Dépendance sexuelle

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le lien dont je vous parlais.. il y a des choses qui peuvent aider je crois..http://www.redpsy.com/infopsy/alcoolisme.html
Lia,Je suis d'accord avec toi:il faut s'occuper de soi...Je ne m'enferme pas au contraire...Quant au fait de ne pas le ménager pour ma part il s'agit d'être franc l'un envers l'autre,nous nous sommes rapprochés par le dialogue...C'est comme ça que nous reconstruisons une relation de confiance...Je ne le méprise pas,c'est un homme tendre,aimant et attentionné...Il sait ce qu'il me fait endurer....Il connait mes limites....Et pour autant je ne suis pas dure avec lui consciente qu'il s'agit d'une pathologie...Bien sûr il y a des hauts et des bas,des doutes,des larmes,des images dégradées de lui...Il connait les enjeux,il a les cartes en mains...Mais c'est son combat moi je reste son alliée![img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil43aa2265b9a94.gif"[/img]Léa,Je comprends tes doutes,il faut libérer ton esprit et ton corps du fardeau qui n'est pas le tien...on ne peut qu'aimer quelqu'un qui est bien dans sa peau![img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil43aa22f1216ce.gif"[/img]
Bonjour à tous, Je ne m'attendais pas à avoir autat de réponses et autres. Merci.J'avais fait une longue réponse à Mondom après qu'il ait posté mais je n'ai pas réussi à la poster... Je n'ai pas recommencé. Rien que la lecture des posts, ça prend un temps fou.Je ne comprends toujours pas pourquoi je connais toutes les arcanes du sevrage, les techniques et les outils, mieux que lui... Enfrin, si je comprends : dépendance affective.Mais franchement, qui n'est pas atteint de ce type de dépendance ?Bref, le long post que j'avais écrit pour expliquer que non, il est grave mais pas si grave. Les psys il connait. Il reconnait aussi qu'il a un profil de dépendant et même de polydépendant (shit, alcool, tabac et le reste). Il consulte une psychologue (psychothérapie d'inspiration analytique) depuis plus de 3 ans (après avoir écrémé je ne sais combien de psys sur ces 20 dernières années ou plus). Il multiplie les toubibs et autres. Depuis mars, il est sous AD et anxiolytiques (mais c'est un généralsite qui lui prescrit et qui n'est pas au courant de toutes ces conneries).Après avoir perdu le post réponse que j'avais fait, c'était en milieu de semaine dernière, nous sommes partis deux jours pour essayer de passer du temps ensemble... Je n'ai même pas abordé le sujet porno. Il sait que j'attends qu'il en parle. Ca a été énorme engueulade direct. Ct pas top le week end. :-( (ah oui, au passage, il vous emmerde tous, m'a-t-il dit) (depuis il est revenu dessus me disant qu'il avait dit n'importe quoi sous le coup de la colère, mais il n'a - que je sache - pas encore remis les pieds ici)J'aimerais quand même comprendre un truc, peut-être qqun peut-il m'expliquer un peu... J'ai beau lire partout, savoir que c'est une dépendance et que le porno est une drogue et tout ça, j'ai encore du mal à comprendre comment on peut faire ça :... A moins de déménager son vieil ordi bien lourd depuis un atelier situé dans le jardin à l'intérieur de la maison (ce qu'il a déjà fait plusieurs fois), il n'a plus accès au net. Lors de sa dernière rechute, j'étais présente à la maison. C'était la nuit et je dormais. Je suppose qu'il ne pouvait pas prendre le risque de déménager la bécane sous peine de me réveiller... Je ne sais pas... Toujours est-il qu'il s'est réveillé, levé, habillé, a pris la voiture, est allé jusqu'à un distributeur vidéo et a trouvé sa came. il faut vraiment en vouloir pour faire tout ça ! Et je me dis que dans ce processus, il y a mille et une étape où l'on peut stopper le processus justement. A le croire, cela faisait un mois et demi qu'il n'avait pas consommé.La dernière fois qu'il avait consommé remonterait à début juillet. A l'époque, grande première, il me l'avait dit. J'étais partie plusieurs jours chez des amis. Sur le