Dépendance sexuelle

Version complète : je vais tenter de faire ce pourquoi je suis venu sur ce site.
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Citation : bob a écrit:

Quand à reprendre un sevrage, je suis trop tordu dans ma démarche ou mes façons de contourner les obstacles pour continuer et je n'ai pas envie de recommencer à l'infini en trichant.

 Et tu vas nous dire que l'honnêteté intellectuelle te contraint à cesser de "tricher" (quand tu tentes le sevrage) et à t'abandonner à la maladie corps et âme ? tu vois pas l'erreur logique ? La connaissance de ta faiblesse doit devenir une force qui te garde de t'exposer inutilement - et chaque exposition l'est - au produit qui te fait disjoncter et te laisse plus insatisfait que tu ne l'étais.

 Je crois pour ma part que tu es victime du syndrôme "post coïtum anima trista" : "après le coït, l'âme est triste", déjà remarqué par Ovide dans l'Art d'aimer, donc ça date pas d'hier... et qu'après ta prostituée d'hier, tu déduis de ton comportement que tu n'es pas très motivé. C'est l'erreur de tous les dépendants. C'est pas parce qu'on s'est cassé la gueule du vélo qu'il faut en conclure qu'on saura jamais en faire, ça s'appelle du découragement. "Je me suis tellement planté, j'ai tellement foiré que je me demande si j'ai vraiment envie de changer."Bien sûr que si : les difficultés et les rechutes prouvent la raideur de la pente, plus malaisée à gravir qu'à descendre, pas l'absence de motivation.

Réfléchis -y : si tu déploies ton intelligence à NE PAS t'exposer à quelque chose qui est si fort pour toi qu'il anéantit toute idée de liberté de lui dire non, plutôt que de trouver des ruses pour te mettre des bâtons dans les roues (et penser que de toutes façons tu es tellement rusé que tu trouveras toujours moyen de tricher avec toi-même), ça va changer ton regard.

Je vous remercie pour vos contributions très positives.Plus précisément et pour mieux expliquer ma décision qui est prise d'en arrêter avec le sevrage parce que j'en connais déjà l'issue.Je ne suis pas un jeune homme que la vie na encore pas trop usé. Mais bel et bien un homme de 58 ans qui a commencé dès le départ à avoir une vie sexuelle bancale sans en avoir toujours conscience d'ailleurs puisque mon viol a été "oublié", "effacé" de ma mémoire mais malgré tout cela a quand même entraîné des dégâts et surtout des conséquences négatives.Le pli est pris, la façon dont je vis ma sexualité est (je n'ai pas honte de le dire) assez minable. J'ai essayé beaucoup de  choses et j'ai usé beaucoup de psy, j'ai aussi cherché à comprendre. Mais à force de trop cherché parfois on tourne en rond. Quand je dis que ma roublardise prendra le dessus je ne pense pas me tromper. Je comprends très bien le sens de ce que tu dis  John Warsen:"La connaissance de ta faiblesse doit devenir une force qui te garde de t'exposer inutilement - et chaque exposition l'est - au produit qui te fait disjoncter et te laisse plus insatisfait que tu ne l'étais."  Tout le problème est là : la "connaissance" de ma faiblesse. Depuis longtemps j'essaie de connaître ma faiblesse. Mais malheureusement si j'arrive bien évidemment à la constater, je n'ai toujours pas réussi à la connaître et la comprendre pour mieux l'anticiper. Je n'en suis plus à mon point de départ, tout n'est pas tout noir et des choses se sont améliorés et le passage sur ce site m'aura aussi quelque part aidé. Je commence à penser que  c'est mon karma que de vivre cette vie, je suis né et j'ai attrapé la polio dans la foulée et tout est parti de travers dès le départ: hopitaux, éloignement des parents, maltraitance, etc... A force de volonté j'ai réussi à me construire une vie sauf sur le plan sexuel qui reste mon talon d'Achille. La question que je me pose est non pas de fuir ou de renoncer. Mais ne vaut il pas mieux accepter d'être ce que l'on est que de se battre perpétuellement à contre courant et d'y laisser toute sa force.Mes enfants, ma femme, mes proches sont heureux de ma présence. Qu'ai je à attendre de plus ?
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1) Après relecture de vos avis et aussi relecture de ce que j'ai écris ce matin, il m'apparait que je dois reconsidérer ma position beaucoup trop radicale.2) Pour répondre à libredesoimeme, oui j'ai un problème avec mon passé parce qu'autour de moi tout le monde y compris mes parents que j'aime et qui m'aiment l'ont tous simplement nié. Pour ma mère malgré ma polio et mes 15 opérations, je n'ai jamais souffert parce qu'elle a fait en sorte que je ne souffre pas!!! donc effectivement quand tu ne fais qu'avancer sans t'écouter çà te rattrape forcément un jour ou l'autre. Hormis ici où je ne m'interdis pas de dire ce que je vis et ressens, je suis très discret et mon épouse et mes enfants ne voient que ce qui est visible où que je veux bien lâcher à mon épouse. Comme pour la maladie, je suis habitué à souffrir seul.3) Je vais donc essayer à nouveau de recommencer mon sevrage. Sachant toutefois que je ne me laisse plus aucun joker, je l'ai utilisé hier.Sans vouloir blesser personne, cette tentative sera la dernière, je ne souhaite pas devenir un ancien combattant du sevrage. Si j'utilise le terme ancien combattant c'est volontaire, parce que  oui pour moi il s'agit d'une bataille et pas de simples faits si je le prends comme çà alors j'ouvre la porte à de nouvelles rechutes. Parce que c'est bien moi qui agît quand je rechute et ce n'est pas mon voisin donc quand je faillis la moindre des choses est que je ne trouve aucune excuse en me disant "pas grave de toute façon je remet le compteur à zéro". Quand je dis cela, je parle pour moi pas pour quelqu'un d'autre, parce que je me connais dans ma partie vicieuse!

