Dépendance sexuelle

Version complète : j'ai la guimauve qui me démange ... alors j'me gratte un p'tit peu !
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ça me soulage et ça s'arrange, mais ça n'fait pas trés sérieuxpardonnez-moi, c'est trés étrange, Mais c'est un cercle vicieux....j'ai la guimauve qui me démange ....alors j'me gratte un p'tit peu !!!!allez, départ en musique, envoyez la fanfare, cottillons, majorettes, et tout tralala.Suis pas fan du chanteur qui à écrit ça , en plus il était déjà vieux quand j'étais encore jeune, j'imagine que les moins de 25, ils ne vont rien capter....bon !!! mais bon, il me fallait démarer et dédramatiser, aprés tout, si on est ici, si on en est arrivé là, c'est pas un drame, c'est une trame. Et en vérité je vous le dis : il vaut mieux écrire ici et maintenant, que se détruire là-bas depuis trop longtemps !!! p't être la faire breveter celle là !? bof, non aprés tout, mon égo à la grosse tête et je me suis aperçu que sur le site, il y a des gros membres, bien actif, qui n'ont pas la langue dans leur poche.... et c'est tant mieux.Moi, Félipé Gonzalés de Los Angeles, prochainement quadra (poussez pas derrière, chacun son tour) , m'en vait en guerre, la fleur au fusil, contre cette bullshit de vice .y'a aucune raison pour continuer ce gaspillageallez couragebonjour à tous et toutesForce
Et si, les moins de 25 (ou du moins certains) comprennent.Je passais juste te souhaiter bon courage, puisque visiblement tu n'as pas de question....Oh, et si par hasard tu étais à un moment tenté... n'oublie pas que RIEN ne justifie d'aller au "pays des merveilles"  Good luck (you'll need it)! 
salut Just2help, ben oui, sorry, pour les - de 25, je ne voulais offenser personne. Simplement que c'est le refrain d'une chanson "vintage" alors je m'étais dit que les plus jeunes ont moins de chance d'avoir ce type de référence, mais bon, pardon si je me suis trompé.merci pour ta réponse et tes encouragements, je découvre le site en même temps que je prends conscience de mes problèmes. Comme j'expliquai à Thump, pas fastoche d'en parler à des professionnels qui comprenne ... (pardon, je vais juste faire un copier coller pour cette partie et la mettre là ... petit gain de temps)  :  En effet, trouver un professionnel compétent ... ou plutôt qui comprend n'est pas chose facile. Nombre de généraliste et de psy à qui j'ai déjà parlé de mes "petits problèmes" pour m'entendre répondre : "en quoi est-ce un problème, pour vous ?" ... Heu !!! Mais c'est vrai Docteur, se branler jusqu'à 3 fois par jour, passer des heures vrautré devant du porno débilisant, avilisant et j'en passe, se renfermer sur soi et remettre les choses à faire plus tard, ....aprés tout, rien de plus commun, n'est-ce pas ? Ben merci Docteur, combien je vous doit ... Ha bon !!! pas donné hein !! Allez, courage... fuyons ! bon bref, j'ai déjà "réclamé" des cachets pour m'aider, mais ça me rendait un peu mou ! oui mais pas seulement niveau du kiki, c'était toute mon attitude que je trouvais "endormi". Déjà qu'en temps normal c'est pas top !!! alors s'il faut reppasser par là, aprés tout ok, (d'ailleurs je vois mon généraliste dans quelques jours) mais je me souviens aussi qu'au bout d'un certain temps, disons 1 semaine environ, quand j'urinait, du sperme coulait à la fin !!! ...Faut qu'sa sorte maybe ? ou alors je n'ai pas persévéré suffisament ... d'autant plus que sous médic, j'avais des furieux fantasmes...récurrents !!  bon, rebref, depuis deux jours, je n'ai pas été aux "pays des merveilles immondes", pas de porno... remplacé par la visite de sites qui traite du sujet d'addict, la lecture "innachevé" de témoignage sur ce site (bravo d'ailleurs .... vraiment tous mes encouragements car, ouf, on n'est plus seul dans ce bourbier !), et donc enfin, mon inscription, additionné de quelques lignes, un peu brouillonne peut être ; MAIS,  malheureusement, je l'avoue, depuis deux nuits, je me réveille à 4h et, je ne resiste pas à une MB ...       Ah seigneur, la route est longue et pleinne d'embuches ....bonjour chez vous
Il me semble (mais c'est pas sûr hein!) qu'il est nécessaire d'éjaculer (Une fois par semaine est tout à suffisant).Si tu en ressens le besoin, t'as compagne est l'idéal dans le cas où tu en as une, et sinon, la masturbation est la dernière option (mais sans porno et sans PENSER aux pornos).Il faut se rendre compte que l'on se fait plaisir à soi et non pas à quoi que ce sot d'autre. 