coup, j'ai plutôt bien pris les choses. Ca m'a fait bcp de mal, bcp pleuré mais j'ai essayé de l'écouter, de l'encourager, etc... J'ai aussi essayé de l'aider à analyser sa rechute (évidemment des trucs cons : penses-tu que cela uarit été possible si tu n'avais pas encore eu tel logiciel sur ton ordi... penses-tu que cela aurait été possible si tu avais, comme tu l'avais dit, nettoyé et reformaté ton ordi....) dans ces moments là, j'ai l'impression qi'il est débile. Ce qui n'est pas du tout le cas. De plus, il connait une multitude de choses. Enfin, la théorie surtout. Bref, quelques jours après, je n'ai pas pu surmonté une pulsion. Je lui ai dit - sur un ton que je regrette - que j'avais vraiment besoin qu'il s'engage concrètement sur un sevrage acté et réel, qu'il travaille la question une à deux heures par jour (en lisant, réfléchissant, écrivant), qu'il poste chque jour sur le site, qu'il consulte un psy un peu mieux armé. A l'époque, il avait presque deux mois de vacances devant lui, avec quasi rien de prévu vu l'ambiance, il avait bcp de temps libre... Aujourd'hui, il dit qu'il a reçu une liste d'injonctions et que ce n'est pas possible, D'ailleurs, depuis cette date, le 14 juillet, il ne fréquente plus ce site. Il ne me parle plus de rien. J'ai découvert sa dernière rechute en fouillant (ce que je n'avais pas fait depuis fort longtemps). Il me dit que c'est la seule rechute qu'il a eu, depuis un mois et demi donc. Je veux bien le croire. Il a juré sur la tête de sa fille en soulignant qu'il ne m'avait encore jamais fait ce coup là. Il a déjà été capable de tellement de mensonges que je ne sais plus sur quel pied danser. De toute façon, je ne sais même plus si ça a de l'importance...Aujourd'hui, il dit qu'il veut me quitter, que c'ets la seule solution. (après être parti réfélchir quelques jours à ce sujet, puis revenu tout amoureux me disant que j'étais la femme de sa vie, blabla, ... ) On passe d'un extrême à l'autre sans cesse depuis des mois j'ai l'impression. Bref, selon ses mots, il ne veut plus avoir aucun compte à me rendre. C'est possible ça, de vivre avec qqun sans lui rendre des comptes ?Accessoirement, il me dit qu'il est en sevrage pour lui, qu'il le fait et le fera avec ou sans moi et qu'il ne veut pas me parler de tput ça. Il dit qu'au vu de ma réaction la seule fois où il a essayé la transparence, il ne me fait plus confiance. Qu'est-ce que j'aurais du faire ? Ecouter sans rien dire ? ??? je ne sais toujours pas quelle attitude adopter...Je sais par ailleurs qu'il a parlé de sa pornodépendance à un ami. Je trouve cela très positif pour lui.J'ai conscience d'être dans le contrôle et j'ai toujours des difficultés à réprimer des remarques au sujet de son hygiène de vie pire que déplorable. Il faut dire que de mon côté, et depuis plus dun mois désormais, j'ai amorcé un chemin inverse. Parce que j'en avais marre, parce que je voulais voir ce qu'est un sevrage, parce que je voulais lui prouver quelques trucs, je suis en sevrage tabagique depuis plus de quatre semaines. Depuis plus logntemps désormais, j'essaie de travailler sur le lâcher prise avec des exos de sophro dynamique et une sénace de méditation quotidienne. Depuis quelques mois aussi, je me suis remis à consulter une psy de mon côté. mais aujourd'hui, même si, encore une fois, je sens la fin proche, très proche, je n'arrive pas à lâcher prise, je n'arrive pas à m'y résoudre.je n'arrive pas encore à me convaincre que tout ça est archi pourri, qu'un servage est hyper long, et que cela prendra bcp de temps même après qu'il ait commencé à consulter ce psychiatre spécialisé dans les polyaddictions et addictions sans drogue...j'ai l'impression qu'il a tellement d'atouts que ce problème pourrait être réglé vite. Alors je m'accroche. Et en attendant, ma vie passe... Courage à tous,