Un exemple pourquoi je n'instaurerai pas une trêve de quelques jours après une rechute. Quand je dis çà, je ne le dis pas au hasard l'idée est là qui rôde je la sens je le sais.

Bob, c'est une maladie, pas une tare, c'est pourquoi se fixer des ultimatums ou se faire des promesses ne fait pas avancer le rétablissement. Nos promesses de ne pas rechuter valent celles des alcooliques - quand on est repris par le truc, ou par les prédispositions mentales et émotionnelles qui nous mènent au truc, elles valent peau de balle.Pardonner à ta mère qui a nié ta souffrance, ça te ferait déjà moins lourd à porter. La souffrance et le dépit de n'avoir personne à qui s'en plaindre dénaturent notre pensée et nos comportements.Au début de mon parcours,  je me suis dit que le porno transformait la beauté en laideur, et que c'était syndicalement inacceptable, les occasions de trouver le monde affreux ne manquant pas par ailleurs. Est-ce que la dégradation de ce qu'il y a de plus beau au monde - les promesses de la sexualité, que la Nature ne peut guère tenir vu qu'à mon avis elles ont pour fonction d'assurer la survie de l'espèce - mérite que nous acceptions de nous consoler de notre soif d'absolu en absorbant toujours de plus grandes quantités d'eau salée ?Comme le disait Orroz,"tu n'es ni un monstre, ni un pervers, mais bien une victime de cette société trop permissive qui s'est laissée avoir par la "libération sexuelle" et l'invasion de la pornographie. Mais tu es aussi une victime consentante, et c'est cela qu'il faut d'abord traiter. Tu as fait le premier pas en venant sur ce Forum, à toi de faire tous les autres en te sevrant."
J'aime bien ce terme de victime consentante : il faut commencer par cesser de consentir, et continuer de commencer.En fait, j'ai le choix de ce que je regarde, et de comment je le regarde. Sauf si je regarde des images fabriquées pour me faire oublier que je ne puis combler mon trou à l'âme avec des images de muqueuses. Ou avec des prostituées obligées de louer leur corps pour survivre, et dont le sort est finalement moins enviable que le mien. 
L'idée, c'est que la gène de découvrir à quoi l'on participe, ce que l'on soutient en consommant des services sexuels, nous en détourne progressivement. Parce qu'on ne peut plus revenir en arrière, une fois que l'on sait. C'est le passage de la culpabilité à la responsabilité : je ne suis pas coupable de ma maladie, mais je puis devenir responsable de mon rétablissement.Dans les premiers temps du sevrage, le forum joue son rôle de programme méthadone, mais ne remplacera jamais un gros "lâchage de paquet" auprès d'un être humain en chair et en os. On ne peut pas s'envoler en tirant sur ses lacets.
D'autant plus que sur la planète Branlor, la gravité est très forte.Prends le temps de bien réfléchir au problème : combien d'années tu es prêt à vivre encore avec cette merde avant de te foutre en l'air de ne plus te supporter ? tu sais bien au fond de toi que tu n'es pas venu sur terre pour porter cette croix. T'as déjà eu ta dose.
En tous cas ce que je peux te dire c'est que tu es arrivé à temps ce matin et je t'en remercie. Parce qu'encore une fois je n'étais pas loin de replonger. Mais avant j'ai eu le réflexe de passer par ici, bien m'en a pris. C'est le grand bordel là dedans, je ne maîtrise rien et c'est pour cela que je parle de guerre. Parce qu'en interne c'est la guerre ou en tous cas ce n'est pas la paix intérieure!Tu as raison, je souffre terriblement mais pas seulement du porno ou du sexe : de la vie tout simplement! Je ne crois pas que se donner des ultimatums c'est juste  et surtout c'est sans doute inefficace. Mais depuis le temps que je cherche la solution je ne sais plus trop quoi faire!Plus je m'informe ou tente de m'informer et plus je semble m'éloigner de la solution et de la guérison. Le sevrage c'est une gymnastique, une simple gymnastique pour ne plus être accro au sexe. Mais ma question est celle là et si le problème n'était pas là mais bien ailleurs ?  Le dégoût de la vie et de soi par exemple, est ce que cela aura un résultat positif pour  vivre mieux ou en paix ? 