Bonjour. JustTohelp, tu arrives sur ce site en te présentant comme un ancien dépendant rétabli, qui vient ici pour "aider les autres" en apportant ton expertise. Pourquoi pas, mais tu ne commences pas par exposer ton parcours à toi. Et voilà qu'aujourd'hui tu déclares que l'éjaculation est une nécessité, un besoin, et que la compagne est ce qu'il faut utiliser en priorité pour cela, avant le kleenex... En prônant peut-être que d'éjaculer sans fantasmer (pensée porno) fait une différence avec éjaculer avec ces pensées, support ou pas... Peux-tu développer cela stp? D'abord, conseiller d'utiliser sa compagne comme vide-couilles est un peu choquant, ensuite brandir le "besoin sexuel" semble un peu incompatible avec l'absence de dépendance sexuelle, sujet dont ce forum s'occupe. La définition de base de la dépendance c'est qu'on ne peut pas s'en passer non? Et tu commences ton post par dire que tu penses qu'il est nécessaire d'éjaculer... Or il y a un certain nombre de personnes qui se rétablissent sans masturbation ni rapport sexuel, sans "vidange" et n'en sont pas spécialement incommodés, je dirais même que c'est le contraire... J'ai plutôt l'impression que le peu de dépendants qui s'en sortent le font après avoir conclu que toute masturbation est à proscrire, comme un petit verre de cidre serait extrêmement dangereux pour un ancien alcoolique ou un alcoolique en sevrage. Je peux moi-même témoigner qu'une "innocente" MB en appelle rapidement une deuxième, et ainsi de suite, et peut mener à la rechute, même après des mois de sevrage échus.  
"JustToHelp". Donc tu viens "Juste pour aider" c'est ça ? Mondom l'a déjà dit, mais j'en rajoute une couche parce que ça va bien 5 minutes ce genre d'histoires. Il y a déjà eu des tonnes de discussion sur ce forum sur la prétendue nécessité de la masturbation. Il n'y a qu'une seule chose qui fasse taire les argumentations à deux balles basées sur les "particularités de la libido masculine", ou le fait qu'il n'y ait rien de "mal" à cela, ou le fait que "chacun a sa méthode" ... une seule chose disais-je : l'expérience. Bizarrement, ceux qui s'en sortent ont laissé tomber depuis longtemps la masturbation sous quelque forme que ce soit ( à une ou deux exceptions près, comme toujours, mais l'exception confirme la règle n'est-ce-pas ? ). Alors répétons-le une fois encore, tout en sachant que cela ne suffira pas : la masturbation n'est en rien nécessaire, on peut très bien s'en passer, même à vie. Personnellement, après presque un an sans m'y adonner, elle ne me manque toujours pas en tant que telle. J'ai connu le manque dû à la porno-dépendance, ça oui, et ça s'est franchement calmé après les trois-quatre premiers mois. Parfois il m'arrive d'avoir des rêves érotiques, et de me retrouver le froc humide le lendemain, et c'est de plus en plus rare je crois bien. Et c'est tout. Pas de couilles qui gonflent, pas de sperme à la miction, pas d'irritations du scrotum, de pressions ressenties au niveau du bas-ventre, d'hypertrophie de la prostate qui nécessiterait des massages ou que sais-je encore qu'on irait inventer pour se donner de bonnes raisons de se branler.Dois-je rappeler aussi que les obsessions auxquelles un dépendant sexuel ( en sevrage ou non ) peut être sujet sont dues aux méfaits de sa dépendance sur son psychisme et non à un besoin masculin de se vider les burnes régulièrement ... ?
Je vous présente mes excuses, je n'aurais pas dû m'exprimer ainsi.Je me suis sortit du porno en continuant de me masturber sans y penser, mais visiblement vous avez fait complètement différemment, veuillez m'excusez.Je ne propose pas la compagne comme "vide-couille", mais simplement, si la personne éprouve un désir sexuel au lieu de se masturber.... mais je vais déjà trop loin, j'ai oublié que le problème est justement l'addiction au porno qui empêche d'avoir une relation sexuelle saine ou de se retenir. Excusez-moi. 
