Dépendance sexuelle

Coucou toi, Ben moi je vais dire je suis contente si t'en contente de me voir....Le "non non  garde tout ta jupe tes bas ton soutif et ta chemise c'est plus excitant" c'est vrai que c'est limite quand même... Au début tu te dis ouai bon aller si tu veux même si c'est vraiment pas pratique du tout et que y rien d'excitant là dedans... Au contraire moi ça m'énervais de m'emmêler dans tout ces vêtements.... Et puis franchement c'est comme si on leur disait: Ha oui j'ai trop envie de toi de faire un câlin mais tu sors juste ton zizi par la braguette de ton pantalon je trouve sa terriblement excitant... Moi qui j'y pense je dis qu'on devrait leur faire le coup à chaque fois pour voir comment ils réagissent....Pour la douleur c'est vrai que c'est bizarre.. moi j'ai eu l'impression qu'elle venait petit à petit. Plus je voyais ce qu'il faisait et plus j'avais mal lors de nos relations... un peu comme une carapace je dirais...Bon je laisse la place parce que avec mes tartines j'arrête pas... Bisous à toi aussi je ne manquerai pas d'embrasser le petit de ta pars a bientôt  

pour les vêtements oui, çà prend vite le pli, du "j'aime  pas çà sinon" j'aime pas les corps nus, (donc les carresses il  ignore) exacetement ce que tu dis, sors ton truc , c'est pareil, pas de préliminaires, connait pas, c'est tout à fait réprésentatif du film porno, les nanas disent bonjour et se retrouvent jonchées et prise de partout, merci tout çà hein, si bien que pendant un moment je voulais casser cette image, qui l'attirait juste par l'excitation,,, car en pantalon, pas de regard, en jog, encore moins! j'évitais donc tout ce qui pouvait faire penser à la chose pour LUI, c'est fou quand même, alors que normalement, on se fait coquette, etc, pour plaire à son homme, mais tout çà m'a tellement gavée, que voilà, le trop plein avait été franchiIl en est à penser que les femmes à l'éxtérieur, portent des robes et des juppes , pour juste du sexe,,,,,,,,,,,comme quoi çà grille grave les neuronnes qui tempèrent tout cela,pourtant, nous on met ce qu'il se fait?on prte ce qui nous plait, mais toute cette invasion de déviation, tout ce qu'ils ingurgitent, n'ont fait de lui qu'un éxécuteur à mettre en oeuvre des délics sexuels,,,c'est pathétique,

C'est vrai ça on fini par s'habiller comme des sacs à patate juste pour être sur qu'il ne va pas nous toucher. Rien que d'y penser sa me donne la chaire de poule. On fini par ce refuser toute forme de féminité. Les talons t'oublie pareil pour les jupes les robe les bas j'en parle même pas.... Parce qu'il ont tellement vite fait de faire le recoupement jupe= sexe  bas=cul  robe= baise....Ben moi en tout cas maintenant je lui dis merde. Si je veux mettre une jupe avec des bas et des talons je ne me prive pas.  Et si je le vois avec son regard tout mielleux s'approcher de moi c'est même pas la peine je lui mets sa cage hihi.... Y en a marre moi j'ai besoin d'amour  des bisous des câlin j'en veux tout les jours..... ( juste une pointe d'humour ben oui je m'appelle laurie alors....) 

de même pour moi! je m'appelle presque Laurie aussi!le pire est quand il pense que si je pars travailler, en robe ou juppe, c'est que je pense au sexe, doit penser que tous les hommes pensent comme cela, çà cloisonne beaucoup cette dépendance, elleest de loin aussi celle qui meurtrit le plus les conjointes n'est-ce pas?j'en sais quelque chose avec SES dépendances, maiscelle-ci elle est devenue avec le temps imbuvable totalementbises!

Certainement qu'au bout d'un moment ils doivent penser que leur façon d'agir en terme de sexe est tout à fait banale et normale.... Alors oui s'il pense qu'une fille en jupe c'est une fille qui veut du sexe pourquoi les autre ne penseraient-ils pas comme ça!!!!!!!!  Mais du coup on est quand un peu prise pour des SAL****PE.... Et ça ne fait que renforcer l'image déjà très médiocre que l'on fini par avoir de nous....  Je ne sais pas si cette dépendance est celle qui meurtrie le plus les conjoint(e) je n'ai pas de moyen de comparaison ( grand bien m'en fasse!!!!) mais une chose est sur c'est que l'on n'est pas épargné.... loin de là.... Mais ce qui fait, je pense, la particularité de cette dépendance c'est que l'on est directement touché, physiquement, moralement, c'est comme si un alcoolique forçais sa femme à boire... Enfin je suis pas sur de mon coup là mais c'est un peu ce que je ressens.... Bises  

d'un poète Libre Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai compris qu'en toutes circonstances, j'étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j'ai pu me relaxer. Aujourd'hui je sais que cela s'appelle… l'Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n'étaient rien d'autre qu'un signal lorsque je vais à l'encontre de mes convictions. Aujourd'hui je sais que cela s'appelle… l'Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J'ai cessé de vouloir une vie différente et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle… la Maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai commencé à percevoir l'abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d'obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment… Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle… le Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai commencé à me libérer de tout ce qui n'était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l'égoïsme. Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle… l'Amour propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé d'avoir peur du temps libre et j'ai arrêté de faire de grands plans, j'ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aime quand cela me plait et à mon rythme. Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle… la Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd'hui, j'ai découvert … l'Humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir. Aujourd'hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s'appelle… la Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient une alliée très précieuse ! Tout ceci, c'est… le Savoir vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter. Du chaos naissent les étoiles. Charlie Chaplin