Bon sur ce je suis en sevrage et je continue même si je vais toujours aussi mal.

Citation :La question que je me pose est non pas de fuir ou de renoncer. Mais ne vaut il pas mieux accepter d'être ce que l'on est que de se battre perpétuellement à contre courant et d'y laisser toute sa force.
 Comme dit précédemment et je le pense vraiment. C'est radicale comme avis et tu risques de le regretter amèrement. Quand je lis vos confessions ça me fait du bien. Ca me fait penser à mon père avec qui je ne parle pas énormément. Tu vois, ça m'est arrivé de rentrer dans son bureau de travail et de voir son écran d'ordinateur caché. Un autre jour, je suis allé sur son PC et j'ai vu des liens bizarres, voir sur son navigateur où l'historique n'ai jamais enregistré... Je me doute bien que ce n'est pas pour me cacher qu'il va m'offrir des cadeaux de noël. Quand j'y pense, je crois que si je ne souhaite pas changer j'aurais commis les mêmes actions. Tu vois vivre caché un peu, en cachant mes slips souillés, mon écran d'ordinateur, en ayant peur à chaque fois que quelqu'un rentre dans ma chambre sans tocké... Depuis que je recommence le sevrage et l'arrêt du porno, je sens déjà les changements positifs. Déjà, mes draps ne sont pas souillés ; j'use moins d'énergie en me masturbant devant des films, du coup je transpire moins et ma chambre sent moins mauvais ; je recommence à regarder les filles autrement, en sentant leur parfum, en voulant les connaitre d'avantage... Dire que ce ne sont que les premiers jours, alors j'imagine ça dans deux ans voir trois. Ca ne m'empêche pas non plus de faire des blagues bidons sur le sexe sans pour autant avoir envie de regarder des pornos. Si je suis sûr d'une chose c'est qu'il faut s'accrocher au positif. Relis un coup les 100 raisons d'arrêter le porno, ça va te faire du bien et tu te reconnaitras dans certaines. Je les lis régulièrement et je peux te dire que ça me fait du bien ! Et ça me donne envie de reprendre conscience, de me dire que je peux contrôler ce qui se déroule autour de moi. Je me suis confié à un ami à ce niveau là, en lui disant que je voulais déjà moins regardé de pornos. Il ne m'a pas regardé de travers et m'a même compris.

De plus, je suis sûr d'une chose. Les dépendants, il y en a plus que ce qu'on croit. De nombreuses personnes admettent regarder des pornos, d'autres moins et le font tous les jours et ils se cachent. Nous au moins, même si quelque part on sa cache. On voit qu'on a envie de changer quelque chose, on ressent la nocivité de la chose. On espère voir quelque chose de meilleur. J'ai envie de croire en ça. Je sais que je rentre dans ma phase --> Argumenter pour lutter pour mes idées, mais quelque part ça m'aide à y croire ! Sur ce, ne soit pas malheureux. Je suis persuadé que la vie à plein de choses à t'offrir, même s'il y a des hauts et des bas. Accroit justement tes chances pour avoir d'avantage de hauts ! Comme tout le monde, tu as le droit être heureux Bob. Des enfants ça aide, une VRAIE femme que tu peux toucher, un plaisir altruiste ça y contribue aussi. Bon courage. Je remarque également, que j'ai plutôt le réflexe de passer un coup sur le forum plutôt que d'aller regarder un porno. Ca me rappelle les raisons de mon combat. Toutefois, je n'ai pas envie de remplacer une addiction par une autre Tongue.

