Dépendance sexuelle

Version complète : Plein d'erreurs...que faire ?
Vous consultez actuellement la version basse qualité d'un document. Voir la version complète avec le bon formatage.
Pages : 1 2 3
dame mondomette devrait plutot voir ca comme un compliment, c'est elle l'élue ;-)
Sarriette,Il n'est donc pas suivi ? Je crois que comme beaucoup la volonté ne suffira pas.. Il veut s'en sortir c'est sur !! Mais sans l'aide d'un professionel, je pense qu'il n'y arrivera pas.. Il faut à mon sens taper a plusieurs portes.. Les médicaments ou anxiolitiques peuvent être une 1ère aide.. parce que l'addiction révèlent un mal-être et cache une dépression chronique.. L'aide ausi des AA aussi.. d'un addictologue pour comprendre les mécanismes, d'une psy, parce que les origines de la dépendance se trouvent dans l'enfance principalement, voire dans la relation aux parents, après beinsur viennent se greffer d'autre chose mais voilà.. y voir clair.. Je crois qu'il ne faut négliger aucune de ces aides..Je sais que cela est dur a vivre pour une co-dep.. c'est pour ça aussi que je ne resignerais pas avec un dépendant...[img=../../../uploads/smil3dbd4d6422f04.gif" border="0]" width="15" height="15[/img] même un Mondom...!!! trop dur.. maintenant, je sais aussi que je suis dans la même situation que toi.. et que beaucoup d'autres et que je tatonne.. dans ma propre vie.. pour essayer de trouver la meilleure manière de vivre avec quelqu'un  de malade.. parce que c'est le cas.. malade psychiatrique (sans aucune volonté de choquer.. c'est cela..)Es tu suivi toi ?Courage..
de Mondom,,,,,,,,,, et c'est vrai que les co-deps ici dans l'ensemble ont affaire à des conjoints qui ne sont pas dans la même démarche que ceux qui font les mêmes efforts que les inscrits d'ici... Allez savoir pourquoi. Est-ce que le forum sert d'exutoire et fait que vous arrivez à supporter mieux la situation? En un mot, est-ce que le forum joue en la défaveur de votre situation et de celle de votre conjoint, en fait...? Cruelle interrogationc'est exactement cela que je cherche à exprimer, je n'avais pas la"bonne formule",,,,Oui Mondom, c'est çàEn fait en y reflechissant, on arrive ici, pour chercher les solutions pour lui, on est encore dans'je minimise" aussi tel que lui est,on apprend, on lit, on s'informe, on sait exactement par la lecture des posts de dépendants, ce que les notres pensent, on est sur le Q, faute , nous de le montrer,,,,,et on veut avancer pour eux, on veut leur donner les clefs, les motivations, qu'eux n'ont pas encore,,,,on vient déranger pèpère dans sa sphère,,,,trop tôt, trop vite, parceque souvent , les notres n'ont pas encore connaissance de ce qu'est un dépendance sexuelle,,,,,,,donc clashs, c'est inéductable,,,,,même si quelques fois les conversations , se calment autour de ce sujet, on rabat, on applique,,,,mettez un corail, et un tgv, en encore dans le sens contraire,,,,on n'est pas prêts de se croiseron supporte mieux la situation, dans la limite ou on voient d'apprendre que l'on est pas seule à ^^etre dans ce type de relationon supporte de moins en moins, quand on apprend ce qui peut se "faire" comme pratiques, de la part d'un dépendant,Re fouille, on en apprend d'autres,,,,,Puis redégonflage, on essaye de parler, on raconte ici, on se fait expliquer qu'on ne va pas assez vite dans nos résolutions,,,,, qu'il ne comprend rien, qu'il est borné, ou vraiment trop atteint, pourquoi tu ne le quittes pas, pourquoi l'as tu quitté,,,,,çà je pense que même nous n'avons pas toujours les réponses,ce que l'on  est venues chercher est peut-etre juste à un moment donné, savoir peut-etre vivre avec , mais bon, chaque dépendant a ses penchants, si l'idée générale est bien fondée, même deux dépendants entre eux, n'auraient pas les mêmes façons de procéder pour s'aider à stopper, à se sevrer, les déclics c'est pas automatique, c'est comme les antibiotiquesà nous de comprendre le temps temps qu'on à à donner en attendant celui-ci, si jamais il vient un jour, mais on ne peut pas appyuer sur on bouton qui n'a qu'une seule touche OFFaprès çà, bah, c'est vraiment propre à chacune,,,les limites, l'usure la fatigue,,,,,on a aimé je pense ou on aime encore l'être SANS les dépendances,  l'autre souvent on ne le connait pas
Citation : free a écrit: ,,,,,on a aimé je pense ou on aime encore l'être SANS les dépendances,  l'autre souvent on ne le connait pas 
C'est tout à fait ça Free. Je retrouve mes pensées et mes mots. J'ai incité mon mari à me parler en lui disant qu'il était important pour moi de continuer à le connaître...( sans résultat mais bon )