J'ai un immense sentiment de caIque de ma vie, Freedom, et je ne sais quoi te dire, à part, étant dans Ie meme cas, et ce que je viens de Iire à voir Ie nombre d'années, de suivi pour Iui,je ne peux pas immaginner 20 ans de suivi pour en arriver Ià,,,je parIe de Iui, et bien sur tu es dans sa vie de chimères, donc de toi, de ce que vous vivez, ou pIutot ne vivez pas,Ie déni est apparemment présent, meme trop, c'est si dir de se regarder face à son propre miroir,J'ai arreté de fumer dans Ie passé, vouIant Iui montrer que soit , c'était dur dur, mais que c'était possibIe,,,,idem pour toi, je n'ai pIus jamais pris un apéro avec Iui, car çà ne s'arretait pas chez Iui,,,c'était une pompte à amorce, donc, jus de tomate, et j'en passe, pour ne pas tenter Ie diabIe, çà n'a servi à rien, j'ai fait tout çà Iorsque j'étais à fond dans mon pseudo passage amoureuse , prete à tout faire,,,,je pense, femme de dépendant, poIydépendant, oui aussi pour Ie mien, et je sais vraiment, de quoi tu parIes,,,pas de communication Ia pIupart du temps, crises de coIères de sa part, exprimant qu'iI n'a pas envie de parIer de ses probIèmes,,,,que sa buIIe est à Iui,Ie forum, pour Iui n'est que Ie début de ma détermination, meme çà, iI Ie hait, et pourtant je suis certainne qu'iI n'a jamais été voir, jamais,,,,,çà aurait pu etre une sorte de miroir, non, iI n'en n'a pas eu Ie courage je pense, iI hait aussi Ies personnes qui s'exprimment , ne comprend pas qu'on puisse faire çà,,,iI commence Ies séances psys?C'est Moi qui Iui ai demandé, donc, je n'ai pIus rien n'a dire par rapport à ses symptomes, çà ne me regarde pas, iI voit des pros, moi, je ne suis pas çà, forcément,(je parIe pour Iui)Je suis Ia dérangeante, ceIIe qui a essayé de Iui ouvrir Ies yeux, ceIIe qui se pIaint, ceIie qui ne comprend rien,moi, je me sens propre, j'ai été au bout, je en pensais pas en arriver à autant d'années, aIIer consuIter non pas pour soi, meme sur demande, ne fonctionne pas si Ie décIic ne s'est pas fait, je pense, ce n'est pas en y aIIant en trainnant Ies pieds ou en touriste que çà peut marcher,,,,mon avis, je suis en pIein dedans,,,,J"ai confiance en moi, mais à ce jour çà s'arrete Ià, je te souhaite vraiment de trouver une issue, de retrouver Ia forme, de te refaire au moins un mentaI d'acier, çà compte énormément, quoi qu'iI se passe,,,,,Bon courage et si tu veux parIer, n'oubIie pas Ies MP,,,,seront bienvenus,
Pffff....que de points communs entre nous quelque soit nos choix finaux, car c'est bien à nous de choisir... jus de tomate pour moi aussi ;-) ses expressions "ton site à la con" et "elles sont pathétiques et trop connes" s'agissant de ce site et ça le "elles sont pathétiques" a été le déclic pour moi, il parle de moi, s'en rend-il compte, a-t-il conscience que je suis pathétique de rester avec lui vu comme il me traite... comment peut-il me respecter si c'est ce qu'il pense de moi. C'est cette réflexion qui m'a fait faire ses premiers cartons, véridique, le déclic, son mépris  à travers "vous".Je vous souhaite bien du courageBizSophie
Salut freedom. Je suppose que, s'il a en effet mille et une occasions de stopper le procesus, eh bien s'il va jusqu'au bout c'est qu'il en est arrivé à la mille et deuxième...C'est comme quand on a un "fantasme" en tête et que, le porno et ses propositions d'incarnation et de "réalismation" aidant, on croit fort à ce fantasme et on s'imagine que le réaliser va être plaisant, comblant, et va permettre ausi de tourner la page dessus. Prenons un exemple stupide et extrême, afin d'éviter de trop s'y identifier et qu'il ne serve que sa fonction d'exemple. Imaginons que je manipule le fantasme de "le faire avec un escargot" (symbole sexuel puissant, hermaphrodite, blablabla). Je vais d'abord m'apercevor que cette idée mirifique m'excite, et me convient, m'excite et me permet de parvenir au plaisir MBatoire. Puis ce plaisir, l'accoutumance aidant, va s'émousser, et il me faudra aller un peu plus loin, ou plutôt aller plus près du fantasme, donc je vais par exemple chercher des photos pornos d'escargots, puis des vidéos etc..Ensuite, toujours parce que je n'ai pas eu mon orgasme