Citation :La question que je me pose est non pas de fuir ou de renoncer. Mais ne vaut il pas mieux accepter d'être ce que l'on est que de se battre perpétuellement à contre courant et d'y laisser toute sa force.
 Comme dit précédemment et je le pense vraiment. C'est radicale comme avis et tu risques de le regretter amèrement. Quand je lis vos confessions ça me fait du bien. Ca me fait penser à mon père avec qui je ne parle pas énormément. Tu vois, ça m'est arrivé de rentrer dans son bureau de travail et de voir son écran d'ordinateur caché. Un autre jour, je suis allé sur son PC et j'ai vu des liens bizarres, voir sur son navigateur où l'historique n'ai jamais enregistré... Je me doute bien que ce n'est pas pour me cacher qu'il va m'offrir des cadeaux de noël. Quand j'y pense, je crois que si je ne souhaite pas changer j'aurais commis les mêmes actions. Tu vois vivre caché un peu, en cachant mes slips souillés, mon écran d'ordinateur, en ayant peur à chaque fois que quelqu'un rentre dans ma chambre sans tocké... Depuis que je recommence le sevrage et l'arrêt du porno, je sens déjà les changements positifs. Déjà, mes draps ne sont pas souillés ; j'use moins d'énergie en me masturbant devant des films, du coup je transpire moins et ma chambre sent moins mauvais ; je recommence à regarder les filles autrement, en sentant leur parfum, en voulant les connaitre d'avantage... Dire que ce ne sont que les premiers jours, alors j'imagine ça dans deux ans voir trois. Ca ne m'empêche pas non plus de faire des blagues bidons sur le sexe sans pour autant avoir envie de regarder des pornos. Si je suis sûr d'une chose c'est qu'il faut s'accrocher au positif. Relis un coup les 100 raisons d'arrêter le porno, ça va te faire du bien et tu te reconnaitras dans certaines. Je les lis régulièrement et je peux te dire que ça me fait du bien ! Et ça me donne envie de reprendre conscience, de me dire que je peux contrôler ce qui se déroule autour de moi. Je me suis confié à un ami à ce niveau là, en lui disant que je voulais déjà moins regardé de pornos. Il ne m'a pas regardé de travers et m'a même compris.

De plus, je suis sûr d'une chose. Les dépendants, il y en a plus que ce qu'on croit. De nombreuses personnes admettent regarder des pornos, d'autres moins et le font tous les jours et ils se cachent. Nous au moins, même si quelque part on sa cache. On voit qu'on a envie de changer quelque chose, on ressent la nocivité de la chose. On espère voir quelque chose de meilleur. J'ai envie de croire en ça. Je sais que je rentre dans ma phase --> Argumenter pour lutter pour mes idées, mais quelque part ça m'aide à y croire ! Sur ce, ne soit pas malheureux. Je suis persuadé que la vie à plein de choses à t'offrir, même s'il y a des hauts et des bas. Accroit justement tes chances pour avoir d'avantage de hauts ! Comme tout le monde, tu as le droit être heureux Bob. Des enfants ça aide, une VRAIE femme que tu peux toucher, un plaisir altruiste ça y contribue aussi. Bon courage. Je remarque également, que j'ai plutôt le réflexe de passer un coup sur le forum plutôt que d'aller regarder un porno. Ca me rappelle les raisons de mon combat. Toutefois, je n'ai pas envie de remplacer une addiction par une autre Tongue.

Merci Nev,Bon je commence par une mauvaise nouvelle j'ai replongé aujourd'hui en allant sur un site porno.Quand je dis que c'est une mauvaise nouvelle c'est très relatif parce que vos paroles me disant de ne pas entrer en guerre prennent maintenant pour moi tous leur sens. Je me suis aussi vraiment rendu compte que ces images ne me procuraient ni plaisir ni apaisement  une fois consultées.J'ai voulu me lancer un défi et évidemment je comprends que c'était la meilleure chose à faire pour retomber dedans!J'ai voulu aller trop vite et fais preuve d'impatience. Je vais donc reprendre mon sevrage à zéro peut être mais en ayant appris de ma chute. Bizarrement il a fallu que je tombe une deuxième fois pour comprendre tout le sens de cette rechute.Aller on remet le compteur à zéro avec un état d'esprit plus apaisé et aussi en ayant appris sur mon addiction.
Ouais repart sur un bon point. Le plus grave ce n'est pas de rechuter. Des pulsions sexuels on en a tous. Mais l'essentiel c'est d'en tirer le positif pour mieux apprendre pourquoi tu as chuté, pour ensuite t'améliorer !
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