous avions, avec l'âge, cherché d'autres occasions de nous livrer à ce en quoi nous excellions: la satisfaction des besoins et des exigences d'autrui, et l'ignorance de nos peurs, de nos souffrances et de nos besoins. Nous avons fait semblant si longtemps d'être adultes, à trop en faire et à demander trop peu, qu'il est désormais trop tard pour que nous changions de rôles. Nous continuons dons de secourir les autres dans l'espoir de dissiper nos peurs et de recevoir en échange, de l'amour"
Robin Norwood, Ces femmes qui aiment trop - Radioscopie des amours excessives
(Cité par Marie France & Emmanuel Ballet de Coquereaumont "S'ouvrir à son coeur d'enfant pour naître à soi", p246.

Attention, je ne suis pas en train de dire que tu es comme ce que décrit le texte que je cite, loin de moi cette idée. Je dis simplement qu'il faut être vigilant. Que tu dois aussi prendre en compte ta personne et tes réelles motivation à aider ton mari. Mais tu sembles avoir fait ce travail, simplement vigilance.

Et tu as raison de dire qu'il est bon de lire, de relire "Le pouvoir de l'instant présent'. Il y a pas mal de vidéo sur le net. C'est un très bon livre. De nombreux philosophes et de nombreuses religions ont des visions assez semblables.
Il s'est fait abusé, sa mère n'était pas affectueuse etc... Il y a certainement des causes à tout cela. Mais vous, vous êtes où, Mesdames les co dépendantes dont je fais partie évidemment ! J'ai 60 balais et vous préviens. C'est une maladie qui gangrenne le couple. Il ne faut pas être négatives, j'en conviens, mais soit vous vivez avec, soit vous prenez le risque d'en prendre pleiin la tête. Si vous faites comme moi, vous allez vivre dans l'espoir, assister aux récidives, vous arrêter de vivre car sidérée et attendre une discussion, se réconclier et repartir et ect...  J'attends depuis des années. Sous prétexte qu'il est constamment avec moi et qu'il ne peut rien faire physiquement il considère qu'il est guérri. Je devrais peut-être me contenter du fait qu'il ne fait plus rien mais ça ne me satisfait pas. Même un regard concupiscent m'emmerde. Il coupe tout lien. Le pire c'est qu'il retourne la situation contre moi. Il dit que je suis une fouteuse de merde. Il nie avoir vu, et quand il dit qu'il a vu la nana il dit qu'il l'a vue un quart de seconde alors que je l'ai vu regarder pendant tout le temps d'une lecture de 10 pages dans la voiture et je levais sans cesse les yeux sans qu'il me voit. J'ai la preuve par a PLUS b et il essaie de me culpabiliser. Il sait qu'il tire les dernières cartouches car je crois que je vais le plaquer. 40 ans de mariage. Je dois m'en prendre qu'à moi. Quand on est con on est con.
Et  puis, en faisant les scènes que je fais j'ai l'impression de demander l'aumone. C'est comme si je l'obligeais à ne regarder que moi. Mais où ai-je l'amour propre et l'estime de moi? S'il est amoureux de moi comme il le dit, que je fais bander, et qu'il me trouve belle et bien qu'il commence à le prouver. S'il préfère mâter les autres et bien qu'il le fasse, je pense que moi aussi je vais devenir addict sexuelle. On verra bien comment il réagit. Beaucoup trop de maternage, de complaisance. Ils sont malades, ils souffrent ? Et bien qu'ils se soignent. En attendant ils se font du bien et nous on crève à petit feu. Messieurs ! Je n'ai rien contre vous, comprenez bien mais c'est contre votre "maladie"? que j'en ai.