à temps, j'irai m'inscrire sur des sites de rencontre spécialisés pour les escargophiles, rien que l'idée de m'y inscrire me permettra sans doute de "me finir" nombre de fois avant même d'aller au bout de remplir ma fiche, et puis arrivera le jour (on n'en est pas encore à 1001...) où je serai allé jusqu'au bout de cette inscription et pourrai commencer à détailler les annonces et propositions... Cela va continuer ainsi, et aller toujours de plus en plus proche de la réalisation, de même sans doute je vais fixer des RV et les annuler parce que le simple fait de l'envisager, de lui avoir donné ainsi un réalisme fort m'aura suffi à faire retomber la pression par MB... Je vais en arriver à regretter que cette MB me suffise parce qu'elle m'empêche d'aller au bout peut-être, d'ailleurs, alors que tout cet investissement d'excitation contituera pour moi une preuve irréfutable de la solidité de l'excitation et du bien-fondé de ce fantasme, du bien-fondé de l'idée de le faire en vrai, je suis allé jusqu'ici pour le réaliser, je ne dois pas m'arrêter en si bon chemin n'est-ce pas, et puis il faut bien que je sache pour de bon...Et arrivera la 1001ème occasion de faire demi-tour, et puis je déciderai cette fois d'aller jusqu'à la 1002ème... Qui n'arrivera pas, et alors je me ferai mon plan cul avec l'escargot.Avec ou sans réussite, et les conséquences, j'ai mon opinion là-dessus, je l'ai déja décrite quelque part, ce n'est pas mon propos sur ce post. Ce n'est pas exactement une description de ce qui a poussé ton mec à prendre sa bagnole au milieu de la nuit pour aller se trouver un DVD rose, le rapporter chez lui, ouvrir son froc et "se soulager" avant de reconduire la galette précieuse à son distributeur... Mais c'est peut-être un mécanisme similaire. Celui qui fait dépasser les limites, aller au-delà, comme un ado teste les frontières (ou un gosse, mais cela touche donc aussi les adultes) et risque s'il n'y trouve pas avec suffisamment de clarté les bonnes raisons de ne pas aller voir ce qui se passe derrière, de vouloir y retourner pour vérifier... Et flirter un peu trop avec la ligne, qui perd alors de sa substance et de son utilité pour devenir zone floue refuge de la marge...Après, ses réactions violentes et de rejet suite à vos discusions et à tes préconisations, peut-être que c'est qu'il s'est senti jugé, dépossédé de sa dépendance et de sa volonté de s'en défaire... Je ne pense pas que tu aies eu tout simplement tort, je ne crois pas qu'il faille marcher sur des oeufs en face de quelqu'un dont d'une il montre savoir de quoi il retourne, et de deux il fait des choses que tu n'acceptes pas. Ta réaction est compréhensible et s'il attend de toi que tu lui dises "mais bien sûr mon chéri c'est normal, c'est même très bien puisque tu m'en as parlé, continue comme ça" alors il va dans le mur et toi aussi... Qu'il te dise tour à tour que tu es la femme de sa vie, puis qu'il veut te quitter, c'est sans doute le résultat du conflit interne en lui, et des mensonges à lui-même qui entretiennent ce conflit. Sortir du schéma dépendance-évasion, c'est courir le risque de subir les problèmes qu'il est censé permettre d'éviter... Affronter ce problème-là, c'est nier ce schéma bien incruster avant même l'avoir démantelé... Pas évident et les revirements, tours, détours, rechutes, refus pour certains d'aller voir un psy ou autre, sont je pense des manifestations de cette difficulté, en cercle vicieux.Démanteler cela, même après l'avoir compris, prend du temps, de la rééducation, c'est tout un pan fonctionnel de son esprit qu'il faut rééduquer. C'est comme s'il fallait lui couper la jambe pour la lui remettre correctement, il en aurait pour des mois et des mois et des mois de rééducation pour pouvoir s'en servir à peu près correctement... Mais le jeu en vaudrait la chandelle. La prise de conscience que sa jambe a un problème ne suffirait pas, ni à la remettre dans le bon sens, ni à faire qu'elle marche correctement de suite...Au