25-06-2014, 17:56
c'est via DASA que j'ai eu le lien de ce site
j'ai apprécié regarder les 5 premières vidéos : le reportage du magazine de la santé
voici mon résumé avec mon interprétation de ce qui m'a interpellé
vidéo1/5 maladies addictives
les accrocs aux sexes ne se résument pas à des obsédés sexuelles, pour la plupart c'est une conséquence d'une blessure psychologique voir d'un traumatisme. Les obsessions sont reconnues comme une addiction, donc une pathologie.
Enfance d'un addict : traumatisme ou carences affectives dures ou violente. Normalement l'enfant doit recevoir de l'amour, il y a donc un manque et la société doit réparer ce manque, cette injustice.
L'addiction recouvre 3 éléments : la recherche du plaisir, la transgression (trouver ses limites) , l'évitement de la relation à l'autre, la peur.
Quand on veux vraiment traiter le fond d'une addiction, il faut voir que le processus addictif viens pour recouvrir une défaillance psychologique plus ancienne
2/5 incapable de créer un lien affectif
!! à l'escalade, car l'addiction en veux toujours plus, car cela fait moins d'effet (drogue).
Au début ce sont des impulsions après cela devient des compulsions.
Avec le groupe pouvoir exprimer la tonne de tristesse à l'intérieur de moi, de ce petit enfant qui n'a pas été aimé, de ce petit enfant rejeté.
Je ne savais pas ce que cela voulais dire « aimer ».
3/5 image dévalorisée de soi et destructeur
reconnaître son impuissance face à la sexualité (DASA : bonjour je m'appelle Allain et je suis dépendant affectif et sexuel)
A cause du faible estime de moi, dès que quelqu'un approche et est amoureux de moi je le rejette, je préfère les salauds. Je crois que je suis pas assez bien ? (inscription inconsciente de dévalorisation). À cause de l'image qu'on a de soi et la peur de ne pas être à la hauteur de cette relation.
4/5 être mal dans sa peau, ne pas avoir eu de relations réelles affectives
être un objet
une addiction c'est au début il y a un malaise personnel, puis on découvre un plaisir qui devient un médicament contre la souffrance, ensuite quand on est déçu vient la honte, la culpabilité. Cette culpabilité est à l'origine de l'augmentation du stress, de l'angoisse et on reproduit cette conduite pour pouvoir se soulager.
Des heures à passer devant internet, film vidéos
5/5 prière de la sérénité avec le mot Dieu tel que chacun le conçoit :
mon Dieu, donne-moi la sérénité d'accepter les choses que je ne peux changer,
le courage de changer les choses que je peux, et la sagesse d'en connaître la différence.
Défaillance de l'image de soi.
QUI SUIS-JE?
52 ans, addict au sexe depuis toujours. Déjà beaucoup travaillé, pensé, souffert maintenant je suis plus relax et je vais passer à plus sérieux. Je vais allez chez DASA cette semaine.
Je ne suis plus dépendant aux vidéos-films-internets depuis 2 à 3 ans. Moi c'est du direct, quand il y a la pulsion sexuelle j'ai des relations multiples dans des saunas ou bars gays.
C'est cela que je désire changer maintenant. Ce sera cela mon défi abstinence, de sevrage (à suivre...)
Au plaisir de partager
j'ai apprécié regarder les 5 premières vidéos : le reportage du magazine de la santé
voici mon résumé avec mon interprétation de ce qui m'a interpellé
vidéo1/5 maladies addictives
les accrocs aux sexes ne se résument pas à des obsédés sexuelles, pour la plupart c'est une conséquence d'une blessure psychologique voir d'un traumatisme. Les obsessions sont reconnues comme une addiction, donc une pathologie.
Enfance d'un addict : traumatisme ou carences affectives dures ou violente. Normalement l'enfant doit recevoir de l'amour, il y a donc un manque et la société doit réparer ce manque, cette injustice.
L'addiction recouvre 3 éléments : la recherche du plaisir, la transgression (trouver ses limites) , l'évitement de la relation à l'autre, la peur.
Quand on veux vraiment traiter le fond d'une addiction, il faut voir que le processus addictif viens pour recouvrir une défaillance psychologique plus ancienne
2/5 incapable de créer un lien affectif
!! à l'escalade, car l'addiction en veux toujours plus, car cela fait moins d'effet (drogue).
Au début ce sont des impulsions après cela devient des compulsions.
Avec le groupe pouvoir exprimer la tonne de tristesse à l'intérieur de moi, de ce petit enfant qui n'a pas été aimé, de ce petit enfant rejeté.
Je ne savais pas ce que cela voulais dire « aimer ».
3/5 image dévalorisée de soi et destructeur
reconnaître son impuissance face à la sexualité (DASA : bonjour je m'appelle Allain et je suis dépendant affectif et sexuel)
A cause du faible estime de moi, dès que quelqu'un approche et est amoureux de moi je le rejette, je préfère les salauds. Je crois que je suis pas assez bien ? (inscription inconsciente de dévalorisation). À cause de l'image qu'on a de soi et la peur de ne pas être à la hauteur de cette relation.
4/5 être mal dans sa peau, ne pas avoir eu de relations réelles affectives
être un objet
une addiction c'est au début il y a un malaise personnel, puis on découvre un plaisir qui devient un médicament contre la souffrance, ensuite quand on est déçu vient la honte, la culpabilité. Cette culpabilité est à l'origine de l'augmentation du stress, de l'angoisse et on reproduit cette conduite pour pouvoir se soulager.
Des heures à passer devant internet, film vidéos
5/5 prière de la sérénité avec le mot Dieu tel que chacun le conçoit :
mon Dieu, donne-moi la sérénité d'accepter les choses que je ne peux changer,
le courage de changer les choses que je peux, et la sagesse d'en connaître la différence.
Défaillance de l'image de soi.
QUI SUIS-JE?
52 ans, addict au sexe depuis toujours. Déjà beaucoup travaillé, pensé, souffert maintenant je suis plus relax et je vais passer à plus sérieux. Je vais allez chez DASA cette semaine.
Je ne suis plus dépendant aux vidéos-films-internets depuis 2 à 3 ans. Moi c'est du direct, quand il y a la pulsion sexuelle j'ai des relations multiples dans des saunas ou bars gays.
C'est cela que je désire changer maintenant. Ce sera cela mon défi abstinence, de sevrage (à suivre...)
Au plaisir de partager