Vous coml
Ma pauvre FINERAZIEL je suis essouflée de lire tes écrits. Tu vas t'épuiser, tu l'es d'ailleurs, ça se ressent. Tu es entrain de mettre toute ton énergie pour ton mari et tout est en ton honneur mais lui, inconsciemment il profite. Je ne dis pas qu'il n'a pas de problème mais ça n'est pas le tien, ça n'est pas ton fils. Tu es sa femme et tu ne dois pas faire l'aumone pour coucher avec lui. Tu ne sauras jamais la vérité sur tout. Il te donnera un os à ronger et tu croiras qu'il te dit tout mais pas du tout. Je ne dis pas qu'il n'aimerait pas être autrement mais en attendant il détruit ta vie. Même s'il a un problème il détruit ta vie. Ca touche à l'intime alors comment veux-tu avoir une relation et des rapports sexuels épanouis ? C'est impossible. Tu couches pour ne pas qu'il aille ailleurs mais sache que c'est un leurre. J'y ai cru moi aussi, je me suis plantée. Ecoute moi bien, l'idéal serait que vous vous quittiez. Je sais c'est dur comme décision mais je pense que ce serait la meilleure solution pour toi. Tu vas avoir une vie bancale et tu ne pourras faire autrement que le surveiller. Tu as u ne autre solution : rester, mais savoir pourquoi tu restes. Tu ne veux pas déstabiliser les enfants, tu veux qu'ils aient une vie familiale, sur le plan financier également vous trouvez un équilibre : OK mais arrête de te prendre la tête, laisse le dans sa (excuse l'expression) merde. Je suis dure mais tu vas y laisser les plumes. Si tu veux une vie amoureuse comme nous l'entendons toutes, et bien fais la avec quelqu'un d'autre que tu partes ou que tu ne partes pas. Avec lui ce sera toujours des crises, des doutes, des aveux qui n'en sont pas. Il mentira toujours et le mensonge consumme, ça tue à petit feu. Donc  : soit tu restes et tu continues ta vie à le surveiller, à y croire, à être déçue, et choper des crises, à t'abimer la santé, soit tu pars et : au début ce sera dur de franchir le pas mais tu te reconstruira et tes enfants auront une maman épanouie, sois tu restes pour une histoire matérielle et pour les enfants mais tu ne te prends plus la tête. Prends toi un amant, et si tu couches de temps à autre avec lui attention protège toi. En ce qui me concerne je suis restée et ma vie n'est pas jojo car c'est mi figue mi raisin c'est à dire que je le surveille toute la journée et j'oublie de vivre. C'est pas du boulot. Je suis comme aliénée. Dernièrement j'ai franchi le pas : je lui ai demandé de partir, il pleurait et n'y arrivait pas. Il est enfin parti 2 heures et est revenu et depuis je me le coltine. Hier il a encore menti. Des mensonges gros comme u ne maison. Il ment devant l'évidence. Là où j'ai progressé c'est que je ne pète plus de boulon. Je le traite par le mépris et l'indifférence depuis peu. Par rapport à son mensonge d'hier, je l'ai traité de pauvre malade, je fais ma petite vie, et je l'ignore. Il est plus mal que moi en ce moment. Il ne faut pas leur accorder trop d'importance car ils se croient au centre de nos intérêts. J'ai 60 balais, j'endure depuis que j'ai 34 ans. Lui aussi est gentil et extraordinaire pour moi et notre enfant, mais je m'en tape àprésent car il m'a tout donné et m'a tout repris. J'ai passé ma vie à attendre qu'il se redresse. A présent c'est mort. Il a vu des psys, mais à l'époque on prenait pas ce genre de chose au sérieux. A présent il dit qu'il est guéri sous prétexte qu'il est sans arrêt avec moi mais il mâte tant qu'il peut quand nous sommes dehors. Faut faire gaffe de ne pas te transformer en maman bienveillante car ils se réfugient derrière la maladie en se payant des petits 4 heures. Te rends tu compte ? Tu couches avec lui pour éviter qu'il aille ailleurs. C'est pas normal et c'est trop cheer payé. En ce qui me concerne j'étais un petit canon lorsque j'avais 35 ans (pardon si je te parais prétentieuse mais c'est ainsi) j'étais très sollicitée par les hommes, il le savait, et ça ne l'empêchait pas d'aller ailleurs. Nous avons même pratiquer l'échangisme avant que j'apprenne cela et j'ai appris que pendant cette période pendant laquelle nous pratiquions il allait ailleurs. Est ce normal cela ? Depuis c'est terminé bien entendu. L'amour papa maman ca devait le gonfler et nos rapports sexuels n'étaient pas très satisfaisants car il avait besoin du reste. Aujourd'hui, j'ai la haine de penser à cela. C'est un trop lourd passé et encore ça n'est pas fini et jepense que ça ne finira jamais car il est dans le déni et dit qu'il n'est pas malade. Je l'ai trompé évidemment mais je n'étais pas disponible dans ma tête. Je faisais cela pour supporter mon quotidien mais le coeur n'y était pas. Par contre si j'avais eu le courage de partir j'aurais pu me reconstruire et refaire ma vie. Je ne te dis pas cela pour que tu déteste ton mari et le père de tes enfants, mais pour que tu sois lucide sur la situation, que tu ne te berces pas d'illusion car même si ça va bien 6 mois, ça recommenceera. Ils ont un trouble et cela c'est à vie. Si tu te sens de vivre quelques hauts et des très très très bas continue mais tu le regretteras un jour.