Le problème n'est pas la masturbation en elle-même. Le problème n'est même pas la pornographie. Le problème c'est l'état de déséquilibre dans laquelle une personne se trouve parce que des besoins fondamentaux ne sont pas assouvis. A la nécessité de ces besoins personne n'échappe. Sans gravité, air, eau, nourriture, c'est la mort rapide. Sans contacts sociaux, sans amour, sans affection, sans reconnaissance, sans rapports physiques (y compris sexuels -selon le sexe l'age et la constitution de la personne), l'être humain va subir des états de carences et de déséquilibre plus ou moins graves qui se manifestent sous forme d'angoisses, de terreurs, de fureurs, de comportements nuisibles. C'est une tentative d'établir ou de rétablir une homéostasie physique et psychique. La genèse des addictions, c'est la capacité du comportement ou de la substance addictive à donner la sensation -temporaire- d'une homéostasie. Sa dangerosité vient du fait que cette homéostasie, elle n'en donne que la sensation, sans pour autant l'établir. Au contraire, le propre d'une addiction est d'accroitre les déséquilibres. Donc d'apparaitre comme LE moyen pour faire disparaitre les souffrances générées par les déséquilibres, etc. L'addiction ne résout pas un état de déséquilibre, elle l'accroit. Il faut donc la stopper. Mais cesser une addiction n'est absolument pas suffisant pour installer une homéostasie satisfaisante. Pour cela, il faut avoir les moyens de satisfaire ses besoins fondamentaux -qui eux même évoluent (cf Maslow).
Citation : thump a écrit: Sans contacts sociaux, sans amour, sans affection, sans reconnaissance, sans rapports physiques (y compris sexuels -selon le sexe l'age et la constitution de la personne), l'être humain va subir des états de carences et de déséquilibre plus ou moins graves qui se manifestent sous forme d'angoisses, de terreurs, de fureurs, de comportements nuisibles. C'est une tentative d'établir ou de rétablir une homéostasie physique et psychique.
Mais le problème avec ce genre de notions, c'est qu'on peut y entendre ce que l'on veut selon le moment, et le dépendant sexuel en manque, on sait bien ce qu'il va entendre quand tu parles du "besoin d'affection et de rapports physiques" ... Je trouve un peu excessif de parler de nécessité pour ce qui du tient du sexe, cependant. Pour ma part je n'ai jamais eu de rapports sexuels, et je dois dire que ça ne m'a jamais laissé aussi indifférent que depuis que je me sèvre ; on en conclura ce qu'on voudra ... La libido c'est une chose, mais il y a des voies de sublimation à tous les degrés, et on peut transformer le désir du sexe opposé en poèmes, en pièces de théâtre, en musique, en peinture, etc ... Si on en est arrivés là, c'est effectivement en partie à cause de carences acquises durant notre histoire personnelle, mais il est important de refermer de nombreuses portes pour ne pas prêter à confusion quand on parle de "rétablir une homéostasie physique et psychique". Quand tu parles psycho en dilettante d'accord, mais le tox du cul qui passe sur le forum, lui, il se peut bien qu'il trouve là-dedans une excuse de plus à ses comportements compulsifs ( puisque des excuses, une partie de lui-même en cherche constamment ). C'est chiant mais c'est comme ça ...
 Je crois fermement que les rapports physiques, y compris les rapports sexuels,  sont nécessaires à mon épanouissement. Et je ne suis certainement pas le seul dans ce cas là -je veux dire d'avoir besoin de rapports sexuels pour s'épanouir. Maintenant, je peux bien sûr préciser que ces relations sexuelles doivent être consommées dans un cadre comprenant une intimité, une confiance, et affectivité suffisante pour....Ce ne sont que des mots. Je veux bien les écrire, mais ce ne sont que des mots. Et là, ils me frappent par le poids de leur futilité. Bien sur que baiser à droite à gauche pour s'étourdir ce n'est pas bon. Tout le monde le sait, je pense. Par contre,  ce n'est pas un état pathologique que de ressentir l'envie d'avoir des relations sexuelles ; et ce n'est pas nuisible d'en avoir......si c'est hors d'une dynamique d'addiction bien sûr !La période de sevrage est là justement pour affaiblir l'addiction au point où le sexe peut être autre chose qu'aliénation. Après à chacun de choisir librement -et de manière à rester libre- les modalités de vécu de sa sexualité. Que des tox comme moi puissent lire de travers ce que j'écris, et s'en servir pour compulser, c'est possible et c'est dommage. Mais je ne dis rien là de très particulier et absolument rien de malsain.  Le sexe c'est un déterminisme biologique, c'est une nécessité vitale (pour la perpétuation de la vie, je veux dire), et c'est un grand plaisir lorsqu'on le vit en liberté et en union avec un partenaire. Il faut pas l'oublier. Et d'ailleurs lorsque l'on fait la comparaison entre la misère de la masturbation solitaire devant les films de boules avec la joie de l'union avec une femme pour qui on a au moins de l'affection, et bien on a vraiment envie de s'arracher à l'enfer que l'on vit dans la compulsion.  
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