Dépendance sexuelle

Version complète : une histoire de plus...
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Nous avons beaucoup parlé après avoir vu le documentaire. Elle m'a confié qu'elle avait déjà vu des films pronographiques et tout un tas de choses par curiosité, mais sans en ressortir interessée par ce qu'elle avait vu. C'est trop impersonnel, trop idiot, trop violent, et trop peu en lien avec ses propres fantasmes pour qu'elle ressente quoi que ce soit. Et puis, comme beaucoup de femme, la vue n'est pas primodiale dans son désir (elle est plus interessée par des textes érotiques). Donc, elle sait déjà ce que c'est. Elle connaît ce monde. Et elle sait que moi, par contre, je suis TRES visuel. L'avantage de ce documentaire, c'est qu'elle a pu voir les effets que cela peut avoir. Elle a été intriguée en particulier par le jeune homme qui parle de son addiction comme on parle d'alcoolisme ou de toxicomanie. Nous avons parlé du besoin d'augmenter les doses pour être bien, et de l'escalade dans le hard qui est le fait de l'accoutumance à l'adrénaline et aux endorphines libérées (heureusement qu'elle s'y connaît un peu en biologie !)J'y vais doucement. Petit à petit.  
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