Désolée, de te casser le moral. Un qui a été honnête c'est Corvus mais il y a longtemps qu'il n'est pas venu sur le site. Il était dépendant et a avoué avoir briser la vie de sa femme. Il faut le faire ! Au moins il a des C...... lui.
Je te souhaite du courage, tu as l'air bien énergique mais fais attention à toi. Ca n'est pas normal de t'investir comme tu le fais pour cette cause. C'est sa merde et laisse le se débrouiller. Quand il va voir les autres il ne t'appelle pas. Il pleure car il sait qu'il va t'attendrir. Encore une fois je ne dis pas qu'il n'est pas malade. Mais sa maladie n'est pas la tienne OK !
Georgette nous t'avons ecrit sur le sujet ouvert pour toi, j'espere que ça t'aidera. Je crois que tu as un gros travail à faire pour toi meme, tu as beaucoup de colère et de  haine. Quitte ton compagnon et viens nous dire apres comment tu as fait, ce sera plus constructif qu'un flot de haine avec un "tous les memes" en toile de fond.
Ekeiloh,
De la haine, non, de l'amertume oui. Je choisis de répondre à quelques interrogations que se posent les co-dépendantes. N'a t on pas le droit de dire ce que l'on pense sur ce forum ? Certaines se demandent si elles doivent persévérer à aider ou bien sauver leur peau, alors je me permets de faire part de ma propre expérience et les gens doivent garder leur libre arbitre. Lorsque je lis les témoignages des dépendants, je me rends compte combien c'est un problème pour eux et je rends hommage à leur sincérité car ceux qui font la démarche de venir sur le forum c'est qu'il sont en vraie souffrance. Cependant, cette maladie, tu dois le savoir est incompatible avec une vie de couple telle que nous l'entendons dans notre société judéo chrétienne. Il est impossible, es tu d'accord avec moi d'accepter sans chagrin que notre conjoint ou conjointe ait envie d'une autre personne à notre insue ? Dans la relation amoureuse il y a une part de narcissisme qui est légitime. A un moment je pense, qu'il faut prendre le taureau par les cornes et faire voir les choses en face aux co-dépendants. Je parle également, non pas par rapport à mon expérience personnelle, mais par rapport à la difficulté qu'ont les dépendants à s'en sortir. Lorsqu'on lit qu'on est dépendant toute sa vie on sait très bien qu'il y aura des récidives et qui dit récidives dit cataclisme dans le couple surtout si le dépendant a su s'abstenir pas mal de temps. Lorsque les co dépendants commencent à y croire et bien les pendules sont remises à zéro et un sentiment d'insécurité ruine la vie et la santé. Je viens de trouver une lettre que j'avais écrite, j'avais 50 ans, dans laquelle je disais que je ne voulais pas me réveiller à 60 ans et en être au même point et qu'il fallait que je prenne une décision. Et bien j'ai 60 ans et j'en suis au même point, je vis les mêmes choses, je n'ai pas progressé d'un poil. Peut être y a t il des degrés dans l'addiction, mais d'après ce que je lis le mécanisme est le même pour tout le monde. Je n'ai jamais rencontré de personne n'ayant pas récidivé. Je ne veux pas dire que vous êtes des pestiférés et qu'il faut vous banir, mais pas du tout, car avant toute chose je trouve magnifique d'avoir le courage de se montrer tel qu'on est. Ce problème est plus que délicat. Ca touche au fondamental du couple. Les mots me