 J'avoue que si je retrouve des choses proches de ce que je vis, je ne retrouve pas tout non plus. Loin de là.  

Merci Lia pour ta réponse ! Mais pour faire tout ce que tu dis, encore faut-il vouloir prendre conscience qu'il y a un vrai problème. La plupart du temps, je crois que tout est "contenu" et seulement parfois, ça devient envahissant. C'est uniquement quand ça déborde qu'il a conscience de ce qu'il fait et de ce qu'il pourrait perdre. Alors ça le calme. Mais pour combien de temps ?

Et moi, non, je ne vais pas voir de psy. Je me sens incapable d'aller parler de ma vie privée à quelqu'un que je risquerais de croiser dans la rue en fait ! C'est sûrement idiot.

Pour revenir sur le mot de Mondom et celui de Free.. Ce n'est pas le fourm qui joue en notre défaveur.. c'est NOUS MEMES.. tout court.. si on est là, sur ce forum... c'est qu'on est encore dans le role de l'infirmière.. Nous cherchons NOUS des solutions a LEURS problèmes.. Du coup, en étant là.. encore présente.. on arrive a réduire l'impact de leur dépendance sur leur vie.. Je veux dire que l'on instaure malgré tout un petit cadre à leur vie.. Ce petit cadre quand il disparait (ex: on se barre épuisée par tant de ..[img=../../../uploads/smil3dbd4e1748cc9.gif" border="0]" width="31" height="20[/img]), il reste eux avec leur maladie... qui prend toute la place (car il ne gère plus rien..) et alors là, sans personne sur qui renvoyait la faute, avec leur dépendance qui prend toute son ampleur.. qui devient un réel gouffre.. ils n'ont plus d'autres choix que de faire face et de se rendre compte des dégats...Pour Sarriette, mes conseils n'en sont pas.. Dans le sens où toi seule sait ce que tu peux supporter et si oui ou non tu as besoin d'aide.. Pour la psy, je peux t'assurer que je n'ai n'y honte, n'y culpabilité à déballer ma vie.. Elle n'est pas si sombre que cela et finalement, je me suis rendue compte que j'en avais bien besoin.. après c'est vraiment chacun son ressenti..[img=../../../uploads/smil43aa2265b9a94.gif" border="0]" width="25" height="15[/img]
Merci Lia.
Citation : Sarriette a écrit: ?Et moi, non, je ne vais pas voir de psy. Je me sens incapable d'aller parler de ma vie privée à quelqu'un que je risquerais de croiser dans la rue en fait ! C'est sûrement idiot.
 Moi je ne croise jamais ma psy dans la rue. C'est domage car ca me ferait vachement plaisir car j'ai une admiration sans borne pour elle. Je crois que c'est le plus beau métier du monde ( pour ce qu'elle apporte j'entends car pour elle c'est super hard)
idem !!! beaucoup de respect !!
Pages : 1 2 3
URLs de référence