28-03-2015, 15:17
Je reprends les propos de Burrhus. Je ne suis pas sur que je pourrais complétement développer mon argumentaire car il est encore assez confus. Mais voici quelques éléments par rapport au porno.
Burrhus a écrit en réponse à Straight
"La pornographie ne me semble pas très difficile à définir. C'est faire de la sexualité un spectacle en vue de créer en produits que l'on facture. Le support du porno étant essentiellement le film. Il n'y a pas de relation entre les "acteurs (trices)" et les spectateurs."
La première question que je me pose est de savoir si le porno ne passe nécessairement que par l'image animé (un spectacle avec des spectateurs). Pour moi, c'est plus une déviance, un rapport biaisé au sexe, à la sexualité. Je pense que certains écrits (sans aucune image) sont aussi destructeurs que des images. Nous nous laissons porté par l'image, le texte peut nous emmener plus loin avec l'imagination et les fantasmes. Je suis plus cérébral, c'est peut-être la raison de ce questionnement.
L'autre question concerne les limites du porno. Une scène érotique est-elle pornographique ? Une femme dénudée (comme on peut en voir tant sur les publicités aujourd'hui) est-elle une image porno ? Je pense que cela dépend de la personne qui reçoit le signal. Dans mon cas, j'ai souvenir m'être mb devant les pages d'un dictionnaire où il y avait des nus (statues et peintures). (NB: pour les très jeunes, il y a une période où il n'y avait pas internet... on ne rigole pas !).
Je pense que certaines personnes ont un terrain favorable aux addictions (d'où notre travail pour retrouver les causes plus profondes). On tombe dans le sexe comme on pourrait tomber dans le jeux (j'ai passé un nuit blanche à Las Végas dans un état second... cela fait froid dans le dos).
A partir de ces éléments, la limite est très personnelle, dans mon cas je pense que la mb est une ligne rouge car elle réveille les fantasmes, les images. C'est une soupape qui fait diminuer la pression, mais c'est aussi une flamme qui fait monter la pression dans la cocotte. Difficile de faire que la cocotte n'explose pas.
Burrhus a écrit en réponse à Straight
"La pornographie ne me semble pas très difficile à définir. C'est faire de la sexualité un spectacle en vue de créer en produits que l'on facture. Le support du porno étant essentiellement le film. Il n'y a pas de relation entre les "acteurs (trices)" et les spectateurs."
La première question que je me pose est de savoir si le porno ne passe nécessairement que par l'image animé (un spectacle avec des spectateurs). Pour moi, c'est plus une déviance, un rapport biaisé au sexe, à la sexualité. Je pense que certains écrits (sans aucune image) sont aussi destructeurs que des images. Nous nous laissons porté par l'image, le texte peut nous emmener plus loin avec l'imagination et les fantasmes. Je suis plus cérébral, c'est peut-être la raison de ce questionnement.
L'autre question concerne les limites du porno. Une scène érotique est-elle pornographique ? Une femme dénudée (comme on peut en voir tant sur les publicités aujourd'hui) est-elle une image porno ? Je pense que cela dépend de la personne qui reçoit le signal. Dans mon cas, j'ai souvenir m'être mb devant les pages d'un dictionnaire où il y avait des nus (statues et peintures). (NB: pour les très jeunes, il y a une période où il n'y avait pas internet... on ne rigole pas !).
Je pense que certaines personnes ont un terrain favorable aux addictions (d'où notre travail pour retrouver les causes plus profondes). On tombe dans le sexe comme on pourrait tomber dans le jeux (j'ai passé un nuit blanche à Las Végas dans un état second... cela fait froid dans le dos).
A partir de ces éléments, la limite est très personnelle, dans mon cas je pense que la mb est une ligne rouge car elle réveille les fantasmes, les images. C'est une soupape qui fait diminuer la pression, mais c'est aussi une flamme qui fait monter la pression dans la cocotte. Difficile de faire que la cocotte n'explose pas.