sujet de la dépendance affective... Oui, je pense comme tu le dis que tout le monde y est sujet. Mais, tout le monde n'y est pas sujet de la même façon, et ce n'est la peine d'en parler qu'en cas de dérèglement. Nous sommes tous dépendants de l'air qu'on respire et de l'eau qu'on boit, et aussi dépendants d'affectivité pour vivre. Cela n'est pas en question, et la réponse pour quelqu'un qui a un problème de dépendance affective n'est sans doute pas de vivre éternellement en ascète. Si l'air est vicié, certes on va retenir sa respiration le temps de passer le nuage nauséabond, mais on ne peut pas tenir indéfiniment comme ça. Personnellement, je n'utilise le terme "dep aff" que pour parler des problèmes liés à cela. Il est clair que, par exemple, certaines femmes vont casser avec leur ami dès qu'elles ont un soupçon qu'il les trompe virtuellement ou réellement, et d'autres vont s'accrocher. Il y a mille (et une) raisons et paramètres, selon leurs personnnalités, opinions, valeurs, éducations, ressentis, désirs et décisions individuelles. Pour certaines, peut-être, la dep aff sera une de ces raisons prépondérantes, prenant le dessus sur les autres et voilant ainsi leur libre-arbitre en faisant passer au-dessus de tous les autres celui de l'angoisse de la séparation (ou autre(s) composante(s) de la dep aff...).Enfin, si tu veux écrire un long post et plus qu'il s'efface tout seul au moment de l'envoyer, compose-le sur une autre fenêtre genre word ou txt et copie-colle-le sur le forum, ainsi il n'est pas perdu en cas de problème de connection ou de délai d'inactivité...
Au fait, merci pour le lien.Je l'ai imprimé, lu, puis laissé traîner sur mon bureau.Il parait qu'il l'a lu aussi.Mais évidemment, je n'en sais pas plus.
Ah, je n'avais pas compris les subtilités du forum et je croyais que mon post précédent (sur le lien) allait s'afficher sous le post de Lia, qui avait donné un lien avec un texte sur les proches d'alcooliques...Bref, merci Lia, et vous zautres.

Merci encore du temps que vous prenez pour me répondre. C'est sympa !Extraits du post de Mondom : "Après, ses réactions violentes et de rejet suite à vos discusions et à tes préconisations, peut-être que c'est qu'il s'est senti jugé, dépossédé de sa dépendance et de sa volonté de s'en défaire... "Ca, c'est plus que certain !"Démanteler cela, même après l'avoir compris, prend du temps, de la rééducation, c'est tout un pan fonctionnel de son esprit qu'il faut rééduquer. C'est comme s'il fallait lui couper la jambe pour la lui remettre correctement, il en aurait pour des mois et des mois et des mois de rééducation pour pouvoir s'en servir à peu près correctement... Mais le jeu en vaudrait la chandelle. La prise de conscience que sa jambe a un problème ne suffirait pas, ni à la remettre dans le bon sens, ni à faire qu'elle marche correctement de suite..."Oui, dit comme ça, c'est sûr que ça paraît plus que très long et que je serais ménopausée depuis lontemps quand on pourra enfin se demander sereinement si oui ou non, on fait un enfant ou pas... Mais pourtant, toi par exemple, Mondom, tu n'as pas l'air d'avoir pris si longtemps pour arriver à ne plus être dupe de tout ça et ne plus te mentir à toi même...  Je n'ai pas lu toute ta prose, mais j'ai cru comprendre qu e tu n'avais pas mis le spieds dans le cabinet d'un psy avant d'atterrir ici... Ca ne t'a donc pas pris tant de temps que ça, non ?Pour Free,Rassure-toi, sur le nombre d'années de suivi psy, ça ne veut pas dire grand chose. Si ton mec bosse sérieusement la question, sait-on jamais (malheureusement, d'après ce que je lis, ça n'a pas l'air d'être le cas... [img=../../../uploads/smil3dbd4d75edb5e.gif][/img]) Je crois que mon compagnon a été mal dans sa peau toute sa vie, en fait. Et toute sa vie (quand il était gamin déjà), il a consulté des psys. Sans pour autant avancer beaucoup. Sans forcément avoir un véritable suivi. Un an celui là, deux ans un autre, trois ans celui ci et puis rien pendant deux