manquent. Lorsqu'on est atteint de cela je pense qu'il faut banir le mensonge et dire à la personne "aimée" qu'on va tout faire pour s'en sortir, à la première récidive le dire, et évoquer même la séparation pour ne pas faire souffrir. L'HONNETETE avant tout. C'est ce dont j'ai souffert toute ma vie. Mon mari voulait le beurre et l'argent du beurre. Après l'aveu, je pensais que ça allait "rouler", mais non, même après le premier aveu, il mentait lorsqu'il récidivait alors que j'en avais presque les preuves. Tu sais on sent les choses sans être mytho. Il faisait tout pour m'embrouiller. C'est un menteur en général. Lorsqu'il m'avouait je lui disait : merci. Aujourd'hui, je me sens vraiment cone. Est ce que tu me comprends Ekeiloh ? Je ne sais pas ton âge, dis le moi, tu as l'air pleine de bonne volonté et je crois en ta volonté de t'en sortir et je te le souhaite du fond du coeur, crois moi, mais moi je ne peux que me placer du côté du co dépendant. et avertir à cause de mon vécu. J'ai été indulgente mille fois. Pour avoir discuter avec des dépendants, je peux te dire qu'ils m'ont avoué s'être réfugiés derrière leur maladie quelquefois. C'est un problème qui fait crever à petit feu alors par amour on doit dire les choses, dire chaque fois qu'on récidive et les cartes à ce moment là sont entre les mains du co dépendant. D'après ce que je lis les co souffrent car ils sont confrontés à des mensonges. Ils sont obligés d'aller chercher la vérité eux-mêmes. Alors ils se rendent compte, non seulement de l'acte mais luttent pour avoir un aveu. En ce qui concerne le mien, malgré les preuves il cherche une faille et s'il a la possibilité d'exploiter une possibilité  pour mentir, s'il manque un élément au puzzle et bien il l'exploite et me fait passer des vessies pour des lanternes. En plus de son problème il me manque de respect, ne respecte pas mon intelligence. A un moment, il faut être digne et humain. On ne peut pas maltraiter les gens psychologiquement comme cela.
Le rôle de ce forum ce serait quoi ? Continuer à encourager les dépendants et dire aux co dépendants qu'ils doivent supporter  et aider ? Je pense qu'à un moment chacun doit dire ce qu'il pense en s'impliquant et quelquefois donner des conseils comme chacun l'entend même s'ils paraissent radicaux sachant que chacun doit garder son libre arbitre. Je n'ai pas l'impression de déverser de haine par rapport à ce que je dis mais fais part de mon expérience personnelle c'est tout. Je comprends que ça puisse te blesser, te démoraliser, car tu es dépendante et tu as l'impression que je te casse et que je te rejette. Mais non, je suis humaine avant tout. Je te félicite d'insister comme tu le fais. Si tu es là c'est que tu es en souffrance et tu veux t'en sortir. De plus, en ce moment tu n'es pas accompagnée d'après ce que j'ai lu. Mon témoignage pourrait t'apporter plus que tu ne penses. Ca pourrait te dicter la façon qu'il serait souhaitable que tu adoptes lorsque tu seras en couple. Et puis, pourquoi ne ferais tu pas partie d'une minorité qui s'en sort après tout ?
Tu vois, tu souffres d'un côté, je souffre de l'autre. Ne coupons pas la discussions. Si tu vois une solution à mon problème, ne t'en prive pas. Je t'embrasse et te souhaite de persévérer.
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