ans... Bref, il s'est même maqué avec une psy (qui bosse à l'hosto et qui est la personne la plus zinzin et dangereuse que je connaisse et qui est la mère de sa fille - autre énorme sujet de discorde). Aujourd'hui, ça fait trois ans qu'il va voir une psycho-je sais pas quoi (logue ou thérapeute). D'après ce que j'ai compris - mais tout est un peu flou - il lui parlait de ses obsessions sexuelles (à moi aussi d'ailleurs, alors que je ne savais rien, il me disait qu'il était constamment obsédé par mon cul - sauf que c'était pas par mon cul qu'il était obsédé - et qu'à l'époque, il se vautrait non stop dans sa came favorite), sans que le mot, le concept ou l'idée de "dépendance" soit évoquée. Et puis il a tellement de problèmes (notamment avec la mère de sa fille qui transforme régulièrement notre vie en enfer) qu'il a bcp de choses à discuter avec sa psy et que la pornodépendance était loin d'être sa priorité, surtout qu'elle n'était pas franchement évoquée comme telle. Elle l'est, depuis peu, je pense.J'ai découvert tout ça il y a désormais un an, en septembre 2009. Nous en avons parlé (j'avais direct atterri sur le site d'orroz, estomaquée par mes découvertes et l'ampleur du truc). Il m'a dit qu'il avait comrpis, qu'il n'en pouvait plus, et qu'il arrêtait. De mon côté, je lui ai fichu la paix, ne lui en ai plus parlé, me suis préoccupée d'uatre chose. Et bien il a rechuté. (Depuis cette date, le max qu'il ait jamais tenu sans porno est un mois et demi). Il a rechuté dès qu'il a pu, à la première occaz, ou presque. Alors quand je lis qu'en tant que codép on ne peut rien faire ou presque, je ne suis pas sure.... pour mon expérience, ça n'a rien changé !!!! D'ailleurs, à ma connaissance, il n'a jamais été aussi souvent sur les sites (tous les jours, la journée entière, à toutes heures possibles, un truc de dingue) qu'à l'époque où j'étais toujours à l'extérieur car je vivais une expérience extraordianire et très enthousiasmante de mon côté. Et je ne me préoccupais pas du tout de sa dépendance que j'ignorais totalement... Le truc est revenu dans ma vie en boomerang au mois d'avril, lors d'un week end pendant lesquel il n' apas lâché son ordi pendant plus de 48h (c'est sa psécialité j'ai l'impression. Il y va peut-être moins souvent que certains ?? mais jamais moins de 24 ou 48 heures). Là, je l'ai tanné. Il m'a dit plus tard que c'est grâce à moi qu'il avait vraiment compris que c'est une dépendance et qu'il en est gravement atteint. Et qu'il doit se sevrer. Donc, ce n'est que depuis le printemps qu'il envisage les choses sous cet angle avec sa psy. Même s'il a quand même du bcp bosser la question. car il est obsédé par le cul, et surtout par son propre sexe. Donc, quand même il en parlait en consult.Quand il s'embarque pour de grosses sessions porno, c'est toujours avec de l'alcool et du shit. C'est entre autres pour ces raisons là que j'ai voulu arr^té de fumer. j'Y ai consacré pas mal de temps avec tout un programme bien-être durant le mois d'août (régime alimentaire spécifique - sport - détente - sauna - méditation, etc. bref, programme détox ++) A mon heureuse surprise, à la dernière minute, il a décidé de prendre le train avec moi. Je me disais chouette chouette car : plus de clope = plus de shit = plus d'alcool = plus de porno.D'ailleurs il m'avait dit "c'est mettre un grand coup de pied dans la fourmillière". Il pensait donc bien la même chose qu emoi. Bref, enfer pour nous et échec pour lui.Pour info, aujourd'hui, il est allé à marmottan (c'est moi qui lui avais soufflé l'adresse mais c'est lui qui y est allé tout seul). Il y a vu un médecin généraliste pour la troisième fois (qui veut donc l'orienter - après avoir pris contact avec sa psy habituelle - vers un psychiatre de ville spécialisé en polyaddictions et addiction sans drogue). La seule que je sais de ce qui s'y est dit : au sujet de son échec du sevrage tabagique (donc de tous les autres), elle lui aurait répondu qu'il vaut mieux arrêter les addictions une par une ! Bon, c'est elle le toubib et moi l'ignare mais ça m'a quand même laissée sur le c... ! Lui dire un truc pareil.... Bien pratique pour lui, non ?Enfin, au sujet de l'exemple de l'escargot... C'est parlant mais je ne comprends toujours pas comment c'est possible. Quand on n'est pas en sevrage, certes. Mais quand on est en sevrage... Qu'on a cosncience de tout ça depuis longtemps, qu'on connait les choses (il a soit disant potassé en long et en large le bouquin d'orroz qu'il a acheté lui-même)... Comment peut-on céder aussi facilement à ses pulsions ? Y céder et même les provoquer... Si je suis en manque de clope, je sais pourquoi, je suis en sevrage et je me raisonne, je pratique mes divers trucs et astuces. Si je suis vraiment grave - ça m'est arrivé - je tanne mon conjoint, je lui ai même fait du chantage - pour qu'il me file une clope et un bout de shit. Mais en pleine nuit, non, je ne me lève pas pour prendr la bagnole et traverser la ville pour trouver un bar ouvert qui vendra des clopes. Non. Au pire, je prends un anxiolytique. Car quand même, c'est pas comme quand on clique frénétiquement. Ca va vite. trop vite pour que la raison puisse intervenir et prendre le pas sur la pulsion. Mais pas quand il faut faire tout un tas de gestes très conscients pour aller chercher sa dose.il m'a dit que lorsqu'il est comme ça, dans ces moments là, il se déteste. c'est tout ce qu'il m'a dit.Désolée, j'ai été trop longue. merci à ceux qui lisent jusqu'au bout.Et encore une fois, courage à tous !

Tu ne te Iièves pas en pIeine nuit, ni moi, ni personne qui n'est pas addict,,,,qui a un besoin intempestif, sinon gare,,,,je n'ai fumé que Ia cIoppe , mais chaque fois que je me suis arretée, queIques mois, c'est justement parceque je me suis vue, un dimanche chercher un tabac, et rien que çà m'a fait dire, t'es vraiment maI barrée,,,,,donc je n'imaginne pas une seuIe seconde répondre à une puIsion et me retrouver au voIant en pIeine nuit, pour çàIes psys ont pris une forme chez Iui de "normaIité" soit, iI n'est peut-etre pas tombé sur Ie bon, mais autant que je te Iise, iI n'a parIé reeIIement de sa dépendance au porno iI y a peu, donc,,,Quant au fait ou eIIe Iui conseiIIe d'arreter une dépendance à Ia fois,,,,je pense, mais je ne suis pas pro, qu'en ayant ne enveIoppe de dépendance, car je vois avec Iui, s'iI en manque une, ex Ie shit, iI va cIaquer son forfait et chercher par tous Ies moyens d'en trouver,,,,ne se concentrera meme pas sur ses jeux ou porno peut-etre (faut iI que çà demande de Ia concentration, mais bien pIus bas que Ie cerveau!)Internet en panne, et ce sont tous Ies numéros "depannages" qui vont y passer, engueuIade avec un technicien, et rien ne I'arretera, et si pas de shit, démontage à I'aIcooI, faut qu'iI se mette Ia tete à I'envers,moraIité, une par une,,,,je sens maI Ie coup,  car pour Ies poIydépendants, qui sont accrocs de pIus à des jeux, ou internet, iI faut que ce soit un peu comme une ritueI,,,avec ses composants, si une couIe, çà  ne va pasReste à savoir si eIIe Iui a dit texto, ou si son conseiI a été un peu arrangé par ce qu'iI vouIait Iui entendre,,,,Ia seuIe chose qu'iI m'a dite je crois bien depuis ses séances psys(et 4 rien que pour Iui,,,) est pfffff, Ie porno, j'ai dit, et çà I'a pas choqué, iI pense que c'est normaI , car en ce moment je Iui ai dit, que tu n'étais pas ouverte,,,,!!!!!donc je n'étais pas Ià, pour dire ce qu'iI a reeIIement raconté,,ce qu'iI a vouIu evidemment, Par contre iI t'a dit qu'iI se détestait quand iI repIongeait,,,,moi je n'ai jamais entendu çà chez Iui, iI estime que c'est une habitude, qu'iI en tire du pIaisir, et que je n'ai aps à penser que c'est tromper(comme on pense queIques fois,,,,) que si ce sont des mangas?eIIes n'existent pas n'est-ce pas?Donc pourquoi tu peux penser que c'est tromper!!! c'est trop mignon non?pffffffffff c'est un peu I'histoire de I'escargot!A toute Freedom!
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